Et ils adoptèrent des divinités en dehors d’Allah, dans l’espoir d’être secourus... Celles-ci ne pourront pas les secourir, elles formeront au contraire une armée dressée contre eux.
(Sourate YaSin, 74-75)
L’Islam est bâti sur cinq fondements :
1. Attester qu’il n’y a de Allah que Allah et que Mouhammad est son prophète,
2. la prière,
3. l’aumône légale (Zakat),
4. le pèlerinage,
5. le jeûne du mois de ramadan.
Rapporté par Al-Boukhari
Le pingouin : Un animal créé pour le climat polaire
La température au niveau du cercle polaire antarctique, là où vivent les pingouins, descend parfois jusqu'à -40°C.
Le corps des pingouins est heureusement recouvert d'une épaisse couche de graisse leur permettant de survivre dans des conditions aussi extrêmes. De plus, les pingouins possèdent un système digestif hautement développé qui est capable d'assimiler très rapidement la nourriture. Ces deux facteurs permettent de réguler la température interne des pingouins à une valeur d'environ +40°C.
Tout pour le jeune pingouin
Les pingouins couvent durant l'hiver polaire. De plus, ce ne sont pas les femelles mais les mâles qui couvent. Mis à part le terrible froid, les couples de pingouins se trouvent également confrontés à la croissance des glaciers pendant cette période de l'année. En effet, durant tout l'hiver, les glaciers augmentent régulièrement de volume, augmentant par là même la distance séparant le site d'incubation et la côte, où se trouve la source de nourriture la plus proche pour les pingouins. Cette distance peut parfois atteindre 100 km.
Les femelles pingouins ne pondent qu'un seul œuf lors de chaque couvée, puis laissent les mâles incuber et retournent dans la mer. Durant les quatre mois de la période d'incubation, le mâle pingouin doit résister à des vents polaires violents, atteignant jusqu'à 100 km/h. Et du fait qu'il doit protéger l'œuf, il ne peut même pas chasser. De toute façon, la source de nourriture la plus proche est à deux jours de marche. Demeurant ainsi quatre mois entiers sans manger quoi que ce soit, le mâle pingouin perd la moitié de son poids, mais il n'abandonne jamais l'œuf. Il résiste ainsi à la faim pendant des mois.
Une fois les quatre mois écoulés, lorsque l'œuf commence à se craqueler, la femelle pingouin ressurgit soudain. Entre-temps, elle n'a pas fait preuve de fainéantise mais a au contraire travaillé pour son futur petit en emmagasinant de la nourriture pour lui.
Parmi des centaines de pingouins, la mère retrouve facilement son époux et sa progéniture. Comme la mère a constamment chassé pendant la séparation, elle a l'estomac plein; ces réserves de nourriture vont lui permettre de pourvoir aux besoins du nouveau-né.
Au printemps, les glaciers commencent à fondre et des trous émergent dans la glace, laissant la mer émerger. Les parents pingouins se mettent alors à chasser des poissons dans ces trous pour nourrir leur petit.
Nourrir le nouveau-né est une rude tâche; parfois les parents se privent pendant une longue période, pourvu que leur progéniture ait de quoi manger. Il n'y aucun moyen d'aménager un abri quand la glace recouvre tout. La seule chose que les parents puissent alors faire est de protéger leur petit du froid de la glace en le posant sur leurs propres pieds et en le réchauffant contre leur ventre.
L'emplacement dans l'année de la période de la ponte des œufs est également importante. Pourquoi les pingouins pondent-ils en hiver et non en été? Il y a à cela une raison: s'ils avaient pondu en été, alors la venue au monde de la nouvelle progéniture se serait effectuée en plein hiver, alors que les mers sont gelées. Dans ce cas, les parents auraient eu trop de mal à trouver de quoi nourrir leurs petits à cause des épouvantables conditions climatiques et de l'éloignement de l'eau de mer, où se trouvent les ressources en nourriture des pingouins.
La température au niveau du cercle polaire antarctique, là où vivent les pingouins, descend parfois jusqu'à -40°C.
Le corps des pingouins est heureusement recouvert d'une épaisse couche de graisse leur permettant de survivre dans des conditions aussi extrêmes. De plus, les pingouins possèdent un système digestif hautement développé qui est capable d'assimiler très rapidement la nourriture. Ces deux facteurs permettent de réguler la température interne des pingouins à une valeur d'environ +40°C.
Tout pour le jeune pingouin
Les pingouins couvent durant l'hiver polaire. De plus, ce ne sont pas les femelles mais les mâles qui couvent. Mis à part le terrible froid, les couples de pingouins se trouvent également confrontés à la croissance des glaciers pendant cette période de l'année. En effet, durant tout l'hiver, les glaciers augmentent régulièrement de volume, augmentant par là même la distance séparant le site d'incubation et la côte, où se trouve la source de nourriture la plus proche pour les pingouins. Cette distance peut parfois atteindre 100 km.
Les femelles pingouins ne pondent qu'un seul œuf lors de chaque couvée, puis laissent les mâles incuber et retournent dans la mer. Durant les quatre mois de la période d'incubation, le mâle pingouin doit résister à des vents polaires violents, atteignant jusqu'à 100 km/h. Et du fait qu'il doit protéger l'œuf, il ne peut même pas chasser. De toute façon, la source de nourriture la plus proche est à deux jours de marche. Demeurant ainsi quatre mois entiers sans manger quoi que ce soit, le mâle pingouin perd la moitié de son poids, mais il n'abandonne jamais l'œuf. Il résiste ainsi à la faim pendant des mois.
Une fois les quatre mois écoulés, lorsque l'œuf commence à se craqueler, la femelle pingouin ressurgit soudain. Entre-temps, elle n'a pas fait preuve de fainéantise mais a au contraire travaillé pour son futur petit en emmagasinant de la nourriture pour lui.
Parmi des centaines de pingouins, la mère retrouve facilement son époux et sa progéniture. Comme la mère a constamment chassé pendant la séparation, elle a l'estomac plein; ces réserves de nourriture vont lui permettre de pourvoir aux besoins du nouveau-né.
Au printemps, les glaciers commencent à fondre et des trous émergent dans la glace, laissant la mer émerger. Les parents pingouins se mettent alors à chasser des poissons dans ces trous pour nourrir leur petit.
Nourrir le nouveau-né est une rude tâche; parfois les parents se privent pendant une longue période, pourvu que leur progéniture ait de quoi manger. Il n'y aucun moyen d'aménager un abri quand la glace recouvre tout. La seule chose que les parents puissent alors faire est de protéger leur petit du froid de la glace en le posant sur leurs propres pieds et en le réchauffant contre leur ventre.
L'emplacement dans l'année de la période de la ponte des œufs est également importante. Pourquoi les pingouins pondent-ils en hiver et non en été? Il y a à cela une raison: s'ils avaient pondu en été, alors la venue au monde de la nouvelle progéniture se serait effectuée en plein hiver, alors que les mers sont gelées. Dans ce cas, les parents auraient eu trop de mal à trouver de quoi nourrir leurs petits à cause des épouvantables conditions climatiques et de l'éloignement de l'eau de mer, où se trouvent les ressources en nourriture des pingouins.
Amour Légitime et Illégitime
Le sentimentalisme, ou autrement dit le désir romantique, est connu en général sous le déguisement de l'amour. Par exemple, comme nous le verrons dans les pages suivantes, les nationalistes romantiques qui clament leur amour pour leur patrie, amour au nom duquel ils font preuve d’hostilité voire d’agressivité vis à vis d’autres nations, ou bien un jeune homme épris d’une jeune fille qui devient ainsi le centre de son existence, ce qui l’amène à lui consacrer des poèmes où il lui déclare son amour, et devient obsédé avec elle au point de suicide, pour la diviniser en lui prouvant ainsi son amour. On pourrait aussi citer l’exemple des homosexuels qui transgressent la loi d’Allah, s’adonnent sans honte à leur perversion et persistent dans le péché, en prétendant eux aussi avoir trouvé l’amour.
La plupart des gens pensent que toute émotion à laquelle on attribue le nom d’amour est nécessairement vertueuse, pure, voire sacrée et que tous les exemples de passion romantique, tels que ceux que nous avons cités, sont parfaitement acceptables.
L’amour est en effet un sentiment merveilleux, qu’Allah a accordé à l’humanité, mais il est important de distinguer l’amour authentique de celui qui ne l’est pas, de voir à qui il s’adresse et sur quels sentiments il repose. Une telle enquête fera apparaître la différence entre le sentimentalisme qui aboutit à un amour pervers et le véritable amour tel qu’Allah nous le révèle dans le Coran.
Telles sont les questions que nous allons étudier dans cet ouvrage. Mais tout d’abord, en guise d’approche préliminaire, voyons la définition de l’amour donnée dans le Coran : l’amour doit être donné à ceux qui le méritent, ceux qui en sont indignes ne doivent pas être objets d’amour. Nous devons nous tenir à distance de tels êtres sur un plan émotionnel et affectif, ou au moins ne pas avoir d’inclination, de sympathie pour eux. Ceux qui méritent d’être aimés le méritent au nom de leur vertu.
Le Seul Etre digne d’un amour absolu, c’est Allah, Qui nous a tous créés. Allah nous a donné l’existence, Il nous a gratifiés de bienfaits innombrables, nous a guidés et promis un paradis éternel. Il nous soulage de toutes nos angoisses et répond dans Sa grâce à toutes nos prières. C’est Lui Qui nous nourrit jusqu’à la satiété, nous soigne quand nous sommes malades et raffermit notre esprit. Par conséquent, celui qui comprend les mystères de l’univers aime Allah au-dessus de tout et aime ceux qu’Allah aime, à savoir ces individus qui consacrent leur vie à agir selon Sa volonté.
En revanche, les transgresseurs qui se rebellent contre Allah, leur Seigneur, ne sont pas dignes d’être aimés. Ressentir de l’amour envers eux est une grave erreur contre laquelle Allah met en garde les croyants par ces mots :
Comme l’indique ce verset, les croyants ne doivent éprouver aucune affection pour les rebelles. Il y a un point important ici qui doit être gardé à l’esprit : même si un croyant n’éprouve pas en son cœur de l’amour pour un incroyant qui rejette la religion, il fera tout son possible pour le guider vers la foi et la soumission à Allah. "Ne pas avoir d’affection" pour une telle personne ne signifie pas la haïr ou lui vouloir du mal. Au contraire, celui qui croit en Allah expliquera le sens authentique de la religion à toute personne désireuse de trouver le droit chemin et qui se montre disposée à suivre la guidée. Le croyant qui rappelle à cette personne l’existence du paradis et de l’enfer et la met en garde contre la mort, le jour du jugement et la vie future aura accompli son devoir avec soin et compassion.
Même si un homme rejette la foi, en dépit de ses efforts, cela n’empêche pas le musulman d’agir justement envers lui. A moins qu’on essaie de faire du mal aux croyants ou de provoquer des conflits et des désaccords entre eux, il doit continuer à faire preuve de tolérance envers tous, car Allah a enjoint ceci aux croyants :
Dans les versets susmentionnés, ainsi que dans les versets cités auparavant (Sourate Mumtahanah, 1) Allah, dans Sa grande sagesse, nous fait apprendre quelque chose de grande valeur. Les émotions ne doivent pas guider notre attitude, car elles peuvent nous mener vers de graves erreurs. On doit agir selon notre raison et non selon nos émotions, notre libre arbitre et en conformité avec les commandements divins. Plus encore, on doit contrôler nos émotions de sorte qu’elles se conforment à notre raison et volonté.
Nous pouvons constater l’existence de ce problème chez tous ceux qui sont tombés dans le piège de la sentimentalité. Des centaines de millions de personnes sont asservies aux désirs de leurs cœurs, à leurs ambitions, passions, haines et colères. Elles agissent de façon irrationnelle et justifient leur conduite en prétextant leur impuissance en disant : "Je ne peux pas m’en empêcher. J’aime ça." ou "Je ne peux pas m’en empêcher, je veux ça, j’en ai envie." Mais le fait qu’on ait envie de quelque chose ne signifie pas qu’elle soit bonne ou légitime. Notre âme bestiale nous presse toujours de choisir le mal avec l’incitation de satan qui nous suggère des méfaits encore plus graves. Quand quelqu’un agit contrairement à la volonté d’Allah, et dit : "Je ne peux m’en empêcher, j’en ai envie", son âme bestiale est en fait l’instrument de satan. Dans le Coran Allah évoque de tels êtres par ces mots :
Dans les pages qui suivent nous examinerons divers exemples témoignant d’un romantisme excessif, et qui représentent un certain type de sentimentalisme. Nous exposerons les risques encourus par ceux qui s’adonnent à ce mode de pensée et expliquerons les moyens de remédier à ce fléau.
O vous qui avez cru ! Ne prenez pas pour alliés Mon ennemi et le vôtre, leur offrant l'amitié, alors qu'ils ont nié ce qui vous est parvenu de la vérité. (Sourate al-Mumtahanah, 1)
Le sentimentalisme, ou autrement dit le désir romantique, est connu en général sous le déguisement de l'amour. Par exemple, comme nous le verrons dans les pages suivantes, les nationalistes romantiques qui clament leur amour pour leur patrie, amour au nom duquel ils font preuve d’hostilité voire d’agressivité vis à vis d’autres nations, ou bien un jeune homme épris d’une jeune fille qui devient ainsi le centre de son existence, ce qui l’amène à lui consacrer des poèmes où il lui déclare son amour, et devient obsédé avec elle au point de suicide, pour la diviniser en lui prouvant ainsi son amour. On pourrait aussi citer l’exemple des homosexuels qui transgressent la loi d’Allah, s’adonnent sans honte à leur perversion et persistent dans le péché, en prétendant eux aussi avoir trouvé l’amour.
La plupart des gens pensent que toute émotion à laquelle on attribue le nom d’amour est nécessairement vertueuse, pure, voire sacrée et que tous les exemples de passion romantique, tels que ceux que nous avons cités, sont parfaitement acceptables.
L’amour est en effet un sentiment merveilleux, qu’Allah a accordé à l’humanité, mais il est important de distinguer l’amour authentique de celui qui ne l’est pas, de voir à qui il s’adresse et sur quels sentiments il repose. Une telle enquête fera apparaître la différence entre le sentimentalisme qui aboutit à un amour pervers et le véritable amour tel qu’Allah nous le révèle dans le Coran.
Telles sont les questions que nous allons étudier dans cet ouvrage. Mais tout d’abord, en guise d’approche préliminaire, voyons la définition de l’amour donnée dans le Coran : l’amour doit être donné à ceux qui le méritent, ceux qui en sont indignes ne doivent pas être objets d’amour. Nous devons nous tenir à distance de tels êtres sur un plan émotionnel et affectif, ou au moins ne pas avoir d’inclination, de sympathie pour eux. Ceux qui méritent d’être aimés le méritent au nom de leur vertu.
Le Seul Etre digne d’un amour absolu, c’est Allah, Qui nous a tous créés. Allah nous a donné l’existence, Il nous a gratifiés de bienfaits innombrables, nous a guidés et promis un paradis éternel. Il nous soulage de toutes nos angoisses et répond dans Sa grâce à toutes nos prières. C’est Lui Qui nous nourrit jusqu’à la satiété, nous soigne quand nous sommes malades et raffermit notre esprit. Par conséquent, celui qui comprend les mystères de l’univers aime Allah au-dessus de tout et aime ceux qu’Allah aime, à savoir ces individus qui consacrent leur vie à agir selon Sa volonté.
En revanche, les transgresseurs qui se rebellent contre Allah, leur Seigneur, ne sont pas dignes d’être aimés. Ressentir de l’amour envers eux est une grave erreur contre laquelle Allah met en garde les croyants par ces mots :
O vous qui avez cru ! Ne prenez pas pour alliés Mon ennemi et le vôtre, leur offrant l'amitié, alors qu'ils ont nié ce qui vous est parvenu de la vérité. Ils expulsent le Messager et vous-mêmes parce que vous croyez en Allah, votre Seigneur. Si vous êtes sortis pour lutter dans Mon chemin et pour rechercher Mon agrément, leur témoignerez-vous secrètement de l'amitié, alors que Je connais parfaitement ce que vous cachez et ce que vous divulguez ? Et quiconque d'entre vous le fait s'égare de la droiture du sentier. (Sourate al-Mumtahanah, 1)
Comme l’indique ce verset, les croyants ne doivent éprouver aucune affection pour les rebelles. Il y a un point important ici qui doit être gardé à l’esprit : même si un croyant n’éprouve pas en son cœur de l’amour pour un incroyant qui rejette la religion, il fera tout son possible pour le guider vers la foi et la soumission à Allah. "Ne pas avoir d’affection" pour une telle personne ne signifie pas la haïr ou lui vouloir du mal. Au contraire, celui qui croit en Allah expliquera le sens authentique de la religion à toute personne désireuse de trouver le droit chemin et qui se montre disposée à suivre la guidée. Le croyant qui rappelle à cette personne l’existence du paradis et de l’enfer et la met en garde contre la mort, le jour du jugement et la vie future aura accompli son devoir avec soin et compassion.
Même si un homme rejette la foi, en dépit de ses efforts, cela n’empêche pas le musulman d’agir justement envers lui. A moins qu’on essaie de faire du mal aux croyants ou de provoquer des conflits et des désaccords entre eux, il doit continuer à faire preuve de tolérance envers tous, car Allah a enjoint ceci aux croyants :
Allah ne vous défend pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les équitables. Allah vous défend seulement de prendre pour alliés ceux qui vous ont combattus pour la religion, chassés de vos demeures et ont aidé à votre expulsion. Et ceux qui les prennent pour alliés sont les injustes. (Sourate al-Mumtahanah, 8-9)
Dans les versets susmentionnés, ainsi que dans les versets cités auparavant (Sourate Mumtahanah, 1) Allah, dans Sa grande sagesse, nous fait apprendre quelque chose de grande valeur. Les émotions ne doivent pas guider notre attitude, car elles peuvent nous mener vers de graves erreurs. On doit agir selon notre raison et non selon nos émotions, notre libre arbitre et en conformité avec les commandements divins. Plus encore, on doit contrôler nos émotions de sorte qu’elles se conforment à notre raison et volonté.
Nous pouvons constater l’existence de ce problème chez tous ceux qui sont tombés dans le piège de la sentimentalité. Des centaines de millions de personnes sont asservies aux désirs de leurs cœurs, à leurs ambitions, passions, haines et colères. Elles agissent de façon irrationnelle et justifient leur conduite en prétextant leur impuissance en disant : "Je ne peux pas m’en empêcher. J’aime ça." ou "Je ne peux pas m’en empêcher, je veux ça, j’en ai envie." Mais le fait qu’on ait envie de quelque chose ne signifie pas qu’elle soit bonne ou légitime. Notre âme bestiale nous presse toujours de choisir le mal avec l’incitation de satan qui nous suggère des méfaits encore plus graves. Quand quelqu’un agit contrairement à la volonté d’Allah, et dit : "Je ne peux m’en empêcher, j’en ai envie", son âme bestiale est en fait l’instrument de satan. Dans le Coran Allah évoque de tels êtres par ces mots :
Vois-tu celui qui prend sa passion pour sa propre divinité ? Et Allah l'égare sciemment et scelle son ouïe et son cœur et étend un voile sur sa vue. Qui donc peut le guider après Allah ? Ne vous rappelez-vous donc pas ? (Sourate al-Jathya, 23)
Dans les pages qui suivent nous examinerons divers exemples témoignant d’un romantisme excessif, et qui représentent un certain type de sentimentalisme. Nous exposerons les risques encourus par ceux qui s’adonnent à ce mode de pensée et expliquerons les moyens de remédier à ce fléau.
Le Prophète a annoncé que le Coran était la parole révélée de Allah
Du vivant du Prophète et après sa mort, des gens ont nié l’origine divine du Coran. Certains allèrent jusqu’à prétendre que c’était le Prophète lui-même qui l’avait écrit. Or il est évident que le Coran n’est pas une œuvre humaine. Le Coran est la parole de Allah, il abonde en miracles et manifeste une sagesse supérieure qui n’est pas à la portée d’un simple être humain. Le Prophète rappelait cette vérité à son peuple et lui expliquait que le Coran avait été révélé par Allah, comme l’indiquent ces versets:
Ceux qui prétendaient que le Coran était l’œuvre d’un être humain n’avaient pas conscience des miracles qu’il recelait et que sa sagesse provenait de Allah. En vérité le Coran est un livre tel que les hommes et les djinns en se réunissant n’auraient pu l’écrire, et à plus forte raison un seul homme. Dans le Coran, Allah enjoint au Prophète de tenir à ses détracteurs le discours suivant:
Dans un autre hadith, le Prophète affirme que le Coran est la parole de Allah:
Le Prophète expliquait que le Coran avait été révélé comme guidance et bonne nouvelle pour les musulmans
Le Prophète disait aux gens que le Coran mène les gens vers le droit chemin et leur conseillait de leur prendre pour guide. Voyons les versets qui s’y rapportent:
C’est pourquoi le Prophète attachait une grande importance à l’enseignement du Coran:
Du vivant du Prophète et après sa mort, des gens ont nié l’origine divine du Coran. Certains allèrent jusqu’à prétendre que c’était le Prophète lui-même qui l’avait écrit. Or il est évident que le Coran n’est pas une œuvre humaine. Le Coran est la parole de Allah, il abonde en miracles et manifeste une sagesse supérieure qui n’est pas à la portée d’un simple être humain. Le Prophète rappelait cette vérité à son peuple et lui expliquait que le Coran avait été révélé par Allah, comme l’indiquent ces versets:
Dis: “L’a fait descendre Celui qui connaît les secrets dans les cieux et la terre. Et Il est Pardonneur et MiséricorAllahx.” (Sourate al-Furqan: 6)
Dis: “Voyez-vous? Si ceci (le Coran) émane de Allah et qu’ensuite vous le reniez; qui se trouvera plus égaré que celui qui s’éloigne dans la dissidence?” (Sourate Fussilat: 52)
Dis: “Même si les hommes et les djinns s’unissaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient produire rien de semblable, même s’ils se soutenaient les uns les autres.” (Sourate al-Isra’: 88)
Ou bien ils disent: “Il (Mohammad) l’a inventé?” Dis: “Composez donc une sourate semblable à ceci, et appelez à votre aide n’importe qui vous pourrez, en dehors Allah, si vous êtes véridiques.” (Sourate Yunus: 38)
L’honnêteté fut descendue des cieux et établie au fond des cœurs des hommes (les croyants sincères), et alors le Coran fut révélé et les gens lurent le Coran (l’apprirent) et apprirent aussi la sounna. Le Coran comme la sounna ont renforcé leur honnêteté (celle des croyants sincères). (Sahih Boukhari, vol.9, no 381)
Le Prophète disait aux gens que le Coran mène les gens vers le droit chemin et leur conseillait de leur prendre pour guide. Voyons les versets qui s’y rapportent:
Dis: “C’est le Saint Esprit [Gabriel] qui l’a fait descendre de la part de ton Seigneur en toute vérité, afin de raffermir [la foi] de ceux qui croient, ainsi qu’un guide et une bonne annonce pour les musulmans. (Sourate an-Nahl: 102)
Dis: “Si je m’égare, je ne m’égare qu’à mes dépens; tandis que si je me guide, alors c’est grâce à ce que mon Seigneur m’a révélé, car Il est Audiant et Proche.” (Sourate Saba’: 50)
C’est pourquoi le Prophète attachait une grande importance à l’enseignement du Coran:
Acquérez la connaissance et transmettez-la aux gens. Apprenez le Coran et enseignez-le aux gens, car je suis voué à quitter ce monde. (Tirmidhi, 279)
Le scénario de l'évolution humaine -1-
Dans les chapitres précédents, nous avons vu qu'il n'existe aucun mécanisme naturel qui permet aux êtres vivants d'évoluer et que les espèces vivantes sont apparues, non pas grâce à un processus évolutif mais plutôt de manière soudaine dans leur structure parfaite que nous connaissons aujourd'hui. Cela signifie, qu'elles ont été créées individuellement et que par conséquent "l'évolution humaine" n'a jamais eu lieu.
Que proposent donc les évolutionnistes comme base pour cette histoire?
Cette base c'est l'existence de nombreux fossiles que les évolutionnistes utilisent pour fabriquer leurs interprétations imaginaires. Tout au long de l'histoire, plus de 6.000 espèces de singes ont vécu et plusieurs d'entre elles se sont éteintes. Aujourd'hui, seul 120 espèces vivent encore sur terre. Ces 6.000 espèces environ, dont la majorité s'est éteinte, constituent une mine intarissable pour les évolutionnistes.
Les évolutionnistes ont rédigé le scénario de l'évolution humaine en arrangeant dans l'ordre croissant, du plus petit au plus grand, quelques crânes adaptés à leur objectif; ils ont également mis des crânes de certaines races humaines éteintes depuis longtemps. Conformément à ce scénario, les hommes et les singes modernes ont les mêmes ancêtres. Ces créatures ont évolué dans le temps et certaines d'entre elles sont devenues les singes que l'on connaît aujourd'hui alors qu'un autre groupe est devenu l'homme d'aujourd'hui, suivant une autre branche de l'évolution.
Toutefois, toutes les découvertes paléontologiques, anatomiques et biologiques ont démontré que cette prétendue évolution n'est que fiction comme toutes les autres. Aucune preuve irréfutable n'a été présentée pour prouver qu'il existe une relation entre l'homme et le singe, exception faite des contrefaçons, distorsions, dessins et commentaires trompeurs.
Les archives fossiles nous indiquent que tout au long de l'histoire, les hommes ont toujours été des hommes et les singes toujours des singes. Les fossiles présentés par les évolutionnistes comme ancêtres des hommes, appartiennent en fait à des races humaines ayant vécu jusqu'à environ 10.000 années plus tôt, puis ont fini par disparaître. En outre, plusieurs communautés humaines vivant aujourd'hui ont les mêmes traits physiques que ces races éteintes, que les évolutionnistes prétendent être les ancêtres de l'homme. Ces faits sont des preuves tangibles que l'homme n'est jamais passé par un processus évolutif quelle que soit l'époque historique.
Le plus important dans tout cela, c'est qu'il existe de nombreuses différences anatomiques entre les singes et les hommes et qu'aucune d'entre elles n'est du genre à survenir à travers un processus évolutif. Par exemple, le fait d'être un "bipède" est une caractéristique propre à l'homme et constitue le trait principal qui distingue celui-ci des autres animaux.
L'arbre généalogique imaginaire de l'homme
Selon ce que prétend Darwin, l'homme moderne a évolué à partir de créatures qui ressembleraient à des singes. Pendant ce prétendu processus évolutif, qui aurait débuté 4 à 5 millions d'années auparavant, des "formes transitionnelles" auraient existé; elles constituent la transition entre l'homme moderne et ses ancêtres. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" élémentaires sont établies:
Les évolutionnistes appellent le prétendu premier ancêtre commun de l'homme et du singe, "l'Australopithèque". Ce nom signifie "singe d'Afrique du Sud". L'Australopithèque, qui n'est autre qu'une ancienne espèce de singe disparue depuis longtemps, existait sous différents types. Certains sont forts, alors que d'autres sont plus petits de taille et plus minces.
Dans les chapitres précédents, nous avons vu qu'il n'existe aucun mécanisme naturel qui permet aux êtres vivants d'évoluer et que les espèces vivantes sont apparues, non pas grâce à un processus évolutif mais plutôt de manière soudaine dans leur structure parfaite que nous connaissons aujourd'hui. Cela signifie, qu'elles ont été créées individuellement et que par conséquent "l'évolution humaine" n'a jamais eu lieu.
Que proposent donc les évolutionnistes comme base pour cette histoire?
Cette base c'est l'existence de nombreux fossiles que les évolutionnistes utilisent pour fabriquer leurs interprétations imaginaires. Tout au long de l'histoire, plus de 6.000 espèces de singes ont vécu et plusieurs d'entre elles se sont éteintes. Aujourd'hui, seul 120 espèces vivent encore sur terre. Ces 6.000 espèces environ, dont la majorité s'est éteinte, constituent une mine intarissable pour les évolutionnistes.
Les évolutionnistes ont rédigé le scénario de l'évolution humaine en arrangeant dans l'ordre croissant, du plus petit au plus grand, quelques crânes adaptés à leur objectif; ils ont également mis des crânes de certaines races humaines éteintes depuis longtemps. Conformément à ce scénario, les hommes et les singes modernes ont les mêmes ancêtres. Ces créatures ont évolué dans le temps et certaines d'entre elles sont devenues les singes que l'on connaît aujourd'hui alors qu'un autre groupe est devenu l'homme d'aujourd'hui, suivant une autre branche de l'évolution.
Toutefois, toutes les découvertes paléontologiques, anatomiques et biologiques ont démontré que cette prétendue évolution n'est que fiction comme toutes les autres. Aucune preuve irréfutable n'a été présentée pour prouver qu'il existe une relation entre l'homme et le singe, exception faite des contrefaçons, distorsions, dessins et commentaires trompeurs.
Les archives fossiles nous indiquent que tout au long de l'histoire, les hommes ont toujours été des hommes et les singes toujours des singes. Les fossiles présentés par les évolutionnistes comme ancêtres des hommes, appartiennent en fait à des races humaines ayant vécu jusqu'à environ 10.000 années plus tôt, puis ont fini par disparaître. En outre, plusieurs communautés humaines vivant aujourd'hui ont les mêmes traits physiques que ces races éteintes, que les évolutionnistes prétendent être les ancêtres de l'homme. Ces faits sont des preuves tangibles que l'homme n'est jamais passé par un processus évolutif quelle que soit l'époque historique.
Le plus important dans tout cela, c'est qu'il existe de nombreuses différences anatomiques entre les singes et les hommes et qu'aucune d'entre elles n'est du genre à survenir à travers un processus évolutif. Par exemple, le fait d'être un "bipède" est une caractéristique propre à l'homme et constitue le trait principal qui distingue celui-ci des autres animaux.
L'arbre généalogique imaginaire de l'homme
Selon ce que prétend Darwin, l'homme moderne a évolué à partir de créatures qui ressembleraient à des singes. Pendant ce prétendu processus évolutif, qui aurait débuté 4 à 5 millions d'années auparavant, des "formes transitionnelles" auraient existé; elles constituent la transition entre l'homme moderne et ses ancêtres. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" élémentaires sont établies:
1- Australopithèques
2- Homo Habilis
3- Homo Erectus
4- Homo Sapiens
Les évolutionnistes appellent le prétendu premier ancêtre commun de l'homme et du singe, "l'Australopithèque". Ce nom signifie "singe d'Afrique du Sud". L'Australopithèque, qui n'est autre qu'une ancienne espèce de singe disparue depuis longtemps, existait sous différents types. Certains sont forts, alors que d'autres sont plus petits de taille et plus minces.
UN SEUL OS DE MACHOIRE COMME LE DEBUT DE L'INSPIRATION Le premier fossile de Ramapithèques trouvé: une mâchoire manquante composée de deux parties (sur la droite). Les évolutionnistes ont osé dessiner les Ramapithèques, leurs familles et l'environnement dans lequel ils ont vécu, sur la seule base de ces deux os de mâchoires. |
Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine sous l'appellation "Homo" c'est-à-dire "homme". Selon ce que prétendent les évolutionnistes, les être vivants de la série Homo sont plus développés que l'Australopithèque et pas très différents de l'homme moderne. Celui-ci, en l'occurrence l'Homo Sapiens, est supposé s'être développé lors de la dernière étape de l'évolution de cette espèce.
Les fossiles comme "l'homme de Java", "l'homme de Pékin" et "Lucy", qui apparaissent dans les médias de temps à autre et dont regorgent les ouvrages et manuels évolutionnistes, font partie de l'une des quatre espèces mentionnées plus haut. On pense également que ces espèces se divisent en sous-espèces.
Certaines formes transitionnelles du passé, tels les Ramapithèques, ont dû être exclues de l'arbre généalogique imaginaire de l'évolution après que l'on s'est rendu compte qu'il ne s'agissait que de singes très ordinaires.1
En établissant la chaîne de relation sous cette forme "Australopithèques> Homo Habilis> Homo Erectus> Homo Sapiens", les évolutionnistes sous-entendent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de l'autre. Toutefois, les récentes découvertes effectuées par les paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo Habilis, l'Homo Erectus existaient dans différentes parties du monde à la même époque. De plus, une certaine partie des humains classifiés en tant que Homo Erectus ont vécu jusqu'à une période proche des temps modernes. L'Homo Sapiens Néandertalien et l'Homo Sapiens (l'homme moderne) ont existé côte à côte dans la même région. Cette situation indique l'infondé des allégations évolutionnistes, en l'occurrence que les uns sont les ancêtres des autres.
Intrinsèquement, toutes les découvertes et recherches scientifiques ont révélé que les fossiles n'indiquent pas qu'un processus évolutif a eu lieu comme le prétendent les évolutionnistes. Les fossiles, que les évolutionnistes considèrent comme les ancêtres de l'humanité, appartiennent en fait à diverses espèces d'hommes ou de singes.
Par conséquent, quels sont les fossiles humains et quels sont ceux des singes? Est-il possible d'en considérer quelques-uns comme des formes transitionnelles? Pour avoir les réponses, il va falloir examiner de plus près chaque catégorie.
L'Australopithèque: une espèce de singe
L'Australopithèque, c'est-à-dire la première catégorie, signifie "le singe du sud". On croit que ces créatures sont apparues pour la première fois en Afrique il y a 4 millions d'années de cela et qu'elles auraient vécu jusqu'à 1 million d'années avant notre époque. Il existe quelques catégories au sein des Australopithèques. Les évolutionnistes croient que la plus ancienne espèce d'Australopithèque est l'Australopithèque Afarensis. Après cela l'A. Africanus, qui a des os plus minces, puis l'A. Robustus, dont les os sont relativement plus robustes. En ce qui concerne l'A. Boisei, quelques chercheurs l'acceptent en tant qu'espèce différente alors que d'autres le considèrent comme une sous-espèce de l'A. Robustus.
Toutes les espèces d'Australopithèques sont des singes qui n'existent plus mais qui ressemblent à ceux que l'on connaît aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont similaires voire plus faibles que celles des chimpanzés que l'on connaît aujourd'hui. Leurs mains et leurs pattes sont dotées d'organes en saillie qui leur permettent de s'accrocher et d'escalader les arbres exactement comme le font les chimpanzés de nos jours. Leurs pieds leur permettent de s'accrocher aux branches d'arbres. Ils sont de petite taille (maximum 130 cm) et à l'instar des chimpanzés d'aujourd'hui, les Australopithèques mâles sont plus grands que les femelles. Plusieurs traits comme leur crâne, le rapprochement des yeux, la molaire tranchante, la structure mandibulaire, les mains longues et les pieds de petite taille sont autant de preuves qui démontrent que ces êtres vivants n'étaient pas différents des singes actuels.
Les évolutionnistes prétendent que même si les Australopithèques ont l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains et non pas comme les singes.
"Marcher debout" comme le prétendent les évolutionnistes est en réalité une opinion soutenue depuis des décennies par les paléoanthropologues tels Richard Leakey et Donald C. Johanson. Toutefois, plusieurs scientifiques ont mené des recherches sur les structures squelettiques des Australopithèques et ont réfuté cet argument. Des recherches poussées effectuées sur des spécimens d'Australopithèque par deux anatomistes anglais et américain de renommée mondiale, en l'occurrence Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont prouvé que ces créatures n'étaient pas des bipèdes et qu'elles avaient la même démarche que celle des singes d'aujourd'hui. Après avoir étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans grâce au financement accordé par le gouvernement britannique, Lord Zuckerman assisté d'une équipe de 5 spécialistes est arrivé à la conclusion suivante: les Australopithèques n'étaient qu'une espèce ordinaire de singes et n'étaient absolument pas des bipèdes, malgré le fait que Zuckerman est lui-même un évolutionniste.2 De plus, Charles E. Oxnard, un autre évolutionniste connu pour les recherches qu'il a menées sur la question, a également établi la relation entre le squelette de l'Australopithèque et les orangs-outans modernes.3 Enfin, en 1994 une équipe de l'Université de Liverpool a inauguré une recherche d'une grande ampleur afin d'aboutir à une décision finale. L'équipe a conclu que "les Australopithèques sont des quadrupèdes".4
Bref, les Australopithèques n'ont aucun lien avec les humains et ne sont qu'une espèce de singes qui s'est éteinte depuis longtemps.
Homo Habilis: le singe qui fut présenté comme un humain
La grande similitude qui existe entre les structures squelettiques et crâniennes des Australopithèques et des chimpanzés en plus de la preuve établie que ces créatures ne marchaient pas debout, a causé d'énormes difficultés aux paléoanthropologues. Car, selon la machination imaginée par les évolutionnistes, l'Homo Erectus vient après l'Australopithèque. Comme le préfixe "homo" (c'est-à-dire humain) l'indique, Homo Erectus est une catégorie humaine et son squelette est droit. Sa capacité crânienne est deux fois plus grande que celle de l'Australopithèque. Une transition directe à partir de l'Australopithèque, qui est un singe ressemblant au chimpanzé, vers l'Homo Erectus qui a un squelette similaire à celui de l'homme de nos jours, est tout à fait invraisemblable même selon la théorie de l'évolution. Par conséquent, "les liens" en l'occurrence les "formes transitionnelles" sont nécessaires. C'est de cette nécessité qu'est né l'Homo Habilis.
Les fossiles comme "l'homme de Java", "l'homme de Pékin" et "Lucy", qui apparaissent dans les médias de temps à autre et dont regorgent les ouvrages et manuels évolutionnistes, font partie de l'une des quatre espèces mentionnées plus haut. On pense également que ces espèces se divisent en sous-espèces.
Certaines formes transitionnelles du passé, tels les Ramapithèques, ont dû être exclues de l'arbre généalogique imaginaire de l'évolution après que l'on s'est rendu compte qu'il ne s'agissait que de singes très ordinaires.1
En établissant la chaîne de relation sous cette forme "Australopithèques> Homo Habilis> Homo Erectus> Homo Sapiens", les évolutionnistes sous-entendent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de l'autre. Toutefois, les récentes découvertes effectuées par les paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo Habilis, l'Homo Erectus existaient dans différentes parties du monde à la même époque. De plus, une certaine partie des humains classifiés en tant que Homo Erectus ont vécu jusqu'à une période proche des temps modernes. L'Homo Sapiens Néandertalien et l'Homo Sapiens (l'homme moderne) ont existé côte à côte dans la même région. Cette situation indique l'infondé des allégations évolutionnistes, en l'occurrence que les uns sont les ancêtres des autres.
Intrinsèquement, toutes les découvertes et recherches scientifiques ont révélé que les fossiles n'indiquent pas qu'un processus évolutif a eu lieu comme le prétendent les évolutionnistes. Les fossiles, que les évolutionnistes considèrent comme les ancêtres de l'humanité, appartiennent en fait à diverses espèces d'hommes ou de singes.
Par conséquent, quels sont les fossiles humains et quels sont ceux des singes? Est-il possible d'en considérer quelques-uns comme des formes transitionnelles? Pour avoir les réponses, il va falloir examiner de plus près chaque catégorie.
L'Australopithèque: une espèce de singe
L'Australopithèque, c'est-à-dire la première catégorie, signifie "le singe du sud". On croit que ces créatures sont apparues pour la première fois en Afrique il y a 4 millions d'années de cela et qu'elles auraient vécu jusqu'à 1 million d'années avant notre époque. Il existe quelques catégories au sein des Australopithèques. Les évolutionnistes croient que la plus ancienne espèce d'Australopithèque est l'Australopithèque Afarensis. Après cela l'A. Africanus, qui a des os plus minces, puis l'A. Robustus, dont les os sont relativement plus robustes. En ce qui concerne l'A. Boisei, quelques chercheurs l'acceptent en tant qu'espèce différente alors que d'autres le considèrent comme une sous-espèce de l'A. Robustus.
Toutes les espèces d'Australopithèques sont des singes qui n'existent plus mais qui ressemblent à ceux que l'on connaît aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont similaires voire plus faibles que celles des chimpanzés que l'on connaît aujourd'hui. Leurs mains et leurs pattes sont dotées d'organes en saillie qui leur permettent de s'accrocher et d'escalader les arbres exactement comme le font les chimpanzés de nos jours. Leurs pieds leur permettent de s'accrocher aux branches d'arbres. Ils sont de petite taille (maximum 130 cm) et à l'instar des chimpanzés d'aujourd'hui, les Australopithèques mâles sont plus grands que les femelles. Plusieurs traits comme leur crâne, le rapprochement des yeux, la molaire tranchante, la structure mandibulaire, les mains longues et les pieds de petite taille sont autant de preuves qui démontrent que ces êtres vivants n'étaient pas différents des singes actuels.
Les évolutionnistes prétendent que même si les Australopithèques ont l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains et non pas comme les singes.
"Marcher debout" comme le prétendent les évolutionnistes est en réalité une opinion soutenue depuis des décennies par les paléoanthropologues tels Richard Leakey et Donald C. Johanson. Toutefois, plusieurs scientifiques ont mené des recherches sur les structures squelettiques des Australopithèques et ont réfuté cet argument. Des recherches poussées effectuées sur des spécimens d'Australopithèque par deux anatomistes anglais et américain de renommée mondiale, en l'occurrence Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont prouvé que ces créatures n'étaient pas des bipèdes et qu'elles avaient la même démarche que celle des singes d'aujourd'hui. Après avoir étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans grâce au financement accordé par le gouvernement britannique, Lord Zuckerman assisté d'une équipe de 5 spécialistes est arrivé à la conclusion suivante: les Australopithèques n'étaient qu'une espèce ordinaire de singes et n'étaient absolument pas des bipèdes, malgré le fait que Zuckerman est lui-même un évolutionniste.2 De plus, Charles E. Oxnard, un autre évolutionniste connu pour les recherches qu'il a menées sur la question, a également établi la relation entre le squelette de l'Australopithèque et les orangs-outans modernes.3 Enfin, en 1994 une équipe de l'Université de Liverpool a inauguré une recherche d'une grande ampleur afin d'aboutir à une décision finale. L'équipe a conclu que "les Australopithèques sont des quadrupèdes".4
Bref, les Australopithèques n'ont aucun lien avec les humains et ne sont qu'une espèce de singes qui s'est éteinte depuis longtemps.
Homo Habilis: le singe qui fut présenté comme un humain
La grande similitude qui existe entre les structures squelettiques et crâniennes des Australopithèques et des chimpanzés en plus de la preuve établie que ces créatures ne marchaient pas debout, a causé d'énormes difficultés aux paléoanthropologues. Car, selon la machination imaginée par les évolutionnistes, l'Homo Erectus vient après l'Australopithèque. Comme le préfixe "homo" (c'est-à-dire humain) l'indique, Homo Erectus est une catégorie humaine et son squelette est droit. Sa capacité crânienne est deux fois plus grande que celle de l'Australopithèque. Une transition directe à partir de l'Australopithèque, qui est un singe ressemblant au chimpanzé, vers l'Homo Erectus qui a un squelette similaire à celui de l'homme de nos jours, est tout à fait invraisemblable même selon la théorie de l'évolution. Par conséquent, "les liens" en l'occurrence les "formes transitionnelles" sont nécessaires. C'est de cette nécessité qu'est né l'Homo Habilis.
L'Australopithèque Afarensis: un singe dont l'espèce est éteinte Le premier fossile trouvé en Ethiopie, Hadar, supposé appartenir à l'espèce Australopithecus Afarensis: AL 288-1 ou "Lucy". Pendant longtemps, les évolutionnistes ont tout essayé pour prouver que "Lucy" était capable de marcher debout; toutefois les dernières recherches ont établi que celle-ci était un singe ordinaire qui ne pouvait pas marcher debout. Le fossile Australopithèque Afarensis AL 333-105 ci-dessous appartient à un jeune membre de cette espèce. C'est la raison pour laquelle la saillie n'apparaît pas encore sur son crâne |
Ci-dessus, nous voyons le crâne du fossile Australopithèque Afarensis AL 444-2, et ci-dessous le crâne d'un singe contemporain. La similitude évidente prouve que A. Afarensis est une espèce de singe ordinaire sans la moindre caractéristique "humaine". |
C'est durant les années 60 que la classification de l'Homo Habilis a été avancée par la famille Leakeys, qui est une famille de "chasseurs de fossiles". Selon les Leakeys, cette nouvelle espèce qu'ils ont classifiée comme Homo Habilis est dotée d'une capacité crânienne assez large, de la possibilité de marcher debout et d'utiliser des instruments fabriqués en pierre ou en bois. Ainsi, cette espèce aurait pu être l'ancêtre de l'homme.
Les fossiles de cette même espèce, découverts au cours des années 80 allaient complètement changer cette donne. Certains chercheurs tels que Bernard Wood et C. Loring Brace se basaient sur ces fossiles trouvés récemment pour déclarer que l'Homo Habilis, qui signifie "l'homme capable d'utiliser des outils" devait être classé parmi les Australopithèques Habilis, en l'occurrence "le singe sud-africain capable d'utiliser des outils". Car l'Homo Habilis partageait plusieurs caractéristiques avec les singes appelés Australopithèques. Il avait les mains longues, les jambes courtes et un squelette similaire à celui des Australopithèques. Ses doigts et orteils étaient parfaitement adaptés à l'escalade. Sa structure mandibulaire était très similaire à celle des singes de nos jours. La capacité crânienne moyenne de l'Homo Habilis était de 600 cm3 ce qui indique qu'il s'agissait bien d'un singe. Bref, l'Homo Habilis, qui fut présenté comme une espèce différente par certains évolutionnistes, était en fait une espèce de singe comme tous les autres Australopithèques.
Les fossiles de cette même espèce, découverts au cours des années 80 allaient complètement changer cette donne. Certains chercheurs tels que Bernard Wood et C. Loring Brace se basaient sur ces fossiles trouvés récemment pour déclarer que l'Homo Habilis, qui signifie "l'homme capable d'utiliser des outils" devait être classé parmi les Australopithèques Habilis, en l'occurrence "le singe sud-africain capable d'utiliser des outils". Car l'Homo Habilis partageait plusieurs caractéristiques avec les singes appelés Australopithèques. Il avait les mains longues, les jambes courtes et un squelette similaire à celui des Australopithèques. Ses doigts et orteils étaient parfaitement adaptés à l'escalade. Sa structure mandibulaire était très similaire à celle des singes de nos jours. La capacité crânienne moyenne de l'Homo Habilis était de 600 cm3 ce qui indique qu'il s'agissait bien d'un singe. Bref, l'Homo Habilis, qui fut présenté comme une espèce différente par certains évolutionnistes, était en fait une espèce de singe comme tous les autres Australopithèques.
L'Homo Habilis: une autre espèce de singe éteinte Pendant longtemps, les évolutionnistes ont soutenu que les créatures appelées Homo Habilis pouvaient marcher debout. Ils pensaient avoir trouvé le lien entre le singe et l'homme. Toutefois, les nouveaux fossiles Homo Habilis que Tim White a découverts en 1986 et baptisés OH 62 réfutaient cette assertion. Ces fragments de fossiles ont démontré que l'Homo Habilis avait de longs bras et de petites jambes, exactement comme les singes contemporains. Ce fossile a mis fin à l'affirmation que l'Homo Habilis était un bipède capable de marcher droit. En réalité, Homo Habilis n'était rien d'autre qu'un membre d'une espèce de singes. "OH 7 Homo Habilis" ci-dessous à gauche a été le fossile qui décrivait le mieux les caractéristiques mandibulaires des espèces Homo Habilis. Ce fossile est doté de grandes dents incisives. Ses molaires sont petites. La forme de la mandibule est carrée. Toutes ces caractéristiques rendent ces mandibules très similaires à celles des singes contemporains. Autrement dit, la mandibule de l'Homo Habilis confirme une fois de plus que ce vivant est en réalité un singe. |
Les recherches effectuées plus tard ont en effet indiqué que l'Homo Habilis n'était pas différent des Australopithèques. Les fossiles du crâne et du squelette OH62 trouvés par Tim White ont démontré que ces espèces avaient une capacité crânienne réduite, des mains longues et des jambes courtes, ce qui leur permettait d'escalader les arbres exactement comme le font les singes aujourd'hui.
Les analyses détaillées, conduites par l'anthropologue américaine Holly Smith en 1994, indiquent que l'Homo Habilis n'était pas un "homo", c'est-à-dire "humain" mais plutôt un "singe". A propos des analyses effectuées sur les dents des Australopithèques, Homo Habilis, Homo Erectus et Homo Néandertalien, Smith a déclaré ce qui suit:
"Si l'on se restreint dans les analyses fossiles aux spécimens qui remplissent ces critères, les modèles du développement dentaire des Australopithèques graciles et Homo Habilis restent classifiés parmi les singes africains. Ceux des Homo Erectus et du Néandertalien sont classés avec les humains." 5
Au cours de la même année, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zooneveld, des spécialistes en anatomie, sont arrivés à la même conclusion par le biais d'une méthode complètement différente. Celle-ci était basée sur une analyse comparative des canaux semi-circulaires dans l'oreille interne des humains et des singes qui permettent de se tenir en équilibre. Les canaux des humains, qui marchent droits, différaient considérablement de ceux des singes, qui marchaient courbés. Les canaux des oreilles internes des Australopithèques, pour ne citer que ceux-là, et les spécimens des Homo Habilis analysés par Spoor, Wood et Zonneveld étaient similaires aux singes actuels. Les canaux des oreilles internes des Homo Erectus étaient les mêmes que ceux de l'homme d'aujourd'hui.6
Cette découverte a donné deux résultats importants:
__________________
1 David Pilbeam, "Humans Lose an Early Ancestor", Science, April 1982, pp. 6-7.
2 C.C. Swisher III, W. J. Rink, S. C. Antón, H. P. Schwarcz, G. H. Curtis, A. Suprijo, Widiasmoro, "Latest Homo erectus of Java: Potential Contemporaneity with Homo sapiens in Southeast Asia", Science, Volume 274, Number 5294, Issue of 13 Dec 1996, pp. 1870-1874; also see, Jeffrey Kluger, "Not So Extinct After All: The Primitive Homo Erectus May Have Survived Long Enough To Coexist With Modern Humans, Time, December 23, 1996.
3 Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, pp. 75-94.
4 Charles E. Oxnard, "The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt", Nature, Vol 258, p. 389.
5 Holly Smith, American Journal of Physical Antropology, Vol 94, 1994, pp. 307-325.
6 Fred Spoor, Bernard Wood, Frans Zonneveld, "Implication of Early Hominid Labryntine Morphology for Evolution of Human Bipedal Locomotion", Nature, vol 369, June 23, 1994, p. 645-648.
Les analyses détaillées, conduites par l'anthropologue américaine Holly Smith en 1994, indiquent que l'Homo Habilis n'était pas un "homo", c'est-à-dire "humain" mais plutôt un "singe". A propos des analyses effectuées sur les dents des Australopithèques, Homo Habilis, Homo Erectus et Homo Néandertalien, Smith a déclaré ce qui suit:
"Si l'on se restreint dans les analyses fossiles aux spécimens qui remplissent ces critères, les modèles du développement dentaire des Australopithèques graciles et Homo Habilis restent classifiés parmi les singes africains. Ceux des Homo Erectus et du Néandertalien sont classés avec les humains." 5
Au cours de la même année, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zooneveld, des spécialistes en anatomie, sont arrivés à la même conclusion par le biais d'une méthode complètement différente. Celle-ci était basée sur une analyse comparative des canaux semi-circulaires dans l'oreille interne des humains et des singes qui permettent de se tenir en équilibre. Les canaux des humains, qui marchent droits, différaient considérablement de ceux des singes, qui marchaient courbés. Les canaux des oreilles internes des Australopithèques, pour ne citer que ceux-là, et les spécimens des Homo Habilis analysés par Spoor, Wood et Zonneveld étaient similaires aux singes actuels. Les canaux des oreilles internes des Homo Erectus étaient les mêmes que ceux de l'homme d'aujourd'hui.6
Cette découverte a donné deux résultats importants:
1- Les fossiles connus sous l'appellation Homo Habilis n'appartenaient pas à la catégorie "homo", c'est-à-dire, la catégorie humaine, mais plutôt à celle des Australopithèques, en l'occurrence les singes.
2- L'Homo Habilis et l'Australopithèque avaient tous les deux une démarche courbée et par conséquent le squelette d'un singe. Ils n'avaient aucune relation avec les humains.
__________________
1 David Pilbeam, "Humans Lose an Early Ancestor", Science, April 1982, pp. 6-7.
2 C.C. Swisher III, W. J. Rink, S. C. Antón, H. P. Schwarcz, G. H. Curtis, A. Suprijo, Widiasmoro, "Latest Homo erectus of Java: Potential Contemporaneity with Homo sapiens in Southeast Asia", Science, Volume 274, Number 5294, Issue of 13 Dec 1996, pp. 1870-1874; also see, Jeffrey Kluger, "Not So Extinct After All: The Primitive Homo Erectus May Have Survived Long Enough To Coexist With Modern Humans, Time, December 23, 1996.
3 Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, pp. 75-94.
4 Charles E. Oxnard, "The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt", Nature, Vol 258, p. 389.
5 Holly Smith, American Journal of Physical Antropology, Vol 94, 1994, pp. 307-325.
6 Fred Spoor, Bernard Wood, Frans Zonneveld, "Implication of Early Hominid Labryntine Morphology for Evolution of Human Bipedal Locomotion", Nature, vol 369, June 23, 1994, p. 645-648.
PERCHE
Age : 54 à 37 millions d'années Localisation : Kemmerer, Wyoming Formation : Formation Green River Période : Eocène |
Une perche datant de 54 à 37 millions d'années ne diffère en rien des perches d'aujourd'hui. Les perches ne sont pas le résultat de l'évolution, comme le prétendent les évolutionnistes mais de la création.
LE PARADIS: LA VÉRITABLE DEMEURE DES CROYANTS
Ce livre décrit tout à propos du paradis à la lumière des versets du Coran. Il parle aux gens du paradis que Allah leur offre, décrit ses bienfaits et proclame ses merveilles. Il informe les gens que le paradis est l’une des deux vies qui les attendent dans l’au-delà et que chaque bonne chose sera la leur au paradis à un degré qui dépasse ce que nous pouvons imaginer. Il montre aussi que le paradis est un endroit de bienfaits où tout a été créé parfait et où les gens se verront offrir tout ce que leur âme et leur cœur désirent.
Ce livre décrit tout à propos du paradis à la lumière des versets du Coran. Il parle aux gens du paradis que Allah leur offre, décrit ses bienfaits et proclame ses merveilles. Il informe les gens que le paradis est l’une des deux vies qui les attendent dans l’au-delà et que chaque bonne chose sera la leur au paradis à un degré qui dépasse ce que nous pouvons imaginer. Il montre aussi que le paradis est un endroit de bienfaits où tout a été créé parfait et où les gens se verront offrir tout ce que leur âme et leur cœur désirent.
Le 200ème anniversaire de l'effondrement du darwinisme est à célébrer avec diverses festivités le 12 Février 2009. Dans le cadre de cette célébration de l'effondrement du darwinisme, nombre de conférences sur la défaite du darwinisme à travers le monde seront tenues, des livres décrivant la déception darwiniste seront distribués et des films documentaires sur le vrai visage du non-sens darwiniste seront visionnés, entre autres activités diverses. Nous demandons à tous ceux qui sont intéressés par le sujet d'envoyer à notre site leurs idées et opinions à propos de l'effondrement du darwinisme. Ces idées et suggestions seront examinées puis publiées sur le site. Merci d'avance pour vos contributions.