Le croyant sincère, tel que le décrit le Coran, ne peut être affirmer mériter le paradis. Il prie simplement Allah avec "crainte et espoir".

(Sourate al-A’raf, 56)








Tout ce qui atteint le musulman, épuisement, maladies, chagrin, douleurs, souffrances, angoisses, même une piqûre d’épine lui vaut de la part de Allah la rémission d’une partie de ses péchés.

Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim








Le héros d'une naissance peu ordinaire : le kangourou

Le système reproducteur des kangourous diffère largement de celui des autres mammifères. En effet, l'embryon kangourou effectue certaines étapes de son développement à l'extérieur de l'utérus, alors qu'habituellement celles-ci sont intra-utérines.

Peu après la fécondation, l'embryon kangourou, encore aveugle et ne mesurant qu'un centimètre environ, vient au monde. En général, il y a une seule naissance à la fois. A ce stade, il est appelé "prématuré". Alors que tous les mammifères sont à ce stade dans l'utérus de la mère, le petit du kangourou vient au monde quand sa taille est encore minuscule. Son développement est à ce moment loin d'être achevé ; ainsi, l'extrémité de ses pattes antérieures n'est pas définie, et ses pattes postérieures sont de simples moignons.

Il ne fait aucun doute que le nouveau-né ne peut pas quitter sa mère dans cet état. Au sortir de l'utérus, cette véritable larve commence à ramper sur la fourrure du ventre de sa mère à l'aide de ses pattes antérieures (la femelle est alors en position couchée) et atteint la poche maternelle après quelques minutes. Pour le petit kangourou, cette poche aura la même importance que l'utérus pour d'autres animaux. Il y a pourtant une différence importante, à savoir que contrairement aux autres nouveaux-nés, le petit du kangourou sort de l'utérus à l'état encore embryonnaire.

Une fois arrivé dans la poche, le nouveau-né s'accroche à l'un des quatre mamelons, et il commence à sucer.

A ce stade, la mère traverse une autre période d'ovulation, et un nouvel ovule se forme dans l'utérus. Après copulation, ce nouvel ovule sera fécondé.

Mais cette fois, l'ovule fécondé ne se développera pas immédiatement. Si la sécheresse sévit au centre de l'Australie, comme c'est souvent le cas, l'ovule fécondé dans l'utérus demeure au même stade jusqu'à ce que les conditions climatiques aient changé. Si, cependant, de fortes pluies s'abattent et si de riches pâturages réapparaissent, alors le développement de l'ovule fécondé repart.

A ce point de l'exposé, nous sommes confrontés à la question suivante : qui est-ce qui réalise cette planification, à savoir qui est-ce qui gère le développement de l'ovule fécondé selon l'environnement climatique ? L'ovule est bien sûr incapable de piloter son propre développement, n'étant pas un être vivant conscient et étant ignorant du temps qu'il fait à l'extérieur. La mère ne peut pas non plus gérer cela parce que, à l'instar des autres créatures, elle n'exerce aucun contrôle sur les processus se déroulant dans son corps. Cet événement extraordinaire dépend entièrement d'Allah, Qui a créé à la fois la mère et l'ovule.

Si les conditions climatiques sont favorables, trente-trois jours après la fécondation le prématuré, qui n'est alors pas plus gros qu'un haricot sec, rampe lentement depuis l'ouverture de l'utérus pour atteindre la poche, tout comme l'aîné l'avait fait avant lui.

Entre-temps, ce dernier a considérablement grandi, et il va continuer son développement sans nuire au minuscule nouveau venu. Lorsqu'il parvient à son 190ème jour d'existence, il est alors suffisamment développé pour effectuer son premier séjour en dehors de la poche. Dès lors, il passera la majeure partie de son temps dehors, et il quittera la poche définitivement au 235ème jour après sa naissance.

Peu après la naissance du second petit kangourou, la femelle copule de nouveau. En conséquence, la femelle doit peu après s'occuper de trois petits. Le premier broute déjà mais revient occasionnellement auprès de sa mère pour téter ; le second n'en est encore qu'au stade de la tétée continue pour assurer son développement, alors que le plus jeune n'est qu'une larve.

Ce qui est réellement stupéfiant, c'est que tous trois vont être nourris par la mère à l'aide de trois types de laits différents, chaque lait étant adapté à l'âge du petit.

Ainsi, le lait que boit le prématuré est transparent et sans couleur, tandis qu'il devient de plus en plus blanc pour ses aînés, commençant alors à ressembler à du vrai lait. La quantité de matières grasses et d'autres éléments nutritifs augmente en parallèle avec le développement du nouveau-né.

Le corps de la mère est capable de produire simultanément plusieurs types de lait, comportant chacun des ingrédients différents : un lait hautement nourrissant pour l'aîné, et des laits moins riches en matières grasses pour les plus jeunes. Et à chaque sorte de lait correspond un mamelon particulier. Il est important de noter ici un fait remarquable : chaque bébé kangourou va de lui-même téter au mamelon correspondant au lait lui convenant. S'il n'en était pas ainsi, le nouveau-né absorberait un lait qu'il lui serait impossible de digérer, et cela serait très préjudiciable pour son organisme.

Ce système alimentaire est tout à fait remarquable et il s'agit là sans aucun doute possible d'un produit de la création. En effet, la mère ne peut manifestement pas arranger tout cela consciemment. Comment un animal pourrait-il connaître les ingrédients de lait dont ses petits auront besoin selon leur âge ? Et même si ce savoir lui était accessible, comment pourrait-il les produire dans son propre corps ? Et comment pourrait-il les distribuer par le biais de trois canaux distincts ?

Le kangourou n'est même pas conscient que le lait produit par son corps est de trois types différents. Ce processus merveilleux est incontestablement une preuve que cet animal a bel et bien été créé par Allah. Allah, notre Créateur puissant, a doté cet animal par ces propriétés stupéfiantes.  










Les Musulmans et les Gens du Livre

Les croyances et les valeurs communes des Gens du Livre avec les Musulmans

La foi chrétienne et la foi musulmane ont beaucoup d'aspects en commun. Le Judaïsme partage aussi plusieurs croyances avec l'Islam. Ceux qui adhèrent véritablement à l'une de ces trois religions:

– croient que Allah a créé l'univers entier à partir de rien et qu'Il domine tout ce qui existe par Son omnipotence,

– croient que Allah a créé l'homme et les êtres vivants d'une façon miraculeuse et que l'homme possède une âme qui lui a été accordée par Allah,

– croient en la résurrection, au paradis, en l'enfer et aux anges, et que Allah a créé nos vies selon un destin défini.

– croient que, outre les prophètes Jésus, Moïse ou Mohammad (pse), Allah a envoyé d'autres prophètes tels que Noé, Abraham, Isaac, Joseph et autres à travers l'Histoire, et ils respectent tous ces prophètes,

Les croyances des Gens du Livre concordent avec celles des Musulmans, non seulement en termes de foi, mais également en termes de valeurs morales. Aujourd'hui, dans un monde où des dépravations telles que l'adultère, l'homosexualité, la toxicomanie, l'égoïsme et la cruauté sont répandues, les Gens du Livre et les Musulmans partagent les mêmes vertus: l'honneur, la chasteté, l'humilité, le dévouement, l'honnêteté, la compassion, la miséricorde et l'amour désintéressé.

Les ennemis communs de la foi

Le développement des philosophies athées, si influentes à notre époque, a cristallisé une attitude commune entre le Christianisme, le Judaïsme et l'Islam, qui s'y opposent. Parmi les philosophies les plus connues et les plus nocives de notre temps, nous pouvons citer le matérialisme, le communisme, le fascisme, l'anarchisme, le racisme, le nihilisme et l'existentialisme. Beaucoup de gens qui ont cru en ces faux diagnostics, ces descriptions trompeuses et ces explications sur l'univers, sur la société, sur l'homme, ont perdu leur foi ou ont dû faire face à de graves périodes de doute. Par ailleurs, ces idéologies ont mené bien des gens, des sociétés et des nations à des crises, des conflits et des guerres. Leur rôle dans la souffrance actuelle de l'humanité est immense.

Niant Allah et Sa création, toutes ces idéologies ont les mêmes fondements prétendument scientifiques: la théorie de l'évolution de Charles Darwin. Le darwinisme constitue effectivement la base des philosophies athées. Cette théorie prétend que les êtres vivants ont évolué d'une part selon le hasard, d'autre part selon la lutte pour la survie. Ainsi, le darwinisme délivre à l'humanité le message suivant: "Vous n'êtes responsables de personne, vous devez votre vie aux coïncidences, vous devez lutter, et si c'est nécessaire opprimer les autres pour réussir. Ce monde est un monde de conflit et d'intérêt individuel." Les messages sociaux avancés par des concepts darwinistes tels "la sélection naturelle", "la lutte pour la survie" sont des moyens d'endoctrinement. Cette morale malfaisante recommande aux gens d'être égoïstes, cruels et oppressifs. Elle détruit des vertus telles que la miséricorde, la compassion, le dévouement et l'humilité, les valeurs morales des trois grandes religions monothéistes, et présente cela comme une nécessité des "lois de la vie".

Cet endoctrinement darwiniste est l'opposé des croyances des Gens du Livre et du message coranique. Par conséquent la propagande darwiniste constitue le fondement d'un monde qui s'oppose aux trois religions divines.

Cela étant le cas, il est nécessaire pour les Gens du Livre et les Musulmans de coopérer, puisqu'ils croient en Allah et acceptent la morale qu'Il enseigne. Les disciples de ces trois religions doivent exposer au monde l'erreur du darwinisme, qui n'a aucune base scientifique, mais qui est toujours préservé au nom de la philosophie matérialiste. Les Musulmans et les Gens du Livre devraient ensemble mener une lutte intellectuelle contre toutes ces idées trompeuses qui servent l'athéisme (le communisme, le fascisme, le racisme). Cela accompli, le monde embrassera rapidement la paix, la tranquillité et la justice.

Conclusion: venons à une formule commune


A un temps où les idéologies athée et matérialiste menacent notre monde, il est important de souligner les similitudes entre les trois religions divines et d'œuvrer ensemble pour les objectifs communs. Pour ce qui concerne les Gens du Livre, Allah donne un ordre aux Musulmans dans le Coran pour qu'ils se mettent d'accord sur une formule commune:

Dis: "Ô Gens du Livre! Venez à une parole commune entre nous et vous: que nous n'adorions que Allah, sans rien Lui associer, et que nous ne prenions point les uns les autres pour seigneurs en dehors de Allah." (Sourate Al_Imran, 64)

Ceci constitue en effet notre appel aux Chrétiens et aux Juifs: en tant que croyants en Allah et suivant Ses révélations, ils doivent en venir à une formule commune – "la foi": aimons Allah, qui est notre Créateur et Seigneur, et conformons-nous à Ses ordres. Et prions Allah pour qu'Il nous mène à une voie encore plus droite.

Quand les Musulmans, les Chrétiens et les Juifs viendront ainsi à une parole commune; quand ils comprendront qu'ils sont des amis mais non pas des ennemis, quand ils verront que le vrai ennemi est l'athéisme, alors le monde changera. Les combats qui durent depuis des siècles, les hostilités, les craintes et les attaques terroristes cesseront, et une nouvelle civilisation basée sur l'amour, le respect et la paix sera établie selon cette "formule commune".








Allah a toujours protégé le Prophète

Allah est le Secoureur et le Protecteur du Prophète Mohammad et de tous les croyants. Allah est toujours venu en aide au Prophète, a allégé ses difficultés, lui a ouvert la voie, l’a fortifié physiquement et spirituellement et l’a soutenu ainsi que les autres croyants sincères. Quant à ses ennemis, Allah a égaré leur raison, réduit leurs forces, anéanti leurs complots et les a ainsi empêchés de nuire au Prophète. Allah Se décrit Lui-même comme le Secoureur du Prophète:

Si vous ne l’aidez pas, Allah lui viendra en aide… (Sourate at-Tawba: 40)

Comme l’affirme le verset, Allah a toujours assisté le Prophète. C’est pourquoi aucun service, aucune assistance ne peut rendre le Prophète redevable envers qui que ce soit.

C’est Allah qui assiste le Prophète, et même si personne n’avait été là, Allah aurait dépêché des anges ou des djinns pour lui venir en aide.

Dans un autre verset, Allah commande au Prophète de transmettre la religion sans craindre personne, lui promettant qu’Il le protégerait. Voici le verset en question:

O Messager, transmets ce qui t’a été descendu de la part de ton Seigneur. Si tu ne le faisais pas, alors tu n’aurais pas communiqué Son message. Et Allah te protégera des gens. Certes, Allah ne guide pas les gens mécréants. (Sourate al-Ma’ida: 67)

Ces adversaires rustres et étroits d’esprit, incapables de comprendre la puissance de Allah et la réalité des choses, pensaient qu’ils seraient capables de vaincre ou de neutraliser le Prophète, et ourdissaient ainsi mille complots contre lui. Ces gens ne se rendaient pas compte que le Prophète était sous la protection de Allah. Ils se croyaient supérieurs et plus forts que le Prophète. Cependant Allah fit échouer tous leurs plans et de façon miraculeuse les retourna contre eux-mêmes. Aucune de leurs conspirations n’aboutit. Ces gens qui ignoraient que Allah voyait et entendait tous les secrets de leurs cœurs alors qu’ils ourdissaient leurs complots contre le Prophète, ne pouvaient pas comprendre que même s’ils pouvaient se cacher du Prophète, ils ne pouvaient se cacher de Allah. Dans le Coran, Allah évoque ces gens de la sorte:

(Et rappelle-toi) le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t’emprisonner ou t’assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Allah a fait échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes. (Sourate al-Anfal: 30)

Dans un autre verset, Allah révèle au Prophète que nul ne peut lui nuire car Il est son Protecteur et que Gabriel et les croyants sincères sont tous les amis et soutiens du Prophète:

Si vous vous repentez à Allah c’est que vos cœurs ont fléchi. Mais si vous vous soutenez l’une l’autre contre le Prophète, alors ses alliés seront Allah, Gabriel et les vertueux d’entre les croyants, et les anges sont par surcroît [son] soutien. (Sourate at-Tahrim: 4)

Allah décrit les bienfaits et l’assistance qu’Il a prodigués à Son Prophète:

Ton Seigneur ne t’a ni abandonné, ni détesté. La vie dernière t’est, certes, meilleure que la vie présente. Ton Seigneur t’accordera certes [Ses faveurs], et alors tu seras satisfait. Ne t’a-t-Il pas trouvé orphelin? Alors Il t’a accueilli! Ne t’a-t-Il pas trouvé égaré? Alors Il t’a guidé. Ne t’a-t-Il pas trouvé pauvre? Alors Il t’a enrichi. (Sourate ad-Duha: 3-8)

Conscient que Allah l’aiderait en toutes circonstances, même dans les situations les plus difficiles, le Prophète plaçait sa confiance en Lui et ne tombait jamais dans le désespoir. Il disait à ses compagnons que Allah était avec eux, qu’Il voyait et entendait tout, et les inspirait aussi.

Ceux qui suivent l’exemple du Prophète et le prennent pour modèle ne doivent jamais perdre espoir en la miséricorde et le secours de Allah. Ils doivent savoir que Allah est toujours à leurs côtés quand ils espèrent en Sa miséricorde, Sa compassion et Son paradis. Allah fait la promesse suivante aux croyants dans ce verset:

... Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa religion). Allah est assurément Fort et Puissant. (Sourate al-Hajj: 40)






La conception erronée de l'archæoptéryx

Pour justifier qu'il existe une preuve de "l'évolution reptile-oiseau", les évolutionnistes citent le nom d'une seule créature. C'est le fossile d'un oiseau appelé archæoptéryx, une des pseudo-formes transitoires les plus largement connues parmi le très petit nombre que les évolutionnistes continuent à revendiquer..

L'une des preuves les plus importantes que l'archéoptéryx était un oiseau volant est la structure asymétrique de ses plumes. Ci-dessus, une plume fossile de cette créature..
L'archæoptéryx, le prétendu ancêtre des oiseaux actuels selon les évolutionnistes, a vécu il y a environ 150 millions d'années. La théorie soutient que certains petits dinosaures, comme les vélociraptors ou les dromæosaures ont à la suite d'une évolution, développé des ailes et commencé à voler. Ainsi l'archæoptéryx est supposé être une forme de transition qui s'est séparée de ses prétendus ancêtres dinosaures et a commencé à voler pour la première fois.


Or, les dernières études des fossiles de l'archæoptéryx montrent le fondement non scientifique de cette explication. Ce n'est absolument pas une forme transitoire, mais seulement une espèce d'oiseaux qui s'est éteinte avec des particularités légèrement différentes des oiseaux de nos jours.

La thèse selon laquelle l'archæoptéryx serait un "mi-oiseau" ayant des difficultés à voler était, peu de temps auparavant, populaire dans les cercles évolutionnistes. L'absence de sternum (os thoracique) chez cette créature était considérée comme la preuve la plus importante de sa difficulté à voler. (Le sternum est un os situé sous la cage thoracique auquel les muscles nécessaires au vol de l'oiseau sont reliés. A présent, cet os de la cage thoracique est observé chez tous les oiseaux pouvant ou non voler, et même chez les chauves-souris, un mammifère appartenant à une famille très différente.) Or, le septième fossile d'archæoptéryx retrouvé en 1992, révéla l'erreur de cet argument. La raison en est que, le sternum longtemps considéré par les évolutionnistes comme inexistant s'est trouvé exister dans ce fossile récemment découvert. Ce septième spécimen récemment découvert a été décrit par la revue Nature :

Le septième spécimen récemment découvert de l'archæoptéryx indique la présence d'un sternum partiel, rectangulaire dont l'existence a longtemps été suspectée mais n'a jamais pu être démontrée auparavant. Cela atteste de l'existence de puissants muscles de vol chez ce spécimen, mais sa capacité à voler de grandes distances est discutable.1

Cette découverte réduit à néant l'hypothèse principale selon laquelle l'archæoptéryx serait un mi-oiseau ne pouvant pas voler convenablement.

En outre, la structure des plumes d'oiseaux est devenue une des plus importantes preuves confirmant que l'archæoptéryx était un véritable oiseau volant. La structure asymétrique des plumes de l'archæoptéryx est identique à celle des oiseaux contemporains et montre son aptitude au vol. Comme l'indiquait l'éminent paléontologue Carl O. Dunbar, "En raison de ses plumes, il [l'archæoptéryx] doit être classé comme un oiseau."2 Le paléontologue Robert Carroll va plus loin et explique ce point :
 

Le Fosille de Archæopteryx en Berlin
La géométrie des plumes de l'archæoptéryx qui lui servaient à voler, est identique à celle des oiseaux volants actuels, alors que les plumes des oiseaux non volants sont symétriques. La façon dont les plumes sont disposées sur les ailes coïncide également avec celle des oiseaux actuels. Selon Van Tyne et Berger, la taille et la forme relatives de l'aile de l'archæoptéryx sont similaires à celles des oiseaux qui se meuvent par des mouvements restreints à travers la végétation, tels que les gallinacés, les colombes, les coqs de bruyère, les pics et la plupart des passerines. Les plumes des ailes ont été statiques pendant au moins 150 millions d'années. 3

Un autre fait révélé par la structure des plumes de l'archæoptéryx, était le métabolisme à sang chaud de l'oiseau. Comme nous l'avons vu plus haut, les reptiles et les dinosaures sont des animaux à sang froid. Leur chaleur corporelle est influencée par la chaleur ambiante plutôt que d'être régulée de manière homéostatique. L'une des fonctions les plus importantes des plumes présentes chez les oiseaux est de préserver la chaleur corporelle. Le fait que l'archæoptéryx ait des plumes montre son appartenance aux animaux à sang chaud et démontre qu'il s'agit d'un véritable oiseau qui aurait besoin de préserver sa chaleur corporelle, contrairement aux dinosaures.

Les dents et les serres de l'archæoptéryx

Les deux plus importants points sur lesquels s'appuient les biologistes évolutionnistes, en prétendant que l'archæoptéryx est une forme transitoire, sont les serres présentes sur ses ailes et ses dents.

Il est vrai que l'archæoptéryx dispose de serres sur ses ailes et de dents dans sa gueule, mais ces traits n'impliquent en aucun cas un quelconque lien entre cette créature et les reptiles. Car deux espèces d'oiseaux qui existent actuellement, le touraco et le hoazin, disposent également de serres qui leur permettent de s'agripper aux branches. Ces deux espèces sont des oiseaux à part entière sans aucune caractéristique propre aux reptiles. C'est pourquoi l'argument selon lequel l'archæoptéryx est une forme transitoire juste parce qu'il disposait de serres sur ses ailes, est sans fondement.


Tout comme l'archæoptéryx, l'oiseau Opisthocomus hoazin, qui vit à notre propre époque, possède des ongles en forme de griffes sur ses ailes.
Les dents de l'archæoptéryx n'impliquent pas plus qu'il s'agit d'une forme transitoire. Les évolutionnistes sont dans l'erreur en avançant que ces dents sont des caractéristiques propres aux reptiles, car les dents ne sont pas une caractéristique inhérente aux reptiles. De nos jours, certains reptiles ont des dents tandis que d'autres n'en ont pas. De plus, l'archæoptéryx n'est pas la seule espèce d'oiseaux à posséder des dents. Il est vrai qu'il n'existe plus d'oiseaux pourvus de dents de nos jours, mais lorsque nous examinons les fossiles, nous nous apercevons aussi bien qu'à l'époque de l'archæoptéryx qu'à des époques récentes, il existe un groupe d'oiseaux distincts pouvant être nommés "oiseaux à dents".

Le point le plus important, c'est que la structure des dents de l'archæoptéryx et des autres oiseaux est tout à fait différente de celle de leurs prétendus ancêtres, les dinosaures. Des ornithologues célèbres comme L. D. Martin, J. D. Stewart et K. N. Whetstone ont constaté que les dents de l'archæoptéryx et des autres oiseaux similaires avaient une base resserrée et de larges racines. Or, les dinosaures théropodes, les prétendus ancêtres de ces oiseaux, avaient des dents en forme de scie avec des racines droites.4 Ces chercheurs ont également comparé les os des pattes de l'archæoptéryx à ceux de leurs prétendus ancêtres, les dinosaures théropodes, et n'ont observé aucune similarité entre eux.5

Les études d'anatomistes tels que S. Tarsitano, M. K. Hecht et A.D. Walker ont révélé que certaines similarités avancées par John Ostrom et d'autres, entre les membres de l'archæoptéryx et ceux des dinosaures, étaient en réalité des interprétations erronées.6 Par exemple, A.D. Walker a analysé la région entourant l'oreille de l'archæoptéryx et a découvert qu'elle était identique à celle des oiseaux actuels.7

En outre, J. Richard Hinchliffe, de l'Institut de sciences biologiques de l'Université du pays de Galles, a étudié les anatomies des oiseaux et celles de leurs prétendus ancêtres reptiles en utilisant les techniques isotopiques. Il a découvert que les pattes avant des dinosaures étaient pourvues des doigts I-II-III, alors que les pattes avant d'oiseaux étaient pourvues des doigts II-III-IV. Cela pose un grand problème à ceux qui défendent la thèse du lien archæoptéryx-dinosaure.8 Hinchliffe a publié ses études et observations dans Science en 1997, où il a écrit :

Les doutes à propos de l'homologie entre les doigts des théropodes et des oiseaux nous rappellent certains autres problèmes de l'hypothèse d'"origine dinosaurienne". Ceux-ci comprennent ce qui suit : (i) la patte avant du théropode qui est bien plus petite (par rapport à la taille du corps) en comparaison de l'aile de l'archæoptéryx. De tels petits membres ne sont pas convaincants en tant que des proto-ailes pour l'origine du vol chez les dinosaures relativement lourds. (ii) La rareté chez les théropodes de l'os semi-lunaire du poignet connu seulement chez quatre espèces (y compris le Deinonychus). La plupart des théropodes disposent d'un nombre relativement élevé de parties de poignet difficiles à comparer avec celles de l'archæoptéryx. (iii) Le paradoxe temporel : la plupart des dinosaures théropodes, et en particulier les dromæosauridés ressemblant aux oiseaux, sont tous beaucoup plus récents selon les archives fossiles que l'archæoptéryx.

Comme le note Hinchliffe, le "paradoxe temporel" est l'un des faits qui ont porté un coup fatal aux allégations sur l'archæoptéryx. Dans son livre, Icons of Evolution (Les icônes de l'évolution), le biologiste américain Jonathan Wells remarque que l'archæoptéryx est devenue "l'icône" de la théorie de l'évolution alors qu'il existe des preuves claires qui démontrent que cette créature n'est pas l'ancêtre des oiseaux. Selon Wells, une des preuves est que les dinosaures théropodes - les prétendus ancêtres de l'archæoptéryx - sont en réalité plus jeunes que l'archæoptéryx : "Des reptiles à deux pattes qui marchaient sur le sol et qui avaient d'autres caractéristiques que l'on pourrait attendre chez un ancêtre de l'archæoptéryx, sont apparus bien plus tard."9

Tout cela montre que l'archæoptéryx n'est pas un lien transitoire, mais seulement un oiseau appartenant à une autre catégorie pouvant être dénommée "oiseau à dents". Etablir un lien entre cette créature et les dinosaures théropodes est totalement infondé. Le biologiste américain Richard L. Deem, dans sont article intitulé "Fin de la théorie 'les oiseaux sont des dinosaures'"), écrivit au sujet de l'archæoptéryx et de l'évolution "dinosaures-oiseaux" :

Les résultats des récentes études montrent que les pattes des dinosaures théropodes dérivent des doigts I, II et III, tandis que les ailes des oiseaux, bien qu'elles se ressemblent en termes de structure, dérivent des doigts II, III et IV. Il y a d'autres problèmes inhérents à la théorie "les oiseaux sont des dinosaures". Comparées à celles de l'archæoptéryx, les pattes avant des théropodes sont très petites par rapport à leur corps. La petite proto-aile du théropode n'est pas convaincante, surtout si l'on considère le poids lourd de ces dinosaures. La grande majorité des dinosaures théropodes ne disposent pas de l'os semi-lunaire du poignet et disposent de parties de poignet ne correspondant pas aux os de l'archæoptéryx. En outre, chez presque tous les théropodes, le nerf V1 ainsi que d'autres nerfs quittent le crâne sur le côté, alors que chez les oiseaux, il quitte le crâne par l'avant en passant par un orifice qui lui est propre. Il existe aussi le problème mineur qui est l'apparition d'une grande majorité de théropodes bien après celle de l'archæoptéryx.10

________________

1- Nature, vol. 382, 1 août 1996, p. 401
2- Carl O. Dunbar, Historical Geology, John Wiley and Sons, New York, 1961, p. 310
3- Robert L. Carroll, Patterns and Processes of Vertebrate Evolution, Cambridge University Press, 1997, p. 280-81
4- L. D. Martin, J. D. Stewart, K. N. Whetstone, The Auk, vol. 97, 1980, p. 86
5- L. D. Martin, J. D. Stewart, K. N. Whetstone, The Auk, vol. 97, 1980, p. 86 ; L. D. Martin, "Origins of the Higher Groups of Tetrapods", Ithaca, Comstock Publishing Association, New York, 1991, pp. 485-540
6- S. Tarsitano, M. K. Hecht, Zoological Journal of the Linnaean Society, vol. 69, 1980, p. 149 ; A. D. Walker, Geological Magazine, vol. 117, 1980, p. 595
7- A.D. Walker, description de Peter Dodson dans "International Archaeopteryx Conference", Journal of Vertebrate Paleontology 5(2):177, Juin 1985
8- Richard Hinchliffe, "The Forward March of the Bird-Dinosaurs Halted?", Science, vol. 278, no. 5338, 24 octobre 1997, pp. 596-597
9- Jonathan Wells, Icons of Evolution, Regnery Publishing, 2000, p. 117
10-  Richard L. Deem, "Demise of the 'Birds are Dinosaurs' Theory",  http://www.yfiles.com/dinobird2.html








BLATTE

Age : 50 millions d’années

Localisation : Baltique, Kaliningrad, Russie

Période : Eocène





La blatte, le plus ancien insecte ailé connu, apparaît dans les archives fossiles du carbonifère, il y a plus de 350 millions d'années. Cet insecte – doté d’antennes délicates sensibles au moindre mouvement, même à un courant d’air, d’ailes parfaites et même d’une capacité à résister aux radiations nucléaires – est resté exactement le même pendant des centaines de millions d'années. Cette blatte de 50 millions d'années ne présente aucune différence avec les spécimens vivants de nos jours.


NYMPHE DE PHASME (INSECTE BATON)

Age : 45 millions d’années

Localisation : Baltique, Kaliningrad, Russie

Période : Eocène




Les maîtres du camouflage, les insectes bâtons ressemblent à des brindilles ou à des feuilles d'arbre. Il est presque impossible de dire qu'ils sont sur la branche. Les insectes bâtons qui vécurent il y a 45 millions d’années et ceux qui vivent aujourd'hui se protègent des prédateurs en utilisant exactement les mêmes ruses et se camouflent de la même manière. Les caractéristiques de ces insectes n'ont pas changé en 45 millions d'années et constituent la preuve même que l'évolution ne s'est jamais produite.











AVANT QUE VOUS NE REGRETTIEZ
    
Les gens qui ne croient pas en Allah éprouvent souvent du regret toute leur vie durant et utilisent des expressions telles que "si seulement je n’avais pas fait ceci…", "je désire ne jamais avoir dit cela…", etc. Pire encore, ils seront sujets à un regret beaucoup plus intense dans l’Au-delà. Ceux qui mènent une vie éloignée de la religion dans ce monde regretteront chaque instant de leur vie dans l’autre. Ils auront été suffisamment avertis et invités à la voie droite. Ils auront eu tout le temps nécessaire pour réfléchir et suivre le bon chemin. Pourtant ils n’écoutent pas quand on les avertit et ignorent l’Au-delà comme s’ils ne devaient jamais mourir. Alors que, dans l’autre monde, ils n’auront plus aucune occasion de retourner dans ce monde et de corriger leurs fautes.











Demandez aux darwinistes

Appel à la jeunesse européenne

Jeunes gens, ne vous laissez pas tromper par le mensonge du darwinisme.

Ne croyez pas aveuglément à ce que l’on vous enseigne au nom de la science.

Remettez en question le darwinisme que vos enseignants essaient de vous inculquer et interrogez-les :

"Des fossiles intermédiaires ont-ils jamais été découverts ?"
"Une protéine peut-elle se former par hasard ?"
"Est-il vrai que des millions de fossiles vivants ont été découverts ?"

Ils seront incapables de fournir des réponses.