Dis : "Il est Allah, Unique. Allah, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons. Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus. Et nul n’est égal à Lui."
(Sourate al-Ikhlas, 1-4)
Quiconque apprend l’une des sciences par laquelle on souhaite obtenir l’agrément d'Allah, et qui ne l’apprend qu’en vue d’en tirer profit en ce monde, ne sentira même pas l’odeur du Paradis au jour de la résurrection.
Rapporté par Aboû Daoud
LA CONCEPTION DES FLOCONS DE NEIGEQuiconque regarde attentivement des flocons de neige peut s'apercevoir qu'il en existe sous d'innombrables formes. On estime qu'un seul mètre cube de neige contient environ 350 millions de flocons! Ces flocons sont tous hexagonaux et ont des structures en forme de cristal. Cependant, chacun d'entre eux possède une forme unique. Depuis des années, les scientifiques cherchent les réponses aux questions de savoir comment ces formes apparaissent, comment se fait-il que chacun d'entre eux possède une forme différente et qu'est-ce qui fournit leur symétrie. Chaque découverte révèle une autre grandeur présente dans les flocons de neige. La variété et la perfection de la structure hexagonale des flocons de neige sont une manifestation du statut d'Allah en tant qu'Initiateur (al-Badi). Allah est Celui qui créé toute choses en bien. La formation des flocons de neige constitue un autre aspect de l'art sans fin d'Allah.
Ces flocons petits et minces ressemblent à des étoiles aux multiples branches ou à des têtes d'épingle minuscules. La formation des flocons des photos ci-contre est vraiment étonnante. Depuis des années, la structure ordonnée des flocons de neige a attiré l'attention des gens. Depuis 1945, des recherches sont menées afin de découvrir quels facteurs jouent dans la formation finale des cristaux. Un seul flocon est un entassement de cristaux constitué de plus de 200 cristaux de glace. Les flocons de neige sont constitués de molécules d'eau qui sont façonnées suivant un ordre parfait. Les flocons de neige, une des merveilles architecturales de la nature, prennent leur forme quand la vapeur d'eau se refroidit en passant à travers les nuages. Cela se produit ainsi :
En passant à travers les nuages, les molécules d'eau s'éparpillent partout de manière désorganisée au fur et à mesure que la vapeur d'eau commence à perdre son mouvement aléatoire à cause de la chute de température. Au bout d'un moment, les molécules d'eau, se déplaçant plus lentement, commencent à former des groupes et par conséquent deviennent solides. Pourtant, aucun désordre n'apparaît dans leurs groupes. Au contraire, elles s'unissent toujours selon des formes hexagonales microscopiques qui semblent similaires à toutes les autres. Chaque flocon de neige consiste au départ d'une seule molécule d'eau, puis d'autres molécules d'eau hexagonales viennent et s'attachent à cette première pièce. Selon des experts de ce sujet, le facteur fondamental qui détermine la forme d'un flocon de neige est l'assemblage de ces molécules d'eau hexagonales comme des liens dans une chaîne. De plus, les pièces de cristaux, qui devraient normalement se ressembler, prennent des formes très différentes selon la température et le niveau d'humidité.1
Pourquoi est-ce qu'il y a une symétrie hexagonale dans tous les flocons de neige et pourquoi est-ce que chacun d'entre eux est différent des autres ? Pourquoi est-ce que leurs bords forment des angles au lieu d'être droits? Les scientifiques essayent toujours de trouver les réponses à ces questions. Pourtant, ceci est plus évident: Allah est Celui Qui n'a pas de partenaires dans la création, qui possède une puissance sans fin et qui est l'Auteur de tout.
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1- Roger Davey, David Stanley, “All about ice”, New Scientist, 6 septembre 1993
Les gens de bien devraient éviter de se quereller et, au contraire, s'unir
L'union, la coopération, la solidarité, l'amitié, le sacrifice de soi, l'appui ainsi que de pareilles qualités sont certains des beaux attributs qui sont le fondement même de la morale coranique. Cela est mentionné dans plusieurs hadiths de notre Prophète (pssl). L'un de ceux-là dit :
"Le Musulman doit être envers son coreligionnaire comme sont entre eux les matériaux d'une construction qui se renforcent les uns les autres." Il a ensuite montré ce qu'il signifiait en croisant ses doigts.1
La religion de l'Islam garantit l'établissement d'un monde meilleur où l'amour, la paix, la tolérance et la compréhension sont des valeurs fondatrices.
Les sociétés possédant ces caractéristiques se développent rapidement et concrétisent une plus grande force. Une fois que l'unité et la coopération sont réalisées, les membres d'une telle société pourraient canaliser leur force et leur énergie vers le bien et les bonnes actions plutôt que dans des disputes, des luttes, des conflits et des guerres. Ce qui est essentiel, c'est qu'une cause à laquelle les gens s'engagent et consacrent leurs efforts, leurs forces, leur ardeur et leur soutien, aussi bien matériels que spirituels, aboutit toujours au succès et à la beauté. Ce qui est encore plus important, c'est que Allah annonce la bonne nouvelle de Son aide, de Son soutien et de Sa force à ceux qui agissent dans l'unité et la solidarité pour le bien. C'est pour cela que Allah rappelle aux croyants de ne pas se disputer entre eux afin de ne pas perdre de force. Le verset qui suit clarifie cet aspect :
Et obéissez à Allah et à Son messager ; et ne vous disputez pas, sinon vous fléchirez et perdrez votre force. Et soyez endurants, car Allah est avec les endurants. (Sourate al-Anfal, 46)
Etablir l'unité parmi les justes est une haute vertu recommandée par Allah. C'est particulièrement vrai à une époque où le mal s'est introduit dans tous les espaces de la société, aucune mauvaise attitude, tels que la mauvaise humeur, le ressentiment ou les querelles, ne devrait être tolérée par les bons. Faire l'effort d'éliminer d'aussi mauvaises influences pour adopter une attitude de compromis et de conciliation est un acte important d'adoration.
Les croyants ne sont que des frères. Etablissez la concorde entre vos frères, et craignez Allah, afin qu'on vous fasse miséricorde. (Sourate al-Houdjourate, 10)
Les disputes, l'hostilité, la haine et la colère sont les caractéristiques d'une conduite immorale inspirée par le mal. De vrais Musulmans ne se conduisent jamais sous l'influence de ces sentiments indésirables; ils ont la crainte d'Allah et sont toujours modestes, amicaux, attentifs et affectueux dans leurs relations. Ceux qui ne sont pas sincères dans leurs intentions peuvent éprouver de la jalousie envers leurs plus proches amis et même leurs propres frères et sœurs. Les succès des autres peuvent susciter des sentiments d'envie dans leur cœur. Mais à l'inverse, un vrai Musulman éprouve de la fierté du succès des autres croyants et ressent du bonheur pour eux comme si c'était son propre accomplissement. Il est reconnaissant à Allah pour les bénédictions qu'Il a accordées aux croyants. En outre, il les soutient dans leur effort et propose des conseils lorsque nécessaire. Alors que ceux qui sont dénués de telles qualités morales empêchent par ailleurs les autres d'évoluer. Les sentiments de rivalité et de jalousie gâchent les bonnes actions pour obtenir la satisfaction d'Allah et, de ce fait, anéantissent toute beauté ou bénédiction. Le Messager d'Allah, le Prophète Mohammed (pbsl), a aussi attiré l'attention à ce sujet et conseillé aux croyants de se prémunir contre de telles attitudes néfastes :
Ne vous enviez pas les uns les autres, ne vous livrez pas à la surenchère, ne nourrissez pas de haine entre vous, et ne vous brouillez pas. O, serviteurs d'Allah ! Soyez des frères (car) le Musulman est le frère du Musulman, il ne doit pas le léser ni lui faire défaut dans les difficultés ni lui mentir, ni le mépriser.2
Said Noursi, également connu comme étant Bediuzzaman (le prodige de l'époque), qui est un des plus grands savants musulmans du 20ème siècle fait largement référence à ces questions dans son recueil Risale-i Nur, qui est un commentaire du Coran. Dans le style sincère qui lui est particulier, Bediuzzaman rapporte que les croyants devraient complètement éviter des sentiments aussi pervers que la compétitivité quand ils luttent dans un but commun :
Etre au service de la vérité est comme transporter et protéger un grand et important trésor. Ceux qui portent cette charge sur leurs épaules seront heureux et reconnaissants chaque fois que des mains puissantes se viennent à leur aide. Loin d'être jaloux, on devrait fièrement applaudir la force supérieure, l'efficacité et la capacité de ceux qui uniquement par amour viennent proposer leur aide. Pourquoi alors regarder de vrais frères et ceux qui, pleins d'abnégation, proposent leur aide dans un esprit de rivalité, perdant ainsi toute sincérité ? Vous serez exposés à d'horribles accusations des mauvais conseilleurs, telles que courir après des intérêts matériels en utilisant la religion, bien que ce soit une chose cent fois plus négligeable que vous et votre croyance, obtenir votre gagne-pain par la connaissance de la vérité et être en concurrence avec d'autres dans la convoitise et l'avidité. Le remède unique à cette maladie doit être de s'accuser soi-même avant que d'autres ne soulèvent ces charges contre vous et de toujours prendre la défense de votre compagnon, pas de votre propre être.3
Comme Bediuzzaman Said Noursi le dit encore, se mettre au service de l'enracinement des valeurs morales du Coran peut être considéré comme la préservation d'un trésor pour les croyants; celui qui est extrêmement précieux. A ce service inestimable, chacun doit accorder son soutien et son aide sincères. Ressentir de la jalousie pour un autre croyant qui offre un soutien loyal et inébranlable, ou le considérer comme un rival, est inacceptable pour un vrai Musulman. Un croyant doit être fier de l'engagement des autres et leur fournir son soutien.
La jalousie est un attribut de l'alliance du mal. L'existence d'une caractéristique aussi détestable parmi des individus collaborant à un but aussi légitime ne fait qu'affaiblir l'alliance du bien. C'est sûrement l'alliance du mal qui bénéficie d'un tel préjudice. Comme Bediuzzaman le dit, le seul remède à cette maladie est d'éviter de suivre son ego et de toujours prendre le parti de son compagnon.
Dans ses écrits de la Risale-i Nur (épîtres de la lumière), Bediuzzaman établit une comparaison entre la machinerie d'une usine et les croyants. Le fonctionnement harmonieux et stable de cette mécanique est essentiel à la productivité. Une harmonie semblable est aussi nécessaire dans la coopération entre les croyants. Said Noursi explique que les croyants devraient éviter les conversations qui pourraient être à l'origine de la jalousie et de l'amertume comme il le dit dans son texte :
Ce n'est pas pour critiquer vos frères qui sont dévoués au Coran, et ne pas susciter leur jalousie en montrant des vertus supérieures. Car de même que la main de l'homme ne peut rivaliser avec l'autre main, il en est de même pour son cœur qui ne peut voir les fautes de son esprit. Chacun de ses membres complète les insuffisances des autres, voile leurs fautes, répond à leurs besoins et les aide dans leurs responsabilités. Autrement, la vie de l'homme s'éteindrait, son esprit disparaîtrait et son corps se disperserait. De la même façon, les composants des machines d'une usine ne peuvent pas rivaliser entre eux, avoir la priorité les uns sur les autres, ou se dominer. Ils ne peuvent pas chercher les fautes de chacun et se critiquer, détruire l'ardeur de l'autre au travail et faire qu'ils soient inoccupés. Ils aident plutôt l'activité de chacun avec toute leur capacité pour réaliser le but commun; ils œuvrent vers le but qui leur a été assigné dans une vraie solidarité et unité. La moindre agression ou volonté de domination qui interfèrerait mettrait l'usine en désordre, l'empêchant de produire ou d'obtenir un quelconque résultat. Le propriétaire de l'usine la démolirait alors entièrement. Ainsi, ô lecteurs de la Risale-i Nur et serviteurs du Coran ! Vous et moi sommes, de la même façon, les membres d'une personnalité collective, dignes de la qualification "d'homme parfait". Nous ressemblons aux composants de la machine d'une usine qui produit un bonheur éternel dans une vie éternelle. Nous sommes des mains travaillant sur une embarcation qui débarquera la communauté de Mohammed (pssl) au royaume de la paix, le rivage du salut. Nous sommes donc, très certainement, dans un besoin de solidarité et de vraie union, que l'on obtient par la sincérité - car le mystère de la sincérité garantit à travers quatre individus la force morale de mille cent onze autres - et nous sommes, en effet, contraints de l'obtenir.4
Comme exprimé dans son texte, la façon qu'une usine assure une production opportune et efficace uniquement lorsque son mécanisme fonctionne harmonieusement et n'entre pas en conflit interne, c'est ainsi que devraient être des croyants travaillant pour un but commun afin de mériter la satisfaction d'Allah en montrant une harmonie semblable. Ils devraient lutter ensemble sans s'occuper des erreurs et des défauts de chacun. Dans un monde où les incrédules s'allient entre eux contre le bien, sont pleins de sentiments de haine et d'envie envers les croyants, oppriment les pauvres, les sans-abri, les femmes, les enfants et les personnes âgées, tous ces opprimés espèrent l'aide de ceux qui sont dotés de conscience. Dans ce cas, si les gens sages, sincères, consciencieux et honnêtes utilisent leurs pouvoirs les uns contre les autres, ils peuvent être tenus par Allah pour responsables de ce désastre. Il est essentiel que les croyants resserrent leurs liens par une meilleure coopération, de l'amitié, de la solidarité et de l'affection les uns pour les autres et ne soient jamais en désaccord, ce qui les affaiblirait. L'état d'esprit des croyants est mieux exprimé dans les propos du Prophète Mohammed (pbsl) :
Les Musulmans sont, dans la bonté, l'affection et la sympathie qui existent entre eux comme un corps qui, lorsqu'un de ses membres souffre, voit tout le reste de ses membres partager avec lui l'insomnie et la fièvre.5
La solidarité des gens, qui s'épurent de chaque forme d'ambition matérielle, de jalousie et de compétitivité, qui canalisent chaque sentiment positif, chaque effort et chaque activité pour le bien des autres, sans en faire une question de fierté personnelle, brisera la résolution de l'alliance du mal._________________________________
1. Hadith rapporté par Al-Bukhari et Muslim, Les mots du Prophète Mohammed, p. 67
2. Imam an-Nawawi, The Complete Forty Hadith (Les quarante hadiths), p. 122
3. Bediuzzaman Said Nursi, Risale-i Nur Külliyati II (La collection Risale-i Nur II), Les éclairs, Le 20ème éclair
4. Bediuzzaman Said Nursi, Risale-i Nur Külliyati II (La collection Risale-i Nur II), Les éclairs, Le 21ème éclair
5. Hadith rapporté par Al-Boukhari et Mouslim, Selon Nou'man Ibn Bachir, Les mots du Prophète Mohammed par Maulana Wahiduddin Khan, p. 68
Le Prophète (pbsl) était plein d’égards et de considération envers les croyants
Le Prophète était un homme miséricordieux, plein d’amour et de compréhension. Il manifestait beaucoup d’intérêt pour les problèmes physiques ou spirituels de ses amis, proches et de tous ceux qui l’entouraient, et faisait tout ce qu’il fallait pour préserver leur santé, sécurité et bonheur. Il les prenait sous son aile et se préoccupait toujours de leur avenir dans l’au-delà en leur recommandant de persévérer dans la piété. Ces traits moraux du Prophète, qui sont un exemple à suivre pour toute l’humanité, sont évoqués dans ces versets :
Certes, un Messager pris parmi vous, est venu à vous, auquel pèsent lourd les difficultés que vous subissez, qui est plein de sollicitude pour vous, qui est compatissant et miséricordieux envers les croyants. (Sourate at-Tawba, 128)
Et abaisse ton aile [sois bienveillant] pour les croyants qui te suivent. (Sourate ash-Shu’ara, 215) Comme les compagnons du Prophète prenaient exemple sur lui, ils n’hésitaient pas à faire tous les sacrifices nécessaires, comme l’indique le Coran, et faisaient preuve de sympathie et compassion. Un verset traite notamment des sacrifices que les croyants faisaient les uns pour les autres :
Il [appartient également] à ceux qui, avant eux, se sont installés dans le pays et dans la foi, qui aiment ceux qui émigrent vers eux, et ne ressentent dans leurs cœurs aucune envie pour ce que [ces immigrés] ont reçu, et qui [les] préfèrent à eux-mêmes, même s’il y a pénurie chez eux. Quiconque se prémunit contre sa propre avarice, ceux-là sont ceux qui réussissent. (Sourate al-Hashr, 9)
Les croyants, qui suivaient les enseignements du Prophète, et se conformaient aux versets du Coran, faisaient preuve de compassion même envers les prisonniers de guerre. Des versets en font mention :
Et ils offrent la nourriture, malgré leur amour pour elle, au pauvre, à l’orphelin et au prisonnier, (disant): “C’est pour le visage d'Allah que nous vous nourrissons : nous ne voulons de vous ni récompense ni gratitude. Nous redoutons, de notre Seigneur, un jour terrible et catastrophique.” (Sourate al-Insan, 8-10)
Le Prophète recommandait à ses compagnons d’être miséricordieux et était pour eux un excellent modèle en la matière :
Ceux qui font miséricorde obtiendront la miséricorde du Miséricordieux. Faites miséricorde à ceux qui sont sur terre et les habitants des cieux vous feront miséricorde. (Tirmidhi)
Ceux qui ne font pas preuve de miséricorde, on ne leur fera pas miséricorde. (Sahih Boukhari, no 91)
Je jure par Celui Qui détient ma vie entre Ses mains, que vous n’entrerez pas au paradis tant que vous ne serez pas croyants et que vous ne serez pas croyants tant que vous ne vous aimerez pas mutuellement. Voulez-vous que je vous enseigne ce qui fera naître l’amour entre vous? Répandez le salam parmi vous.(Sahih Boukhari, livre 8, no 40)
Les obstacles physiologiques du passage de la mer à la terre
L'affirmation que les poissons sont les ancêtres de créatures terrestres est infirmée par les observations anatomiques et physiologiques tout autant que par les archives fossiles. Lorsque nous examinons les énormes différences anatomiques et physiologiques entre les créatures maritimes et terrestres, nous constatons que ces différences n'ont pas pu disparaître par des changements progressifs aléatoires lors d'un processus évolutionnaire. Nous pouvons faire une liste des différences les plus évidentes :
1- Le port du poids : les créatures maritimes n'ont pas de problème de poids en mer, alors que les structures de leurs corps ne sont pas faites pour une telle tâche sur terre. Cependant, les créatures terrestres consomment 40% de leur énergie uniquement pour porter leurs corps lors des déplacements. Les créatures qui sont censées être passées par une transition de l'eau à la terre auraient besoin de nouveaux systèmes musculaires et squelettiques pour répondre à ce besoin en énergie. Or, cela ne peut se produire par des mutations aléatoires.
La raison essentielle qui pousse les évolutionnistes à imaginer que le coelacanthe et les poissons semblables sont les ancêtres de créatures terrestres est que leurs nageoires contiennent des os. Ils pensent qu'avec le temps les nageoires se métamorphosèrent en pattes. Cependant, il existe une différence fondamentale entre les os de ces poissons et les pattes des créatures terrestres. Il est impossible que la métamorphose ait lieu car les nageoires ne sont pas liées à l'épine dorsale. A l'inverse, les os des créatures terrestres sont directement rattachés à l'épine dorsale. Pour cette raison, la thèse que ces nageoires ont lentement évolué pour devenir des pattes est sans fondement.
LE PROBLEME DES REINS Les poissons se débarassent des substances nuisibles de leurs corps directement dans l'eau, mais les animaux terrestres ont besoin de reins. C'est pourquoi le scénario de la transition de l'eau à la terre suppose que des reins se seraient développés par hasard. Cependant, les reins ont une structure extrêmement complexe, de plus le rein doit être entièrement formé et en état complet de fonction pour pouvoir servir. Un rein qui serait à 50, 70 ou même 90 % de son développement ne servirait à rien. Comme la théorie de l'évolution repose sur la supposition que "les organes qui ne sont pas utilisés disparaissent", un rein formé à moitié disparaîtrait du corps à la première étape de l'évolution. |
2- La rétention de la chaleur : sur terre, la température peut rapidement changer et fluctuer à une grande échelle. Les créatures terrestres ont un mécanisme physique qui peut résister à d'aussi grands changements de température. Cependant, en mer, la température varie lentement et dans des proportions plus limitées. Un organisme vivant dont le corps est doté d'un système qui régule la température à celle de la mer a besoin d'un système de protection pour prévenir le minimum des changements de température sur terre. Il est absurde de prétendre que le poisson a acquis un tel système par des mutations aléatoires aussitôt qu'il a marché sur terre.
3- L'eau : élément essentiel au métabolisme, l'eau doit être utilisée avec parcimonie en raison de sa relative rareté sur terre. A titre d'exemple, la peau doit être capable de permettre une certaine quantité de perte d'eau tout en évitant une évaporation excessive. C'est pourquoi les créatures terrestres connaissent la soif, ce que les créatures maritimes n'ont jamais éprouvé. C'est pour cette raison que la peau des animaux marins n'est pas adaptée à une vie non aquatique.
4- Les reins : les organismes qui vivent dans la mer rejettent les matières superflues, notamment de l'ammoniac, grâce leur environnement aquatique. Chez les poissons d'eau douce, la plupart des déchets azotés (dont de grandes quantités d'ammoniac, le NH3) sont libérés par l'intermédiaire des branchies. Le rein est surtout un organe qui maintient l'équilibre de l'eau dans l'animal plutôt qu'un organe d'excrétion. Il existe deux types de poissons de mer. Les requins et les raies peuvent supporter de très hauts niveaux d'urée dans leur sang. Le sang du requin peut contenir 2,5 % d'urée comparé aux 0,01 à 0,03 % chez les autres vertébrés. L'autre type, les poissons osseux, est très différent. Ils perdent continuellement de l'eau mais le remplacent en buvant de l'eau de mer et ensuite le dessalent. Ils comptent sur les systèmes d'éjection, très différents de ceux des vertébrés terrestres, pour éliminer les excès ou dissoudre les solubles. De ce fait, pour réussir leur passage de la mer à la terre, les êtres vivants sans reins auraient à développer immédiatement un système rénal.
5- Le système respiratoire : les poissons "respirent" en extrayant l'oxygène dissous dans l'eau qu'il absorbe par les branchies. Ils ne peuvent pas vivre plus de quelques minutes hors de l'eau. Pour survivre sur terre, ils doivent immédiatement se doter d'un système pulmonaire parfait.
Il est très certainement impossible que tous ces changements physiologiques spectaculaires puissent se produire dans le même organisme, en même temps et tous de façon aléatoire.
LA METAMORPHOSE Les grenouilles sont nées dans l'eau, y vivent pendant un temps et émergent finalement vers la terre dans un processus appelé la "métamorphose". Certaines personnes pensent que la métamorphose est la preuve de l'évolution, tandis que les deux processus n'ont, en réalité, rien en commun. Le seul mécanisme innovant proposé par l'évolution est la mutation. Cependant, la métamorphose ne se produit pas par le jeu du hasard comme dans le cas de la mutation. Bien au contraire, ce changement est inscrit dans le code génétique des grenouilles. En d'autres termes, il est déjà évident à la naissance d'une grenouille qu'elle sera dotée d'un type de corps qui lui permettra de vivre sur terre. La recherche menée ces dernières années a montré que la métamorphose est un processus complexe conduit par différents gènes. A titre d'exemple, la seule perte de la queue pendant ce processus est conduite, selon le magazine Science News, par plus d'une douzaine de gènes (Science News du 17 juillet 1999, page 43). La thèse des évolutionnistes, sur la transition de la mer à la terre, prétend que les poissons, avec un code génétique complètement créé pour leur permettre de vivre dans l'eau, se seraient métamorphosés en créatures terrestres à la suite de mutations accidentelles. C'est la raison pour laquelle la métamorphose détruit la thèse de l'évolution, plutôt que de l'étayer, parce que la plus petite erreur lors du processus de la métamorphose entraîne la mort ou la déformation de la créature. Il est essentiel que la métamorphose soit parfaite. Il est impossible qu'un processus aussi complexe, qui ne laisse pas la moindre place à l'erreur, puisse se produire par des mutations aléatoires comme prétendu par la théorie de l'évolution. |
ETOILE DE MER Age : 420 millions d'années Taille : 5,7 centimètres Localisation : Mecissi, Maroc Formation : Formation Kataoua Période : Ordovicien |
L'étoile de mer (phylum : échinodermes) a survécu pendant des centaines de millions d'années avec son apparence épineuse. L'espèce qui vivait 420 millions d'années plus tôt avait les mêmes caractéristiques que celles qui vivent de nos jours. C'est un fait que les évolutionnistes ne seront jamais capables d'expliquer, que les êtres vivants n'évoluent pas mais sont créés.
ETRE DEVOUE A DIEU
Musulman est à vrai dire le nom que Allah donne à ceux qui adhèrent à Sa religion. L'attribut fondamental, énoncé dans le Coran, qui distingue les musulmans des autres personnes est leur conscience de la puissance infinie d’Allah.
Appréhender la puissance d’Allah n'est pas seulement une question de confirmation verbale. Les croyants sont ceux qui reconnaissent l'existence d’Allah et Sa grandeur, qui sont " fermes dans leurs devoirs " envers Lui et qui réorientent tous leurs actes et leur conduite à la lumière de cette réalité qui leur est devenue apparente.
Ce livre fournit une image explicite d'un croyant dévoué à Allah comme décrit dans le Coran. On doit rappeler que le Paradis est le séjour de ceux qui " croient avec certitude " en Allah et en l'au-delà et qui " font des efforts " dans la voie d’Allah. La fin de ceux qui " adorent Allah marginalement " et placent leurs intérêts futiles sur le même plan que l'agrément d’Allah est décrite ainsi dans le Coran :
Il en est parmi les gens qui adorent Allah marginalement. S'il leur arrive un bien, ils s'en tranquillisent, et s'il leur arrive une épreuve, ils détournent leur visage, perdant ainsi (le bien) de l'ici-bas et de l'Au-delà. Telle est la perte évidente ! (Sourate al-Hajj, 11)
Les nations disparues
Le présent site examine plusieurs exemples de sociétés du passé, qui ont été détruites pour rébellion à l'encontre d’Allah. Son objectif est de révéler les manifestations des versets coraniques qui relatent ces événements et prouver une fois de plus que le Coran est la parole d’Allah. En plus, ce site met au jour ces incidents, chacun d'eux étant exemplaire pour les gens de l'époque, afin qu'ils servent d'avertissement et de leçon.