Les calculs de probabilité montrent clairement que les molécules complexes telles que les protéines et les acides nucléiques (ARN ET ADN) ne pourraient jamais avoir été formées par hasard d’une manière indépendante les uns des autres. Pourtant, les évolutionnistes doivent faire face à un problème même plus grand que toutes ces molécules complexes qui doivent coexister en même temps afin que la vie existe en entier.
La théorie de l’évolution est complètement stupéfiée par cette exigence. C’est un point sur lequel certains principaux évolutionnistes ont dû faire des aveux. Par exemple, le collège de Stanley Millet et de Francis Crick de l’Université de San Diego en Californie, un évolutionniste connu Dr. Leslie Orgel dit :
Il est extrêmement improbable que des protéines et des acides nucléiques, qui sont structurellement complexes, aient surgis d’elles-mêmes au même endroit au même moment. Pourtant, il semble également impossible d'obtenir l'un sans l'autre. Et donc, à première vue, on doit conclure que la vie ne peut jamais avoir commencé, en fait, par des moyens chimiques.1
Le même fait a été également admis par d’autres scientifiques :
John Horgan, "In the Beginning", Scientific American, vol 264, février 1991, p. 119
L’ADN ne peut pas fonctionner, y compris former plus d’ADN, sans l’aide des protéines catalytiques, ou des enzymes. En bref, les protéines ne peuvent pas se former sans l’ADN, mais l’ADN ne peut pas se former non plus sans protéines.2
Douglas R. Hofstadter, Gödel, Escher, Bach: An Eternal Golden Braid, New York, Vintage Books, 1980, p. 548
Comment le code génétique, avec les mécanismes pour sa traduction (les ribosomes et les molécules d’ARN), sont nés ?Pour le moment, nous devrons nous contenter d'un sentiment d'émerveillement et d'admiration, plutôt que d’une réponse.3
1 Leslie E. Orgel, "The Origin of Life on Earth", Scientific American, vol. 271, octobre 1994, p. 78
2 John Horgan, "In the Beginning", Scientific American, vol. 264, février 1991, p. 119
3 Douglas R. Hofstadter, Gödel, Escher, Bach: An Eternal Golden Braid, New York, Vintage Books, 1980, p. 548