La théorie de l'évolution affirme qu'une espèce particulière peut se transformer en une toute autre espèce avec de légères modifications. Mais pour pouvoir supporter de telles affirmations, il est nécessaire d'exposer les preuves scientifiques de ces espèces intermédiaires avec lesdites modifications. L'espèce intermédiaire supposée doit alors provenir d'un ancêtre imaginaire et doit posséder des organes, des systèmes et des membres totalement nouveaux. Cependant, de telles transformations imaginaires, basées sur des essais et erreurs et qui auraient duré pendant des millions d'années, devraient avoir donné lieu à des espèces intermédiaires infructueuses avec des membres ou des organes manquants. Il faut pourtant noter qu'il n'y a même pas une seule forme intermédiaire dans le registre fossile qui pourrait témoigner de tels changements. Contrairement aux prévisions des évolutionnistes, le registre fossile est totalement composé d'espèces avec des organes et systèmes intactes et complets. Les millions d'espèces que nous connaissons aujourd'hui possèdent les mêmes caractéristiques que ceux d'il y a 100 millions d'années.
Il n'y a PAS DE TRACE DE CHAOS dans le registre fossile
Ce qu'on peut attendre d'un monde gouverné par les coïncidences c'est qu'il sème partout le chaos. Dans ce système imaginaire, les espèces devraient être dépourvues de symétrie et de beauté. En fait, l'apparition de la vie tout court serait impossible dans un monde régi par des coïncidences. Les mutations, qui sont soi-disant le mécanisme de l'évolution, produisent des déformations et des lacunes dans l'ADN ce qui donne lieu, à son tour, à des structures déformées et irrégulières et à des organes et des systèmes défectueux. Selon les évolutionnistes, nous devrions trouver des fossiles de différentes espèces ayant subi des mutations et qui n'ont, par conséquent, pas survécu et se sont éteintes. Cependant, il n'y a même pas un seul échantillon qui peut satisfaire cette demande.
Ce fait, posant un problème aux évolutionnistes, a été d'abord admis par Charles Darwin :
Si les espèces descendent d'autres espèces par une série de gradations insensiblement fines, pourquoi ne voyons-nous pas alors une quantité innombrable de formes intermédiaires ? Pourquoi la nature n'est-elle pas en désordre ? Pourquoi les espèces sont-elles bien définies ? (Charles Darwin, The Origin of Species, p.108)
Même s'il est le père de cette théorie, Darwin a admis que les fossiles, témoignant de l'histoire de la vie, n'étaient pas confus et qu'ils étaient bien formés. Des formes intermédiaires étranges n'ont jamais existé à travers l'histoire. Au moment où une espèce apparaît dans le registre fossile, celle-ci possède des organes intactes ainsi que des membres symétriques.
Il n'y a pas du tout "un nombre incalculable de formes intermédiaires"
Nous trouvons toujours des fossiles complets et intacts dans le registre fossile. Certains fossiles appartiennent à des espèces qui sont apparus avec des organes et des membres parfaits et se sont ensuite éteints tandis que d'autres appartiennent à des espèces existantes qui sont apparus des millions d'années auparavant avec leur apparence parfaite et actuelle. Selon les évolutionnistes, les formes intermédiaires auraient développé des caractéristiques intermédiaires s'étant avérées désavantageuses et ayant causé l'extinction de l'espèce, or celles-ci n'existent certainement pas. Le registre fossile ne contient PAS LE MOINDRE FOSSILE D'UNE FORME INTERMEDIAIRE.
Selon la théorie de l'évolution, le nombre des formes intermédiaires imaginaires est supposé être le multiple géométrique du nombre d'espèces connu à ce jour. C'est un nombre qui peut être exprimé en milliard. Le fameux arbre évolutionnaire devrait être rempli d'espèces ratées et de sous-espèces qui ont cessé d'exister. Charles Darwin a toujours insisté sur le fait que les formes intermédiaires, qu'il espérait trouver, mais en vain, sont innombrables :
Une quantité innombrable de formes intermédiaires devrait avoir existé, pourquoi ne les trouvons-nous pas incrustées en grand nombre dans la croûte terrestre ? Pourquoi, alors, chaque formation géologique et chaque couche ne sont-elles pas remplies de telles formes intermédiaires ? (Charles Darwin, The Origin of Species, pp.172, 280)
Comme Darwin l'a dit, si les affirmations de la théorie de l'évolution étaient vraies, presque toutes les couches géologiques devraient être remplies de ces formes intermédiaires. Ces formes d'êtres vivants intermédiaires imaginaires dont des milliards étaient censés être trouvés dans chaque couche de fossile déterrée, auraient dû voir le jour jusqu'à maintenant. Cependant, la situation est tout autre. Les fossiles réfutent la théorie de l'évolution en ne montrant pas une seule forme intermédiaire.
Le fait que les espèces sont restées inchangées
La paléontologie, l'étude des fossiles, révèle que les espèces n'ont pas changé et sont restées stables pendant tout le temps qu'elles étaient sur terre. Le célèbre paléontologue évolutionniste Niles Eldredge a aussi confirmé ce fait incontestable :
La stase est maintenant clairement reconnue comme le modèle paléontologique prééminent dans l'histoire évolutionnaire des espèces. (Niles Eldredge, Reinventing Darwin, 1995, p. 77 – http://bevets.com/equotese.htm)
L'apparition des espèces sur terre avec un développement complet et qu'elles sont restées inchangées durant toute leur existence est un fait indéniable. C'est une situation qui a toujours été avouée et qui ne peut être contredite par aucun paléontologue. Un des évolutionnistes éminents, le paléontologue et historien des sciences américain, Stephen Jay Gould, écrit ceci à propos de ces deux caractéristiques importantes sur le registre fossile :
L'histoire de la plupart des espèces fossiles comporte deux caractéristiques particulièrement incompatibles avec le gradualisme :
1) La stase. La plupart des espèces ne montre aucun changement directionnel durant leur existence sur terre. Le registre fossile montre qu'il n'y a aucune différence entre l'apparence d'une espèce lors de son apparition et lors de son extinction. Les changements morphologiques sont généralement limités et sans direction.
2) L'apparence soudaine. Dans chaque région, une espèce ne se développe pas graduellement par la transformation constante de ses ancêtres, elle apparaît d'un seul coup et totalement formée.
(S. J. Gould, “Evolution’s Erratic Pace”, Natural History, vol. 86, mai 1977)
Gould continue ses confessions dans un article dans le Natural History magazine comme suit :
La stase, c'est-à-dire, le fait que la plupart des fossiles restent inchangés durant leur longue durée de vie géologique, était implicitement reconnue par tous les paléontologues mais n'a quasi jamais été dévoilée au grand jour… L'énorme prévalence de la stase est devenue une caractéristique embarrassante du registre fossile mais elle a été considérée comme une manifestation de rien. (S.J. Gould, “Cordelia’s Dilemma”, Natural History, 1993, p. 15)
L'Atlas de la Création montre que les fossiles n'ont subi aucun changement
Comme on le voit, comparer les fossiles à leurs homologues vivants et montrer qu’ils n’ont subi aucun changement n’est que la révélation au public d’un fait bien connu. Cette vérité, qui a toujours été gardée secrete, a atteint le grand public grâce à l’Atlas de la Création, le magnum opus de l’écrivain Adnan Oktar, qui publie sous le pseudonyme de Harun Yahya. La paléontologie a montré que les espèces n’ont pas émergé après une lente évolution qui a durée des millions d’années mais qu’elles sont apparues miraculeusement et avec leur forme parfaite. Avec les travaux de Mr. Adnan Oktar, les fossiles et autres découvertes qui ont été cachés du public pendant tant d’années ont enfin été révélés et le secret des évolutionnistes a été ainsi mis au jour.
Même si ce travail impressionnant expose près de 2000 fossiles avec des photos détaillées, le nombre de fossiles classés et datés qui sont stockés dans les dépôts des universités ou des musées est de près de 700 millions. Le fait que certains évolutionnistes, qui sont contrariés par ces faits, écrivent des articles sur trois ou quatre fossiles sur les milliers mentionnés dans l’Atlas et font des critiques injustifiées montre à quel point ils sont désespérés. Ces critiques sont loin de satisfaire les critères scientifiques et ne vont généralement pas plus loin que du sarcasme de bas-étage comme il y a des milliers d’autres exemples des fossiles en question dans la littérature scientifique.
A la recherche d’ancêtres imaginaires par les mathématiques
Les évolutionnistes prétendent que les humains partagent un ancêtre commun avec les chimpanzés. Les spéculations vont bon train, un jour ils déclarent que les chimpanzés sont plus proches des humains et un autre jour que ce sont les bonobos. Puisqu’il n’y a aucune preuve de ces transformations, sur quoi exactement se basent les évolutionnistes pour établir une relation entre les humains et les chimpanzés ? A ce stade, les évolutionnistes produisent des formulent statistiques qu’ils ont totalement inventées et qui n’ont aucune valeur scientifique.
La supercherie ici réside dans la comparaison de certaines paires de bases sélectionnées de gènes spécifiques de deux espèces. Il ne faut pas comprendre cela comme la comparaison un à un de tous les codes des deux espèces. Ce fait est mieux compris quand on examine cette astuce utilisée pour créer l’arbre généalogique imaginaire :
Quand des études de similarité génétique entre l’homme et le singe sont conduites, seulement certains gènes sont comparés. Par exemple, pendant la création de l’arbre généalogique des primates, 34.927 paires de bases de 54 gènes ont été considérées. [1] Or il y a à peu près 25.000 gènes dans le corps humain et ils n’ont pas tous été pris en compte.
Les évolutionnistes ont initialement déclaré qu’il y avait 1% de différence entre le génome du chimpanzé et celui de l’être humain mais plus tard cette différence est monté à 4%, c’est un taux qui correspond à près de 35 millions de nucléotides. Les évolutionnistes sont à la recherche d’un mécanisme imaginaire qui pourrait expliquer cette différence. Par conséquent, ils suggèrent des idées comme les mutations qui changent l’ADN, qui rajoutent ou enlèvent des codes, alors que tout ceci causera des dégâts à l’organisme. Ils déclarent que l’histoire s’est déroulée avec ce genre de mutations qui fonctionnaient régulièrement en n’ayant produit que des effets bénéfiques – ce qui est pourtant impossible – et donc, ils font de faux calculs sur les dates où les deux espèces auraient probablement été divisées. Il n’y a aucun fossile de cet ancêtre commun imaginaire et il n’y a pas de formes intermédiaires non plus. Néanmoins, les évolutionnistes présentent au public leurs calculs qui n’ont aucune validité scientifique, comme s’ils étaient vrais, sous la rubrique de "prédiction". Les données imaginaires, entrées dans l’ordinateur avec ces affirmations comme base, sont exécutées sous le nom de la formule de Bayes et le mensonge selon lequel ils peuvent atteindre l’ancêtre commun imaginaire ayant existé il y a 5 à 7 millions d’années grâce aux calculs basés sur ces données imaginaires, est maintenant dévoilé.
L’approche bayésienne dans les statistiques et les erreurs scientifiques résultant de présuppositions
La formule bayésienne utilisée dans certains calculs statistiques permet une analyse rétrospective d’une affirmation particulière. La formule bayésienne sert à calculer les probabilités conditionnelles. Si une personne affirme que deux espèces sont issues d’un ancêtre commun, la formule fonctionne pour vérifier cette fausse hypothèse et calcule le nombre de millions d’années qui doit s’écouler pour compenser la différence de 35 millions de nucléotides. En réalité, cette différence de 35 millions de nucléotides n'a jamais été compensée mais la formule nous donne ce résultat car l’entrée des données a été faite en ce sens. Par conséquent, l’approche bayésienne n’est qu’une mesure de la croyance d’une personne pour un tel fait plutôt qu’une preuve physique.
Comme nous pouvons le constater, la différence entre les gènes est seulement comblée dans l’imagination à travers des formules mathématiques et l’histoire de la vie est ainsi écrite arbitrairement. Il est évident que de telles études, présupposant la validité de la théorie de l’évolution, n’ont aucun aspect scientifique et ne servent que des causes idéologiques. Cette mentalité qui n’est même pas capable d’expliquer l’apparition spontanée d’un seul gène, codé avec de l’information, utilise le domaine de la génétique comme couverture.
La paléontologie, l’histologie, la biochimie ainsi que toutes les autres branches de la science nous montrent que la vie est tellement complexe qu’il n’est pas possible qu’elle ait pu apparaître par hasard. Toutes les espèces, une seule cellule et même une seule protéine appartenant à ces espèces, constituent la preuve irréfutable du savoir infinie et de la puissance de Dieu.
http://newsrescue.com/transitional-forms-richard-dawkins-darwinists-dream/#axzz4uvROXrAH