Croyants musulmans, chrétiens et juifs,
Agissons ensemble en faveur de l’amour, de la paix et de la fraternité, et pour le respect des croyances.
Tous les prophètes sont des gens admirables.
Leurs morales, leurs dispositions et leurs attitudes sont excellentes. Ce sont des gens exemplaires, qui sont respectés et aimés.
Tous propos inappropriés envers eux dérangent les croyants. Il est déraisonnable d’expliquer les attitudes contraires par les excuses de la "démocratie" ou de la "tolérance".
A partir du Coran, ainsi que dans la Bible hébraïque et dans le Nouveau Testament, nous savons qu’à travers l’histoire des incrédules ont essayé de se moquer et de calomnier les messagers bénis de Dieu. Cependant, le Coran prédit la fin misérable de ceux qui essayent de ridiculiser les messagers de Dieu, avec ces mots : "On se moqua également des précédents messagers, mais ceux qui se moquèrent ont été engloutis par ce dont ils se moquaient.” (Coran, 6 : 10)
Jésus (paix sur lui) est aussi un des prophètes islamiques loué dans le Coran. Dans un verset, le Coran énonce que des hommes essayèrent aussi de se moquer de Jésus (psl) à l’époque de notre Prophète (paix et bénédiction sur lui) :
"Quand on tire un exemple du fils de Marie [Jésus], ton peuple rit bruyamment." (Coran, 43 : 57)
Dans la Bible hébraïque, le livre saint des juifs, on apprend que les peuples auxquels s’adressaient les Prophètes Elie, Moïse, Job et bien d’autres (paix sur eux) eurent le même genre d’attitude. Il y est dit :
Mais ils se moquèrent des envoyés de Dieu, ils méprisèrent ses paroles, et ils se raillèrent de ses prophètes, jusqu'à ce que la colère de l'Eternel contre son peuple devînt sans remède. (2 Chroniques, 36 : 16)
De qui vous moquez-vous ? Contre qui ouvrez-vous une large bouche et tirez-vous la langue ?… Puis-je être insensible à cela ? (Esaïe, 57: 4, 6)
De même, l’attitude hostile des incrédules envers le messager béni de Dieu, Jésus (psl), est racontée dans le Nouveau Testament en ces termes :
… Il [Jésus] sera livré aux païens ; on se moquera de lui, on l'outragera... (Luc, 18 : 32)