Et sur toi (Muhammad) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité, pour confirmer le Livre qui était avant lui et pour prévaloir sur lui. Juge donc parmi eux d’après ce qu’Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t’est venue. A chacun de vous, Nous avons assigné une législation et un plan à suivre. Si Allah avait voulu, certes Il aurait fait de vous tous une seule communauté. Mais Il veut vous éprouver en ce qu’Il vous donne. Concurrencez donc les bonnes œuvres. C’est vers Allah qu’est votre retour à tous ; alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez. (Sourate al-Maidah, 48)
Le Messager d’Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Allah est généreux et aime la générosité, comme Il aime l’attitude noble et répugne les vils comportements. » Rapporté par Tabarâni et authentifié par Albâni.
EL-AKHIR (Le Dernier, Celui Qui subsiste quand tout le reste disparaît)
C'est Lui le Premier et le Dernier , l'Apparent et le Caché et Il est Omniscient. (Sourate al-Hadid, 3)
Allah a créé l’univers ex nihilo et un jour, Il l’anéantira, lui faisant ainsi retrouver son état premier. Nul n’est immortel, car tout être vivant vient à l’existence pour un temps donné puis meurt, à l’exception d’Allah Qui est le Premier et le Dernier et n’a donc ni début ni fin.
Allah, Créateur de la vie et du temps, n’est affecté par aucune des caractéristiques de la matière qu’il a initiée. Etant donné qu’Il est infini, Il existe pour toute l’éternité, Il a toujours été et ne dépend ni du temps ni de l’espace. Il est donc en dehors facteur temps-espace. Ce point est affirmé dans le Coran, comme suit :
Tout ce qui est sur elle [la terre] doit disparaître, [Seule] subsistera La Face [Wajh] de ton Seigneur, plein de majesté et de noblesse . (Sourate ar-Rahman, 26-27)
Tout ce qui est dans les cieux et la terre glorifie Allah. Et c'est Lui le Puissant, le Sage. A Lui appartient la souveraineté des cieux et de la terre. Il fait vivre et il fait mourir, et Il est Omnipotent. (Sourate al-Hadid, 1-2)
C'est Lui Qui a créé les cieux et la terre en six jours puis Il S'est établi sur le Trône; Il sait ce qui pénètre dans la terre et ce qui en sort, et ce qui descend du ciel et ce qui y monte, et Il est avec vous où que vous soyez. Et Allah observe parfaitement ce que vous faites. (Sourare al-Hadid, 4)
Comme la naissance d'un enfant, la Fin des Temps est un processus qui se développe petit à petit
L’Oxydation Du Sang
Pas du tout, mais ce qu'ils ont accompli a rouillé leurs cœurs. (Sourate al-Mutaffifin, 14)
Le terme “rouillé” utilisé dans ce verset est peut-être une référence à une réaction biochimique qui a lieu dans le cœur. (Allah est le plus savant.) La rouille résulte de la réaction du fer avec l’oxygène : l’oxydation. L’oxygène que nous absorbons de l’air est transporté à travers le corps grâce au fer dans l’hémoglobine du sang. Au cours de ce processus, l’oxygène réagit avec le fer dans le sang, comme si un phénomène de rouille se répétait constamment dans le sang et donc dans le cœur, qui est au centre du réseau sanguin.
Un excès de fer dans le sang peut mener au vieillisement précoce des cellules à cause de l’oxydation.1 Dans la maladie dite hémochromatose, due à l’accumulation excessive de fer dans le corps, le fer a un effet toxique et épuise des organes comme le foie. Comme il s’agit d’oxydation du fer, on dit souvent que les “organes rouillent” ou que “la rouille s’accumule” dans les organes.2 Dans la revue Science News, le Dr. Sharon McDonnell compare l’oxydation du fer dans les cellules à la “rouille” des organes.3
Dans une autre référence, il est également dit de cette maladie : “… ceux qui sont touchés par l’hémochromatose absorbent le fer en le stockant dans leurs organes. Avec le temps, il s’accumule dans des proportions toxiques, provoquant la défaillance des organes, littéralement rouillés.”4
Il est seulement possible d’identifier la réaction du fer avec l’oxygène dans le corps – l’oxydation dans le sang – dans des laboratoires dotés en équipements pointus. Etant donné l’époque de la révélation du Coran, la précision scientifique de sa comparaison relève du miracle. Le Coran regorge, en effet, de détails qui ne peuvent qu’être la révélation d’Allah l’Omniscient, notre Seigneur et le Créateur de l’univers.
1 E. Griffiths, Iron and Infection, John Wiley & Sons, New York, 1987, pp. 1-25 ; http://www.lewrockwell.com/orig/sardi10.html
2 Jane E. Brody, The New York Times, "Personal Health", 5 mars 1997
3 Kathleen Fackelmann, Science News, "Rusty origins: researchers identify the gene for iron-overload disease - hereditary hemochromatosis", 18 janvier 1997
4 Deborah Weisberg, Post Gazette, "New center treats victims of chronic iron poisoning", 10 novembre 1998 ; http://www.post-gazette.com/healthscience/19981110hemo1.asp
http://www.miraclesducoran.com/scientifique_81.html
La miséricorde, la tolérance et l'humanisme selon l'islam
La "doctrine politique islamique" (c'est-à-dire, les principes et décrets islamiques sur des sujets politiques) est au plus haut point pacifique et modérée. Nombre d'historiens et de théologiens non-musulmans le confirment. L'historienne britannique, Karen Armstrong, ancienne nonne et célèbre experte en l'histoire d'Orient, fait le commentaire suivant, dans son livre Holy War (La guerre sainte), qui traite de l'histoire des trois grandes religions:
... Le mot l'islam vient de la même racine arabe que le mot la paix et le Coran réprouve la guerre comme un événement anormal contraire à la volonté de Dieu: "Toutes les fois qu'ils allument un feu pour la guerre, Allah l'éteint. Et ils s'efforcent de semer le désordre sur la terre, alors qu'Allah n'aime pas les semeurs de désordre." (Le Coran, sourate al-Ma'ida, verset 64) L'islam ne justifie pas la guerre ou l'extermination agressives, comme la Torah fait dans les cinq premiers livres de la Bible. Religion plus réaliste que le christianisme, l'islam déclare que la guerre est inévitable et parfois une obligation positive pour mettre fin aux oppressions et à la souffrance. Le Coran enseigne que la guerre doit être limitée et conduite de la façon la plus humaine possible. Mohammed a dû combattre non seulement les habitants de la Mecque mais également les tribus juives de la région et des tribus chrétiennes en Syrie qui alliées aux juifs planifiaient une attaque contre lui. Pourtant ceci n'a pas poussé Mohammed à dénoncer les gens du livre. Ses musulmans ont été forcés de se défendre mais ils n'ont pas livré une guerre sainte contre la religion de leurs ennemis. Quand Mohammed a envoyé Zaid contre les chrétiens à la tête d'une armée musulmane, il leur a dit de combattre pour la cause de Dieu bravement mais d'une manière humaine. Ils ne devaient pas molester les prêtres, ni les moines, ni les nonnes, ni les personnes faibles et impuissantes qui ne pouvaient pas combattre. Il ne devait y avoir aucun massacre des civils. Les musulmans ne devaient abattre aucun arbre ni démolir un seul bâtiment. C'était très différent des guerres de Josué.1
Après la mort de notre Prophète, les musulmans ont continué à traiter les adeptes des autres religions avec tolérance et respect. Les Etats islamiques sont devenus la maison sûre et libre des juifs et des chrétiens. Après la conquête de Jérusalem, Omar soulagea les chrétiens qui craignaient d'être massacrés en leur expliquant qu'ils étaient en sûreté. Il visita même leurs églises et déclara qu'ils pourraient continuer à pratiquer leur culte librement.
En 1099, quatre siècles après la conquête de Jérusalem par les musulmans, la ville fut envahie par les Croisés, qui passèrent tous les habitants musulmans au fil de l'épée. Pourtant, allant à l'encontre de ce que craignaient les chrétiens, Saladin, le général musulman qui s'empara de Jérusalem en 1187, ne fit de mal à aucun civil et défendit à ses soldats le pillage. D'ailleurs, il permit aux citoyens chrétiens de prendre tous leurs biens et de quitter la ville en sécurité.
Les périodes du règne des Turcs Seljukides et de l'Empire ottoman ont été également marquées par la tolérance et la justice de l'islam. Comme chacun le sait, les juifs, expulsés de l'Espagne catholique, trouvèrent la paix qu'ils ont recherchée sur les terres de l'Empire ottoman, où ils se sont réfugiés en 1492. Sultan Mehmed, le conquérant d'Istanbul, a également donné aux juifs et aux chrétiens leur liberté religieuse. Concernant les pratiques tolérantes et justes des musulmans, l'historien A. Miquel dit:
Les chrétiens ont été gouvernés par un Etat très bien géré, qui était quelque chose qui n'existait pas dans l'empire byzantin ou dans la souveraineté latine. Ils n'ont jamais été soumis à une oppression systématisée. Au contraire, l'empire, et tout d'abord Istanbul, est devenu un refuge pour les juifs espagnols torturés. Ils n'ont jamais été forcés à accepter l'islam.2
John L. Esposito, professeur de religion et de politique internationale à l'Université de Georgetown, fait un commentaire similaire:
Pour plusieurs populations non-musulmanes dans les territoires byzantins et persans déjà soumises aux gouverneurs étrangers, le règne islamique a signifié un changement de gouverneurs, les nouveaux étant souvent plus souples et plus tolérants, plutôt qu'une perte de l'indépendance. Plusieurs de ces populations ont même joui d'une plus grande autonomie locale et ont souvent payé des impôts inférieurs... En ce qui concerne la religion, l'islam s'est montré plus tolérant, accordant une plus grande liberté religieuse aux juifs et aux chrétiens indigènes.3
Tel qu'il est ainsi clairement noté, l'Histoire n'a jamais témoigné contre les musulmans "faiseurs de turpitude". Au contraire, ces derniers ont apporté la sécurité et la paix aux gens de toutes les nations, de toutes les croyances, vivant dans le grand territoire sur lequel ils ont régné.En bref, la compassion, la paix et la tolérance constituent les valeurs morales principales du Coran et l'islam vise à supprimer la turpitude de la surface de la terre. Les commandements du Coran et les pratiques des musulmans à travers l'Histoire sont très clairs, et ne laissent de fait planer aucun doute.
1- Karen Armstrong, Holy War, MacMillian London Limited, 1988, p. 25
2- Feridun Emecen, Kemal Beydilli, Mehmet İpşirli, Mehmet Akif Aydın, İlber Ortaylı, Abdülkadir Özcan, Bahaeddin Yediyıldız, Mübahat Kütükoğlu, Osmanlı Devleti Medeniyeti Tarihi (L'histoire de l'Empire ottoman), Istanbul: 1994, İslam Tarih, Sanat ve Kültür Araştırma Merkezi, p. 467
3- John L. Esposito, The Islamic Threat: Myth or Reality, Oxford University Press, New York, 1992, p. 39
http://www.islamdenonceterrorisme.com/9.html
Ce ne sont pas nos yeux qui voient, mais c’est plutôt notre cerveau
En raison de l'éducation que nous avons reçue tout au long de notre vie, nous imaginons que nous voyons le monde avec nos yeux. Finalement, nous arrivons généralement à la conclusion suivante ; nos yeux sont une fenêtre sur le monde. Mais, la science nous prouve que nous ne voyons pas avec nos yeux. Les millions de cellules nerveuses situées à l'intérieur des yeux sont responsables de la transmission des messages au cerveau, comme le long d'un câble, afin de faire "voir" ce qui se passe. Si nous analysons l'information que nous avons apprise au collège, il est alors plus facile de comprendre la réalité de la vision.
La réflexion de la lumière d'un objet à travers le cristallin de l'œil, génère une image inversée sur la rétine située à l'arrière du globe oculaire. Après quelques processus chimiques produits par les bâtonnets et les cônes rétiniens, cette vision se transforme en impulsion électrique. Cette impulsion est alors transmise par les influx au système nerveux situé à l'arrière du cerveau. Le cerveau traduit cet influx en une vision représentative et tridimensionnelle.
Par exemple, lorsque vous observez les enfants qui jouent dans un parc, vous ne voyez pas les enfants et le parc avec vos yeux, car l'image de cette vision ne se forme pas devant vos yeux, mais à l'arrière de votre cerveau.
Malgré cette explication simple, la physiologie de la vue est en réalité un processus extraordinaire. Immanquablement, la lumière est convertie en signaux électriques, lesquels révèlent par la suite un monde lumineux, tout en couleurs et en trois dimensions. R. L. Gregory, dans son livre Eye and Brain : The Psychology of Seeing reconnaît ce fait important, et explique ainsi cette incroyable structure :
Nous recevons de minuscules images déformées et inversées dans les yeux, et nous voyons des objets solides distincts dans notre environnement. A partir de simulations rétiniennes, nous percevons le monde des objets, et ceci est ni plus ni moins un miracle. 1
Toutes ces constatations nous mènent à la même conclusion. Au cours de notre vie, nous avons toujours supposé que le monde existait en dehors de nous. Cependant, le monde est à l'intérieur de nous. Bien que nous croyions que le monde se trouve à l'extérieur de nous, il se situe dans la plus petite partie de notre cerveau. Par exemple, le dirigeant d'une société peut considérer que l'immeuble de son entreprise, sa voiture dans le parking, sa maison en bord de mer, son yacht et toutes les personnes qui travaillent pour lui, ses avocats, sa famille et ses amis, tous ces éléments sont à l'extérieur de son corps. Cependant, toutes ces choses ne sont que des visions qui se forment dans son crâne, dans une partie minuscule de son cerveau.
Il n'est pas conscient de cette réalité et même s'il la connaissait, il n'y penserait pas. S'il se tient fièrement près de sa voiture de luxe dernier cri, et qu'un grain de poussière ou une particule portée par le vent pénètre dans son œil, il va peut-être se frotter doucement l'œil qui le démange, et en le rouvrant constater que "les choses matérielles" sont à l'envers ou se sont déplacées sur les côtés. Il va alors se rendre compte que les choses matérielles vues dans son environnement ne sont pas stables.
Ce qui est démontré ici, c’est que chaque personne durant sa vie est spectateur de tout ce qui lui arrive à l'intérieur de son cerveau et à aucun moment ne peut être en contact direct avec les différents objets matériels qui soi-disant créent son expérience. Les images que nous voyons sont des copies dans notre cerveau des objets dont nous supposons qu'ils existent à l'extérieur de nous. Nous ne pouvons jamais savoir dans quelle mesure ces copies ressemblent aux originaux, ou si les originaux existent eux-mêmes.
Bien que matérialiste, médecin et journaliste allemand Hoimar Von Ditfurth reconnaît ce fait scientifiquement:
Peu importe la manière d'argumenter, le résultat ne change pas. Ce qui se tient devant nous dans toute sa dimension et ce que nos yeux voient n'est pas le "monde". Ce n'est qu'une image du monde, une ressemblance, une projection dont la combinaison avec l'original est sujette à discussion. 2
Par exemple, lorsque vous jetez un coup d'œil à la pièce où vous êtes assis, ce que vous voyez n'est pas la salle extérieure à vous, mais une copie de la salle qui existe dans votre cerveau. Vous ne pourrez jamais voir la salle originale avec vos organes sensoriels.
La légende de l’évolution de l’homme
Tout comme les autres affirmations des évolutionnistes sur l’origine des formes de vie, leur affirmation sur l’origine de l’homme n’a aussi aucune base scientifique. Les découvertes montrent que " l’évolution de l’homme " est simplement une légende.
Darwin soutient dans son livre La descendance de l’homme publié en 1871, que les êtres humains et les singes descendent d’un ancêtre commun. Depuis, les partisans de Darwin ont essayé coûte que coûte de soutenir cette affirmation. Mais malgré toutes les recherches qui ont été effectuées, l’affirmation d’évolution humaine n’a pas été appuyée par une quelconque découverte scientifique concrète, particulièrement dans le domaine des fossiles.
L’homme de la rue est, dans la majorité, inconscient de ce fait, et pense que l’affirmation de l’évolution humaine est soutenue par une grande quantité de preuves fermes. La raison de cette opinion incorrecte est que le sujet est fréquemment discuté dans les médias et présenté comme une vérité prouvée. Mais de vrais spécialistes de ce sujet sont conscients que l’affirmation de l’évolution humaine n’a aucun fondement scientifique. David Pilbeam, un paléontologue de l’Université de Harvard, déclare ceci :
Si vous ramenez un scientifique habile d’une autre discipline et lui montrez les preuves infondées que nous avons, il dirait sûrement : " Oubliez ça, ce n’est pas assez pour continuer. " 1
Quant à William Fix, l’auteur d’un livre important sur le thème de la paléoanthropologie, il fait ce commentaire :
Il y a plusieurs scientifiques et vulgarisateurs aujourd’hui qui ont la témérité de nous dire qu’il n’y a "pas de doute" sur l’origine de l’homme. Si seulement ils avaient la preuve. 2
La théorie de l’évolution, qui " manque de preuve ", fait commencer l’arbre généalogique de l’être humain avec une espèce de singe appelé australopithèque. Selon cette assertion, l’australopithèque commença à marcher debout avec le temps, son cerveau évolua, et passa par une série d’étapes pour arriver à l’état de l’homme actuel (l’Homo sapiens). Mais le registre fossile ne soutient pas ce scénario. Malgré l’affirmation de toutes sortes de formes intermédiaires, il y a une barrière infranchissable entre les restes de fossiles de l’homme et des singes. De plus, il a été révélé que les espèces qui sont dépeintes comme les ancêtres des unes et des autres sont en réalité des espèces contemporaines qui ont vécu à la même période. Ernest Mayr, l’un des plus importants partisans de la théorie de l’évolution du 20ème siècle, accepte cette vérité : " La chaîne précédant l’apparition de l’Homo sapiens est en fait perdue. " 3
1. Richard E. Leacky, The Making of Mankind, Michael Joseph Limited, Londres, 1981, p. 43
2. William R Fix, The Bone Peddlers, Macmillan Publishing Company: New York, 1984, pp. 150-153
3. Scientific American, décembre 1992
Pastenague
Age : 100 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Hjoula, Byblos, Liban
Les évolutionnistes ne peuvent pas recourir aux fossiles de pastenagues pour étayer leur thèse. Aucune pastenague primitive et aux traits semi-développés appartenant à deux formes de vie différentes n’a été mise au jour. Chaque spécimen découvert était celui d’une créature identique aux pastenagues vivant aujourd’hui dans le sens où leurs caractéristiques sont totalement identiques. Cela démontre l’invalidité de l’idée des espèces descendant les unes des autres et de développement minimes et graduels des formes de vie.
Le fossile de pastenague remontant à 100 millions d’années ici représenté indique une fois de plus que les êtres vivants n’ont pas évolué mais qu’ils furent créés.
Le Miracle De L'Araignee
http://harunyahya.fr/fr/Livres/4878/LE-MIRACLE-DE-LARAIGNEE
La crainte d'Allah