O les croyants! Observez strictement la justice et soyez des témoins (véridiques) comme Allah l'ordonne, fût-ce contre vous mêmes, contre vos père et mère ou proches parents. Qu'il s'agisse d'un riche ou d'un besogneux, Allah a priorité sur eux deux (et Il est plus connaisseur de leur intérêt que vous). Ne suivez donc pas les passions, afin de ne pas dévier de la justice. Si vous portez un faux témoignage ou si vous le refusez, [sachez qu'] Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.(Sourate an-Nisa, 135)
Si tu places toute ta confiance en Allah, comme il se doit, Il satisfera certainement tes besoins, de même qu’Il satisfait ceux des oiseaux; ils quittent leur nid affamés, au matin, mais y reviennent repus, au soir. (at-Tirmidhi)
AL-MUQALLIB (Celui Qui tourne et retourne le coeur des hommes )
Parce qu'ils n'ont pas cru la premiére fois, nous détournerons leurs cœurs et leurs yeux ; nous les laisserons marcher aveuglement dans leur rébellion. (Sourate al-Anam, 110)
Nous ne pouvons connaître Allah et comprendre le but de notre existence si nous manquons d'informations sur la religion qu'Il agrée. Nous ne pouvons pas non plus comprendre dans ces conditions les desseins divins qui sous-tendent la création de l'univers et de Ses innombrables habitants, de la vie, de la mort, de l'au-delà, du paradis, de l'enfer, des anges, de satan par nos seuls moyens. Beaucoup d'hommes vivent et meurent dans l'insouciance. Mais si Allah insuffle la foi à nos cœurs, nous trouverons la réponse à toutes ces questions. Allah purifiera alors nos cœurs et les rendra sincéres à l'égard de la religion. Une personne qui avait coutume d'être hostile à la religion aura des sentiments meilleurs ; celui qui négligeait Ses commandements naguére se mettra à les suivre scrupuleusement et à se Le remémorer en permanence. Ces gens commenceront à remercier Allah de les avoir guidés. Tandis qu'ils négligeaient les signes de l'existence d'Allah ainsi que Ses faveurs, Sa clémence et Sa compassion, voici maintenant qu'ils les reconnaissent pleinement. Bref, les croyants sincéres sont comparables à des gens qui se réveillent d'un long sommeil, car Allah les méne de l’incroyance à la croyance en leur insufflant la foi dans le cœur.
Puisqu’Allah donne la foi, Il peut la retirer à tout instant. La foi dépend de la façon dont nous nous remémorons Allah : seul un cœur qui se soumet de lui-même à Allah peut obtenir la guidée. Les incroyants, perdus dans leurs illusions, ne peuvent voir ou reconnaître comme tels les signes évidents de l'existence d'Allah qui les entourent. Dans plusieurs versets, Allah déclare que le cœur de ces gens est voilé de sorte qu'ils ne puissent voir la vérité :
Quel pire injuste que celui à qui on a rappelé les versets de son Seigneur et qui en détourna le dos en oubliant ce que ses deux mains ont commis ? Nous avons placé des voiles sur leurs cœurs, de sorte qu'ils ne comprennent pas (le Coran), et mis une lourdeur dans leurs oreilles. Même si tu les appelles vers la bonne voie, jamais ils ne pourront donc se guider. (Sourate al-Kahf, 57)
Les incroyants reconnaissent parfois leur incapacité à comprendre le message de la religion. Le peuple du Prophéte Shu‘ayb (psl) en est un bon exemple :
Ils dirent : "O Shu’ayb, nous ne comprenons pas grand chose à ce que tu dis ; et vraiment nous te considérons comme faible parmi nous…” (Sourate Houd, 91)
Si leur cœur est voilé et qu'Allah leur refuse la compréhension de la vérité, ils ne pourront jamais être guidés, à moins qu'Allah en décide autrement. Allah attire notre attention sur ce point en disant :
Et il en est parmi eux qui te prêtent l'oreille. Est-ce toi qui fait entendre les sourds, même s'ils sont incapables de comprendre. Et il en est parmi eux qui te regardent. Est-ce toi qui peux guider les aveugles, même s'ils ne voient pas ? (Sourate Yunus, 42-43)
Allah met dans le cœur de ceux qui veulent croire et se rapprocher de Lui le désir de s'adonner à Son rappel et les rapproche des autres Musulmans. A l'opposé, il méne les cœurs insincéres à l’incroyance. Il a le pouvoir de retourner tous les cœurs à tout instant et nul ne peut changer un cœur qu'Allah a voilé.
ALLAH a promis que les Musulmans vont avoir le dessus. Les versets qui font la bonne annonce du règne de l'Islam
La Cite D'iram
Au début des années 1990, furent publiés dans plusieurs journaux connus, des articles annonçant "la découverte de la cité arabe disparue", "la découverte de la cité arabe légendaire", "l'Atlantis des sables, Ubar". Ce qui rendit cette découverte encore plus curieuse est que cette cité est mentionnée également dans le Coran. Nombreux furent ceux, qui auparavant pensaient que le peuple de 'Ad évoqué dans le Coran était purement mythique et que leur cité ne serait jamais trouvée. Dès lors, ils ne purent dissimuler leur étonnement face à cette fabuleuse découverte.
Ce fut Nicolas Clapp, un éminent réalisateur de documentaires et un maître-assistant en archéologie, qui mit au jour la ville de légende évoquée dans le Coran.239Arabophone et réalisateur de films documentaires à succès, Clapp est tombé, lors de ses recherches sur l'histoire arabe, sur un ouvrage très intéressant. Ce livre, intitulé Arabia Felix, avait été écrit par le chercheur britannique Bertram Thomas en 1932. Arabia Felix, qui signifie "l'Arabie heureuse", était l'appellation romaine pour le sud de la Péninsule Arabique, qui inclut aujourd'hui le Yémen et une grande partie du Sultanat d'Oman. Les Grecs appelaient cette région Eudaimon Arabia (L'Arabie bénie), et les érudits arabes médiévaux Al-Yaman as-Saida (L'heureux Yémen)240 parce que les gens qui y vivaient autrefois servaient d'intermédiaires privilégiés dans le commerce très lucratif des épices entre l'Inde et le Nord de la Péninsule Arabique. De plus, les habitants de cette région produisaient et revendaient de l'encens, une résine aromatique issue d'arbres rares.
Le chercheur britannique Thomas a longuement parlé de ces tribus et a même déclaré avoir trouvé les traces d'une ancienne cité fondée par l'une d'elles.241 Il s'agissait de la cité connue des Bédouins sous le nom de "Ubar". Lors de l'un de ses voyages dans la région, les Bédouins du désert lui avaient montré d'anciennes pistes et avaient déclaré que ces pistes menaient vers la vieille cité d'Ubar. Thomas, qui était passionné par ce sujet, mourut avant d'avoir pu compléter ses investigations.
Clapp se plongea dans les écrits de Thomas et crut en l'existence de la cité perdue évoquée dans l'ouvrage. Sans perdre de temps, il commença ses propres recherches, en essayant de poursuivre le travail entamé par Thomas. Clapp utilisa deux approches différentes pour prouver l'existence d'Ubar. Premièrement, il retrouva les pistes mentionnées par les Bédouins. Il s'adressa ensuite à la NASA afin d'obtenir les photos satellites de la région. Après beaucoup d'efforts, il parvint à convaincre les autorités locales de prendre des clichés de la zone tant souhaitée.242
Clapp étudia après cela les anciens manuscrits et cartes de la bibliothèque Huntington en Californie. Son objectif était de trouver une carte de la région visée. Une courte recherche lui permit d'en découvrir une : il s'agissait d'une carte dessinée par le géographe égypto-grec Ptolémée au 2ème siècle (de l'ère chrétienne). Cette carte révélait l'emplacement d'une ancienne cité trouvée dans la région ainsi que les pistes qui y menaient.
Entre-temps, sa recherche fit un bond en avant lorsqu'il reçut la nouvelle que la NASA avait procédé aux prises de photos souhaitées. Ces photos montraient l'existence de pistes caravanières difficilement décelables à l'oeil nu depuis le sol, mais clairement identifiables depuis le ciel. En comparant les clichés avec la carte de Ptolémée, Clapp parvint très vite à la conclusion suivante : les pistes des deux documents coïncidaient, et elles aboutissaient sur un vaste site ayant toute l'apparence de l'emplacement d'une cité.
Finalement, grâce au travail de Clapp et à celui de Thomas avant lui, ainsi qu'à l'aide fournie par les chercheurs de la NASA, l'emplacement de cette cité légendaire, qui avait fait l'objet de récits oraux par les Bédouins, fut découvert. Peu de temps après, commencèrent les fouilles et des vestiges enfouis sous les sables furent mis au jour. C'est pourquoi cette cité perdue fut surnommée "l'Atlantis des sables, Ubar".
Cependant, quels éléments permettaient de démontrer que cette ancienne cité était bien celle où avait vécu le peuple de 'Ad évoqué dans le Coran ?
Dès le début de cette recherche, on comprit que les restes de cette cité appartenaient au peuple de 'Ad. La concordance devint incontestable à partir du moment où, parmi les restes découverts, on mit au jour les vestiges de colonnes et tours d'Iram mentionnées de façon précise dans le Coran. L'un des responsables des fouilles, le Dr Juris Zarins, déclara qu'étant donné que les tours sont l'un des signes distinctifs d'Ubar et qu'Iram est mentionnée comme abritant des tours et des piliers, ces indices si particuliers suffisent à prouver que le site déterré n'est autre que celui d'Iram, la cité des 'Ad décrite dans le Coran.
N'as-tu pas médité la façon dont ton Seigneur a traité Ad, [la tribu d'] Iram aux colonnes en hauteur, [qui était] telle que jamais il n'en fut créé de semblable dans le pays. (Coran, 89 : 6-8)
Nous avons donc vu que les informations fournies par le Coran à propos des évènements du passé concordent parfaitement avec les informations de sources historiques, ce qui est une autre preuve que le Coran est bien la parole de Dieu. (Voir Les nations disparues, 2ème éd., Harun Yahya, Editions Essalam, Paris, 2003)
239. Thomas H. Maugh II, "Ubar, Fabled Lost City, Found by LA Team", The Los Angeles Times, 5 février 1992.
240. Kamal Salibi, A History of Arabia (Caravan Books, 1980).
241. Bertram Thomas, Arabia Felix: Across the "Empty Quarter" of Arabia (New York, Schrieber's Sons, 1932), p. 161.
242. Charlene Crabb, "Frankincense", Discover, janvier 1993.
http://www.miraclesducoran.com/historique_07.html
La prière préserve l'homme des péchés
La prière est prescrite aux croyants cinq fois dans la journée, comme indiqué dans le Coran. Dieu a promis de récompenser ceux qui observent strictement leurs prières et qui sont assidus. Une autre récompense que recevront ceux qui accomplissent la prière est précisée par le Coran:
Récite ce qui t'est révélé du Livre et accomplis la Salât. En vérité la Salât préserve de la turpitude et du blâmable. Le rappel d'Allah est certes ce qu'il y a de plus grand. Et Allah sait ce que vous faites. (Sourate El 'Ankabout – 29, verset 45)
Comme Dieu le précise dans ce verset, ceux qui accomplissent la prière sont tenus à l'écart de l'indécence et du mal. Leur Seigneur les protège de tels méfaits.
Une personne observe strictement les prières comme prescrites dans le Coran si elle craint Dieu. Elle se tient debout, s'incline et se prosterne devant son Seigneur cinq fois durant le jour et elle est ainsi préservée du blâmable, le résultat d'un profond sentiment de crainte de Dieu. La conscience morale de ces personnes, grâce à la volonté et à l'inspiration divine, les préservera contre le mal et l'indécence. Même si elles commettent une erreur, l'espace d'un instant, elles se rendent immédiatement compte de leur faute, reviennent à leur Seigneur et médite sur Sa puissance infinie. Elles se repentent et évitent de commettre pareils méfaits à l'avenir.
Une planète créée pour l'humanité
La philosophie matérialiste offre une explication simple de l'ordre et de l'équilibre régnant dans l'Univers : il s'agit d'une coïncidence. Selon ses adeptes, l'Univers n'a été façonné qu'à travers une série de coïncidences.
Pourtant, lorsque nous scrutons cet Univers ne serait-ce que brièvement, nous sommes contraints de voir que de telles prétentions sont sans fondement. Les coïncidences ne peuvent mener qu'au chaos alors que l'ordre prévaut manifestement dans l'Univers. Cet ordre est une démonstration de l'existence et du pouvoir éternel d'Allah, Qui a existencié l'Univers à partir du néant et Qui lui a donné sa forme.
Lorsque nous explorons l'Univers, nous rencontrons de nombreuses occurrences de cet ordre. Le monde dans lequel nous vivons en est une, et il fourmille de délicats équilibres qui permettent à la vie d'exister.
Ainsi la distance séparant la Terre du Soleil, l'inclinaison de l'axe de la Terre sur son orbite, les équilibres régissant l'atmosphère, la vitesse de rotation de la Terre autour de son axe d'une part, et autour du Soleil d'autre part, les fonctions que remplissent les océans et les montagnes sur la Terre, les traits caractéristiques des êtres vivants et les interactions entre tous ces mécanismes, constituent-ils quelques éléments seulement de cet équilibre écologique.
Lorsque la Terre est comparée aux autres planètes, il devient encore plus évident qu'elle est spécialement crée pour l'homme. L'eau, par exemple, est un composé qui n'existe que rarement dans l'espace, et sous sa forme liquide on ne la trouve que sur une seule planète du système solaire : la nôtre. De plus, 70 % de notre planète sont recouverts d'eau. Des millions de variétés d'espèces vivantes vivent au sein de cet élément. La capacité de l'eau à se transformer en glace, sa capacité à attirer la chaleur et à la stocker, l'existence de grands volumes d'eau sous la forme d'océans, et la répartition de la chaleur à travers le monde, sont autant de caractéristiques spécifiques à la Terre. Aucune autre planète ne possède une telle masse d'eau en circulation constante.
L'axe de la Terre est incliné de 23° sur son orbite, et les saisons sont dues à cette inclinaison. Si celle-ci était un tant soit peu inférieure ou bien supérieure à sa valeur actuelle, les différences de température d'une saison à l'autre deviendraient extrêmement élevées et la Terre connaîtrait des étés torrides auxquels succéderaient des hivers glaciaux.
Quant à la rotation de la Terre sur son axe, elle s'effectue à la vitesse la mieux appropriée pour les êtres vivants. Lorsque nous nous intéressons au cas des autres planètes du système solaire, nous nous apercevons qu'elles connaissent aussi le jour et la nuit. Cependant, puisque les différences de temps sont bien plus importantes que sur la Terre, les différences de température se trouvent également nettement accentuées. Les sévères turbulences se produisant dans l'atmosphère des autres planètes sont absentes de notre atmosphère à cause justement de la rotation du globe terrestre.
D'autre part, la nature des gaz composant l'atmosphère terrestre ainsi que leur concentration sont des facteurs très importants pour l'existence de tous les êtres vivants sur terre, et non seulement pour l'être humain. Et seuls de fragiles équilibres rendent possible cette composition bien précise.
Des centaines d'autres caractéristiques pourraient être ajoutées aux quelques-unes qui viennent d'être énumérées, mais ces dernières suffisent largement pour mettre en lumière une certaine réalité : le monde dans lequel nous vivons a été spécialement aménagé pour permettre la survie des êtres humains. Il n'est nullement le produit d'une coïncidence mais plutôt le fruit d'un ordre conscient.
Cet ordre parfait prévalant à travers tout l'Univers nous amène à une conclusion unique : un Créateur au pouvoir et à la sagesse infinis, à savoir Allah, Qui règne sur tous les mondes, a créé l'Univers.
http://harunyahya.fr/fr/Articles/13759/Une-planete-creee-pour-lhumanite
Les oiseaux et les reptiles
Les évolutionnistes affirment que les oiseaux ont évolué à partir des reptiles. Lorsque nous observons la structure de ces deux classes vivantes, nous voyons que cette assertion n’est vraiment pas du tout scientifique.
Les évolutionnistes disent que les oiseaux ont évolué des dinosaures reptiliens à petite structure. Une comparaison entre les oiseaux et les reptiles, toutefois, démontre que ces classes vivantes sont très différentes les unes des autres et aucune évolution quelle qu’elle soit n’a pu avoir lieu entre eux.
Il y a plusieurs différences structurelles entre les oiseaux et les reptiles. La plus importante est leur structure osseuse. Les dinosaures, les ancêtres allégués des oiseaux, d’après les évolutionnistes, ont d’épais et solides os à cause de leur structure massive. Tandis que les os des oiseaux vivants et disparus sont creux et donc très légers. Cette légère structure osseuse est très importante pour le vol des oiseaux.
Une autre différence importante entre les reptiles et les oiseaux est leur structure métabolique. Tandis que les reptiles ont la plus lente vitesse métabolique dans le monde des créatures vivantes, les oiseaux tiennent le plus grand record dans ce domaine. Par exemple, la chaleur corporelle d’un moineau domestique peut s’élever jusqu’à 48°C à cause de son métabolisme rapide. D’un autre côté, les reptiles ne sont même pas capables de produire leur propre chaleur corporelle et se réchauffent alors sous le soleil. Les reptiles sont les animaux qui consomment le moins d’énergie dans la nature, alors que les oiseaux sont ceux qui en consomment le plus.
Le système respiratoire des oiseaux diffère aussi grandement de celui des reptiles. Ces derniers ainsi que les mammifères prennent l’air dans leurs poumons par leur trachée puis le ressortent par le même tuyau. Chez les oiseaux, l’air effectue un seul trajet par les canaux des poumons ; il entre d’un côté et sort de l’autre. Grâce à ce système respiratoire qui n’existe chez aucune autre classe vivante, les oiseaux ont une utilisation efficace de l’air. Ce système leur permet de voler même à une altitude de 8.000 mètres, là où l’oxygène est très rare.
Une autre caractéristique qui élève une barrière insurmontable entre les oiseaux et les reptiles est les plumes qui sont une structure spécifique aux oiseaux. Ainsi, les corps des reptiles sont recouverts d’écailles, alors que ceux des oiseaux sont recouverts de plumes.
Bref, de nombreuses différences entre ces deux espèces d’animaux réfutent définitivement l’affirmation des évolutionnistes qui pensent, rappelons-le, que les reptiles ont évolué graduellement en oiseaux.
Alan Feduccia, un professeur de l’Université de Caroline du Nord, s’oppose fermement à la théorie qui énonce que les oiseaux ont une parenté avec les dinosaures sur la base de découvertes scientifiques, malgré le fait qu’il soit lui-même un évolutionniste :
Eh bien, j’ai étudié des crânes d’oiseaux pendant 25 ans et je ne vois aucune similarité. Je ne la vois pas du tout… Que les theropodes (un groupe majeur de dinosaures) viennent des oiseaux, serait à mon avis le plus grand embarras de la paléontologie du 20ème siècle. 1
1. Pat Shipman, "Birds do it… Did Dinosaurs?", New Scientist, 1 février 1997, p. 28
Fougère (positif et négatif)
Age : 300 millions d’années
Période : Carbonifère
Localisation : Mazon Creek, Illinois, Etats-Unis
Les découvertes paléontologiques démontrent que les fougères, comme le reste des êtres vivants, ne sont pas issues de l’évolution, mais qu’au contraire elles furent créées. Nombre de scientifiques contemporains reconnaissent que les archives fossiles contribuent à valider la création plutôt que l’évolution et que l’existence des formes de vie intermédiaires se cantonne à l’imagination des évolutionnistes. L’évolutionniste Hoimar von Ditfurth, auteur d’Im Anfang war der Wasserstoff dit :
“Lorsque nous regardons en arrière, nous voyons qu’il est inutile d’être surpris par notre échec à trouver une quelconque forme intermédiaire recherchée de façon quasi-douloureuse. Parce que selon toutes les probabilités, une telle étape intermédiaire n’a jamais existé.”
Ce fossile de fougère datant de 300 millions d’années vient corroborer le commentaire de von Ditfurth.
Les Désastres Causés A L’humanité Par Le Darwinisme
http://harunyahya.fr/fr/Livres/840/LES-DESASTRES-CAUSES-A-L%E2%80%99HUMANITE-PAR-LE-DARWINISME
Musée de la Création