RAMADAN 2008, 28. JOUR
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RAMADAN 2008, 28. JOUR

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Celui qui sait que ce qui t'est révélé de la part de ton Seigneur est la vérité, est-il semblable à l'aveugle? Seuls les gens doués d'intelligence réfléchissent (bien). (Sourate ar-Ra'd, 19)



Le fort n’est pas celui qui vainc ses adversaires en luttant, mais celui qui se contrôle lorsqu’il est en colère.
Le Prophète Mohammad (paix et bénédiction sur lui)





LES ORGANES PLUS PERFORMANTS QUE LA TECHNOLOGIE

Des informations publiées par Sandia National Laboratories aux Etats-Unis, le 12 juillet 2001, stipulaient que ceux-ci avaient réussi à "étudier l'acuité visuelle de l'œil". Le rapport indiquait qu'en utilisant 64 ordinateurs, on pouvait produire une image digitale qu'ils mettaient seulement quelques secondes à acquérir. (“New standard set for scientific visualizations”, Sandia National Laboratories, News Releases, 12 juillet 2001 ; http://www.sandia.gov/media/NewsRel/NR2001/vizcor.htm)

Il s'agit d'une progression considérable, cependant un élément ne doit pas être oublié. En l'espace de seulement un dixième de seconde, les yeux d'un homme forment une image qui prend tout juste un millimètre carré de l'espace rétinien. Ce qui veut dire que l'œil humain est beaucoup plus rapide et fonctionnel que 64 ordinateurs utilisant les dernières technologies qui existent.


De l'œil à l'appareil photo : la technologie visuelle

Les yeux des vertébrés ressemblent à des sphères avec des ouvertures appelées pupilles à travers lesquelles pénètre la lumière. Derrières les pupilles se trouvent des cristallins. La lumière passe d'abord à travers le cristallin, puis à travers le fluide contenu dans le globe oculaire avant de frapper la rétine. Dans la rétine se trouvent des centaines de millions de cellules, les bâtonnets et les cônes. Les bâtonnets permettent de faire la distinction entre la lumière et l'obscurité et les cônes détectent la couleur. Toutes ces cellules transforment la lumière qui leur parvient en signaux électriques avant de les envoyer au cerveau grâce à un nerf optique.

L'œil régule l'intensité de la lumière qui entre au moyen de l'iris, qui entoure la pupille. L'iris est capable de s'étirer et de se contracter grâce à de minuscules muscles. De la même façon, la quantité de lumière qui entre dans un appareil photo est régulée par un système appelé le diaphragme. Dans son livre Wild Technology, Phil Gates décrit comment l'appareil photo constitue une simple copie de l'œil :

Les appareils photo sont des versions sommaires et mécaniques de l'œil des vertébrés. Ce sont des boîtes noires équipées d'une lentille pour régler une image sur une pellicule qui est brièvement exposée lorsqu'un obturateur s'ouvre. Dans l'œil, l'image est mise au point en changeant la forme du cristallin, mais avec les appareils photo l'image est mise au point en modifiant la distance entre la lentille et la pellicule. (Wild Technology de Phil Gates, p. 54)

Mise au point

C'est la première étape pour prendre une photo. Le même type de mise au point est nécessaire pour que l'image arrive de façon nette sur la rétine de l'œil. Avec les appareils photo, on réalise cela à la main ou de manière automatique avec les modèles les plus perfectionnés. Les microscopes et les télescopes, utilisés pour voir plus près et très loin, peuvent également être mis au point, cependant ce processus engendre une perte de temps.

L'œil humain, au contraire, réalise ce processus de façon permanente et rapide. En outre, la méthode utilisée est si efficace qu’il est impossible de l’imiter. Grâce à tous les muscles qui l'entourent, le cristallin envoie l'image sur la rétine. Ce cristallin, très flexible, change facilement de forme, affinant le point sur lequel la lumière arrive en s'étirant ou en se contractant.

Si le cristallin ne faisait pas cela automatiquement - par exemple, si nous devions effectuer la mise au point de manière consciente - nous devrions fournir un effort constant pour être capables de voir. Les images dans notre champ visuel deviendraient plus ou moins floues. Nous aurions besoin de temps pour voir correctement et par conséquent, toutes nos actions seraient ralenties.

Parce qu'Allah a créé nos yeux de manière parfaite, nous n'avons pas à subir de telles difficultés. Lorsque nous voulons voir quelque chose, nous n’avons pas besoin de fournir d’efforts pour réaliser une mise au point ou exécuter des calculs de variations optiques. Afin de voir un objet de façon nette, il nous suffit de l’observer. Le reste du processus est automatiquement pris en charge par l'œil et le cerveau - de plus, tout cela se déroule en un temps record, le temps de le vouloir.

Les arrangements lumineux

Une photo prise durant la journée sera parfaitement nette exceptée dans le cas où la même pellicule est utilisée pour prendre une photo du ciel de nuit. Cependant, bien que nos yeux s'ouvrent et se ferment en moins d'un dixième de seconde, nous pouvons voir les étoiles assez nettement, parce que nos yeux se règlent automatiquement en fonction de l'intensité lumineuse. Les muscles qui entourent la pupille permettent cela. Si notre environnement est plongé dans l'obscurité, ces muscles s'étirent, la pupille s'élargit ce qui permet à plus de lumière de pénétrer à l'intérieur de l'œil. En pleine lumière, les muscles se contractent, la pupille rétrécit ce qui laisse passer moins de lumière. C'est pour cela que nous pouvons profiter d'une vision nette à la fois le jour et la nuit.

Une fenêtre sur un monde coloré

L'œil peut "mémoriser instantanément" une image en noir et blanc et une image en couleurs en même temps. Ces deux images sont ensuite combinées par le cerveau, où elles retrouvent une apparence normale, de la même façon qu'une photographie en quatre couleurs combine le noir, le rouge, le jaune et le bleu afin de produire une image colorée réaliste.

Les bâtonnets de la rétine perçoivent des objets en noir et blanc, mais de manière très détaillée. Les cônes identifient les couleurs. Par conséquent, les signaux reçus sont analysés, et notre cerveau forme une image colorée du monde extérieur.

La technologie avancée de l’œil


Comparée à l'œil, l'appareil photo est de structure sommaire. Les images visuelles que nous percevons sont bien plus précises que celles obtenues même avec l'appareil photo le plus performant. Par conséquent, les images que nous percevons sont de bien meilleure qualité que celles reproduites par les machines.

Pour mieux comprendre cette idée, il suffit d'observer le fonctionnement d'une caméra de télévision en transmettant d'innombrables points lumineux. Durant l’enregistrement il se produit une scannérisation, et l'objet situé devant la caméra est divisé en un nombre précis de lignes. Une lampe à cellules photoélectriques scanne tous les points contenus dans chaque ligne, l'un après l'autre et de gauche à droite. Une fois que la ligne est scannérisée, la caméra passe à la suivante, et le processus continu ainsi. La valeur lumineuse de chaque point est analysée et le signal qui en résulte est émis. Cette cellule photoélectrique scanne 625 ou 819 lignes en un vingt-cinquième de seconde. Lorsqu'une image est complète, une nouvelle image est transmise. De cette façon la quantité de signaux émise est très importante ; chaque signal étant créé à une vitesse incroyable.

Le mécanisme de l'œil est bien plus fonctionnel. On peut facilement se rendre compte de l'étonnante perfection de son système par le simple fait que celui-ci n'a jamais besoin d'être réparé ou remplacé.

Tandis que la science médicale progresse, la nature miraculeuse de l'œil humain est de mieux en mieux comprise. En appliquant aux technologies les connaissances que nous avons acquises au sujet de l'œil, on réussit à développer des appareils photo plus performants et de nouveaux systèmes optiques. Mais peu importe à quel point la technologie progresse, les systèmes électroniques restent de simples copies de l'œil. Aucun ordinateur, appareil photo ou autre gadget conçu par l'homme ne peut rivaliser avec l'œil humain. (Eye Brain and Vision de David H. Hubbel, Scientific American Library, 1988, p. 34)

Alors comment est apparu ce système complexe : l'œil ?

Il est tout à fait impossible qu'une structure si complexe se soit créée par elle-même, par hasard ou par erreur. La structure de l'œil est telle qu'elle n'est pas capable de fonctionner si un seul de ses composants vient à manquer. Aucun concept n'est créé par hasard, et l'œil humain est l'exemple même de l'incomparable pouvoir de conception. Ceci nous mène à la question de savoir Qui a conçu cela. Le seul Créateur de ce concept est Allah. Le fait que nous soyons dotés d'un organe pareil qui nous permet de percevoir tout ce qui nous entoure de la meilleure manière qui soit, est une raison suffisante pour remercier Allah. Comme Il nous le dit dans un des versets du Coran :

Dis : "C'est Lui Qui vous a crées et vous a donné l'ouïe, les yeux et les cœurs." Mais vous êtes rarement reconnaissants ! (Sourate al-Mulk, 23)

Les tentatives des scientifiques pour imiter l’œil


Fascinés par le fonctionnement oculaire et recherchant à reproduire ses caractéristiques spécifiques dans le domaine technologique, les scientifiques ont récemment commencé à examiner de plus près les mécanismes parfaits présents dans la nature. Un certain nombre d'études en biomimétisme ont permis d'accélérer considérablement les progrès effectués dans le domaine technologique.

Les circuits électriques des ordinateurs imitent la nature


Les cellules rétiniennes de notre œil reconnaissent et interprètent la lumière, puis envoient cette information vers d'autres cellules auxquelles l’œil est connecté. Tous ces processus visuels ont été source d'inspiration pour la conception de nouveaux modèles d'ordinateurs.

La rétine, constituée de cellules nerveuses solidement reliées les unes aux autres, ne fait pas que percevoir la lumière. Avant que les signaux soient transmis de la rétine vers le cerveau, ils doivent effectuer certaines étapes. Par exemple, les cellules qui composent la rétine traitent l'information afin d'accentuer les contours des objets, ce qu’on appelle "extraction des contours", augmentent le signal électrique et entreprennent des ajustements, en fonction du milieu environnant, clair ou obscur. Les ordinateurs performants actuels sont capables d'exécuter des fonctions similaires, mais le réseau neuronal de la rétine utilise une quantité d'énergie moins importante. ( “Think Like A Bee” de Jim Giles, Nature, 29 mars 2001, pp. 510-512)

Une équipe de chercheurs dirigée par Carver Mead de California Institute of Technology (Caltech), se penche sur les secrets qui permettent à la rétine d'exécuter toutes ces fonctions si facilement. Avec l'aide de la biologiste Misha Mahowald, Mead a conçu des circuits électroniques qui contiennent des capteurs lumineux semblables à ceux de l'œil, avec une structure similaire à celle du réseau neuronal de la rétine. Comme dans la rétine, ces récepteurs lumineux sont reliés les uns aux autres et permettent aux composants électroniques de communiquer entre eux, comme le font les cellules de la rétine.

Malgré ces efforts, il fut impossible pour eux d'imiter le circuit neuronal de la rétine en raison du très grand nombre de cellules individuelles présentes dans la rétine et des innombrables connexions qui les relient. Les ingénieurs essayent à présent de comprendre comment le réseau neuronal de la rétine fonctionne et conçoivent des circuits plus simples qui, idéalement pourront exécuter des fonctions similaires.



NUL N’EST SENSE IGNORER QUE TOUT CE QUE L'ON POSSEDE EST UNE FAVEUR D’ALLAH

Dans le monde où nous vivons, Allah accorde de nombreuses faveurs à l’homme. Il répond aux besoins de chaque être, sans omettre aucun détail. Prenons notre vie comme exemple.

Dès notre réveil au matin, nous avons besoin de beaucoup de choses et nous affrontons de nombreuses situations. En somme, nous survivons seulement grâce aux faveurs qui nous sont accordées. Nous pouvons respirer sans la moindre difficulté grâce à notre parfait système respiratoire. En ouvrant les yeux, nous pouvons voir de près, de loin, en couleurs, et en trois dimensions.

Nous avons le sens du goût. Nous pouvons par conséquent faire la distinction entre ce qui est délicieux et ce qui ne l’est pas sans pour autant nous soucier des vitamines, des minéraux, des glucides ou des protéines que nous ingurgitons. La plupart d’entre nous ne savent pas non plus comment l’excès de nutriments est stocké ou utilisé par le corps.

    Quand nous tenons un objet entre nos mains, nous sommes capables de dire sans le moindre effort s’il est mou ou dur. Des opérations instantanées similaires se produisent dans le corps. Les organes qui en sont responsables fonctionnent selon des mécanismes complexes. En cela, nous pourrions comparer le corps humain à une usine hautement complexe et ingénieuse. Il est l’une des faveurs principales dont nous jouissons puisque c’est grâce à ce corps que nous menons notre vie sur terre.

À ce point, il reste une question à élucider: d’où viennent les matières premières nécessaires au fonctionnement de cette usine? Autrement dit, quelle est l’origine de l’eau, de l’air ainsi que des autres nutriments essentiels à la vie?

Prenons l’exemple des fruits et des légumes: les melons, les pastèques, les cerises, les oranges, les tomates, les poivrons, les ananas, les mûres, les raisins, les aubergines … tous poussent à partir de graines qui sont parfois aussi dures que du bois. Remémorez-vous l’odeur et le goût délicieux des fraises ou les différentes saveurs du melon. Imaginez le temps et l’énergie nécessaires à la reproduction de saveurs similaires dans les laboratoires. Au bout du compte, les résultats obtenus par les scientifiques ne s’avèrent pas à la hauteur des produits naturels. La palette de goûts, d’odeurs et de couleurs disponibles dans la nature est en effet difficilement imitable.

Tous les fruits et les légumes ont leurs saveurs, leurs odeurs et leurs couleurs, et c’est le résultat d’une conception qui leur est particulière. Ils sont tous des faveurs que Allah a accordées aux hommes.

Les animaux ont, eux aussi, été créés spécialement pour les êtres humains. En dehors de la source de nourriture qu’ils représentent, les animaux endossent d’autres fonctions. Les poissons, les coraux, les étoiles de mer ornent les fonds des océans pour le plaisir des yeux de l’homme, le chant des oiseaux charme l’oreille de l’homme, la compagnie des chats et des chiens amuse les grands et les petits, l’observation des dauphins ou des pingouins en émerveille plus d’un… Tous ces animaux sont des faveurs divines, comme le souligne Allah dans plusieurs versets:

Et Il vous a assujetti tout ce qui est dans les cieux et sur la terre, le tout venant de Lui. Il y a là des signes pour des gens qui réfléchissent. (Sourate al-Jathya: 13)

Et si vous comptez les bienfaits d’Allah, vous ne saurez pas les dénombrer. Car Allah est pardonneur et miséricordieux. (Sourate an-Nahl: 18)

Il vous a accordé de tout ce que vous Lui avez demandé. Et si vous comptiez les bienfaits d’Allah, vous ne sauriez les dénombrer. L’homme est vraiment très injuste, très ingrat. (Sourate Ibrahim: 34)


Les exemples mentionnés ici ne sont qu’une infime partie des beautés et des bienfaits dont Allah nous a comblés. Où que nous soyons, nous croisons les créatures reflétant les attributs d’Allah. Allah est ar-Razzaq (le Constant Pourvoyeur), al-Latif (le Subtil, Celui qui créé de la manière la plus subtile), al-Karim (le Généreux), al-Barr (la Source de tout bienfait).

Maintenant, jetez un œil autour de vous et méditez. Désormais, ne prétendez plus ignorer que tous vos biens sont une faveur de notre Créateur:

Et tout ce que vous avez comme bienfait provient d’Allah. Puis quand le malheur vous touche, c’est Lui que vous implorez à haute voix. (Sourate an-Nahl: 53)   





“HAMAN” ET LES MONUMENTS DE L’ANCIENNE EGYPTE

Le Coran rapporte avec précision la vie du Prophète Moïse (psl). Tout comme il retrace le conflit entre Pharaon et les Enfants d’Israël, le Coran révèle des informations précieuses sur l’Egypte ancienne. La signification de nombre de ces faits historiques a attiré seulement récemment l’attention des érudits de ce monde. Si l’on considère ces points en faisant appel à notre raison, il devient très vite évident, que le Coran et la fontaine d’informations qu’il contient, ont été révélés par la sagesse de Allah car il correspond aux découvertes scientifiques, historiques et technologiques contemporaines.

L’un des exemples de cette sagesse concerne les références coraniques relatives à Haman : un personnage dont le nom est mentionné dans le Coran, tout comme Pharaon. Il est mentionné en six endroits différents du Coran, et nous informe que c’était l’un des plus proches alliés de Pharaon.

Curieusement, le nom de "Haman" n’est jamais mentionné dans les chapitres de la Torah se rapportant à la vie du Prophète Moïse (psl). Cependant, le nom Haman est évoqué dans les derniers chapitres de l’Ancien Testament, où il est présenté comme l’assistant d’un roi babylonien qui infligea beaucoup de souffrances aux Israélites, environ 1.100 ans après le Prophète Moïse (psl). Le Coran, beaucoup plus en accord avec les découvertes archéologiques, mentionne effectivement le nom "Haman" en référence à la vie du Prophète Moïse (psl).


Le nom de "Haman" était inconnu jusqu'à ce que les hiéroglyphes soient décodés au 19ème siècle. A ce moment-là, on comprit que Haman était un proche de Pharaon et qu'il était le "chef des carrières de pierres". (Ci-dessous des ouvriers dans d'anciennes constructions égyptiennes) Le plus important ici c'est que Haman était mentionné dans le Coran comme étant la personne qui dirigeait les travaux de construction sous le commandement de Pharaon. Cela signifie que cette information qui ne pouvait être connue par qui que ce soit d'autre à cette époque-là, a été donnée par le Coran, un point qui mérite d'être souligné
Certaines critiques émises par des non-musulmans à l’encontre du livre de l’Islam ont disparu suite au déchiffrement de l’alphabet hiéroglyphique égyptien, il y a approximativement 200 ans, et à la découverte du nom "Haman" dans les manuscrits antiques. Jusqu’au 18ème siècle, les écritures et les inscriptions de l’Egypte antique ne pouvaient être décryptées. La langue de l’Egypte antique utilisait des symboles et non des mots : les hiéroglyphes. Ces signes qui permettaient de raconter des histoires et enregistraient des évènements importants de la même manière que le font les mots modernes, étaient habituellement gravés sur des roches ou des pierres et de nombreux exemplaires survécurent à travers les âges. Cependant, avec la propagation du Christianisme et d’autres influences culturelles au cours des 2ème et 3ème siècles, l’Egypte a abandonné ses croyances anciennes et l’écriture hiéroglyphique, synonyme d’un système de croyance éteint. La dernière utilisation connue de ce système d’écriture est attestée par une inscription datant de 394. Oubliés, les hiéroglyphes ne purent par la suite ni être lus ni compris par personne. Bien entendu, cela rendait toute étude archéologique et historique impossible. Cette situation dura jusqu’il y a environ 200 ans.

Au grand bonheur des historiens et des érudits, le mystère de ces hiéroglyphes égyptiens antiques fut levé en 1799, grâce à la découverte d’une tablette appelée la Pierre de Rosette datée de 196 av. JC. L’importance de cette pierre résidait dans l’inscription qui se composait de trois formes différentes d’écriture : hiéroglyphique, démotique (une forme simplifiée de l’écriture hiératique égyptienne antique) et grecque. Ce fut à l’aide du manuscrit grec que ces écritures ont été décodées. La traduction de l’inscription a été effectuée par un Français du nom de Jean-François Champollion. Ainsi, à travers ces écritures furent mis au jour d’abord un langage oublié, puis des événements historiques. Ceci permit de jeter la lumière sur la civilisation, la religion et la vie sociale de l’Egypte antique et cette époque importante de l’histoire humaine.

Avec le décodage des hiéroglyphes, une partie importante de la connaissance a été révélée : le nom "Haman" était en effet mentionné dans des inscriptions égyptiennes. Ce nom a été attribué à un monument du musée de Hof à Vienne. Cette même inscription indiquait aussi la relation très étroite qui existait entre Haman et Pharaon.1

Dans le dictionnaire People in the New Kingdom, basé sur l’ensemble des inscriptions, Haman est mentionné comme étant "le chef des carrières de pierre".2


Le résultat a révélé une vérité très importante. Contrairement aux assertions infondées des contradicteurs du Coran, il est dit dans le Livre saint que Haman a vécu en Egypte pendant la période de Moïse, qui était un proche de Pharaon et qui a accompli des travaux de construction, tel qu’il est justement indiqué dans le Coran.


Et Pharaon dit : "O notables, je ne connais pas de divinité pour vous, autre que moi. Haman, allume-moi du feu sur l’argile puis construis-moi une tour peut-être alors monterai-je jusqu’au Dieu de Moïse. Je pense plutôt qu’il est du nombre des menteurs." (Coran, 28 : 38)

En outre, le verset coranique, décrivant l’événement relatif à la demande faite par Pharaon à Haman de construire une tour, est en conformité parfaite avec cette découverte archéologique.

Miraculeusement, le Coran nous fournit une information historique qui ne pouvait ni être détenue ni comprise à l’époque du Prophète (psl). Les hiéroglyphes n’ayant pu être déchiffrés que vers la fin du 18ème siècle l’information ne pouvait donc être vérifiée à partir de sources égyptiennes. En conclusion, la découverte du nom Haman dans les écrits égyptiens antiques a encore une fois confirmé la nature infaillible du Coran, la parole de Allah.


1. Walter Wreszinski, Aegyptische Inschriften aus dem K.K. Hof Museum in Wien, (Leipzig, J C Hinrichs'sche Buchhandlung, 1906).
2. Hermann Ranke, Die Ägyptischen Personennamen, Verzeichnis der Namen, Verlag Von J J Augustin in Glückstadt, Band I, 1935, Band II, 1952.
 


  L’EFFONDREMENT DE LA THEORIE DE L’EVOLUTION EN 20 QUESTIONS

Depuis plus de 150 ans, la théorie de l’évolution est d’actualité et influence profondément la vision du monde d’une grande majorité de la population. Elle représente l’homme comme une espèce animale apparue sur terre à la suite d’une combinaison d’innombrables coïncidences. Cette théorie soutient que la loi de la vie se base sur une subsistance égoïste et une volonté de persister coûte que coûte. Les influences de ces suggestions se sont nettement faites ressentir entre le 19ème et le 20ème siècles avec la croissance de l’égoïsme, l’effondrement de la moralité dans la société, la recherche aveugle du profit, l’inexistence de la compassion, la banalisation de la violence, l’expansion des idéologies criminelles, comme le fascisme et le communisme, les crises sociales et individuelles da


   



  LA REALITE DE LA CREATION

Quel que soit l’aspect de l’univers auquel on s’intéresse, depuis les galaxies géantes dans l’espace jusqu’aux cellules de notre corps, invisibles à l’œil nu, et en passant par les divers êtres vivants qui forment notre environnement, on ne peut objectivement que constater l’existence d’un plan bien structuré et sans faille, qui apparaît tel un filigrane derrière toute création. Chaque aspect de l’univers dénote de façon flagrante un fait explicite et bien précis : la création est une réalité.    

  






LAPIN

AGE:            33 millions d'années

PERIODE:        Oligocène

LOCALISATION:    Converse County, Wyoming, Etats-Unis

Aucun fossile d'espèce intermédiaire n'est disponible. Parmi les millions de fossiles disponibles, aucun ne représente une créature mi-crocodile/mi-lapin ou mi-serpent/mi-lapin. En revanche, des millions de fossiles montrent que les lapins ont toujours été des lapins. Ces fossiles nient donc l'idée d'évolution. Dieu en est le Créateur.





SPECIMENS VIVANTS

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