Récite ce qui t'est révélé du Livre et accomplis la Salat. En vérité la Salat préserve de la turpitude et du blâmable. Le rappel d'Allah est certes ce qu'il y a de plus grand. Et Allah sait ce que vous faites. (Sourate al-Ankabut, 45) Selon Jaber, le Messager d'Allah (pbsl) a dit: "L'image des cinq prières est celle d'une rivière qui coule avec abondance devant la porte de l'un de vous et où il se lave cinq fois par jour." (Rapporté par Mouslim) |
DHU AL-JALĀL WA AL-IKRĀM
DÉTENTEUR DE LA MAJESTÉ ET DE LA GÉNÉROSITÉ
Béni soit le nom de ton Seigneur, Plein de majesté et de munificence ! (Sourate ar-Rahman, 78)
Les hommes jouissent de nombreux bienfaits, car Allah a orné ce monde d'éléments agréables à l’intention de Ses serviteurs. Ce n'est toutefois qu'au paradis qu'Allah montrera l'étendue de Sa générosité infinie.
Un des attributs les plus éloquents du paradis est que les croyants y auront tout ce qu'ils désirent, sans qu'aucune limite ne leur soit imposée. Il y aura des jardins avec des rivières coulant en dessous et une ombre rafraîchissante. Par la grâce d'Allah, les croyants sincères se retrouveront au milieu des jardins ombragés aux feuillages touffus et aux sources jaillissantes et ils auront toutes les sortes de fruits qu'ils désirent. Il y aura aussi des portiques aux voûtes élevées avec des ruisseaux coulants par dessus sous lesquels ils s'étendront sur des couches bien ordonnées pour contempler à leur aise les splendeurs qui les entourent. Des jeunes gens circuleront autour d'eux, comparables à des perles cachées, leur offrant à boire dans des coupes d'argent et des gobelets de cristal. Par ailleurs, “... Là, ils seront parés de bracelets d'or, et aussi de perles; et leurs vêtements y seront de soie.” (Sourate al-Hajj, 23)
Il est évident que les descriptions que Allah donne dans le Coran du paradis sont beaucoup plus élaborées que celle que nous venons de proposer. Les versets ci dessous donnent une description détaillée de l'infinie générosité d'Allah au paradis:
… On fera circuler parmi eux des plats d'or et des coupes; et il y aura là [pour eux] tout ce que les âmes désirent et ce qui réjouit les yeux; - “et vous y demeurerez éternellement. (Sourate az-Zukhruf, 71)
Et quand tu regarderas là-bas, tu verras un délice et un vaste royaume. (Sourate al-Insan, 20)
L'inimitié prononcée envers les Juifs et les Chrétiens est une tyrannie. Personne ne doit ouvrir la porte à cette tyrannie
La relativité du temps
La relativité du temps est, aujourd'hui, une réalité scientifique, prouvée au début du 20ème siècle par la théorie de la relativité d'Einstein. Jusque-là, nul n'avait jamais pensé que le temps pouvait être relatif et changer selon les circonstances. Pourtant, le célèbre scientifique Albert Einstein a prouvé ce fait en découvrant la théorie de la relativité. Il montra que le temps est contingent en vitesse et en masse.
Cependant, le Coran a rapporté des informations sur la relativité du temps, notamment dans les trois versets suivants:
Cependant, un jour auprès de ton Seigneur, équivaut à mille ans de ce que vous comptez. (Sourate al-Hajj, 47)
Du ciel, Il administre toute affaire sur terre et la fait ensuite monter vers Lui en un jour équivalant à mille ans de votre calcul. (Sourate as-Sajda, 5)
Les anges ainsi que l'Esprit montent vers Lui en un jour dont la durée est de cinquante mille ans. (Sourate al-Maarij, 4)
Cette référence du Coran à la relativité du temps a été révélée en 610. Elle constitue une autre preuve qu'il s'agit de toute évidence d'un Livre divin.
Le seul objectif du croyant tout au long de sa vie: satisfaire Allah
Le croyant est pleinement conscient de l'existence et de la puissance d’Allah. Il sait pourquoi Allah l'a créé et ce qu'Il attend de lui. C'est pourquoi son but principal est de satisfaire Allah en tant que serviteur. Il recourt à tous les moyens licites pour atteindre ce but et il lutte dans cette voie. Son état d'esprit lui permet de dépasser le mystère de la mort: pour beaucoup elle est synonyme de fin alors que pour le croyant, elle est au contraire une transition vers la vraie vie.
Pour les non-croyants, la mort est un incident qui s'auto-génère et qui met donc un terme à la vie de manière fortuite et spontanée. La vérité est qu’Allah crée la vie et la reprend. La mort n'est certainement pas une coïncidence ou un accident. Elle a lieu au moment et à l'endroit préétablis par Allah.
Le Musulman comprend qu’Allah a pouvoir sur toute chose et que la mort n'est pas une fin mais la transition vers la demeure réelle de l'homme: l'Au-delà. Il évite alors soigneusement de construire sa vie sur un "précipice prêt à s'effondrer". Il se tourne vers Allah car il sait qu'Il est le Propriétaire et Créateur de la vie, de la mort et de ce qui vient après. Dans ce système créé par Allah, il sait que la richesse, le statut social ou le physique ne mène pas au succès mais ne sont que des "causes" éphémères opérant selon les règles édictées par Allah.
La clé du système créé par Allah réside dans Son consentement. Allah ne guide, en effet, que ceux qui recherchent Son plaisir:
Par ceci (le Coran), Allah guide aux chemins du salut ceux qui cherchent Son agrément. Et Il les fait sortir des ténèbres à la lumière par Sa grâce. Et Il les guide vers un chemin droit. (Sourate al-Ma'ida: 16)
Le trait essentiel qui distingue le musulman des autres individus est qu'il voit dans la religion un moyen de gagner le plaisir et la satisfaction d’Allah, tandis que la plupart des gens estiment qu'il s'agit d'un système de croyances occupant une part insignifiante de leurs vies.
Il faut ici faire la distinction entre les véritables Musulmans et ceux qui les imitent, c'est-à-dire les hypocrites. Les Musulmans prennent la religion comme un chemin menant vers le plaisir d’Allah alors que les hypocrites ne recherchent qu'un profit. C'est pourquoi la prière de l'hypocrite est de nature prétentieuse (Sourate 107, al-Ma'un: 6) tandis que les Musulmans prient humblement (Sourate 23, al-Mu'minun: 1-2). De la même manière les musulmans dépensent leur argent pour la cause d’Allah, alors que les hypocrites le font davantage pour impressionner les gens que pour gagner l'agrément d’Allah.
O les croyants! N'annulez pas vos aumônes par un rappel ou un tort, comme celui qui dépense son bien par ostentation devant les gens sans croire en Allah et au Jour dernier. Il ressemble à un rocher recouvert de terre: qu'une averse l'atteigne, elle le laisse dénué. De pareils hommes ne tirent aucun profit de leurs actes. Et Allah ne guide pas les gens mécréants. (Sourate al-Baqara: 264)
Les efforts pour le plaisir d’Allah
L'homme travaille dur pour s'assurer un confort terrestre qu'il estime être le but ultime dans la vie. Il se concentre sur la prospérité matérielle, la reconnaissance sociale ou tout autre bénéfice terrestre. Pour un "vil prix" (Sourate 9, at-Tawba: 9) qui lui échappera des mains rapidement, il sue sang et eau.
Les musulmans aspirent à une bien plus grande récompense, à savoir la satisfaction d’Allah et Son Jardin éternel, c'est pourquoi ils font des efforts dans cette voie. De cette caractéristique, Allah dit:
Quiconque désire [la vie] immédiate, Nous nous hâtons de donner ce que Nous voulons, à qui Nous voulons. Puis, Nous lui assignons l'Enfer où il brûlera méprisé et repoussé. La vie immédiate: allusion à celui qui œuvre uniquement pour les jouissances de la vie d'ici-bas. Et ceux qui recherchent l'Au-delà et fournissent les efforts qui y mènent, tout en étant croyants... alors l'effort de ceux-là sera reconnu. (Sourate al-Isra', 18-19)
Un croyant fait de son mieux pour obtenir l'approbation d’Allah et l'Au-delà. Il "vend" ses biens et sa vie pour la cause d’Allah:
Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis. Ils combattent dans le sentier d'Allah: ils tuent, et ils se font tuer. C'est une promesse authentique qu'Il a prise sur Lui-même dans la Thora, l'Evangile et le Coran. Et qui est plus fidèle qu'Allah à son engagement ? Réjouissez-vous donc de l'échange que vous avez fait: Et c'est là le très grand succès. De l'échange que vous avez fait: du bon marché que vous avez fait (votre personne et vos biens contre le Paradis). (Sourate at-Tawba, 111)
L'attitude du croyant est clairement décrite dans le Coran. Le Paradis est la demeure de ceux qui "croient avec certitude" en Allah et en l'Au-delà (sourate 31, Luqman: 4) et qui font de leur mieux dans la voie d’Allah. En revanche, ceux qui adorent Allah marginalement et placent leurs intérêts futiles au même niveau que la satisfaction d’Allah sont décrits ainsi dans le Coran:
Il en est parmi les gens qui adorent Allah marginalement. S'il leur arrive un bien, ils s'en tranquillisent, et s'il leur arrive une épreuve, ils détournent leur visage, perdant ainsi (le bien) de l'ici-bas et de l'Au-delà. Telle est la perte évidente ! (Sourate al-Hajj: 11)
La taille de la Terre
Quand les gens se lèvent et commencent à marcher, ils ne ressentent aucune pression que ce soit dans une direction ascendante ou descendante. S'asseoir, marcher et courir sont des activités extrêmement banales. Pourtant, chaque fois que les gens s'engagent dans de telles activités, ils sont complètement inconscients qu'ils résistent à une force gravitationnelle très puissante.
La raison la plus importante à cela est la taille de la Terre. Si elle était légèrement plus petite, la gravité serait beaucoup plus faible, l'atmosphère de la planète se fragmenterait et disparaîtrait, et nous serions incapables de rester stable dans le monde. Si la Terre était plus grande, la gravité augmenterait considérablement et différents gaz toxiques rendraient notre atmosphère létale. Même si nous réussissions à nous protéger de ces gaz, nous serions incapables de nous déplacer.
Jusqu'ici, un tel problème ne se pose pas, parce que la taille de la Terre a été déterminée d'une manière qui rend possible la vie humaine. Les conditions combinées sont si délicates qu'il n'y a aucun moyen pour que même l'une d'entre elles puisse apparaître par hasard. Les scientifiques ont calculé la probabilité d'un tel événement tel que 1 sur 10123.[1] De toute évidence, la formation accidentelle d'un environnement adapté à la vie est impossible.
Si Allah l’avait voulu ainsi, Il pourrait rendre chaque étoile et chaque planète propice à la vie, les hommes n’auraient pas besoin de manger ni de boire, de respirer des gaz dans des proportions spécifiques, de la gravité ni du Soleil. Mais Allah, Qui a créé tout ce qui existe, a voulu réunir toutes les conditions étonnamment détaillées et nécessaires à la vie pour rappeler aux gens qu'Il a tout créé et qu'Il contrôle tout et de nous donner l'occasion d'apprécier Sa puissance infinie et de se tourner vers Lui:
Celui à Qui appartient la royauté des cieux et de la terre, Qui ne S'est point attribué d'enfant, Qui n'a point d'associé en Sa royauté et Qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions. (Sourate al Furqane, 2)
[1] Roger Penrose, The Emperor’s New Mind, Oxford University Press, Oxford, 1989.
Michael Denton, Nature’s Destiny, The Free Press, 9, New York, 1998.
La résistance antibiotique et l'immunité DDT ne sont pas des preuves de la théorie de l'évolution
L'un des concepts biologiques que les évolutionnistes tentent de présenter comme preuve de leur théorie est la résistance des bactéries aux antibiotiques. Presque toutes les sources évolutionnistes présentent la résistance antibiotique comme "un exemple du développement des vivants par mutations avantageuses". La même chose est prétendue pour le cas des insectes qui développent une immunité aux insecticides tels que le DDT.
La résistance des bactéries aux antibiotiques, que les évolutionnistes tentent de présenter comme preuve de la théorie de l'évolution, n'est qu'une supercherie.
Cependant, les évolutionnistes se trompent également à ce sujet.
Les antibiotiques sont des "molécules tueuses" qui sont produites par des micro-organismes pour combattre d'autres micro-organismes. Le premier antibiotique était la pénicilline, découverte par Alexander Fleming en 1928. Fleming s'était rendu compte que la moisissure produisait une molécule capable de tuer la bactérie staphylocoque. Cette découverte a été un événement majeur dans le monde médical. Les antibiotiques issus des micro-organismes étaient utilisés contre les bactéries et les résultats étaient très positifs.
Peu de temps après, une nouvelle découverte était réalisée. Les bactéries développent des immunités contre les antibiotiques avec le temps. Le mécanisme fonctionne de la manière suivante: une grande partie des bactéries qui sont exposées aux antibiotiques meurt, alors que les autres qui ne sont pas affectées par cet antibiotique, se reproduisent rapidement et forment très vite toute une population. Ainsi, toute la population devient immunisée contre les antibiotiques.
Les évolutionnistes tentent de présenter cela comme "l'évolution de la bactérie par l'adaptation aux conditions".
La vérité toutefois est très différente de cette interprétation superficielle. Le biophysicien israélien, Lee Spetner, également connu pour son ouvrage paru en 1997, Not By Chance, a effectué des recherches poussées sur la question. Spetner affirme que l'immunité de la bactérie résulte de deux mécanismes différents, sans qu'aucun d'eux ne constitue pour autant une preuve de la théorie de l'évolution. Ces mécanismes sont:
1- Le transfert des gènes résistants déjà présents dans les bactéries.
2- Le développement de résistance par les bactéries suite à la perte de données génétiques à cause de la mutation.
Dans un article paru en 2001, Spetner explique le premier mécanisme:
"Certains micro-organismes possèdent des gènes qui fournissent une résistance à ces antibiotiques. Celle-ci peut prendre la forme d'une dégradation de la molécule antibiotique ou son éjection en dehors de la cellule. Les organismes qui sont dotés de ces gènes peuvent les transférer aux autres bactéries, rendant celles-ci résistantes également. Même si les mécanismes de résistance sont spécifiques à un antibiotique particulier, la majorité des bactéries pathogènes a. réussi à accumuler plusieurs ensembles de gènes qui lui offrent une résistance à une variété d'antibiotiques."1
Spetner enchaîne et affirme que cela "ne prouve pas l'évolution":
"Le développement de la résistance antibiotique de cette manière n'est pas du genre qui peut servir de prototype aux mutations nécessaires pour expliquer l'évolution. Les changements génétiques qui peuvent illustrer la théorie doivent ajouter des informations non seulement au génome des bactéries, mais également à l'ordre biologique. Le transfert horizontal des gènes ne s'opère que sur les gènes qui existent déjà dans certaines espèces."2
Par conséquent, nous ne pouvons pas parler d'évolution dans ce cas. Car, il n'y a pas production de nouvelles informations génétiques: l'information génétique déjà existante est tout simplement transférée entre les bactéries.
La deuxième sorte d'immunité, celle qui résulte d'une mutation, n'est pas un exemple de l'évolution non plus. Spetner écrit à ce propos:
"Un microorganisme peut parfois développer une résistance à un antibiotique à travers une substitution aléatoire d'un seul nucléotide. Streptomycine, qui fut découverte par Selman Waksman et Albert Schatz et présentée pour la première fois en 1944, est un antibiotique contre lequel la bactérie peut développer une résistance de cette manière. Cependant, même si la mutation qu'ils subissent au cours du processus est bénéfique aux micro-organismes en la présence de la streptomycine, elle ne peut pas servir de prototype pour le genre de mutations nécessaires à la théorie néo-darwinienne. Le genre de mutation qui offre la résistance à la streptomycine est manifeste dans le ribosome et entraîne des dégâts dans son harmonie moléculaire avec la molécule antibiotique. Ce changement au niveau de la surface du ribosome du micro-organisme empêche la molécule streptomycine d'adhérer et remplir sa fonction antibiotique. Il apparaît que cette dégradation est une perte de spécificité et par conséquent une perte d'informations."3
Pour résumer, une mutation qui affecte le ribosome de la bactérie rend celle-ci résistante à la streptomycine. La raison en est la "décomposition" du ribosome par mutation. Aucune information génétique n'est ajoutée à la bactérie. Au contraire, la structure du ribosome est décomposée; la bactérie est "désactivée". (De plus, il a été prouvé que le ribosome de la bactérie qui a subi la mutation est moins fonctionnel que celui d'une bactérie normale.) Puisque cet "handicap" empêche l'antibiotique conçu pour adhérer au ribosome, "la résistance antibiotique" se développe.
Enfin, il n'existe aucun exemple de mutation qui "développe l'information génétique".
Une situation similaire s'applique à l'immunité que les insectes développent à la DDT et aux insecticides similaires. Dans la majorité des cas, les gènes de l'immunité, qui existent déjà sont utilisés. Le biologiste évolutionniste, Fransisco Ayala, reconnaît ce fait lorsqu'il déclare que "les variantes génétiques nécessaires à la résistance à la majorité des pesticides étaient apparemment présentes dans chaque population exposée à ces composants fabriqués par l'homme".4 D'autres exemples expliqués par la mutation, à l'instar de la mutation du ribosome mentionnée précédemment, sont des phénomènes qui causent "un déficit dans l'information génétique" chez les insectes.
Dans ce cas, on ne peut pas prétendre que les mécanismes de l'immunité chez les bactéries et les insectes constituent une preuve justifiant la théorie de l'évolution. Car la théorie de l'évolution est basée sur l'affirmation que les vivants se développent à travers les mutations. Toutefois, Spetner explique que ni l'immunité antibiotique ni un quelconque phénomène biologique ne peuvent servir d'exemple à la mutation:
"Les mutations nécessaires à la macro-évolution n'ont jamais été observées. Aucune mutation aléatoire, observée au niveau moléculaire, susceptible de représenter les mutations exigées par la théorie néo-darwinienne n'a jamais ajouté la moindre information. La question que je pose alors est la suivante: est-ce que les mutations qui ont été observées sont du genre que la théorie exige? Il semble que la réponse est NON!"5
1 Dr. Lee Spetner, "Lee Spetner/Edward Max Dialogue: Continuing an exchange with Dr. Edward E. Max", 2001,
http://www.trueorigin.org/spetner2.asp
2 Ibid.
3 Ibid.
4 Francisco J. Ayala, "The Mechanisms of Evolution", Scientific American, vol. 239, septembre 1978, p. 64.
5 Dr. Lee Spetner, "Lee Spetner/Edward Max Dialogue: Continuing an exchange with Dr. Edward E. Max", 2001, http://www.trueorigin.org/spetner2.asp
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