Grâce aux communiqués inspirés par les déclarations et travaux d’Adnan Oktar, les développements historiques qui ont lieu en Azerbaïdjan se poursuivent à toute allure. Après la visite du premier ministre turc Tayyip Erdoğan en Azerbaïdjan fin mai, le président turc Abdullah Gül a rencontré début juillet le chef d’Etat arménien et une amitié qu’onxx n’en avait pas vue depuis longtemps est née. Parallèlement à cet évènement couvert par la presse sous des titres comme "L’Image tant attendue", les propos tenus par le président arménien Sargsyan au quotidien russe Rossiyskaya et dans un article publié dans The Wall Street Journal sont particulièrement significatifs. Le président arménien Sargsyan affirme :
"La seule manière civilisée de résoudre des problèmes entre deux états réside dans l’établissement de relations diplomatiques." "… nous devons avoir le courage et la lucidité d'agir maintenant. L'Arménie et la Turquie n'ont pas besoin et ne devraient pas être rivales en permanence." "Un futur plus prospère et plus salutaire pour l'Arménie comme pour la Turquie, l'ouverture d'un couloir est-ouest historique pour l'Europe, la région caspienne et le reste du monde, ce sont là des buts que nous pouvons et devons atteindre." "Je saisis cette occasion de proposer un nouveau départ - une nouvelle phase du dialogue avec le gouvernement et le peuple turcs, dans le but de normaliser nos relations et ouvrir notre frontière commune." |