Lorsqu’un organe quelconque souhaite produire une protéine donnée, il envoie un message aux cellules. Quand la molécule "messagère" atteint la cellule, elle se fixe à l'antenne sur la membrane cellulaire. Pendant cette liaison, elle transmet le message qu'elle porte par sa seule présence à l'antenne, laquelle transmet ensuite l’information qu'elle a reçue à sa "queue" à l’intérieur de la cellule. Les antennes qui étaient au départ seules chacune, se réunissent désormais par groupes de pairs. Les enzymes de cette région concernée du corps modifient la forme de la section de la queue en y ajoutant du phosphate dans le cadre d'un processus appelé phosphorylation. Tous ces processus font intervenir les protéines dans la cellule que l’on appelle molécules de communication (Figure 81).
Plusieurs molécules et protéines fournissent un appui technique à ce système. A ce stade, les molécules appelées GTP (guanosine triphosphate) – et ces protéines désignées sous le nom de G tout court – ont un effet important. Si le système fonctionne efficacement, il est vital que plusieurs facteurs entrent tous en jeu au bon moment (Figure 82).
Il est évidemment très difficile que ce système de communication, dont la première étape est décrite ici en termes généraux, puisse arriver à l’existence en survenant spontanément, et il est impossible que les atomes inconscients constituant la cellule puissent inventer un tel système. C'est Allah Tout-Puissant Qui a créé ce système parfait à partir de rien. Allah est Celui Qui inspire à tous les êtres vivants ce qu'ils doivent faire et Qui les maintient sous Son contrôle à tout moment.