La Turquie et l'Azerbaïdjan sont deux frères inséparables
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La Turquie et l'Azerbaïdjan sont deux frères inséparables

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Le quotidien Edalat d’Azerbaïdjan, le 5 novembre, 2008

Adnan Oktar : Par exemple, le fait que nous soyons séparés de l’Azerbaïdjan c’est comme si on séparait Konya d’Istanbul. Nouspartageons la même langue, la même religion, les mêmes traditions, nous venons de la même lignée, nous sommes les enfants du même ancêtre ; mais ils nous ont mis dans une pièce, et ils ont mis l’autre partie dans une autre, ils ont mis une barrière entre nous. Merci Allah, la jeunesse azerbaïdjanaise s’est réveillée maintenant, ainsi que la jeunesse turque. De nos jours, je n’ai vu personne qui ne veut pas que l’Azerbaïdjan et la Turquie s’unissent, à savoir tout le monde le veut. Après obtenir cette structure, le reste est très facile. Après ceci, il ne reste que quelques réunions et quelques décisions officielles. Le fait que le peuple décide est très important ; le peuple l’a décidé ; grâce à Allah nous l’avons assuré, Allah nous y a conduits. Le Kazakhstan, le Tadjikistan, et le Turkménistan sont tous en rang par la volonté d’Allah. Le fait qu’ils s’unissent signifie que l’unité de la nation turque en tant que nation, c’est ce qui est le plus raisonnable… L’union de la Turquie et de l’Azerbaïdjan anime l’âme et le cœur, il n’y a pas de problème. L’Azerbaïdjan est constituée d’individus très cultivés et éduqués ; même s’ils n’étaient pas ainsi, nous les éclairerions. Même s’ils étaient pauvres, nous les rendrions riches avec la permission d’Allah, il n’y a pas de telle question. Par exemple ; imaginez qu’ils aient séparé le père et l’enfant et que l’enfant soit illettré et que le père soit très savant, très riche et que son enfant soit très pauvre, quelle est la différence ? Lorsque le père et l’enfant se rencontrent, les biens matériaux du père appartiendront évidemment à l’enfant ; le père transmettra immédiatement sa connaissance, il donnera aussitôt sa propriété, sa possession à son enfant. C’est ainsi que nous voyons l’Azerbaïdjan comme faisant partie de nos vies. Quelle est la différence ? Peu importe les différences, tout serait immédiatement résolu avec amour et affection. D'autre part, l'Azerbaïdjan est déjà un pays riche avec ses mines et son pétrole, ils n'ont donc pas besoin de quelque chose comme ça. Mais bien sûr, les données techniques, l'expérience, la force de labeur de la Turquie renforcerait évidemment l'Azerbaïdjan. Mais, mêmes si nous mourrions de faim; nous voulons avant tout devenir frères. Nous voulons manger  ensemble avec eux à la même table, peut-être que nous aurons du fromage ou du pain, mais nous y consentons. Ce qui est essentiel c’est que nous vivions notre fraternité. Ce qui compte pour nous est le sens spirituel. En d'autres termes ; nous ne sommes pas intéressés par ce que l'Azerbaïdjan nous apporterait ou nous en prendrait. Ici, il y a la question d’un père qui rejoint son enfant. Nous recherchons cela. Quelle est la différence ? Nous mangerons ensemble à la même table le plus tôt possible.

Le quotidien Vakit, le 18 mai 2010

 

     Erdogan a rencontré Aliev, le Président de l'Azerbaïdjan. Alors que M. Erdoğan disait que “La Turquie et l'Azerbaïdjan sont deux frères inséparables et nous sommes des membres de la famille” ; d'autre part Aliev a déclaré, “nous agissons ensemble avec la Turquie”.     

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