Trabzon TV, le 4 septembre 2008

Adnan Oktar : LA SYRIE ET LA TURQUIE PEUVENT S’UNIR A TOUT MOMENT. La Syrie veut intensément que la Turquie se comporte comme un grand frère... Ils veulent que la Syrie et la Turquie soient des pays distincts en un seul ensemble. C’est excellent, pour l’Union Turco-Islamique. Evidemment il n’y a pas de différence entre nous, et la Turquie et la Syrie s’uniront, incha Allah. Ceci en est un signe. Nous pourrons aller en Syrie sans passeport ou visa, et les Syriens pourront venir et rester ici comme ils le veulent. Nous serons tous des frères, incha Allah, et ce sont les premiers signes de cette grande unité.

 



Ekin TV, le 29 janvier 2009

Adnan Oktar : Le souhait de chacun où que ce soit, pour l’Union Turco-Islamique doit être souligné. Par exemple, les gens peuvent écrire aux autorités officielles, on peut discuter de ce sujet dans les cafés et on peut en parler. On doit faire de ce sujet une partie sérieuse de l’ordre du jour au moyen de débats à télévision et de tous les instruments. Notre échec à s’unir est tellement illogique. Nous venons de la même lignée, de la même race, nous partageons la même religion, toute chose nous concernant est la même. Il existe beaucoup barrières et elles doivent être ouvertes. On doit ouvrir les frontières avec l’Azerbaidjan, ainsi que celles avec la Georgie, l’Iran et l’Irak. LES PORTES DES FRONTIERES AVEC LA SYRIE DOIVENT ETRE OUVERTES, également celles avec le Turkestan. Permettez-nous de faire du commerce commodément, de converser. Ils font partie de nous, ils sont nos très chers frères. POURQUOI DEVRIONS-NOUS MONTRER UN PASSEPORT QUAND NOUS ARRIVONS A LA FRONTIERE ? NOUS DEVONS ETRE LIBRE DE PASSER EN VOITURE.


Le Quotidien Bugün, le 24 décembre 2009



 
NOUS AVONS ATTENDU SI LONGTEMPS POUR NOUS EMBRASSER

51 accords de coopération et de protocoles d'entente entre la Turquie et la Syrie furent signés. Erdoğan a déclaré que les ministres du transport de deux pays avaient réalisé l’inauguration du chemin de fer Gaziantep-Aleppo et dit : “Ce fut également très significatif. Incha Allah nous pouvons continuer cela avec le chemin de fer Damascus et Hedjaz. L’histoire nous fera de nouveau vivre ainsi qu’aux futures générations cette excitation attendue. Il est évident que les pas qu’on fait sont de grandes importances sociales, commerciales et culturelles.”

Le Premier Ministre Erdoğan a cité qu’il était également important que les liaisons routières et ferroviaires entre les deux pays soient associées. Il a conclu ainsi : “Nous considérons la Syrie, non  pas comme un marché avec une population de 20 millions d’habitants, mais comme une porte d’entrée au marché du Moyen-Orient avec une population de 320 millions d’habitants.”