Ce qu'il a dit?Ce qui s'est passé?

 

Çay TV, le 11 mars 2009

Adnan Oktar : En tant que nation, chaque patient est sous notre responsabilité.
Ce n’est pas une faute d’être malade, c’est un honneur et c’est notre responsabilité de prendre soin d’eux. Si l’un de nos frères est malade, notre frère nous sera confié en tant que nation. Nous prendrons soin de lui. Nous en sommes responsables tout comme nous le sommes pour son traitement, l’alimentation, le confort, la joie et le bonheur.On ne prend pas d’argent à une personne malade.  Une personne atteinte  d'un cancer doit aller dans meilleurs hôpitaux de la plus haute qualité. Un patient cancéreux doit aller dans un l'hôpital de première classe et doit être bien traité.

Il sera respecté et aimé, et accueilli dans ces larges et beaux salons des hôpitaux de première classe.

Il aura des conversations religieuses, parlera et sera de bonne humeur. Parce que comme vous le savez, la bonne humeur est très importante pour ces malades.

Les hôpitaux font vendre leurs maisons aux patients, voitures et leur font dépenser tout leur argent pour le traitement. Les patients s’endettent afin d’y être traités. Néanmoins, le fait qu’ils soient traités ou non est un autre sujet. Cette fois-ci, les patients sont mis dans une position désavantageuse de deux manières. Sans leur montrer l’amour et la compassion et en leur causant la dette financière.On ne doit pas prendre de l’argent au patient. Nous considérerons ceci comme une décence nationale. Ce n’est pas quelque chose d’acceptable.

Zaman, le 13 août 2010

 

Recep Akdağ, le Ministre de la Santé, a déclaré que les hôpitaux publics et privés ne demanderaient plus d’argent aux patients dans les services d’urgences. Akdağ a averti que les licences des hôpitaux qui demandent de l’argent aux patients serait annulées et a ajouté : ‘Demander de l’argent est une situation initiant un processus qui conduira à l’annulation de la licence des hôpitaux et le contrat avec l’institution de la sécurité sociale (SGK). Dans de tels cas, nos habitants doivent appeler le 184 et déposer leurs plaintes. Ils doivent être conscients de leurs droits et ne doivent jamais renoncer.’