[...] Allah veut pour vous la facilité, Il ne veut pas la difficulté pour vous… (Sourate al-Baraqa, 185) |
Dis : “Dans ce qui m’a été révélé, je ne trouve d’interdit, à aucun mangeur d’en manger, que la bête (trouvée) morte, ou le sang que l’on a fait couler, ou la chair de porc – car c’est une souillure – ou ce qui, par perversité, a été sacrifié à autre qu’Allah.” Quiconque est contraint, sans toutefois abuser ou transgresser, ton Seigneur est certes Pardonneur et Miséricordieux. (Sourate al-An’am, 145)
Mangez donc de ce qu’Allah vous a attribué de licite et de bon. Et soyez reconnaissant pour les bienfaits d’Allah, si c’est Lui que vous adorez. Il vous a, en effet, interdit (la chair) de la bête morte, le sang, la chair de porc et la bête sur laquelle un autre nom que celui d’Allah a été invoqué. Mais quiconque en mange sous contrainte, et n’est ni rebelle ni transgresseur, alors Allah est Pardonneur et Miséricordieux. (Sourate an-Nahl, 114-115)
[...] Et si vous êtes pollués “junub”, alors purifiez-vous (par un bain) ; mais si vous êtes malades, ou en voyage, ou si l’un de vous revient du lieu où il a fait ses besoins ou si vous avez touché aux femmes et que vous ne trouviez pas d’eau, alors recourez à la terre pure, passez-en sur vos visages et vos mains. Allah ne veut pas vous imposer quelque gêne, mais Il veut vous purifier et parfaire sur vous Son bienfait. Peut-être serez-vous reconnaissants. (Sourate al-Ma’ida, 6)
(Ces jours sont) le mois de Ramadan au cours duquel le Coran a été descendu comme guide pour les gens, et preuves claires de la bonne direction et du discernement. Donc, quiconque d’entre vous est présent en ce mois, qu’il jeûne ! Et quiconque est malade ou en voyage, alors qu’il jeûne un nombre égal d’autres jours. – Allah veut pour vous la facilité, Il ne veut pas la difficulté pour vous, afin que vous en complétiez le nombre et que vous proclamiez la grandeur d’Allah pour vous avoir guidés, et afin que vous soyez reconnaissants ! (Sourate al-Baqara, 185)
Nul grief n’est à faire à l’aveugle, ni au boiteux, ni au malade. Et quiconque obéit à Allah et à Son messager, Il le fera entrer dans des Jardins sous lesquels coulent des ruisseaux. Quiconque cependant se détourne, Il le châtiera d’un douloureux châtiment. (Sourate al-Fath, 17)