O vous qui croyez ! Si vous craignez Allah, Il vous accordera la faculté de discerner (entre le bien et le mal), vous effacera vos méfaits et vous pardonnera. Et Allah est le Détenteur de l'énorme grâce. (Sourate al-Anfal, 29)



… Si tu demandes quelque chose, demande-le à Allah, et si tu demandes de l’aide, que ce soit à Allah. Sache que si les gens s’unissaient pour t’apporter un avantage, ils ne pourraient le faire que si Allah l’a décrété pour toi, et que s’ils s’unissaient pour te nuire, ils ne le pourraient que si Allah l’a décrété pour toi. Les plumes ont été retirées, et les pages sont sèches.
Le Prophète Mohammad (paix et bénédiction sur lui)






MATERIAUX INTELLIGENTS

Aujourd'hui, de nombreux scientifiques étudient la structure des matériaux naturels et les utilisent en tant que modèles pour leurs propres recherches, car ces structures possèdent des propriétés telles que la force, la luminosité et l'élasticité. Par exemple, la coquille interne des ormeaux est deux fois plus résistante que n'importe quelle céramique produite par la technologie. La toile d'araignée est cinq fois plus résistante que l'acier, et l'adhésif utilisé par les moules pour s'accrocher aux rochers conserve ses propriétés même sous l'eau.1

Gulgun Akbaba, membre du groupe de recherche et du magazine turc Bilim ve Teknik parle des caractéristiques supérieures des matériaux naturels et de la manière dont nous pouvons les utiliser :

Les matériaux traditionnels tels que le verre et la céramique sont de moins en moins adaptés aux technologies qui s'améliorent de jour en jour. Les scientifiques tentent [à présent] de résoudre ce problème. Les secrets de la structure architecturale de la nature commencent lentement à être révélés… De la même façon que la coquille de moule peut se réparer elle-même ou qu’un requin blessé peut soigner ses blessures, les matériaux utilisés par la technologie seront également capables de se renouveler. Ces matériaux plus solides, plus résistants et qui possèdent des propriétés physiques, mécaniques, chimiques et électromagnétiques supérieures, sont également légers et capables de supporter les très hautes températures utilisées par les fusées, engins spatiaux et satellites de recherche lorsqu’ils quittent et entrent dans l’atmosphère. Les travaux réalisés sur les avions de transport supersoniques pour les trajets intercontinentaux montrent que ceux-ci nécessitent également des matériaux à la fois légers et capables de résister à la chaleur. Dans le domaine médical, la création d’os artificiels requiert des matériaux à la fois spongieux et solides, et des tissus aussi similaires que possible de ceux présents dans la nature.2

Afin de produire de la céramique, abondamment utilisée dans la construction et les équipements électriques par exemple, des températures supérieures à 1.000 / 1.500°C sont nécessaires.
Les différents types de céramique qui existent dans la nature ne nécessitent pas d’avoir recours à de telles températures. Une moule, par exemple, construit sa coquille de manière parfaite à seulement 4°C. Cet exemple de créations naturelles stupéfiantes a attiré l’attention du scientifique turc Ilhan Aksay qui s’est interrogé sur la façon dont nous pouvions produire une céramique de meilleure qualité, plus résistante, plus utile et plus fonctionnelle.

En examinant l’intérieur des coquilles de plusieurs crustacés, Aksay remarqua les propriétés extraordinaires de la coquille des ormeaux. Après un agrandissement au 300.000 au microscope, la coquille ressemblait à un mur de briques constitué de couches de carbonate de calcium et de couches de protéines. Malgré la nature fragile du carbonate de calcium, la coquille était d’une résistance extrême en raison de sa structure laminée et moins fragile que les céramiques réalisées par l’homme. Aksay se rendit compte que cette superposition de couches empêchait la propagation des fissures, de la même façon qu’une corde tressée résiste lorsqu’un de ses files se casse.3


La coquille d’ormeau est composée de briques microscopiques assemblées en lamelles ce qui évite que les fissures se répandent à travers la coquille.
A partir d’un tel exemple, Aksay développa des composites en céramique très solides et très résistants. Après avoir subi des tests dans de nombreux laboratoires de l’armée américaine, un composite à base d’aluminium et de carbure de bore qu’il aida à développer fut utilisé dans le blindage des tanks!4

Afin de produire des matériaux biomimétiques, les scientifiques mènent actuellement des recherches à l’échelle microscopique. Le professeur Aksay indique par exemple que les matériaux de type biocéramique présents dans les os et les dents sont crées à température corporelle à l’aide d’une combinaison de matériaux organiques tels que les protéines et sont dotés de propriétés largement supérieures à celles des céramiques réalisées par l’homme. Encouragées par les thèses d’Aksay qui démontrent que les propriétés supérieures des matériaux naturels proviennent de liaisons réalisées à une échelle nanométrique (un millionième de millimètre), de nombreuses sociétés productrices d’outils microscopiques ont utilisé des matériaux d’inspiration "bio", autrement dit des substances artificielles qui s’inspirent de substances biologiques.5

Beaucoup trop de produits industriels et de produits dérivés, fabriqués à haute pression et à température élevée, contiennent des produits chimiques dangereux. La nature au contraire produit des substances similaires sans utiliser de produits toxiques - dans des solutions aqueuses, par exemple, et à température ambiante, ce qui représente un avantage considérable pour les consommateurs et scientifiques.6

Les producteurs de diamants synthétiques, les créateurs d’alliages métalliques, les scientifiques spécialisés dans les polymères, les experts en fibre optique, les producteurs de céramique et les développeurs de semi-conducteurs trouvent pratique l’utilisation du biomimétisme. Les matériaux naturels qui peuvent répondre à tous leurs besoins, offrent également de nombreuses variantes. Ainsi les experts qui travaillent dans différents domaines – depuis le gilet pare-balles aux turboréacteurs – imitent les modèles originaux présents dans la nature en reproduisant leurs propriétés exceptionnelles grâce à des procédés artificiels.










Les coraux rivalisent avec les coquilles de moule en nacre en termes de solidité. Grâce à l’utilisation des sels de calcium présents dans l'eau de mer, le corail possède une structure qui peut découper la coque en fer des navires.

Les matériaux crées par l’homme finissent inévitablement par se briser ou se casser. Ceux-ci doivent alors être remplacés, réparés ou recollés. Mais, certains matériaux présents dans la nature tels que la coquille de moule peuvent se réparer seuls. Récemment les scientifiques ont commencé à développer des substances telles que les polymères et les poly-cyclâtes qui ont la particularité de pouvoir se renouveler.7 Dans cette quête de développement de matériaux capables de se renouveler automatiquement, la corne de rhinocéros fut un des éléments naturels de référence. Au 21ème siècle, de telles recherches vont constituer le point de départ des études scientifiques sur les matériaux.


L'armée américaine a soumis la substance découverte grâce aux ormeaux à différents tests pour ensuite l'utiliser dans les armures et les tanks.

De nombreuses substances présentes dans la nature possèdent des caractéristiques qui peuvent servir de modèles pour les inventions actuelles. L'os est beaucoup plus résistant que le fer, à poids égale.
 


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1 “Business and Nature in Productive, Efficient Harmony” de David Perlman, San Francisco Chronicle, 30 novembre 1997, p. 5 ; http://www.biomimicry.org/reviews_text.html
2 “Malzeme Biliminin Onderlerinden”, Ilhan Aksay, Bilim ve Teknik, TUBITAK Publishings, Février 2002, p. 92
3 “Mimicking Nature” de Billy Goodman, Princeton Weekly, 28 janvier 1998 ; htp://www.princeton.edu/~cml/html/publicity/PAW19980128/0128feat.htm
4 “Malzeme Biliminin Onderlerinden” (A leading figure in material science) de Ilhan Aksay, Bilim ve Teknik (Science and Technology Magazine), TUBITAK Publishings, février 2002, p. 93
5 Ibid.
6 “Tricks of Nature” de Julian Vincent, New Scientist, 17 août 1996, vol. 151, no : 2043, p. 38
7 “Malzeme Biliminin Onderlerinden”, Ilhan Aksay, Bilim ve Teknik, TUBITAK Publishings, Février 2002, p. 93




Allah accroît Ses faveurs envers ceux qui Lui sont reconnaissants

Chacun a besoin d’Allah à chaque instant de sa vie. Qu'il s'agisse de l'air que nous respirons ou de la nourriture que nous mangeons, de la capacité à utiliser notre main ou de la faculté de parler, que nous soyons abrités sous un toit ou que nous jouissions d'une bonne humeur, nous dépendons complètement des faveurs créées par Allah et de ce qu'Il nous accorde. Toutefois, une grande majorité des gens ne perçoivent pas leur faiblesse et ne réalisent pas qu'ils sont dépendants d’Allah. Ils supposent que les événements se développent spontanément ou qu'ils obtiennent toute chose grâce à leurs propres efforts. Ceci est non seulement une grave erreur, mais aussi une sérieuse ingratitude envers Allah. Ironiquement, les individus qui remercient une personne pour un cadeau insignifiant, passent toute leur vie à ignorer les infinies bénédictions que Allah leur a accordées pendant leur vie. Cependant, les bienfaits accordés à une personne sont tellement nombreux qu'il serait impossible de les compter. Allah explique ce principe dans le verset suivant :
 
Et si vous comptez les bienfaits d’Allah, vous ne saurez pas les dénombrer. Car Allah est Pardonneur, et Miséricordieux. (Coran, 16 : 18)
 
Malgré ce fait, la plupart des gens refusent de remercier Allah pour toutes les faveurs qu'ils possèdent. La raison de ce comportement est expliquée dans le Coran : Satan, qui a promis de détourner les hommes du chemin d’Allah, a dit que son objectif ultime est de rendre les personnes ingrates envers Allah. Ces paroles provocantes de Satan envers Allah ne fait qu'accentuer l'importance de remercier Allah.
 
Puis je les assaillerai de devant, de derrière, de leur droite et de leur gauche. Et, pour la plupart, Tu ne les trouveras pas reconnaissants.
"Sors de là", dit (Allah,) banni et rejeté. Quiconque te suit parmi eux... de vous tous, J'emplirai l'Enfer." (Coran, 7 : 17-18)
 
Les croyants, d'autre part, conscients de leurs faiblesse et humilité face à Allah, Le remercient pour chaque faveur qu'Il leur a donnée.

L'argent et les possessions ne sont pas les seules faveurs pour lesquelles les croyants remercient Allah. Sachant que Allah est le Maître et le Possesseur de toute chose, les croyants expriment leur profonde reconnaissance pour la bonne santé, la beauté, la connaissance, la sagesse, l'amour de la foi et la haine de l'incrédulité, la compréhension, la perspicacité, la prévoyance et le pouvoir. Ils sont reconnaissants pour avoir été guidés dans la bonne voie et pour être en compagnie des autres croyants. Un magnifique paysage, le bon déroulement de leurs affaires, la réalisation de leurs voeux, une joie, une conduite respectueuse ou toute autre faveur incitent les croyants à se tourner immédiatement vers Allah, à Lui exprimer leur reconnaissance et à réfléchir sur Sa clémence et Sa compassion.

En échange de leur bonne conduite morale, une récompense attend les croyants. Ceci est un autre secret révélé dans le Coran ; Allah augmente Ses faveurs sur ceux qui Lui sont reconnaissants. Par exemple, Il accorde davantage de pouvoir ainsi qu'une bonne santé à ceux qui Lui sont reconnaissants pour la santé et force dont ils jouissent. Allah accorde encore plus de savoir et richesse à ceux qui Lui sont reconnaissants pour leur connaissance et leurs atouts financiers. Ceci s'explique par la sincérité de ces personnes et par le fait qu'elles sont satisfaites de ce que Allah leur donne et qu'elles considèrent Allah comme étant leur ami. Allah révèle ce secret dans le Coran comme suit :


Et lorsque votre Seigneur proclama : "Si vous êtes reconnaissants, très certainement J'augmenterai (Mes bienfaits) pour vous. Mais si vous êtes ingrats, Mon châtiment sera terrible." (Coran, 14 : 7)
 
Etre reconnaissant est également un signe de proximité envers Allah et de Son amour. Les personnes qui Le remercient ont la persévérance et la capacité de distinguer les beautés et les bienfaits que Allah a créés. Le Messager d’Allah, paix et bénédiction sur lui, s'est également référé à ce principe lorsqu'il a dit:

Lorsque Allah vous accorde des biens, la joie du bienfait divin doit se refléter sur vous.
 
D'un autre côté, une personne non-croyante ou ingrate va simplement voir les imperfections et les fautes même dans l'environnement le plus merveilleux, et sera ainsi mécontent et insatisfait. En effet, dans l'objectif divin de la création par Allah, de telles personnes vont très souvent faire face à des évènements non favorables et à des scènes désagréables. Parallèlement, Allah manifeste davantage de Ses faveurs et bienfaits à ceux qui ont une perspective sincère et perspicace.
 
Le fait que Allah accroisse Ses faveurs sur ceux qui sont reconnaissants représente l'un des secrets du Coran. Cependant, nous devons nous rappeler que la sincérité demeure une condition préalable pour devenir reconnaissant. Il n'y a aucun doute que montrer sa reconnaissance sans se tourner sincèrement vers Allah et ressentir la paix interne de la clémence et compassion d’Allah, pour simplement impressionner les gens, serait une stupidité sans précédent. Allah sait ce que le coeur nourrit, et Il va témoigner de ce manque de sincérité.
 
Ceux qui ont des intentions hypocrites peuvent bien les cacher aux êtres humains, mais pas à Allah. De telles personnes vont certainement Le remercier de la façon la plus affectueuse lorsqu'elles ne subissent aucune affliction, mais en période de difficultés, il est possible qu'elles tournent facilement vers l'ingratitude.
 
Il faut remarquer que les croyants sincères demeurent reconnaissants envers Allah même dans les conditions les plus pénibles. Il peut sembler à une personne qui observe de l'extérieur, que certaines des faveurs que les croyants possédaient ont diminué. Cependant, les croyants qui sont capables de percevoir l'aspect positif de chaque évènement et situation, remarquent le bien dans de telles situations. Par exemple, Allah nous dit qu'Il va tester les gens par la peur, la faim et la perte de la richesse ou encore de la vie. Dans des cas pareils, les croyants se réjouissent et éprouvent une reconnaissance, en espérant que Allah va les récompenser avec comme cadeau le paradis en retour de la loyauté dont ils ont fait preuve pendant leur épreuve. Ils savent que Allah n'impose aux gens que ce qu'ils peuvent supporter. La loyauté et la soumission les mènent vers davantage de patience et de reconnaissance. De ce fait, il est indispensable de la part des croyants de faire preuve d'un dévouement et d'une soumission inébranlables, et Allah promet d'augmenter Ses faveurs sur Ses serviteurs reconnaissants dans cette vie et dans l'au-delà.   





LA FIN DE L’UNIVERS ET LE BIG CRUNCH

Comme nous l’avons exposé ci-dessus, la création de l’Univers débuta suite à une énorme explosion. Depuis cet instant-là, l’Univers n’a cessé de s’étendre. Les scientifiques disent que lorsque la masse de l’Univers aura atteint un niveau suffisant, cette expansion s’arrêtera à cause de la gravité, provoquant ainsi l’effondrement de l’Univers sur lui-même.1

On pense aussi que cet Univers en contraction finira par atteindre une température très intense et un degré de "rétrécissement" élevé. Cette théorie est connue sous le nom de Big Crunch. Cela mènerait à la fin de toutes formes de vies telles que nous les connaissons. Renata Kallosh et Andrei Linde, professeurs de physique de l’Université de Stanford ont fait la déclaration suivante sur ce sujet :

L’Univers est peut-être condamné à s’effondrer et à disparaître. Tout ce que nous voyons maintenant, et tout ce qui est à une plus grande distance et que nous ne voyons pas, s’effondrera et ne sera plus qu’un point pas plus gros qu’un proton. Localement, ça sera comme si vous étiez à l’intérieur d’un trou noir…



La théorie du Big Crunch émet l’hypothèse que l’Univers, qui commença son expansion avec le Big Bang, pourrait s’écrouler sur lui-même à une vitesse croissante.
Selon cette théorie, cet effondrement de l’Univers se poursuivra jusqu’à ce que l’Univers perde toute sa masse et qu’il devienne un seul point d’infinie densité.
Nous avons découvert que les meilleures tentatives pour décrire l’énergie sombre, prédisent qu’elle deviendra progressivement négative, ce qui rendra l’Univers instable, puis il s’effondrera… Les physiciens savaient déjà que l’énergie sombre pourrait devenir négative et l’Univers, pourrait, dans un futur très lointain s’effondrer… Mais maintenant nous constatons que nous sommes peut-être, non pas au début mais au milieu du cycle de vie de notre Univers.2

C’est ainsi que l’hypothèse scientifique du Big Crunch est indiquée dans le Coran :


Le jour où Nous plierons le ciel comme on plie le rouleau des livres. Tout comme Nous avons commencé la première création, ainsi Nous la répéterons ; c'est une promesse qui Nous incombe et Nous l'accomplirons. (Coran, 21 : 104)

Dans un autre verset, cet état des cieux est décrit ainsi :

Ils n’ont pas évalué Allah à sa juste valeur : Il saisira la terre tout entière au Jour de la Résurrection et les cieux seront ployés dans Sa dextre. Gloire à Lui et exalté soit-Il au-delà de ce qu’ils lui associent ! (Coran, 39 : 67)

Selon la théorie du Big Crunch, l’Univers va commencer à s’effondrer progressivement puis, à la fin, ce processus ira en s’accélérant. En définitive, la densité et la chaleur qui règneront dans l’Univers seront extrêmes. Cette théorie scientifique est conforme aux explications coraniques sur ce concept scientifique particulier. (Allah sait mieux)


1. Philip Ball, "Black Crunch Jams Universal Cycle", Nature, du 23 decembre 2002 ; Dr David Whitehouse, "Universe is 'doomed to collapse'", BBC News Online, du 22 octobre 2002, http://news.bbc.co.uk/1/hi/sci/tech/2346907.stm ; et Mark Schwartz, "Cosmic 'big crunch' could trigger an early demise of our universe", Stanford Report, du septembre 2002.
2. Schwartz, "Cosmic 'big crunch' could trigger an early demise of our universe", Stanford Report, du 25 septembre 2002.

 


    L'ATLAS DE LA CREATION - vol.1

Cet ouvrage vous fournira des informations concernant les fossiles, leur localisation et leur mode de découverte, et également un examen sérieux d’une variété de spécimens de fossiles, datant de millions d’années, encore capable de déclarer : "Nous ne naquîmes pas de l’évolution, nous fûmes créés." Les fossiles présentés et illustrés dans ce livre ne sont que quelques exemples des centaines de millions de spécimens prouvant le fait de la création. Toutefois, ces quelques exemples suffisent à démontrer que la théorie de l’évolution est un des grands canulars et une des grandes supercheries de l’histoire de la science.

   



Servir l’Islam

Ce site est une invitation pour tous ceux qui désirent que la bonté règne, en leur proposant de s'engager dans les bonnes actions et de se joindre aux bienveillants. Néanmoins, cet appel ne s'adresse pas à n'importe qui, ou quelqu'un de l'extérieur, mais à vous directement. 
  






GRENOUILLE

Age : 50 millions d'années

Période : Eocène

Localisation : Site fossilifère de Messel, Allemagne

Cette grenouille appartient à la famille des pélobatidés. Certains membres de cette famille utilisent leurs membres postérieurs pour s'enfouir dans la vase et d'autres vivent dans un milieu aquatique. Les darwinistes affirment que les poissons sont les ancêtres des amphibiens, sans preuve à l'appui. Les découvertes scientifiques démontrent, au contraire, que les différences anatomiques entre les deux espèces sont si importantes qu'il est impossible que les amphibiens soient issus des poissons.

Selon les archives fossiles, les trois classes basiques des amphibiens ont émergé spontanément. L'évolutionniste Robert Carroll dit :

Les plus anciens fossiles de grenouilles, de cécilies et de salamandres sont apparus entre le jurassique inférieur et moyen. Tous présentent la plupart des attributs importants de leurs descendants vivants. (Robert L. Carroll, Patterns and Processes of Vertebrate Evolution, Cambridge: Cambridge University Press, 1997, pp. 292-293)






SPECIMENS VIVANTS