Les petites fleurs qui se trouvent sur terre sont pour la plupart du temps considérées comme banales par les gens, et ceci malgré leur perfection. Ce qui empêche les gens de saisir les miracles de la création dans ces fleurs réside dans cette familiarité causée par leur vision continuelle. Par conséquent, des fleurs qui poussent dans un endroit totalement différent, dans des conditions totalement différentes et qui ont des tailles totalement différentes pourront être observées sans ces "lunettes de la familiarité" et nous aideront ainsi à mieux comprendre l'existence d'Allah.
Les nénuphars de l'Amazone, qui poussent dans la boue au fond du fleuve Amazone, sont assez intéressants pour faire enlever ces "lunettes de la familiarité" du visage des gens. Ces plantes vivent d'une façon à laquelle nous ne sommes pas accoutumés et leur lutte est très différente de la nôtre.
Ces plantes commencent à croître dans la boue au fin fond du fleuve Amazone, puis se dirigent vers la surface. Elles ont pour but d'atteindre la lumière du soleil qui est essentielle à leur existence. Quand elles touchent finalement la surface de l'eau, elles cessent de grandir et développent des bourgeons ronds et épineux. Ces bourgeons deviennent des feuilles colossales pouvant atteindre 2 mètres de diamètre en un espace de temps très bref, qui peut se résumer à quelques heures. "Sachant" que plus ils couvrent en feuilles abondantes la surface du fleuve, plus ils pourront se servir de la lumière du soleil, ces nénuphars utilisent abondamment la lumière du jour pour effectuer la photosynthèse. En d'autres termes, ils "savent" que s'ils n'agissent pas ainsi, ils ne pourront pas survivre au fond du fleuve à cause du manque de lumière. Cette plante montre, qu'en utilisant cette tactique si "intelligente", elle ne manque pas d'inspiration.
Cependant, la lumière du soleil ne suffit pas à elle seule à faire vivre les nénuphars de l'Amazone: ils ont également besoin d'oxygène. Pourtant, il est évident que cet oxygène n'existe pas dans la terre boueuse dans laquelle leurs racines sont enterrées. C'est pourquoi leurs tiges grandissent de plusieurs mètres pour rejoindre la surface de l'eau où leurs feuilles flottent. Parfois ces tiges atteignent une longueur de 11 mètres; elles sont rattachées aux feuilles et servent de porteurs d'oxygène entre les feuilles et les racines. (David Attenborough, The Private Life of Plants, Princeton University Press - 1995, p. 291)
Comment se fait-il qu'un bourgeon situé dans les profondeurs d'un fleuve -qui a besoin d'oxygène et de la lumière du soleil pour survivre et qui ne pourrait pas vivre en leur absence- peut-il savoir que tout ce dont il a besoin est présent à la surface de l'eau? Un être qui vient juste de naître ne peut se rendre compte ni de l'existence du soleil, ni de celle de l'oxygène, ni du fait que cette eau comporte une fin en soi.
Par conséquent, si l'événement entier est évalué du point de vue des évolutionnistes, ces plantes auraient dû être détruites il y a bien longtemps par les conditions environnementales et l'espèce aurait dû s'éteindre. Néanmoins, les nénuphars sont aujourd'hui encore présents dans toute leur splendeur, et leur incroyable lutte pour la vie continue bien après qu'ils ont atteint la lumière du soleil et qu'ils ont eu accès à l'oxygène présente à la surface de l'eau. Après tout ça, il leur faut en plus redresser les bords de leurs feuilles énormes vers le haut pour les empêcher de s'enfoncer dans l'eau.
Ils ne peuvent continuer à vivre que grâce à toutes ces précautions. Pourtant, ils "savent" également que ce n'est pas suffisant. Il leur faut assurer leur reproduction. Ils ont aussi besoin d'un autre être vivant qui transportera leur pollen vers un autre nénuphar. Cet autre être vivant ne peut être qu'un insecte qui a un faible pour la couleur blanche. Ces insectes préfèrent apparemment les nénuphars blancs parmi toutes les autres fleurs attrayantes du fleuve Amazone. Quand ces créatures qui préservent leur espèce leur rendent visite, les nénuphars de l'Amazone referment alors toutes leurs feuilles, les emprisonnent et leur offrent du pollen. Ils les libèrent seulement après les avoir gardées prisonnières toute une nuit, et c'est uniquement tout de suite après que les nénuphars changent de couleur de sorte que ces insectes ne leur rapportent pas de nouveau le pollen. Ces magnifiques nénuphars, qui dans un premier temps étaient blancs, continueront à partir de ce moment-là à orner le fleuve Amazone d'une couleur rose.
De tels plans impeccables et finement calculés peuvent-ils vraiment être le travail d'un bourgeon ignorant tout? Naturellement que non. Ceci est l'œuvre de la sagesse d'Allah, Qui a créé toute chose. Tous les détails résumés ci-dessus démontrent que les plantes, comme tous les autres êtres vivants dans l'Univers ont été créés en étant déjà dotés de systèmes cohérents, et ceci grâce à leur Créateur.
Les nénuphars peuvent seulement se servir de la lumière du jour une fois qu'ils ont atteint la surface de l'eau. Cela signifie que depuis les profondeurs des marais ils s'allongent jusqu'à la surface de l'eau d'une hauteur qui peut atteindre 2 mètres. Les racines de ces fleurs ont également besoin d'oxygène. Dans l'image de gauche, nous remarquons les tiges qui s'étendent des racines de la plante jusqu'à la surface de l'eau. C'est cette tige qui lui permet de transporter jusqu'aux racines l'oxygène qu'elle a recueilli à la surface de l'eau.
Les petites fleurs qui se trouvent sur terre sont pour la plupart du temps considérées comme banales par les gens, et ceci malgré leur perfection. Ce qui empêche les gens de saisir les miracles de la création dans ces fleurs réside dans cette familiarité causée par leur vision continuelle. Par conséquent, des fleurs qui poussent dans un endroit totalement différent, dans des conditions totalement différentes et qui ont des tailles totalement différentes pourront être observées sans ces "lunettes de la familiarité" et nous aideront ainsi à mieux comprendre l'existence de Dieu.
Les nénuphars de l'Amazone, qui poussent dans la boue au fond du fleuve Amazone, sont assez intéressants pour faire enlever ces "lunettes de la familiarité" du visage des gens. Ces plantes vivent d'une façon à laquelle nous ne sommes pas accoutumés et leur lutte est très différente de la nôtre.
Ces plantes commencent à croître dans la boue au fin fond du fleuve Amazone, puis se dirigent vers la surface. Elles ont pour but d'atteindre la lumière du soleil qui est essentielle à leur existence. Quand elles touchent finalement la surface de l'eau, elles cessent de grandir et développent des bourgeons ronds et épineux. Ces bourgeons deviennent des feuilles colossales pouvant atteindre 2 mètres de diamètre en un espace de temps très bref, qui peut se résumer à quelques heures. "Sachant" que plus ils couvrent en feuilles abondantes la surface du fleuve, plus ils pourront se servir de la lumière du soleil, ces nénuphars utilisent abondamment la lumière du jour pour effectuer la photosynthèse. En d'autres termes, ils "savent" que s'ils n'agissent pas ainsi, ils ne pourront pas survivre au fond du fleuve à cause du manque de lumière. Cette plante montre, qu'en utilisant cette tactique si "intelligente", elle ne manque pas d'inspiration.
Cependant, la lumière du soleil ne suffit pas à elle seule à faire vivre les nénuphars de l'Amazone: ils ont également besoin d'oxygène. Pourtant, il est évident que cet oxygène n'existe pas dans la terre boueuse dans laquelle leurs racines sont enterrées. C'est pourquoi leurs tiges grandissent de plusieurs mètres pour rejoindre la surface de l'eau où leurs feuilles flottent. Parfois ces tiges atteignent une longueur de 11 mètres; elles sont rattachées aux feuilles et servent de porteurs d'oxygène entre les feuilles et les racines. (David Attenborough, The Private Life of Plants, Princeton University Press - 1995, p. 291)
Comment se fait-il qu'un bourgeon situé dans les profondeurs d'un fleuve -qui a besoin d'oxygène et de la lumière du soleil pour survivre et qui ne pourrait pas vivre en leur absence- peut-il savoir que tout ce dont il a besoin est présent à la surface de l'eau? Un être qui vient juste de naître ne peut se rendre compte ni de l'existence du soleil, ni de celle de l'oxygène, ni du fait que cette eau comporte une fin en soi.
Par conséquent, si l'événement entier est évalué du point de vue des évolutionnistes, ces plantes auraient dû être détruites il y a bien longtemps par les conditions environnementales et l'espèce aurait dû s'éteindre. Néanmoins, les nénuphars sont aujourd'hui encore présents dans toute leur splendeur, et leur incroyable lutte pour la vie continue bien après qu'ils ont atteint la lumière du soleil et qu'ils ont eu accès à l'oxygène présente à la surface de l'eau. Après tout ça, il leur faut en plus redresser les bords de leurs feuilles énormes vers le haut pour les empêcher de s'enfoncer dans l'eau.
Ils ne peuvent continuer à vivre que grâce à toutes ces précautions. Pourtant, ils "savent" également que ce n'est pas suffisant. Il leur faut assurer leur reproduction. Ils ont aussi besoin d'un autre être vivant qui transportera leur pollen vers un autre nénuphar. Cet autre être vivant ne peut être qu'un insecte qui a un faible pour la couleur blanche. Ces insectes préfèrent apparemment les nénuphars blancs parmi toutes les autres fleurs attrayantes du fleuve Amazone. Quand ces créatures qui préservent leur espèce leur rendent visite, les nénuphars de l'Amazone referment alors toutes leurs feuilles, les emprisonnent et leur offrent du pollen. Ils les libèrent seulement après les avoir gardées prisonnières toute une nuit, et c'est uniquement tout de suite après que les nénuphars changent de couleur de sorte que ces insectes ne leur rapportent pas de nouveau le pollen. Ces magnifiques nénuphars, qui dans un premier temps étaient blancs, continueront à partir de ce moment-là à orner le fleuve Amazone d'une couleur rose.
De tels plans impeccables et finement calculés peuvent-ils vraiment être le travail d'un bourgeon ignorant tout? Naturellement que non. Ceci est l'œuvre de la sagesse de Dieu, qui a créé toute chose. Tous les détails résumés ci-dessus démontrent que les plantes, comme tous les autres êtres vivants dans l'Univers ont été créés en étant déjà dotés de systèmes cohérents, et ceci grâce à leur Créateur.
Les nénuphars peuvent seulement se servir de la lumière du jour une fois qu'ils ont atteint la surface de l'eau. Cela signifie que depuis les profondeurs des marais ils s'allongent jusqu'à la surface de l'eau d'une hauteur qui peut atteindre 2 mètres. Les racines de ces fleurs ont également besoin d'oxygène. Dans l'image de gauche, nous remarquons les tiges qui s'étendent des racines de la plante jusqu'à la surface de l'eau. C'est cette tige qui lui permet de transporter jusqu'aux racines l'oxygène qu'elle a recueilli à la surface de l'eau.
Les petites fleurs qui se trouvent sur terre sont pour la plupart du temps considérées comme banales par les gens, et ceci malgré leur perfection. Ce qui empêche les gens de saisir les miracles de la création dans ces fleurs réside dans cette familiarité causée par leur vision continuelle. Par conséquent, des fleurs qui poussent dans un endroit totalement différent, dans des conditions totalement différentes et qui ont des tailles totalement différentes pourront être observées sans ces "lunettes de la familiarité" et nous aideront ainsi à mieux comprendre l'existence de Dieu.
Les nénuphars de l'Amazone, qui poussent dans la boue au fond du fleuve Amazone, sont assez intéressants pour faire enlever ces "lunettes de la familiarité" du visage des gens. Ces plantes vivent d'une façon à laquelle nous ne sommes pas accoutumés et leur lutte est très différente de la nôtre.
Ces plantes commencent à croître dans la boue au fin fond du fleuve Amazone, puis se dirigent vers la surface. Elles ont pour but d'atteindre la lumière du soleil qui est essentielle à leur existence. Quand elles touchent finalement la surface de l'eau, elles cessent de grandir et développent des bourgeons ronds et épineux. Ces bourgeons deviennent des feuilles colossales pouvant atteindre 2 mètres de diamètre en un espace de temps très bref, qui peut se résumer à quelques heures. "Sachant" que plus ils couvrent en feuilles abondantes la surface du fleuve, plus ils pourront se servir de la lumière du soleil, ces nénuphars utilisent abondamment la lumière du jour pour effectuer la photosynthèse. En d'autres termes, ils "savent" que s'ils n'agissent pas ainsi, ils ne pourront pas survivre au fond du fleuve à cause du manque de lumière. Cette plante montre, qu'en utilisant cette tactique si "intelligente", elle ne manque pas d'inspiration.
Cependant, la lumière du soleil ne suffit pas à elle seule à faire vivre les nénuphars de l'Amazone: ils ont également besoin d'oxygène. Pourtant, il est évident que cet oxygène n'existe pas dans la terre boueuse dans laquelle leurs racines sont enterrées. C'est pourquoi leurs tiges grandissent de plusieurs mètres pour rejoindre la surface de l'eau où leurs feuilles flottent. Parfois ces tiges atteignent une longueur de 11 mètres; elles sont rattachées aux feuilles et servent de porteurs d'oxygène entre les feuilles et les racines. (David Attenborough, The Private Life of Plants, Princeton University Press - 1995, p. 291)
Comment se fait-il qu'un bourgeon situé dans les profondeurs d'un fleuve -qui a besoin d'oxygène et de la lumière du soleil pour survivre et qui ne pourrait pas vivre en leur absence- peut-il savoir que tout ce dont il a besoin est présent à la surface de l'eau? Un être qui vient juste de naître ne peut se rendre compte ni de l'existence du soleil, ni de celle de l'oxygène, ni du fait que cette eau comporte une fin en soi.
Par conséquent, si l'événement entier est évalué du point de vue des évolutionnistes, ces plantes auraient dû être détruites il y a bien longtemps par les conditions environnementales et l'espèce aurait dû s'éteindre. Néanmoins, les nénuphars sont aujourd'hui encore présents dans toute leur splendeur, et leur incroyable lutte pour la vie continue bien après qu'ils ont atteint la lumière du soleil et qu'ils ont eu accès à l'oxygène présente à la surface de l'eau. Après tout ça, il leur faut en plus redresser les bords de leurs feuilles énormes vers le haut pour les empêcher de s'enfoncer dans l'eau.
Ils ne peuvent continuer à vivre que grâce à toutes ces précautions. Pourtant, ils "savent" également que ce n'est pas suffisant. Il leur faut assurer leur reproduction. Ils ont aussi besoin d'un autre être vivant qui transportera leur pollen vers un autre nénuphar. Cet autre être vivant ne peut être qu'un insecte qui a un faible pour la couleur blanche. Ces insectes préfèrent apparemment les nénuphars blancs parmi toutes les autres fleurs attrayantes du fleuve Amazone. Quand ces créatures qui préservent leur espèce leur rendent visite, les nénuphars de l'Amazone referment alors toutes leurs feuilles, les emprisonnent et leur offrent du pollen. Ils les libèrent seulement après les avoir gardées prisonnières toute une nuit, et c'est uniquement tout de suite après que les nénuphars changent de couleur de sorte que ces insectes ne leur rapportent pas de nouveau le pollen. Ces magnifiques nénuphars, qui dans un premier temps étaient blancs, continueront à partir de ce moment-là à orner le fleuve Amazone d'une couleur rose.
De tels plans impeccables et finement calculés peuvent-ils vraiment être le travail d'un bourgeon ignorant tout? Naturellement que non. Ceci est l'œuvre de la sagesse de Dieu, qui a créé toute chose. Tous les détails résumés ci-dessus démontrent que les plantes, comme tous les autres êtres vivants dans l'Univers ont été créés en étant déjà dotés de systèmes cohérents, et ceci grâce à leur Créateur.
Les nénuphars peuvent seulement se servir de la lumière du jour une fois qu'ils ont atteint la surface de l'eau. Cela signifie que depuis les profondeurs des marais ils s'allongent jusqu'à la surface de l'eau d'une hauteur qui peut atteindre 2 mètres. Les racines de ces fleurs ont également besoin d'oxygène. Dans l'image de gauche, nous remarquons les tiges qui s'étendent des racines de la plante jusqu'à la surface de l'eau. C'est cette tige qui lui permet de transporter jusqu'aux racines l'oxygène qu'elle a recueilli à la surface de l'eau.