Les publications darwinistes ont récemment et de nouveau réalisé des images d'une forme de vie très intéressante. Cette étrange créature imaginaire, présentée dans l'image ci-dessous, a été annoncée au monde entier comme étant une "3ème espèce". Les journaux ont édité des légendes frappantes appuyant des allégations darwinistes comme "un hominidé inconnu !" "Une grande découverte, ni Neandertal, ni Homo sapiens" et "un déroulement qui va réécrire l'histoire de l'humanité ..." Et en dessous de ces titres ils placent l'image suivante :
Cette image ainsi que la propagande choc qui l'entoure ne sont basées que sur un doigt auriculaire fossilisé !
Les darwinistes, qui ont précédemment produit des images de l'homme imaginaire Nebraska, fondées sur la dent d'un porc retrouvé avec sa famille dans un environnement social, et qui ont prétendu que cela a fait la lumière sur la prétendue évolution de l'homme, sont allés très loin dans leurs divagations en 2010, alors que l'effondrement du darwinisme a été ouvertement déclaré, en produisant une bibliographie entière basée sur le petit doigt d'un jeune enfant, et en l'annonçant en tant que troisième espèce.
Un autre exemple d'un scénario impotent darwiniste
La seule justification que présentent les darwinistes afin d'avoir recours à cette histoire est le fait que ce fossile de 40.000 ans a été découvert dans une grotte dans les monts Altaï en Sibérie, en Asie. Ce fossile qui, selon eux, serait venu d'Afrique en Asie, semble provenir d'une lignée différente selon les résultats d'une analyse de l'ADN mitochondrial, dont les détails figurent ci-dessous, mais cela entre en conflit avec le scénario fictif sur lequel les darwinistes basent leurs idées de migration à partir de l'Afrique.
Pendant des années, les darwinistes ont essayé de fournir une sorte de cadre logique, à leurs yeux du moins, pour soutenir leur conte relatant des espèces humaines qu'ils appellent l'homme de Neandertal et l'Homo sapiens, migrant d'Afrique vers l'Asie, qui continue à être réfuté par les fossiles ainsi que par l'apparition soudaine d'une race humaine différente qui constitue un grand choc pour eux. C'est pour cela qu'ils se réfèrent à ce fossile comme étant une "troisième espèce humaine”. Ce scénario, basé sur un seul doigt, est si grotesque que même un enfant ne pourrait y croire. Dès lors que le rapport en question a été édité (c'est osé !) dans toutes les publications darwinistes et décoré d'une variété de termes scientifiques, il serait avantageux d'établir les preuves scientifiques démontrant l'invalidité de cette affirmation illogique.
Le prétexte irrationnel dépeint comme preuve pour la troisième espèce : Analyse de l'ADN mitochondrial
Les darwinistes ont de nouveau eu recours à la tromperie scientifique afin de faire d'un doigt auriculaire la base d'un récit concernant, soi-disant, une troisième espèce. Une terminologie particulière a été employée dans les publications concernées afin de faire croire aux gens que cette histoire est soutenue par la génétique et donc par les preuves scientifiques.
Tout d'abord, afin d'atteindre l'information génétique d'un organisme, nous avons besoin de l'ADN dans les cellules. Mais nous ne savons rien au sujet de l'ADN de la forme de vie en question. Et sans son ADN, il est impossible d'obtenir toute information comme l'apparence ou la structure anatomique. En effet, le site web National Geographic, dans lequel le rapport a été publié, a explicitement déclaré qu'il était impossible de parler de la structure du squelette, de la musculature, des capacités cérébrales, ou de l'apparence ; en bref, aucune caractéristique de cette forme de vie.1
La seule source de toute cette agitation sur le fossile en question est les allégations darwinistes dénudées de fondement concernant l'obtention de l'ADN mitochondrial (ADN mt) de cette forme de vie. Hors, contrairement à l'ADN principal de la cellule, l'ADN mitochondrial est l'ADN se trouvant dans la mitochondrie et il ne lui appartient qu'à elle et à elle seule. Par conséquent, il est impossible d'obtenir les informations génétiques ou les caractéristiques physiques d'un organisme grâce à l'analyse de l'ADN mitochondrial. Les darwinistes pensent qu'ils peuvent déterminer les ancêtres d'une forme de vie par le biais de l'analyse de l'ADNmt. Les darwinistes prétendent donc qu'ils peuvent, par le biais de cette technique, déterminer que cette chose vivante serait issue d'une lignée différente et qu'elle constituerait une nouvelle espèce qui aurait quitté l'Afrique pour rejoindre l'Asie il ya 40.000 ans, tout en prétendant qu'ils peuvent déterminer ses ancêtres de manière plus compréhensible. Cependant, à la fois le contenu et la technique sont illusoires. Pendant de nombreuses années, les darwinistes ont fait valoir que la mitochondrie, une organelle avec son propre ADN et responsable de la production d'énergie dans la cellule, n'est transmise que par la mère, et que les changements dans les composants de l'ADN mitochondrial pourraient être suivis de mère en mère jusqu'aux premiers ancêtres. Ils ont affirmé qu'une même lignée familiale pourrait être suivie à la base d'une analyse de l'ADN mitochondrial et que le point de départ du premier, soi-disant hominidé, pourrait ainsi être établi. Cependant, les allégations darwinistes concernant l'ADNmt ont été totalement réfutées par deux études scientifiques, la première en 1999, la seconde en 2002.
Preuve scientifique qui réfute les prétentions darwinistes concernant l'ADNmt
Deux rapports de la Royal Society datant du 7 Mars 1999 ont démontré que les hypothèses darwinistes au sujet de l'ADNmt étaient injustifiées. On a découvert que la population d'une petite île mélanésienne possédait des mitochondries héritées de leurs pères. Nature, bien que ce soit un magazine darwiniste, a avoué que ces constatations ont infirmé leurs hypothèses concernant l'ADNmt.2
Un rapport similaire a été publiée sur le site web du magazine New Scientist a révélé que quatre-vingt dix pour cent de la mitochondrie d'un patient danois venait de son père. Dans le même rapport, faisant tomber les hypothèses des biologistes évolutionnistes, il est indiqué que : "Même si l'ADN paternel n'est que rarement hérité, il peut réfuter la plupart de leurs conclusions."3
Plus récemment, un article dans la revue Annals of Human Genetics a indiqué que toutes les données mitochondriales publiées à ce jour, sur lesquelles les darwinistes ont basé leurs revendications n'étaient que fausses conjectures.4 Comme nous l'avons vu, les idées reçues concernant l'ADNmt ont été réfutées par les recherches menées, durant les 10 dernières années, en particulier. Mais les darwinistes persistent à ignorer ce rapport paru dans les plus célèbres revues scientifiques darwinistes et continuent de tenter d'imposer leurs revendications au sujet d'un hypothétique ancêtre commun sur la base d'analyses de l’ADN mitochondrial.
Par conséquent, la définition d'une 3ème espèce sur la base d'une analyse de l'ADNmt appliqué au doigt est totalement trompeuse.
Pourquoi les darwinistes sont-ils si alarmés par une ligne différente ?
Il n'y a qu'une seule réponse à cette question : Les darwinistes ont produit des mythes sur la base d'un scénario monté de toutes pièces. A leur avis, des hominidés (fictifs) descendant d'un ancêtre commun fictif se seraient dégagés au cours du temps, et seul l'Homo sapiens aurait survécu jusqu'à aujourd'hui. Les darwinistes ont été incapables de prouver ne serait-ce qu'une seule de leurs revendications, et voilà qu'une nouvelle branche représentant une nouvelle impasse pour eux vient bouleverser toutes leurs hypothèses. Voilà ce qu'il en est réellement à propos de cette découverte :
L'auriculaire fossilisé découvert appartient en fait à un être humain. Cet être humain est le même qu'un homme d'aujourd'hui. De la même manière qu'il existe différentes races humaines, dans le monde d'aujourd'hui, telles que les Esquimaux, les nègres, les Anglo-Saxons, Caucasiens, etc. - Il y avait donc différentes races au paravent. Cette forme de vie représente l'une des races vivant au paravent. Les ornements trouvés à côté des fossiles en question, comme un bracelet, montrent clairement que ces formes de vie, datant de 40.000 ans, ont la même conception de la décoration et de la beauté que nous aujourd'hui. Johannes Krause de l'Institut Max Planck d'anthropologie évolutive à Leipzig, en Allemagne, qui a mené des recherches sur les fossiles, a fait la déclaration suivante au sujet des conclusions de la BBC News :
"Nous avons des ornements, il y a un bracelet, il y a donc plusieurs éléments dans les couches qui sont habituellement associées à l'archéologie de l'homme moderne."5
L'homme de Neandertal est en fait l'une de ces races humaines. Il n'est pas aussi primitif que le prétendent les darwinistes. Il n'est pas différent des races humaines d'aujourd'hui. Leurs spéculations ne se basent que sur le fait qu'ils soient éteints ; de la même manière que les espèces éteintes de grands singes sont constamment utilisés comme outils de propagande darwiniste, cette race, du fait qu'elle soit éteinte, fait aussi l'objet constant de tromperies darwinistes.
Flores Man, également utilisé, dans ces rapports, comme élément soutenant l'idée de différentes races humaines, et qui continue de faire l'objet de spéculations bien qu'il ait été réfuté à maintes reprises par la science. Et en dépit du fait que le "Flores Man" ait été annoncé dans des références darwinistes, on a conclut qu'on devait abandonner sa piste. Aujourd'hui, le monde scientifique sait que Flores Man est une espèce humaine souffrant de la maladie.
Les Darwinistes, qui sont incapables d'expliquer la formation des mitochondries, de l'ADN ou ne serait-ce que d'une unique protéine d'ADN et leurs spéculations désespérées
Il sera ici utile de rappeler un fait plus important à propos des darwinistes restés impuissants face à toutes ces déclarations scientifiques réfutant leurs tromperies alors qu'ils osent faire tout un plat pour avoir trouvé un doigt auriculaire fossilisé : les darwinistes sont incapables d'expliquer la présence ou la formation d'une seule protéine d'ADN dans les mitochondries à l'intérieur de ce doigt fossilisé. Comment se fait-il que des gens laissés si impuissant face à une seule protéine et incapables de défendre leurs scénarios sur le commencement de la vie, peuvent toujours spéculer sur les soi-disant espèces de l'homme, produire une image d'un être humain sur la base d'une seul doigt auriculaire fossilisé et inventer des histoires tellement illogiques qu'elles tueraient des enfants de rire ? Cette analyse faite sur la base d'un simple auriculaire fossilisé est si étonnante qu'il serait, en principe, humiliant d'épouser une telle affirmation. Mais l'endoctrinement darwiniste qui a trompé le monde durant les 150 dernières années a légitimé ce genre d'absurdités à leurs yeux.
Les darwinistes qui, pendant des années :
- ont soutenu que la première cellule se serait formée spontanément dans de l'eau boueuse, même si ils ne sauraient produire une seule protéine en laboratoire,
- prétendu que toutes les espèces se sont transformées les unes aux autres par mutations aléatoires, tout en sachant parfaitement qu'il est impossible d'ajouter des informations génétiques et que les mutations sont létales,
- considéré les singes (ou selon leurs dernières revendications, une créature étrange qui constituerait l'ancêtre du singe) comme étant leurs ancêtres,
- et qui attribuent toute la splendide diversité de la vie sur la terre et l'étonnante complexité au niveau moléculaire au seul hasard,
peuvent encore prétendre à la véracité de telles absurdités. Cette histoire aberrante est relatée dans les magazines les plus connus au monde, sur le web ainsi que par d'éminents scientifiques. Ces professeurs organisent des conférences sur le sujet et osent regarder les gens dans les yeux durant leur discours. Ils leur montrent, sans scrupule, les photos honteuses d'êtres humains qu'ils produisent en ne se basant que sur un doigt fossilisé !
Il suffit de demander aux darwinistes d'expliquer la formation de ne serait-ce que d'une protéine afin d'éliminer les revendications darwinistes.
Lorsque les darwinistes emploient de telles absurdités comme outils de propagande, il conviendra de leur demander d'expliquer la formation de ne serait-ce qu'une seule protéine. Etant donné que la théorie de l'évolution est un mensonge, toutes les réclamations darwinistes sont bien évidemment immédiatement réfutées, de manière détaillée, par les preuves scientifiques, comme nous l'avons vu ci-dessus. Mais ce qui détruit tout ce qui concerne l'évolution, la chose qui a complètement laissé les darwinistes, est leur incapacité à rendre compte d'une seule protéine. Les darwinistes n'ont plus le contrôle absolu. La science sera toujours là pour réfuter tous leurs nouveaux contes de fée. Ils seront toujours rappelés à l'ordre puisqu'une seule protéine permet de démolir leurs théories. Certaines personnes, n'ayant pas suffisamment de connaissances en la matière, peuvent, à tort, penser que les darwinistes seront en mesure de dépasser leur impuissance face aux protéines, dans l'avenir. Chaque nouvelle découverte concernant les protéines montre que leur structure est incroyablement complexe et possède une organisation et une discipline qui dépasse de loin les capacités humaines. Par conséquent, chaque nouvelle découverte porte un nouveau coup fatal pour le darwinisme. Le temps et la science sont contre le darwinisme.
La supercherie darwiniste ne pourra jamais l'emporter. Parce que c'est la loi de Allah Tout-Puissant. Cette fausse théorie est condamnée à une grosse déception et à un échec mondial. Notre Seigneur nous montre la preuve de cet effondrement dans d'innombrables et magnifiques formes. Le destin tracé par Allah Tout-Puissant se manifestera de la plus belle manière.
C'est à Allah qu'appartient, certes, tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Certes, la promesse d'Allah est vérité. Mais la plupart d'entre eux ne (le) savent pas. (Sourate Yunus, 55)
NOTES:
1 “New Type of Human Discovered via Single Pinky Finger”, National Geographic
2 Fathers can be Influential too, 18 March 2003: http://www.nature.com/nsu/990318/990318-5.html
3 Mitochondria can be inherited from both parents , 23 August 2002: http://www.newscientist.com/article/dn2716-mitochondria-can-be-inherited-from-both-parents.html
4 Forster, P. M., Annals of Human Genetics, 67, 2-4, 2003 - Error reports threaten to unravel databases of mitochondrial DNA, Carina Dennis: http://www.nature.com/cgi-taf/DynaPage.taf?file=/nature/journal/v421/n6925/full/421773a_fs.html
5 DNA identifies new ancient human dubbed 'X-woman', http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8583254.stm