En 1859, il y a 150 ans, Darwin écrivait dans son livre L’Origine des Espèces : POURQUOI, si les espèces descendent d’autres espèces par voie d’infimes gradations, NE TROUVONS-NOUS PAS PARTOUT D’INNOMBRABLES FORMES TRANSITIONNELLES ? Pourquoi la nature n’est-elle pas DANS LA CONFUSION au lieu des espèces PARFAITEMENT DEFINIES que nous voyons ? |
Les darwinistes contemporains confirmèrent la vérité de ce testament : Niles Elredge (Paléontologue à l’Université d’Harvard) : L’apparition soudaine d’une gamme variée et bien préservée de fossiles que les géologues associent au début du cambrien (la plus ancienne division de l’ère paléozoïque) REPRESENTE EN EFFET UN DEFI INTELLECTUEL FASCINANT. 1 Derek W. Ager (Paléontologue à University College of Swansea): Il apparaît que si nous examinons les archives fossiles en détails, que ce soit au niveau des ordres ou des espèces, nous tombons, encore et toujours, NON PAS SUR UNE EVOLUTION GRADUELLE, mais SUR L’EXPLOSION SOUDAINE d’un groupe aux dépens d’un autre. 2 Mark Czarnecki (Paléontologue évolutionniste) : Le problème majeur dans la démonstration de la théorie [de l’évolution] concerne les archives fossiles, c’est-à-dire les empreintes d’espèces disparues préservées dans les formations géologiques de la Terre. Ces fossiles n’ont jamais révélé de traces des variations intermédiaires hypothétiques de Darwin. Au lieu de cela, LES ESPECES APPARAISSENT ET DISPARAISSENT BRUSQUEMENT. C’est précisément cette anomalie qui alimente l’argument créationniste selon lequel CHAQUE ESPECE FUT CREEE PAR DIEU. 3 Carlton E. Brett (Professeur de géologie à l’Université de Cincinnati) : La vie sur Terre a-t-elle changé constamment et progressivement à travers le temps ? LES FOSSILES TEMOIGNENT EMPHATIQUEMENT QUE NON. 4 Dr. Colin Patterson (Paléontologue évolutionniste et conservateur de Musée d’Histoire Naturelle de Londres) : Vous dites que je devrais au moins “montrer une photo du fossile dont chaque type d’organisme dérive”. Je n’ai qu’une phrase à formuler : IL N’EXISTE PAS LE MOINDRE FOSSILE qui puisse peser comme un argument étanche. 5 David B. Kitts (Professeur d’histoire de la science à l’Université d’Oklahoma) : L’évolution requière des formes intermédiaires entre les espèces et LA PALEONTOLOGIE NE LES FOURNIT PAS. 6 Mark Ridley (Zoologue à l’Université d’Oxford) : En aucun cas, UN AUTHENTIQUE EVOLUTIONNISTE… N'UTILISE LES FOSSILES COMME PREUVE de la théorie de l’évolution face au concept de la création spéciale… 7 Steven M. Stanley (Professeur de paléontologie à l’Université d'Hawaii à Manoa) : Les fossiles connus NE FOURNISSENT PAS LE MOINDRE SPECIMEN D’EVOLUTION PHYLETIQUE [l’évolution de la population entière d’une espèce en une autre espèce] témoignant d’une transition morphologique majeure [structurelle] et donc NE CONSTITUENT AUCUNE PREUVE DE LA VALIDITE DU MODELE GRADUEL [DE L’EVOLUTION]. 8 Hoimar Von Ditfurth (Professeur allemand de neurologie et psychiatrie et journaliste scientifique évolutionniste) : Quand nous regardons en arrière, nous voyons l’inutilité d’être surpris à NOTRE ECHEC A TROUVER LES FORMES TRANSITIONNELLES si ardemment recherchées. Parce qu’il est très probable que de TELLES ETAPES TRANSITIONNELLES N’AIENT JAMAIS EXISTE. 9 Tom Kemp (Conservateur des collections zoologiques de l’Université d’Oxford) : AUCUN CAS CORRECTEMENT DOCUMENTE ne retrace une transition, d’espèce en espèce, d’un genre à un autre. 10 Dr. Colin Patterson (Paléontologue évolutionniste et conservateur du Musée d’Histoire Naturelle de Londres) : Il est difficile de contredire Stephen Jay Gould d’Harvard et les gens d’American Museum quand ils disent qu’IL N’Y A PAS DE FOSSILES TRANSITIONNELS. 11 |