D’après les hypothèses non-scientifiques des darwinistes, les palmiers à dattes, les pins, les cactus, les orchidées, les œillets, les roses, les cerisiers, les herbes, les fougères et tous les autres spécimens de la flore, partagent le même ancêtre commun. Mais une fois interrogés sur la nature de cet ancêtre commun ou sur les étapes avant l’aboutissement aux formes de plantes présentes, les évolutionnistes sont sans voix.E.J.H. Corner, botaniste évolutionniste de l’Université de Cambridge, reconnaissait, il y a 40 ans déjà, que les évolutionnistes ne disposaient pas de réponses à propos de l’origine des plantes :Mais je continue à penser qu’aux yeux de l’individu impartial, les fossiles de plantes jouent en faveur de la création spéciale… Pouvez-vous imaginer qu’une orchidée, une lentille d’eau et un palmier puissent provenir du même ancêtre, et disposons-nous des preuves de cette hypothèse ? L’évolutionniste doit se préparer à répondre, mais je pense que la plupart s’effondrerait avant toute inquisition. (Maclead, A.M. et Cobley, L.S., Contemporary Botanical Thought, Chicago : Quadrangle Books, 1961, p. 97)Le niveau de science et de technologie du 21ème siècle rend les inquiétudes de Corner encore plus vraies. Nombreuses sont, en effet, les découvertes, notamment les fossiles, qui mettent le darwinisme sur la sellette, pas seulement dans le domaine de la botanique mais dans toutes les branches de la science. Malgré leurs marasmes, les darwinistes tentent toujours d’entretenir leur théorie et de se préparer à d’éventuelles remises en question, sans pour autant détenir la moindre preuve scientifique.