Les êtres humains bougent d’une manière complètement différente des autres créatures. Aucun animal ne peut marcher debout sur ses deux pieds comme le font les humains. Toutefois, les évolutionnistes affirment que la marche debout bipède des humains a évolué par étapes à partir de la marche courbée quadrupède des singes.
La structure squelettique entière des singes est conçue selon l’enjambée quadrupède. Leurs bras sont longs et leur squelette est courbé vers l’avant. De plus, leurs mains et pieds sont flexibles pour leur permettre de grimper aux arbres.
Cette affirmation est fausse. D’abord, le registre fossile montre qu’aucune forme de vie n’a jamais eu une manière de bouger entre la marche de l’humain et du singe. Des observations détaillées du registre fossile prouvent que les créatures des classes de l’australopithèque et de l’Homo abilis marchaient sur quatre pattes et en se penchant en avant, tandis que les races humaines comme l’Homo erectus et l’homme de Neandertal marchaient debout tout comme nous. Ce qui veut dire que la marche debout bipède a émergé des humains pour la première fois et tout d’un coup.
En outre, les recherches anatomiques menées ces dernières années établissent que l’évolution graduelle de la marche du singe à celle de l'homme est impossible. Crompton a montré qu’une créature vivante peut soit marcher debout, soit sur quatre pattes. Un type de déplacement entre les deux serait vraiment inefficace. 60
L’immense écart entre l’homme et le singe n’est pas uniquement limité à la bipédie. Plusieurs autres questions restent encore inexpliquées comme la capacité du cerveau, la faculté de parler etc. Elaine Morgan, une paléontologue évolutionniste, avoue ce qui suit en rapport avec la question :
Quatre des mystères les plus exceptionnels sur les humains sont :
1- Pourquoi marchent-ils sur deux jambes ?
2- Pourquoi ont-ils perdu leur fourrure ?
3- Pourquoi ont-ils développé de si grands cerveaux ?
4- Pourquoi ont-ils appris à parler ?
DES CREATURES IMAGINAIRES
Les créatures " à moitié courbées " illustrées par les évolutionnistes ne sont en réalité qu’un phénomène imaginaire. Les découvertes scientifiques démontrent qu’aucune créature ayant une enjambée entre celle du singe et de l’homme n’ait jamais existé dans l’histoire.
Les réponses traditionnelles à ces questions sont les suivantes :
1- Nous ne savons pas encore.
2- Nous ne savons pas encore.
3- Nous ne savons pas encore.
4- Nous ne savons pas encore.
La liste des questions pourrait être élargie considérablement sans affecter la monotonie des réponses. 61
Bref, " l’évolution de l’homme " n’est rien d’autre qu’une légende non prouvée. Dieu créa l’homme déjà pourvu de toutes les habiletés et caractéristiques qu’il possède.
Fred Spoor | LES RESULTATS DES ANALYSES DE L’OREILLE INTERNE Dans l’oreille humaine interne, et celle des autres créatures avec des structures compliquées, il y a un organe appelé cochlée qui calcule la position du corps par rapport au sol. Le travail de cet organe est le même que l’instrument appelé " gyroscope " et qui maintient l’équilibre d’un aéroplane. Afin de deviner si les créatures vivantes qui étaient dépeintes comme les ancêtres de l’homme marchaient debout sur deux jambes ou pas, Spoor effectua des études sur cet organe, la cochlée. Le résultat auquel il arriva était que certaines formes de vie présentées comme l’ancêtre de l’homme avaient une posture courbée comme les singes modernes, et certaines avaient une posture droite comme les humains modernes. Ce résultat réfuta complètement la théorie que le bipède évolua graduellement à partir du quadrupède. | Gyroscope |
DES SIMULATIONS D’ORDINATEUR
Les évolutionnistes déclarent que les soi-disant ancêtres de l’homme avaient une posture " moitié courbée, moitié debout ". Les études de simulation par ordinateur de Robin Crompton démontrent qu’une telle forme de mouvement n’est pas possible. Une créature vivante doit marcher soit complètement debout, soit complètement courbée pour utiliser l’énergie au maximum.
60. Ruth Henke, "Aufrecht aus den Baumen", Focus, vol. 39, 1996, p. 178
61. Eleine Morgan, The Scars of Evolution, New York: Oxford University Press, 1994, p. 5