Présenté par les évolutionnistes comme " l’homme primitif ", l’Homo erectus est en fait une race humaine disparue. Les différences entre l’Homo erectus et nous-mêmes ne sont que des différences raciales.
L’HOMO ERECTUS, UN INGENIEUR MARIN
Les nouvelles publiées dans New Scientist du 14 mars 1998 nous informent du fait que les humains appelés par les évolutionnistes Homo erectus étaient des navigateurs et ceci, il y a plus de 700.000 ans. Ces humains qui avaient accumulé assez de connaissance et de savoir-faire technologique pour construire un vaisseau et se prévaloir d’une culture utilisant le transport marin, peuvent difficilement être appelés primitifs.
Un crâne datant de 13.000 ans, déterré à Kow Swamp en Australie, et qui a les caractéristiques de l’homme moderne ainsi que de l’Homo erectus
Le crâne d’un Homo erectus typique trouvé à Koobi Fora en Afrique en 1975
Dans le schéma d’évolution de l’homme imaginé par les évolutionnistes, les fossiles classifiés comme Homo erectus arrivent après l’espèce australopithèque. [La classification " Homo abilis ", qui était proposée par certains évolutionnistes, a été incluse dans l’espèce australopithèque ces dernières années.]
Comme le sous-entend le mot " erect " (debout), " Homo erectus " signifie " homme marchant debout ". Les évolutionnistes ont eu à séparer ces hommes des précédents en ajoutant la qualité de " posture droite ", parce que tous les fossiles disponibles d’Homo erectus sont droits à un degré non observé chez n’importe quel spécimen d’australopithèque ou Homo abilis. Il n’y a pas de différence entre le squelette de l’homme moderne et celui d’un Homo erectus. Une bonne indication qui nous permet d’établir cette similitude est le fossile du " Turkana Boy " qui est inclus dans la classe d’Homo erectus. Il est confirmé que le fossile était celui d’un enfant de 12 ans, qui aurait eu 1,83m de taille dans son adolescence. La structure squelettique droite du fossile n’est pas différente de celle d’un homme moderne, point sur lequel le paléontologue américain Alan Walker disait qu’il doutait que " le pathologiste moyen pourrait dire la différence entre le fossile de squelette et celui d’un humain moderne ". 52
LE TURKANA BOY
" Grand et moderne ". C’était le commentaire de Richard Leakey sur ce fossile datant de 2,2 millions d’années. Il n’y a virtuellement aucune différence entre ce fossile classifié comme Homo erectus et le squelette humain tel que nous le connaissons.
LES INDIGENES AUSTRALIENS
Les Aborigènes, les gens originaires d’Australie, qui vivent encore aujourd’hui, ont de grandes similarités avec l’Homo erectus en terme de caractéristiques crâniennes.
La raison première pour les évolutionnistes pour définir l’Homo erectus de " primitif " est sa capacité crânienne (900-1100 cm3), qui est inférieure à celle de l’homme moderne moyen, et ses larges sourcils saillants. Cependant, il y a plusieurs personnes vivant aujourd’hui dans le monde qui ont la même capacité crânienne que l’Homo erectus (les Pygmées par exemple) et il y a d’autres races qui ont des sourcils proéminents (comme les Aborigènes d’Australie).
C’est une réalité communément acceptée que les différences dans les capacités crâniennes ne dénotent pas nécessairement des différences dans l’intelligence ou les habiletés. L’intelligence dépend plutôt de l’organisation interne du cerveau que de son volume. 53
Même l’évolutionniste Richard Leakey déclare que les différences entre l’Homo erectus et l’homme moderne ne sont pas plus que des variations raciales :
L’on verrait également des différences dans la forme du crâne, dans le degré de poussée en avant du visage, la robustesse du front, etc. Ces différences ne sont probablement pas plus prononcées que ce qu’on voit aujourd’hui entre les races géographiquement séparées des humains modernes.
Des découvertes de fossiles d’Homo erectus montrent que cette classification est celle d’une vraie race humaine.
Bref, les êtres humains que les évolutionnistes classifient comme Homo erectus, sont une race humaine disparue dont le degré d’intelligence n’est pas différent du nôtre. Il y a, cependant, un énorme écart entre l’Homo erectus, une race humaine, et les singes qui l’ont précédée dans le scénario de " l’évolution humaine " (australopithèque ou Homo abilis). Ce qui veut dire que les premiers hommes apparurent sur le registre fossile subitement et immédiatement sans aucune histoire évolutive. Il ne peut y avoir une indication plus claire du fait qu'ils ont été créés.
52. Boyce Rensberger, The Washington Post, 19 novembre 1984
53. Marvin Lubenow, Bones of Contention, Grand Rapids, Baker, 1992, p. 83
54. Richard Leackey, The Making of Mankind, Londres: Sphere Books, 1981, p. 62