L’effondrement de L’arbre Généalogique

Le scénario de " l’arbre généalogique de l’homme " est réfuté par des marques de fossiles. Il est aujourd’hui admis que les espèces qui sont présentées comme les ancêtres des unes et des autres sont en réalité des races différentes ayant vécu à la même période.

L’effondrement de L’arbre Généalogique

Le soi-disant " arbre évolutif " établi par le biologiste évolutionniste Ernst Haeckel à la fin du 19ème siècle

L’effondrement de L’arbre Généalogique

GOULD CONFIE

Bien qu’il soit lui-même un évolutionniste, le paléontologue de l’Université de Harvard, Stephen Jay Gould, admet que le scénario de " l’arbre généalogique humain " s’est effondré.

Le scénario de " l’évolution humaine " est une fiction totale. Afin qu’un tel arbre généalogique existe, une évolution graduelle du singe à l’homme aurait dû avoir lieu et le registre fossile de ce processus aurait dû être trouvé. Cependant, il y a un énorme écart entre les singes et les humains. Les structures squelettiques, les capacités crâniennes ainsi que d’autres critères comme la marche debout ou courbée fortement vers l’avant représentent ce qui distingue les humains des singes.

Une autre découverte signifiante prouvant qu’il ne peut y avoir un arbre généalogique parmi ces différentes espèces réside dans le fait que ces espèces qui sont présentées comme les ancêtres des unes et des autres ont vécu simultanément. Si, comme l’affirment les évolutionnistes, les australanthropiens s’étaient convertis en Homo abilis et s’ils s'étaient, en retour, convertis en Homo erectus, les époques dans lesquelles ils vécurent se seraient nécessairement suivies les unes les autres. Toutefois, il n’y a pas un ordre chronologique pareil.

Le paléontologue évolutionniste Alan Walker confirme ce fait en déclarant qu' " il y a une preuve en Afrique de l’Est en évoquant de petits individus australopithèques derniers survivants qui étaient d’abord contemporains avec l’Homo abilis, puis avec l’Homo erectus. 56 Louis Leakey a trouvé des fossiles d’australopithèques, d’Homo abilis, et d’Homo erectus presque côte à côte dans la région d’Olduvai Gorge, couche Bed II. 57

Un paléontologue de l’Université d’Harvard, Stephen Jay Gould, explique cette impasse de l’évolution bien qu’il soit lui-même un évolutionniste :

L’effondrement de L’arbre Généalogique

L’ARBRE GENEALOGIQUE HUMAIN N’EXISTE QUE DANS LES ILLUSTRATIONS

Les schémas de " l’arbre généalogique de l’homme ", pur produit de la puissante et délirante imagination des évolutionnistes, sont en total désaccord avec le témoignage des fossiles.

Qu’est-il devenu de notre échelle s’il y a trois généalogies coexistantes d’hominidés (A. africanus, l’australanthropien robuste et l’Homo abilis), et qu’aucune ne dérive clairement de l’autre ? De plus, aucune des trois n’affiche une quelconque tendance évolutive durant leur temps sur Terre.58
L’effondrement de L’arbre Généalogique

 

 

 

 

Le concept de l’arbre généalogique qui s’étire des primates jusqu’aux singes, puis à l’homme, n’existe que dans les rêves des évolutionnistes.

 

 



 

 

Lorsque nous passons de l’Homo erectus à l’Homo sapiens, nous voyons encore une fois qu’il n’y a pas d’arbre généalogique pour en parler. Il y a des preuves qui montrent que l’Homo erectus et l’Homo sapiens archaïque continuaient de vivre jusqu’à 27.000 ans et même 10.000 avant notre ère. Dans le Kow swamp en Australie, des crânes d’Homo erectus de quelque 13.000 ans ont été trouvés. Sur l’Ile de Java, un crâne d’Homo erectus fut trouvé, âgé de 27.000 ans. 59

Ces découvertes indiquent que les créatures présentées par la théorie de l’évolution comme les " ancêtres de l’homme " sont plutôt des espèces éteintes qui n’ont rien à voir les unes avec les autres, ou des races humaines perdues.

 

NOTES

56. Alan, Walker, Science, vol. 207, 1980, p. 1103

57. A. J. Kelso, Physical Anthropology, 1st ed., New York: J. B. Lipincott Co., 1970, p. 221 ; M. D. Leackey, Olduvai Gorge, vol. 3, Cambridge: Cambridge University Press, 1971, p. 272

58. S J Gould, Natural History, vol. 85, 1976, p. 30

59. Time, 23 décembre 1996

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