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Comme nous l’avons déjà vu dans les chapitres précédents, il est évident que la naissance d’une cellule ne peut être le fruit du hasard. Or, si une seule cellule ne peut naître par hasard, est-il possible qu’une variété d’êtres vivants puisse naître à la suite d’une coïncidence? La réponse est certainement "non".
Avez-vous déjà songé à la multitude des créatures qui vous entourent? Rappelez-vous toutes les plantes que vous avez pu voir dans les livres ou dans les documentaires télévisés: tous les œillets, les roses, les marguerites, les lys, les plantes tropicales géantes, les ananas, les acacias… Rappelez-vous le feuillage de chacune d’entre elles, leurs saveurs, leurs couleurs, leurs odeurs, leurs processus de photosynthèse et d’autres détails les concernant.
Songez maintenant aux animaux: les girafes, les antilopes, les éléphants, les poules, les poissons, les moineaux, les paons, les autruches, les lapins, les papillons et les autres insectes. Examinez attentivement leurs modes de vie, leurs habitats et leurs instincts de chasse et de reproduction. La variété de ces animaux sur terre est telle qu’on ne peut la décrire entièrement ici.
Le papillon, à lui seul, compte plus de 200.000 espèces. Les naturalistes dénombrent plus d’un million de types différents de papillons, tous pourvus de remarquables techniques de dissimulation. Les ailes de certains papillons ressemblent à des feuilles d’arbre à s’y méprendre, ce qui leur permet de se protéger de leurs ennemis, tout comme d’autres qui portent sur leurs ailes des figures semblables à des yeux.
Pensez à la variété de ces remarquables créatures! Ainsi, vous ne pouvez plus jamais ignorer le fait que des millions de créatures, uniques dans leurs caractéristiques ne peuvent avoir évolué les unes à partir des autres.
Quelqu’un qui fait un effort consciencieux pour comprendre les qualités miraculeuses peut facilement répondre à la question: "Comment ces êtres sont-ils nés?" Dieu accorde à tout être des traits extraordinaires. C’est ainsi qu’Il montre aux hommes les signes évidents de Son existence et de Son pouvoir.
Nul n'est sensé ignorer ces faits aisés à voir.
Créateur des cieux et de la terre. Comment aurait-Il un enfant, quand Il n’a pas de compagne? C’est Lui qui a tout créé, et Il est omniscient. Voilà Allah, votre Seigneur! Il n’y a de divinité que Lui, Créateur de tout. Adorez-Le donc. C’est Lui qui a charge de tout. (Sourate al-An’am: 101-102)
Au-delà de leur variété, ces êtres vivants sont dotés de systèmes à la fois étonnants et complexes grâce auxquels ils peuvent accomplir des tâches que même les hommes sont incapables de faire. Leur capacité à survivre dans leur habitat découle directement de leurs instincts dont ils ont été dotés au moment de leur création. Or, contrairement à ce que suggèrent les évolutionnistes, ces mécanismes extraordinaires ne doivent rien au hasard. Ces systèmes parfaits sont inhérents à leur création.
Dans ce chapitre, nous allons passer en revue certains de ces mécanismes miraculeux observés chez les plantes et chez les animaux.
Pendant votre lecture, méditez profondément sur ces exemples. Ne prétendez plus ignorer que ces mécanismes si parfaits n’ont pu naître d’eux-mêmes.
Le miracle est discernable dans les ailes de la mouche qui effectuent 500 battements à la seconde. |
Lorsque nous parlons de la perfection des structures des animaux, certains peuvent s’imaginer que nous allons étudier des créatures peu communes, voire inconnues jusque-là. Pas du tout. En réalité, tout le monde est familier avec les exemples que nous allons citer, qu’il s’agisse d’insectes ou d’oiseaux. Les uns autant que les autres jouissent d’un corps adapté à leurs besoins. La complexité de leur système est telle que, à ce jour, les hommes ne sont pas parvenus à créer quelque chose de similaire. L’œil attentif verra sans difficulté dans cette perfection une preuve solide de l’évidence de la création.
Prenons l’exemple de la mouche. Elle consomme énormément d’énergie pour voler; aussi son système respiratoire est-il tout à fait particulier. Des tubes d’air spéciaux minuscules acheminent directement l’oxygène vers les cellules afin de permettre la combustion rapide de l’oxygène. Il ne s’agit là que d’un miracle parmi tant d’autres qui caractérise la mouche. Dieu attire notre attention sur la complexité de la mouche:
Ô hommes! Une parabole vous est proposée, écoutez-la: "Ceux que vous invoquez en dehors d’Allah ne sauraient même pas créer une mouche, quand même ils s’uniraient pour cela. Et si la mouche les dépouillait de quelque chose, ils ne sauraient le lui reprendre. Le solliciteur et le sollicité sont [également] faibles!" (Sourate al-Hajj: 73)
Considérons maintenant les abeilles. Tout le monde connaît leur nature sociale ou la forme hexagonale des alvéoles des rayons de miel. Les caractéristiques des abeilles ne se limitent cependant pas à cela. Leur vie tourne essentiellement autour de l’entretien de la ruche. Les ouvrières contrôlent la température, la sécurité et la propreté de la ruche. Quelle que soit la température extérieure, les abeilles s’arrangent pour maintenir une température constante dans la ruche, en particulier dans la salle de couvée. Les matins frais, elles se regroupent autour de l’alvéole, transmettant à la couvée leur propre chaleur. À mesure que le jour se réchauffe, l’essaim d’abeilles étroitement serrées se disperse. Si la température continue à croître, les ouvrières se placent à l’entrée de la ruche et battent des ailes pour rafraîchir l’air. Au cas où la température deviendrait trop importante, elles déposent des gouttes de miel dilué aux entrées de cellules vides et s’efforcent de faire évaporer le liquide en battant des ailes. Si toutefois, le miel dilué venait à manquer, les butineuses partent à la recherche d’eau. 4
Des abeilles occupées à maintenir une chaleur constante à l'intérieur de la ruche |
Nous prenons ainsi conscience que nous sommes entourés d’êtres régis par un ordre parfait. Nous n’avons cité ici qu’une toute petite partie des caractéristiques extraordinaires des abeilles et des mouches. Ces quelques exemples suffisent néanmoins à prouver à l’homme intelligent l’existence de Dieu et de Son pouvoir. Il existera cependant toujours des individus qui ignoreront les miracles des êtres vivants.
Toutefois, vous, ne prétendez jamais ignorer la supériorité et l’art unique de la création de Dieu!
La puissance et l’unicité de la création de Dieu se manifestent également chez des créatures que l’on n’a pas coutume d’observer. Un exemple frappant est celui de la salamandre sibérienne. Ces créatures peuvent demeurer dans les profondeurs des sols gelés pendant des années et revenir à un mode de vie normal une fois les conditions climatiques se sont améliorées. Ces salamandres peuvent survivre jusqu’à –50°C, grâce à une substance anti-gel que leurs corps produisent pour lutter contre le froid. Cette substance remplace l’eau dans les cellules du sang, protégeant ainsi les tissus contre les dommages causés par les cristaux de glace.5
Les lucioles, quant à elles, émettent une lumière qui ne génère pas de chaleur, c’est-à-dire une "lumière froide". Aujourd’hui, une telle énergie ferait partie des grandes découvertes. Une ampoule ordinaire transforme, en effet, seulement 3 à 4% de l’électricité en lumière, le reste se dissipe en chaleur. En revanche, les lucioles convertissent 100% de leur énergie en lumière, sans produire aucune chaleur. 6
Les lucioles dépassent la technologie moderne avec leurs systèmes inhérents. |
Les sous-marins parviennent à s’immerger au fond des océans en remplissant d’eau les réservoirs de plongée. Ainsi surchargé, le sous-marin devient plus lourd que l’eau et s’enfonce dans les profondeurs de l’océan. Ensuite, pour remonter à la surface, Il suffit de vider l’eau des cuves à l’aide d’air pressurisé. Le nautilus, un animal marin, use exactement de la même méthode de plongée. Sa forme en spirale ressemble à celle de la coquille d’escargot dont le diamètre mesure dix-neuf centimètres. Il dispose de vingt-huit "cellules de plongée" interconnectées. Mais où trouve-t-il l’air pressurisé nécessaire à l’expulsion de l’eau? Difficile à croire, mais le nautilus produit, par des procédés biochimiques, un gaz spécial que le flux sanguin achemine vers les cellules en question. C’est justement ce gaz qui permet l’évacuation de l’eau des cellules. Il peut ainsi pomper à sa guise les quantités d’eau nécessaires à son immersion et donc chasser et se protéger de ses ennemis. La performance du nautilus dépasse celle du sous-marin puisqu’il peut plonger jusqu’à 4.000 mètres, tandis que le sous-marin est limité à 400 mètres. 7
Le nautilus, un animal marin intéressant |
L’homme n’a, en réalité, pas inventé l’air conditionné. Toute créature au sang chaud dispose, en effet, de divers mécanismes de contrôle de la température. C’est le cas par exemple de la gazelle, animal d’Afrique, qui doit souvent sprinter pour échapper à ses ennemis. Un tel effort augmente naturellement la température du corps; or pour survivre, il est essentiel qu’elle garde son cerveau au frais.
À cet effet, la tête de la gazelle est munie de son propre système de refroidissement. Des centaines de petites artères se trouvent près des voies respiratoires. L’air inspiré par l’animal refroidit sa paroi nasale, ce qui a pour effet de rafraîchir le sang acheminé par les petites artères. Ensuite, ces dernières se rassemblent en un seul vaisseau sanguin qui irrigue directement le cerveau. Sans un tel système, la gazelle ne pourrait tout simplement pas survivre. 8
Les oiseaux prédateurs sont dotés d’excellents yeux pour localiser à la fois leurs proies et se protéger. Le hibou est l’un des prédateurs les mieux équipés. Certaines espèces peuvent même effectuer une rotation de cent degrés avec leurs têtes, élargissant ainsi considérablement leur champ de vision. Les yeux immenses du hibou couvrent une surface considérable de la face. Séparés par un os très fin, ils logent dans la cavité oculaire en ne laissant pratiquement aucune place aux muscles. Ils sont donc incapables de bouger et obligent, par conséquent, le hibou à faire tourner son cou flexible dans différentes directions. 9
Lorsque le hibou a localisé sa proie, il ne doit pas perdre de temps pour l’attaquer. Or, la majorité des oiseaux font du bruit en volant. Les battements d’ailes des grands oiseaux, comme l’aigle, peuvent être perçus à plusieurs kilomètres de distance. C’est évidemment un inconvénient de taille pour les chasseurs de nuit. Or, le bout des douces plumes du hibou ont une disposition semblable au gland qui lui permet de voler en silence. 10
La surface des plumes de velours des ailes absorbent efficacement le bruit.
1. le sang artériel rafraîchi | 3. le sang artériel chaud |
À gauche: le squelette de la gazelle. | À gauche: le squelette de la gazelle. À droite: une gazelle décidée à échap- per à son ennemi. |
Les serpents à sonnette sont capables de localiser des animaux au sang chaud dans l’obscurité la plus parfaite. Ils peuvent percevoir un rat à quinze centimètres de distance, alors que la variation de température du rat n’est que de 0,005°C. L’information concernant la proie est rapidement véhiculée vers le cerveau qui l’évalue et qui déclenche la réaction du serpent en moins d’un vingtième de seconde. Il localise ainsi sa proie à tous les coups, l’attaque et la tue avec son venin. À titre de comparaison une seconde équivaut à un clin d’œil. Vous saisissez mieux maintenant la vitesse de mouvement du serpent. 11
Les loutres de mer utilisent leurs pieds pour nettoyer et panser leur fourrure, tout en utilisant l’huile produite par leur peau. Cette opération unique en son genre consiste à piéger de minuscules bulles d’air dans les profondeurs de la fourrure et donc à l’aérer. Dans le froid glacial du Pacifique, cette capacité à retenir les bulles d’air est essentielle à la loutre pour s’adapter aux conditions climatiques difficiles. Ces bulles d’air empêchent tout simplement les loutres de geler. L’emmêlement de leurs poils, souvent causé par les résidus pétroliers, peut causer leur mort. 12
Le phoque Wedel peut survivre dans les eaux glaciales de l’Antarctique sous des températures inférieures à –26°C. Il n’est pas affecté par les variations intenses de pression lorsqu’il plonge au fond de l’océan. En fait, avant de s’élancer vers les profondeurs, le phoque effectue plusieurs petits plongeons. Les mouvements de ses côtes et de son diaphragme commandent l’entrée de l’air dans les poumons puis leur fermeture. Quand les réserves d’air se vident dans les poumons, la nitrogène ne se dissout pas et perd ainsi toute possibilité de pénétrer le flux sanguin. Contrairement à la majorité des mammifères dotés d’une trachée ronde, celle des phoques est ovale et aplatie. Toutes ces caractéristiques assurent au phoque une parfaite adaptation à son environnement. 13
Le jour, le cœur de l’oiseau-mouche bat entre 50 et 1.200 fois par seconde. Le soir, son rythme cardiaque ralentit à tel point que les pulsations sont quasiment indétectables. Il semble ne pas respirer non plus. L’oiseau-mouche, à l’instar du hérisson en hiver, hiberne tout simplement, à la différence qu’il hiberne 365 fois par an. 14
Ces quelques exemples illustrent la diversité des créatures vivantes et la particularité de chacun de leurs organismes. Ces systèmes élaborés ne doivent rien au hasard. Les coïncidences n’aboutissent à aucun plan ni à aucune organisation. Ces organismes parfaits ont été dotés de leurs propriétés par Dieu, le Créateur, Celui qui pourvoit à tout dans l’univers. Toutes Ses créatures témoignent de Son art subtil et de Sa sagesse.
Nul n'est sensé ignorer que ces systèmes miraculeux sont simplement les résultats de la création supérieure de Dieu.
Prenez maintenant une plante et observez-la attentivement. Examinez l’arrangement de ses feuilles et leurs couleurs. Considérez les arbres mesurant plusieurs centaines de mètres. Rappelez-vous que les feuilles des branches les plus hautes restent vertes toute l’année. Maintenant, concentrez-vous sur les oiseaux dans le ciel. Prenez une plume et observez-la au microscope. Vous verrez alors que les plumes d’oiseaux sont faites de milliers de petites vrilles raccordées les unes aux autres par des crochets.
Peu importe l’être que l’on décide d’analyser, la conclusion est toujours la même: le souci du détail dans la création est évident. Comment ces plumes ont-elles vu le jour? Est-il possible d’attribuer au hasard aveugle et aux coïncidences cette composition complexe?
Les serpents à sonnette peuvent voir les animaux à sang chaud même dans la nuit la plus obscure, grâce à des yeux sensibles à la chaleur. | La loutre de mer se protège du froid glacial du pacifique grâce à un métabolisme spécial. |
Les questions suivantes devraient nous apporter des éléments de réponse. Peut-on construire un avion sans intervention consciente? En empilant des briques au hasard, parvient-on à construire une usine? Les réponses sont certes évidentes. Les produits de la technologie ne reposent-ils pas sur des structures hautement complexes, élaborées et conçues par des hommes intelligents? De la même manière, la perfection que nous observons dans la nature est le produit final d’un Créateur exalté.
Pierre Grasse, zoologiste français de premier plan et ex-président de l’Académie française des sciences avance que:
Une seule plante, un seul animal nécessiteraient des milliers et des milliers de coïncidences. Les miracles deviendraient ainsi la règle puisque des évènements avec de probabilités infinitésimales se produiraient. Il n’existe aucune loi contre la rêverie, mais la science ne doit pas y céder.15
L'oiseau-mouche |
L’idée que les organismes vivants naissent par hasard n’est évidemment que le fruit de l’imagination.
Les créatures vivantes ne doivent nullement leur existence au hasard. Dieu, Celui qui pourvoit à tout dans l’univers, est Celui qui les a créées. Alors nul n'est sensé ignorer cette évidence, dont la compréhension est à la portée de tous.
La sagesse, l’intelligence et l’ordre observés dans la nature prévalent dans l’univers entier, aussi bien sur Terre que dans l’espace.
Notre monde suit un ordre parfait. Des milliards de créatures vivent simultanément en totale harmonie. Cet incroyable équilibre démontre que la vie sur Terre est une création spéciale. Il suffit de comparer la Terre avec les autres planètes du système solaire pour se rappeler qu'elle est la seule planète viable.
Sa vitesse de rotation est l’un des éléments qui la rendent habitable. L’atmosphère en est un autre. Elle est composée de gaz en proportions idéales (77% de nitrogène, 21% d’oxygène, 1% de dioxyde de carbone ainsi que d’autres gaz) pour la survie de l’homme et des autres êtres. Si la part d’oxygène était légèrement supérieure à 21%, les cellules des terriens seraient gravement endommagées et les molécules d’hydrocarbure, et donc les plantes, n’auraient aucune chance de vivre.
Même la structure unique de la plume est une indication de la création. |
Si la proportion d’oxygène était inférieure à 21%, respirer serait une torture et la transformation de la nourriture en énergie deviendrait impossible. De la même manière, si la quantité de dioxyde de carbone dans l’air était plus importante, l’humanité serait en danger car l’atmosphère conserverait davantage de chaleur. La Terre s’en retrouverait réchauffée. D’autre part, une légère baisse de la part de dioxyde de carbone dans l’air causerait d’importantes variations de températures entre le jour et la nuit, avec des températures en dessous de zéro la nuit. La proportion de nitrogène dans l’air est si délicate que l’oxygène acquiert une importance vitale pour les êtres vivants.
La nature constante des gaz atmosphériques est un autre facteur de vie. Les plantes produisent environ 200 milliards de tonnes d’oxygène par an en transformant le dioxyde de carbone.
La masse de la Terre est également idéale et empêche l’atmosphère de dériver dans l’espace.
La Terre est la seule planète viable du système solaire. Ci-dessus: une vue de la planète Mars. La comparaison entre la Terre et les autres planètes met en valeur les caractéristiques étonnantes de notre planète. |
Il est par ailleurs essentiel que la température de la surface de la Terre reste relativement constante. Cette constance dépend largement de la régularité de l’orbite que la Terre suit autour du Soleil, de la taille du Soleil, ainsi que de la vitesse de rotation de la Terre et de l’inclinaison de son axe.
D’autres équilibres, comme la force gravitationnelle contribuent à l’habitabilité de la Terre. Une légère hausse de la force gravitationnelle conduirait à une hausse de l’ammoniac et du méthane dans l’atmosphère, ce qui serait fatal à toute vie. Dans la situation contraire, l’atmosphère ne retiendrait plus l’eau et la Terre deviendrait inhabitable.
L’épaisseur de la croûte terrestre et de la couche d’ozone, les cycles d’eau et de nitrogène sur Terre, l’existence de montagnes, la protection des couches atmosphériques contribuent à créer des conditions favorables à la vie sur notre planète.
Certains individus, cependant, vivent sans avoir conscience de l’état gazeux de l’atmosphère, ni de la distance entre la Terre et le Soleil ni des mouvements des planètes. Ils ne perçoivent pas l’importance vitale de ces équilibres pour eux alors que la moindre altération menacerait toute vie sur la planète. Les exemples cités ci-dessus ne sont qu’un échantillon parmi tant d’autres équilibres existant sur la Terre, mais ils suffisent néanmoins à démontrer qu’ils sont les produits d’une sagesse supérieure.
Nul n'est sensé ignorer que ces équilibres délicats ne peuvent être le fruit du hasard et que seul Dieu Tout-Puissant a le pouvoir d’établir un tel ordre.
1.CHAMP MAGNÉTIQUE | 4.NOYAU EXTÉRNE |
La vie existe sur la "croûte" terrestre, composée de sept couches d'une épaisseur de 670 km. La croûte, d'une profondeur de 6,37 km, ne représente que 1% de cette section. Les scientifiques comparent la Terre à une pomme: la peau de la pomme est comme la croûte terrestre où la vie existe tandis que l'intérieur de la pomme est similaire à celui de la Terre: un noyau d'éléments en fusion. À 12 kilomètres de profondeur, la tempéra- ture de la Terre est de 60°C. Cela démontre bien que le monde est tout sauf calme et serein. Les biens, la progéniture, la carrière font partie d'une vie menée au-dessus de ce noyau d'éléments en fusion. |
4. The Marvels of Animal Behaviour, National Geographic Society, 1972, p. 59
5.New Scientist, Eugene Potapov, How Salemenders Survive the Deep Freeze, vol. 139, 11 septembre 1993, p. 15
6. Bilim ve Teknik Magazine, octobre 1987, no. 239, p. 10
7. Bilim ve Teknik Magazine, vol. 20, no. 231, février 1987, p. 11
8. Lawrance O.Richards, It Couldn't Just Happen, p. 108
9. Gorsel Bilim ve Teknik Ansiklopedisi, vol. 3, p. 782
10. Gorsel Bilim ve Teknik Ansiklopedisi, vol. 3, p. 784
11. Gorsel Bilim ve Teknik Ansiklopedisi, vol. 7, p. 2352
12. National Geography, juin 1995, no. 6, vol. 187, p. 50
13. Gorsel Bilim ve Teknik Ansiklopedisi, vol. 8, p. 2660
14. David Attenborough, The Life of Birds, Princeton, New Jersey: Princeton University Press, 1998, p. 59
15. Pierre P. Grasse, Evolution of Living Organisms, New York: Academic Press 1977, p. 103