En ce qui concerne l'apparition des plantes, les évolutionnistes affirment que les centaines de milliers de variétés de plantes sont toutes issues d'une même et unique plante. Il n'y a aucun doute possible que, comme sur d'autres sujets, les évolutionnistes ne puissent offrir aucune preuve scientifique pour supporter leurs affirmations dans ce domaine. Car l'impasse dans laquelle se trouvent les évolutionnistes vis-à-vis des animaux et des êtres humains est la même que celle dans laquelle ils se retrouvent avec leurs scénarios sur l'évolution des plantes.
La plus grande impasse dans laquelle se trouvent les défenseurs de l'évolution aujourd'hui est, sans aucun doute, leur incapacité à expliquer comment la première cellule végétale a évolué. En fait, le plus grand obstacle rencontré par les évolutionnistes sur tout sujet, pas uniquement celui de l'évolution des plantes, est de savoir comment la première cellule est apparue.
On sait que les cellules sont de minuscules structures vivantes qui possèdent des systèmes très compliqués. Cependant, il y a des points qui ne sont pas toujours compris en ce qui concerne le fonctionnement de ces systèmes. Une cellule possède des structures complexes qui la font ressembler à une immense usine. Si juste un organite est absent, où est d'une forme différente que celle attendue, la cellule ne peut accomplir ses fonctions. Car chaque organite a une fonction particulière, et des liens très compliqués avec les autres organites. Il existe des structures très compliquées dans la cellule, depuis celles qui créent de l'énergie jusqu'aux unités qui enregistrent toutes les informations concernant la cellule, depuis les systèmes de transport qui permettent aux substances d'atteindre les endroits où la cellule en a besoin, jusqu'aux endroits où ces substances sont décomposées et les systèmes qui produisent les enzymes et les hormones.
En face de ces structures, le scientifique évolutionniste W. H. Thorpe révèle sa stupéfaction dans la déclaration suivante :
Le plus élémentaire type de cellule constitue un "mécanisme" incroyablement plus complexe que n'importe quelle machine pensée et construite par l'homme. 62
Un des scientifiques qui ne peut ignorer la structure extraordinaire de la cellule est l'évolutionniste russe Alexander Oparin. Oparin décrit la situation dans laquelle la théorie de l'évolution se trouve face à la complexité de la cellule:
Malheureusement, l'origine de la cellule reste une question qui est en fait le point le plus obscur de la théorie de l'évolution. 63
Il est impossible qu'une cellule vivante apparaisse par hasard. La science du 20ème siècle, qui a révélé la complexité incroyable de la cellule, montre que l'apparition d'une telle structure via des coïncidences est impossible. De plus, même au début du 21ème siècle, beaucoup de secrets de la cellule n'ont toujours pas été découvert par la science moderne. Très loin de l'apparition d'une cellule par coïncidence, une cellule vivante, voire même une cellule artificielle, ne peut être produite dans les laboratoires équipés de la technologie la plus développée, même avec les efforts des scientifiques experts.
1- Ribosomes | 6- Chromosomes |
Les cellules vivantes peuvent être comparées à de grandes usines dotées de centres de production énergétique et d’emballage, de systèmes de transport, des banques de données et de sections spéciales où les processus chimiques sont exécutés. La seule différence entre une cellule et une usine se trouve au niveau de la taille. |
Ainsi, chaque cellule vivante nous mène à une conclusion définitive et indiscutable : elle a du apparaître comme le résultat de la création d'Allah, Qui possède une puissance et une intelligence infinies : tout est le travail de Sa connaissance et de Son art sans égal.
Dans cette section l’étude de l’apparition des cellules vivantes, qui n'a pu apparaître par hasard ne sera pas examiné en détail. Le sujet fondamental dans ce livre est que des plantes conçues sans défauts n'ont pas pu se développer à partir d'une seule cellule de bactérie, via des coïncidences, comme l'affirme la théorie de l'évolution.
Les évolutionnistes affirment qu’à l'époque où la terre s'est formée, une cellule de bactérie est apparue par hasard, et qu'après plusieurs millions d'années, toutes les autres créatures vivantes sont apparues à partir de cette cellule, les oiseaux, les insectes, les tigres, les chevaux, les papillons, les serpents, les écureuils etc. De la même manière, les évolutionnistes affirment que les variétés innombrables de plantes sont aussi apparues à partir de la même cellule de bactérie. Dans cette section, la fausseté de ces affirmations, et le fait qu'elles sont basées sur l'imagination et ne sont donc pas scientifiques, seront examinés.
Dans le scénario de l'évolution des plantes, on affirme que la première cellule végétale s'est développée à partir d'une cellule "primitive" qui est une cellule de bactérie (cellule procaryote. pouvant soi-disant faire de la photosynthèse. Avant de parler de l'invalidité de cette affirmation, examinons si une cellule de bactérie est "primitive", comme l'affirment les évolutionnistes, ou non.
Les bactéries sont de minuscules êtres vivants, d'une longueur d'un micromètre (un millième de millimètre. , et ne contiennent pas de structures à part une membrane cellulaire et un brin d'ADN. On peut considérer qu’ils ont une structure plus simple que celle des autres êtres vivants. Cela ne veut pas dire que les bactéries sont des formes primitives de la vie. A l'intérieur de ces cellules minuscules ont lieu d'importants événements biochimiques qui permettent à la vie sur terre de continuer. Les bactéries jouent des rôles très importants dans le fonctionnement du système écologique mondial. Par exemple, certaines espèces de bactéries démantèlent le reste des plantes et des animaux morts, et les transforment en substances chimiques basiques utilisables par les organismes vivants. Certaines augmentent la fertilité du sol. Elles exécutent également des fonctions comme la transformation de lait en fromage, la production d'antibiotiques contre des bactéries nuisibles, et la synthèse de vitamines.
1. Plasmide | 5. Mésosome | |
Les cellules procaryotiques, dont on peut voir ici un spécimen sur un plan, sont des cellules qui ressemblent à des bactéries et disposant de quelques organelles. Il est assurément impossible que tous les êtres vivants ont évolué à partir d’une cellule aussi simple, comme le prétendent les évolutionnistes. |
Ce ne sont que quelques unes des innombrables tâches menées par les bactéries. Bien que les cellules des bactéries qui exécutent tout cela semblent être simples, mais au contraire elles ne le sont pas. Une bactérie a environ 2.000 gènes. Chaque gène est constitué d'environ 1.000 lettres (liens. . Ainsi, l'ADN de la bactérie doit avoir une longueur d'au moins 2 millions de lettres. Qu'est-ce que cela signifie ? Selon ce calcul, l'information dans l'ADN d'une bactérie est équivalente à 20 romans moyens, chacun étant constitué de 100.000 mots. 64
Le moindre changement dans l'information du code ADN d'une bactérie serait mortel car il endommagerait le système entier de la bactérie. Comme on le voit, une seule faute dans le code génétique d'une bactérie signifie que tout son système est bancal. En d'autres mots, cela signifie que la bactérie ne peut pas vivre et donner naissance à d'autres générations. Cela endommagerait un lien important dans la chaîne d'équilibres écologiques et tous les équilibres dans le monde des êtres vivants en seraient bouleversés. Quand toutes ces caractéristiques complexes sont présentes à l'esprit, il est évident que les bactéries ne sont pas des cellules primitives comme l'affirme la théorie de l'évolution. De plus, l'évolution des bactéries en cellules animales et végétales (cellules eucaryotes. , comme dans l'affirmation des évolutionnistes, contredit toutes les lois biologiques, physiques et chimiques. Bien qu'ils aient pleinement conscience de cette impossibilité, les défenseurs de la théorie de l'évolution ne renoncent pas à défendre cette théorie, qu'ils ont inventée à partir de leur propre désespoir. Même ainsi, ils ne peuvent parfois s'empêcher de parler de l'invalidité de la théorie. Par exemple, le Professeur Ali Demirsoy, admet que les cellules de bactéries, qui sont supposées être primitives, ne peuvent se transformer en cellules eucaryotes :
Une des plus difficiles étapes à expliquer scientifiquement dans l'évolution est comment des organites et des cellules complexes se sont développés à partir de ces créatures primitives. Aucune forme de transition n'a été trouvée entre ces deux formes. Les êtres mono et multicellulaires portent toute cette structure compliquée, et aucun être ou groupe n'a été trouvé avec des organites d'une construction plus simple, ou qui sont plus primitifs. En d'autres termes, les organites se sont développés tout d'un coup. Ils n'ont pas de formes simples et primitives. 65
La question : "Qu'est-ce qui encourage le scientifique évolutionniste, le professeur Ali Demirsoy, à faire un tel aveu ?" peut venir à l'esprit. La réponse à cette question peut être donnée assez clairement en examinant les grandes différences structurelles qui existent entre les cellules de bactéries et de plantes :
1. Tandis que les parois des cellules bactériennes sont formées de polysaccharides et de protéines, les parois des cellules végétales sont formées de cellulose, une structure totalement différente.
2. Tandis que les cellules végétales possèdent plusieurs organites, recouverts de membranes et possédant des structures très complexes, les cellules bactériennes n'ont pas d'organites caractéristiques. Dans les cellules de bactérie se trouvent uniquement de minuscules ribosomes qui se déplacent librement. Mais les ribosomes des cellules végétales sont plus grands et sont attachés à la membrane cellulaire. De plus, la synthèse de protéines se déroule suivant des manières différentes dans les deux types de ribosomes. 66
3. La structure de l'ADN dans les cellules végétales et bactériennes est différente.
4. La molécule d'ADN dans les cellules végétales est protégée par une membrane à double couche, tandis que l'ADN des bactéries reste libre dans la cellule.
5. La molécule d'ADN des bactéries ressemble à une boucle fermée ; en d'autres mots, elle est circulaire. Chez les plantes, la molécule d'ADN est linéaire.
6. Il y a relativement peu de protéines dans la molécule d'ADN des bactéries, mais chez les plantes, la molécule d'ADN est reliée d'une extrémité à l'autre par des protéines.
7. L'ADN des bactéries porte l'information qui appartient à une seule cellule, mais chez les plantes l'ADN porte l'information relative à toute la plante. Par exemple, toutes les informations concernant un arbre fruitier, à savoir les racines, la tige, les feuilles, les fleurs et les fruits, se retrouvent séparément dans l'ADN du noyau d'une seule cellule.
8. Certaines espèces de bactéries sont photosynthétiques, en d'autres mots, elles exécutent la photosynthèse. Mais contrairement aux plantes, dans ces bactéries photosynthétiques (par exemple la cyanobactérie. , il n'y a pas de chloroplaste qui contient chlorophylle et de pigments photosynthétiques. Ces molécules sont plutôt cachées dans diverses membranes tout autour de la cellule.
9. Les structures biochimiques des ARNm dans les cellules de bactérie et dans les cellules de plantes/d'animaux sont très différentes les unes des autres. 67
L'ARNm, ou ARN messager, est peut-être le plus important des trois types d'ARN. L'ADN ne synthétise pas directement des protéines mais des molécules d'ARNm, qui contiennent l'information nécessaire pour la production de chaînes d'acides aminés. Quand cette information contenue dans les ARNm atteint les zones adéquates, des protéines sont produites à partir des blocs de fabrication que sont les acides aminés.
Ils les nièrent injustement et orgueilleusement, tandis qu'en eux- mêmes ils y croyaient avec certitude. Regarde donc ce qu'il est advenu des corrupteurs. |
L'ARN messager joue un rôle vital pour la cellule. Mais bien que l'ARN messager assume le même rôle vital dans les cellules procaryotes (bactéries. et dans les cellules eucaryotes (comprenant les plantes et les animaux. , leur structure biochimique est différente. Un article de J. Darnell publié dans Science dit :
Les différences dans la biochimie de la formation d'ARN messager chez les eucaryotes comparée aux procaryotes sont tellement grandes que cela suggère qu'une évolution séquentielle des cellules procaryotes aux cellules eucaryotes est très improbable. 68
Les différences structurelles entre les cellules bactériennes et végétales, dont nous avons vu quelques exemples ci-dessus, mènent les scientifiques évolutionnistes dans une autre impasse. Bien que les cellules de plantes et de bactéries aient quelques aspects en commun, la plupart de leurs structures sont très différentes les unes des autres. En fait, puisqu'il n'y a pas d'organites entourés de membranes ou de cytosquelette (le réseau interne de protéines filaments et de microtubules. dans les bactéries, la présence de plusieurs organites et d'organisations très complexes chez les cellules végétales invalide totalement l'affirmation que les cellules végétales auraient évolué à partir de cellules de bactéries. Le biologiste Ali Demirsoy admet cela en disant :
"Des cellules complexes ne se sont jamais développées à partir de cellules primitives par un processus d'évolution." 69
Bien qu'il soit définitivement impossible que les cellules de plantes aient évolué à partir d'une cellule de bactérie, les scientifiques évolutionnistes ont essayé d'ignorer ce fait et ont mis en avant un grand nombre d'hypothèses discutables. Mais des expériences ont renversé ces hypothèses. La plus populaire de ces hypothèses est l'hypothèse "endosymbiotique".
Cette hypothèse a été mise en avant par Lynn Margulis en 1970 dans son livre The Origin of Eukaryotic Cells. Dans ce livre, Margulis affirme qu’à part leurs vies communautaires et parasitiques, les bactéries se sont transformées en cellules végétales et animales. Selon cette théorie, les cellules végétales sont apparues quand une bactérie photosynthétique fut avalée par une autre bactérie. La bactérie photosynthétique a évolué à l'intérieur de la cellule mère pour devenir un chloroplaste. Pour finir, les organites aux structures hautement complexes comme le noyau, l'appareil de Golgi, le réticulum endoplasmique et les ribosomes, ont évolué d'une manière ou d'une autre. Ainsi, la cellule végétale vit le jour.
Comme vu, cette théorie des évolutionnistes n'est qu'une pure fantaisie. En dépit de sa nature de conte de fées, il était essentiel, d'un point de vue évolutionniste, que ce scénario soit mis en avant ; les évolutionnistes doivent être capables d'expliquer comment les réactions les plus vitales, comme la photosynthèse, sont apparus dans le monde vivant, dans une structure aussi compliquée qu'une cellule végétale. Cette théorie de Margulis apparaissait plus utile que les autres affirmations, car elle était basée sur une caractéristique que la cellule possède. Pour cette raison, beaucoup de scientifiques évolutionnistes ont vu la thèse de Margulis comme un moyen d'échapper à l'impasse dans laquelle ils se trouvaient.
Les évolutionnistes ont défendu cette théorie sur la base d'une caractéristique des cellules végétales prise en compte isolément, sans considérer la cellule entière, et qui a été très utile pour tromper les gens qui ne possèdent pas beaucoup d'informations sur le sujet. Sans surprise, cela a été critiqué par les scientifiques qui ont mené d'importantes recherches sur le sujet : nous pouvons citer D. Lloyd, M. Gray et W. Doolittle, et R. Raff et H. Mahler comme exemples.70
L'hypothèse endosymbiotique est basée sur le fait que les mitochondries des cellules animales et les chloroplastes des cellules végétales contiennent leur propre ADN, séparé de l'ADN présent dans le noyau de la cellule mère. Sur cette base, il est suggéré que les mitochondries et les chloroplastes étaient autrefois des cellules indépendantes, vivant librement. Cependant, quand on examine les chloroplastes en détail, on peut voir que cette affirmation est fausse. Les points qui invalident l'hypothèse endosymbiotique de Margulis sont les suivants :
L’explication évolutionniste de l’apparition des cellules |
1. Si les chloroplastes avaient été engloutis par une grosse cellule quand, dans le passé, c'était des cellules indépendantes, cela aurait eu une seule conséquence : ils auraient été digérés par la cellule mère et utilisés comme nourriture. Cela doit se passer ainsi, car même si nous supposons que la cellule mère en question a ingéré une telle cellule de l'extérieur par erreur, au lieu de l'avaler intentionnellement comme nourriture, les enzymes digestives de la cellule mère l'auraient détruites. Bien sûr, certains évolutionnistes ont contourné cet obstacle en disant que "les enzymes digestives ont disparu". Mais c'est une contradiction évidente, car si les enzymes digestives de la cellule avaient disparu, la cellule serait alors morte de faim.
2. Supposons une nouvelle fois que l'impossible soit survenu et que la cellule dont on affirme qu'elle est l'ancêtre des chloroplastes ait été avalée par la cellule mère. Dans ce cas nous sommes confrontés à un autre problème : le schéma de tous les organites à l'intérieur de la cellule sont encodés dans l'ADN. Si la cellule mère devait utiliser les autres cellules qu'elle avale en tant qu'organites, il serait alors nécessaire que toute l'information les concernant soit déjà présente et encodée dans son ADN. L'ADN des cellules avalées devrait posséder des informations concernant la cellule mère. Il n'est pas seulement impossible qu'une telle situation survienne, mais les compléments d'ADN appartenant à la cellule mère et à la cellule avalée devraient être compatibles l'un avec l'autre par la suite, ce qui est aussi impossible.
3. Il y a une grande harmonie dans la cellule, qui ne peut pas être expliquée par des mutations aléatoires. Il y a plus qu'un seul chloroplaste et une seule mitochondrie dans la cellule. Leur nombre augmente et diminue en fonction du niveau d'activité de la cellule, comme pour tous les autres organites. L'existence d'ADN dans le corps de ces organites est aussi utilisée dans la reproduction. Pendant que la cellule se divise, les nombreux chloroplastes se divisent également, et la division cellulaire se déroule en moins de temps et d'une manière plus rapide.
4. Les chloroplastes sont des générateurs d'énergie d'une importance absolument vitale pour la cellule végétale. Si ces organites ne produisaient pas d'énergie, beaucoup de fonctions de la cellule ne marcheraient pas, ce qui signifierait la mort de la cellule. Ces fonctions qui sont tellement importantes pour la cellule ont lieu avec les protéines synthétisées dans les chloroplastes. Mais l'ADN des chloroplastes n'est pas suffisant pour synthétiser ces protéines. La plus grande partie des protéines est synthétisée en utilisant l'ADN parent dans le noyau cellulaire. 71
Alors que la situation prévue par l'hypothèse endosymbiotique se produit via un processus d'essais et d'erreurs, quels effets cela aurait-il sur l'ADN de la cellule mère ? Comme on l'a vu, un changement dans l'ADN ne résulte absolument pas en un gain pour cet organisme ; au contraire, une telle mutation serait certainement nuisible. Dans son livre, The Roots of Life, Mahlon B. Hoagland explique cette situation :
Vous vous rappellerez que nous avons appris qu'un changement dans l'ADN d'un organisme lui est pratiquement toujours préjudiciable ; c'est-à-dire que cela mène à une capacité réduite de survie. Par analogie, des ajouts aléatoires de phrases aux œuvres de Shakespeare ne vont sûrement pas les améliorer ! … Le principe selon lequel les changements dans l'ADN sont nuisibles en vertu des chances réduites de survie s'applique, que ce changement soit causé par une mutation ou par quelque gène étranger que nous lui ajoutons délibérément. 72
Les affirmations avancées par les évolutionnistes ne sont pas basées sur des expériences scientifiques, car l'engloutissement d'une bactérie par une autre n'a jamais été observé. Le scientifique évolutionniste P. Whitfield décrit la situation de cette manière :
L'endocytose des procaryotes est le mécanisme cellulaire sur lequel la totalité du S.E.T (Théorie Endosymbiotique. repose. Si un procaryote ne peut en engloutir un autre, il est difficile d'imaginer comment l'endosymbiose a pu se mettre en place. Malheureusement pour Margulis et le S.E.T., aucun exemple moderne d'endocytose ou d'endosymbiose chez les procaryotes n'existe… 73
En fait, toutes les impossibilités que nous avons examinées jusqu'ici sont suffisantes pour prouver l'invalidité du scénario de l'évolution des plantes. Mais une simple question sera aussi suffisante pour que toutes les affirmations des évolutionnistes s'écroulent sans avoir besoin de toutes ces explications :
Comment le procédé de la photosynthèse, dont rien ne lui ressemble dans le monde entier, est-il apparu ?
Selon la théorie de l'évolution, afin d'exécuter la photosynthèse, les cellules végétales ont avalé des bactéries qui pouvaient photosynthétiser et se sont ensuite transformées en chloroplastes. Donc comment ces bactéries ont-elles appris à mener un processus aussi compliqué que la photosynthèse ? Comme avec toutes les autres questions, la théorie de l'évolution n'a pas de réponse scientifique à donner. Regardez comment une publication évolutionniste répond à la question :
L'hypothèse hétérotrophe suggère que les premiers organismes étaient des hétérotrophes qui se nourrissaient d'une soupe de molécules organiques dans l'océan primitif. Au fur et à mesure que les premiers hétérotrophes consommaient les acides aminés disponibles, ainsi que les protéines, les lipides et les sucres, cette soupe nutritive s'est appauvrie et n'a pas pu supporter plus longtemps la population croissante d'hétérotrophes… Les organismes qui pouvaient utiliser une autre source d'énergie auraient possédé un grand avantage. Et il faut considérer que la Terre était (et continue à être. inondée d'énergie solaire qui est constituée de différentes formes de radiations. Les radiations ultraviolettes sont destructives, mais la lumière visible est riche en énergie et non destructive. Ainsi, comme les composés organiques devenaient progressivement de plus en plus rares, une capacité déjà présente à utiliser la lumière visible comme source alternative d'énergie a pu permettre que de tels organismes et leurs descendants survivent. 74
Si tu leur demandes: Qui a créé les cieux et la terre, et assujetti le soleil et la lune? ,ils diront très certainement: Allah. Comment se fait-il qu'ensuite ils se détournent (du chemin droit. ? |
Le livre, Life on Earth, une autre source évolutionniste, essaie d'expliquer l'émergence de la photosynthèse de cette façon:
Les bactéries se nourrissaient initialement des divers composés de carbone qui avaient pris tant de millions d'années à s'accumuler dans les mers primordiales. Mais au fur et à mesure qu'elles prospéraient, cette nourriture a du se raréfier. La moindre bactérie qui pouvait exploiter une source différente de nourriture aurait été évidemment privilégiée, et finalement certaines l'ont fait. Au lieu de prendre la nourriture toute prête dans leur environnement, elles ont commencé à fabriquer la leur en leur sein, en tirant l'énergie nécessaire du soleil. 75
Ces fantaisies imaginaires, pareilles aux contes de fée, dépassent complètement les limites de l'intelligence et de la science. La signification de ces phrases apparaîtra dans la lumière de l'intelligence et de la science.
Tout d'abord, la fin inévitable de n'importe quel être vivant sans nourriture est la mort. Le seul variable est le temps durant lequel chaque être vivant peut survivre à la faim. Après cette dernière pendant un certain temps, toutes les fonctions de chaque être vivant commencent à cesser, car ils ne peuvent obtenir d'énergie en brûlant de la nourriture. Toute personne pour se rendre compte de cette vérité et peut la comprendre à travers de simples observations, mais les scientifiques évolutionnistes s'attendent à ce qu'un être vivant, dont chaque fonction s'est arrêtée, puisse développer une nouvelle méthode d'alimentation. Ils croient qu'ils peuvent développer un tel système et ensuite "commencer à le produire" dans leur propre corps. Si ces scientifiques évolutionnistes mènent une expérience et attendent ce résultat, la conséquence est claire : les bactéries mourront rapidement.
Un autre problème auquel les scientifiques évolutionnistes, qui s'attendent à ce que des bactéries produisent leur propre nourriture, font face est la difficulté de la tâche. Dans les sections précédentes, nous avons souligné que la photosynthèse dépend de systèmes très complexes. De tous les processus connus dans le monde, c'est réellement le plus compliqué ; les grandes lignes de ce système n’ont pas encore été découvertes, et plusieurs étapes sont aujourd’hui un mystère pour l'homme.
C'est ce que les scientifiques évolutionnistes attendent d'une bactérie mourante : qu'elle développe ce procédé –qui n'a pas été reproduit artificiellement même dans des réacteurs avec la technologie la plus développée.
L'un des aveux les plus frappant qu'un événement aussi compliqué que la photosynthèse n'a pu évoluer au fil du temps est de nouveau fait par le professeur Ali Demirsoy :
La photosynthèse est un événement plutôt compliqué, et il semble impossible qu'il soit apparu dans un organite à l'intérieur d'une cellule, car il est impossible que toutes ses étapes soient apparues toutes d'un seul coup, et leur apparition séparée n'aurait servie à rien. 76
Une autre confession sur ce sujet vient de l'évolutionniste Hoimar Von Ditfurth. Dans son livre, Im Anfang War Der Wasserstoff (Au commencement était l'hydrogène. , Von Ditfurth dit que la photosynthèse est un processus impossible à apprendre :
Aucune cellule ne possède la faculté "d'apprendre" un procédé au sens propre du terme. Il est impossible qu'une cellule obtienne la capacité de mener des fonctions comme la respiration ou la photosynthèse, ni lors de sa première apparition, ni plus tard dans la vie. 77
Les algues vertes sur la photo sont des organismes uni ou multicellulaires capables d’accomplir la photosynthèse. |
Selon les évolutionnistes, les algues, ou les mousses, sont les ancêtres des plantes terrestres, il est suggéré qu'elles aient évolué pour la première fois il y a 450 millions d'années à l'ère paléozoïque, mais les fossiles qui ont été découverts ces dernières années ont contredit les scénarios des évolutionnistes ainsi que leur arbre généalogique.
Dans l'ouest de l'Australie en 1980, des récifs de fossiles âgés de 3,1 à 3,4 milliards d'années ont été trouvés.78 Ils sont constitués d'algues bleues vertes et d'organismes qui ressemblent à des bactéries. Cette découverte créa le pire chaos pour les évolutionnistes, car elle bouleverse leur arbre généalogique, selon lequel, les algues seraient apparues il y a 410 millions d'années à l'ère paléozoïque. Un autre point intéressant est que l'algue la plus ancienne et qui n’a jamais été découverte a exactement les mêmes structures complexes que les algues actuelles. Un scientifique qui mena une enquête sur le sujet a dit :
Les fossiles les plus anciens découverts à ce jour sont des objets fossilisés dans des minéraux qui appartiennent à l'algue bleue verte, âgés de plus de 3 milliards d'années. Quelque soit leur degré de primitivité, elles représentent toujours une forme de vie plutôt compliquée et organisée admirablement. 79
A ce point, on doit se poser cette question aux évolutionnistes :
"Comment la théorie de l'évolution, qui affirme que d'innombrables formes de plantes terrestres ont évolué à partir d'algues sur une période de 100 à 150 millions d'années, explique-t-elle que les algues qui datent d'environ un milliard d'années ont exactement la même structure que les algues actuelles ?"
Les défenseurs de la théorie de l'évolution ignorent cette question et d'autres comme celle-ci, et essaient d'éviter la vérité.
1. Paroi cellulaire | 7. Lysosome |
Les évolutionnistes défendaient que la cellule eucaryotique de structure complexe fût issue de la cellule procaryotique simple visible en haut, et qu’ensuite elle forma des êtres vivants. Quand ils se sont rendus compte que cela n’était pas possible, ils commencèrent à défendre l’hypothèse contraire. |
Une autre impasse pour l'histoire de l'évolution à partir d'algues ou de mousses est de savoir si les algues procaryotes ont évolué à partir d'algues eucaryotes, ou l'inverse. Les évolutionnistes ne sont même pas d'accord entre eux sur se sujet. Ils n'arrivent pas à décider du type des algues. Il est utile d'examiner les types de cellules de manière générale.
Les cellules procaryotes ressemblent aux bactéries, sans organites à l'intérieur d'elles. Tandis que les cellules eucaryotes sont des cellules animales et végétales, et ont plus de structures complexes que les cellules procaryotes. La théorie de l'évolution affirma d'abord que les cellules eucaryotes ont évolué à partir des procaryotes. Quand les évolutionnistes ont réalisé que c'était impossible, ils ont changé d'idées et ont commencé à soutenir le contraire, ces affirmations ne sont que de simples spéculations. L'embarras dans lequel se trouvent les évolutionnistes sur ce sujet est admit par Robert Shapiro, un évolutionniste. W. R. Bird qui écrivit:
Le postulat d'une transition entre les algues procaryotes et les algues eucaryotes a été remis en question, car la transition était "tellement pleine de confusion et de contradiction que les biologistes les plus modernes l'ont ignoré." Et elle fut abandonnée plus tard. La confusion est tellement grande que certains chercheurs ont proposé que les eucaryotes aient évolué en procaryotes, plutôt que l'inverse. La preuve fossile n'est pas plus claire. Il est évident que des fossiles procaryotes existent dans des rochers précambriens, "mais nous ne connaissons pas le moment ou les circonstances de leur apparition", note Shapiro. 80
Selon les dires des évolutionnistes, sous l'action des courants marins, les algues se sont accrochées aux rivages, et ont commencé à bouger vers l'intérieur des terres en se transformant en plantes terrestres. Examinons si cette supposition est proche de la vérité ?
Il y a de nombreux paramètres qui rendent impossible la vie de l'algue après qu'elle a échoué sur le rivage. Etudions ceux qui sont plus importants :
1. Le danger de l'assèchement : Pour qu'une plante qui vit dans l'eau soit capable de vivre sur terre, sa surface doit être protégée des pertes d'eau, sinon elle s'asséchera. Les plantes terrestres possèdent des systèmes spéciaux pour empêcher ce fait. Il y a des détails très importants dans ces systèmes. Par exemple, cette protection ne doit pas empêcher les gaz aussi importants que l'oxygène et le dioxyde de carbone de sortir et d'entrer librement dans la plante. En même temps, il est important que l'évaporation soit permise. Il est impossible que ce système soit formé par le hasard. Si une plante ne possède pas un tel système, elle ne peut pas attendre des millions d'années pour en développer un. Dans une telle situation, la plante s'asséchera rapidement et mourra. La très grande complexité de ces systèmes spéciaux démontre l'impossibilité que leur apparition soit le fait de coïncidences sur des millions, voire même des milliards d'années.
2. L'alimentation : Les plantes aquatiques prennent l'eau et les minéraux dont elles ont besoin directement dans l'eau. Pour cette raison, n'importe quelle algue qui essaye de vivre sur la terre ferme aura un problème de nourriture et ne pourra pas vivre.
3. La reproduction : Les algues, avec leur courte durée de vie, n'ont aucune chance de se reproduire sur terre, car, comme dans toutes leurs fonctions, elles utilisent l'eau pour disperser leurs cellules reproductrices. Donc, pour être capables de se reproduire sur terre, elles devraient posséder des cellules reproductrices multicellulaires, comme celles des plantes terrestres, qui sont recouvertes par une couche protectrice de cellules. En l'absence de ces dernières, n'importe quelle algue qui se retrouve sur terre sera incapable de protéger ses cellules reproductrices du danger.
4. Protection contre l'oxygène : N'importe quelle algue, arrivée sur la terre ferme, prenait jusqu'alors l'oxygène sous une forme décomposée. Selon les évolutionnistes, elles devraient prendre l'oxygène sous une nouvelle forme directement de l'atmosphère. Mais, sous des conditions normales, l'oxygène de l'atmosphère a un effet toxique sur les substances organiques. Les êtres vivants qui vivent sur terre possèdent des systèmes qui les empêchent d'être endommagés par cet effet, mais les algues sont des plantes aquatiques qui ne possèdent pas d'enzymes pour les protéger des effets néfastes de l'oxygène. Ainsi, en atteignant la terre ferme, il serait impossible qu'elles évitent ces effets. Elles ne peuvent pas non plus attendre le développement d'un tel système, car elles ne vivraient pas assez longtemps pour que cela arrive.
En analysant ces affirmations de la théorie de l'évolution, on s'aperçoit qu'elles défient toute logique. Par exemple, considérons l'environnement dans lequel vit une algue. L'eau qu'elles auraient quittée, selon les évolutionnistes, leur offre d'innombrables possibilités de survie. Par exemple, l'eau les protège et les isole d'une chaleur excessive et leur fournit les minéraux dont elles ont besoin. En même temps, elle leur permet de fabriquer leurs propres carbohydrates (sucres et amidon. à partir du dioxyde de carbone en absorbant la lumière dans la photosynthèse. En bref, l'eau est un environnement idéal pour l'algue, à la fois pour leurs caractéristiques physiques et pour les systèmes qui exécutent leurs fonctions. En d'autres mots, il n'y a aucune raison pour qu'une algue quitte l'eau, dans laquelle elle peut survivre confortablement, pour aller vivre sur la terre ferme étant donné que leurs structures ne sont pas adaptées à une telle vie.
On peut comparer cette situation à un être humain qui vit sur terre et qui essaye d'aller vivre sur une autre planète, alors qu'il a un environnement parfait pour vivre sur terre (une atmosphère, de la nourriture, la gravité et bien d'autres conditions. parfaitement adapté aux conditions de ce monde aujourd'hui, à partir du moment où il quitterait la terre pour aller sur une autre planète, il serait incapable de survivre. Il est impossible pour lui d'aller ailleurs comme pour l'algue de quitter l'eau et de commencer à vivre sur terre.
Face à ces vérités, la traditionnelle astuce des évolutionnistes est de suggérer la notion fantaisiste que les algues se sont adaptées à vivre sur terre, alors qu'il est clair pour n'importe qui que c'est une fantaisie de considérer qu'une algue puisse décider de vivre sur terre, en apportant tous les changements physiques adéquats dans ses propres structures, puis de se déplacer sur la terre. Il est impossible, même pour l'homme, l'être vivant le plus supérieur, qui possède une intelligence, une conscience et une volonté, d'apporter la moindre mutation dans son corps pour lui permettre de vivre dans un environnement différent. Par exemple, si un homme veut voler, il est inconcevable qu'il puisse développer des ailes, ou transformer ses poumons en branchies s'il veut vivre dans l'eau.
Les algues, n'ont pas d'intelligence, de volonté, de pouvoir de décision, de jugement ou de pouvoir d'évaluation afin d'apporter des changements à leur propre organisme ou de diriger la moindre intervention en elles, mais il est très intéressant de voir les évolutionnistes tomber dans cet illogisme lorsqu'ils attribuent toutes ces propriétés aux algues, dans l'intérêt de rester loyal à leur théorie, et au prix de paraître ridicule.
Comme vu, les algues n'ont aucune chance d'arriver sur la terre ferme et d'y vivre. Dès leur arrivée sur terre, elles ont besoin d'avoir plusieurs mécanismes qui fonctionnent parfaitement pour leur permettre d’y vivre, comme les plantes terrestres le font. Pour que ces mécanismes puissent apparaître, les plantes doivent posséder des informations sur eux, qui sont enregistrées dans leur propre ADN, dès le début. Le célèbre biologiste Georges Mendel au cours des expériences qu'il a mené sur des plantes à la fin des années 1800, a révélé les lois génétiques des êtres vivants et a découvert que les caractéristiques des plantes et d'autres êtres vivants sont transmises aux générations futures par les chromosomes. En d'autres termes, chaque espèce d'être vivant conserve ses propres caractéristiques dans son ADN, de génération en génération.
Enfin, la vérité qui en résulte est : quelque soit le temps qui passe, quelque soient les conditions, il est impossible qu'une algue se transforme en plante terrestre.
Arbre généalogique imaginaire des plantes | |
1. Plantes | 7. Gnétophytes |
Comme nous arrivons au dernier acte du scénario de l'évolution, nous rencontrons l'arbre généalogique imaginaire qui repose derrière toutes les impossibilités et les faits illogiques que nous avons vu jusqu'ici. Les plantes sont divisées par les évolutionnistes en 29 classes, et en groupes, et en relations ancêtres-descendants. Ils affirment que chaque groupe a évolué à partir d'un autre, et que les bactéries sont leur ancêtre commun. Les fleurs, les arbres et les fruits, dans toute leur diversité, sont les branches finales de cet arbre.
Il n'y a pas une seule série de fossiles pour prouver l'authenticité de la moindre branche de cet arbre généalogique qu’on peut voir dans tous les livres de biologie. Il y a des fossiles parfaits de nombreux êtres vivants dans le monde, mais aucun d'entre eux ne possède les caractéristiques d'un être intermédiaire entre une espèce et une autre. Ils appartiennent tous à des espèces complètement différentes, et n'ont aucun lien d'évolution entre eux. A propos des problèmes issus de ce fait, les évolutionnistes expriment leur vue comme suit :
Daniel Axelrod dit, dans son livre Evolution of the Psilophyte Paleoflora:
Il semble évident que notre carte phylétique ait besoin d'une révision importante. 81
Chester A. Arnold était un professeur à l'Université Michigan qui mena des recherches sur les fossiles de plantes. A la page 334 de son livre Introduction to Paleobotany, il dit :
Les évolutionnistes des plantes ne sont pas seulement incapables d'expliquer la survenue apparemment abrupte des plantes florales vers une position dominante, mais ils ne peuvent pas non plus expliquer leur origine. 82
Ranganathan, un autre évolutionniste dit dans son livre B. G. Origins :
Il n'y a pas de preuve d'animaux ou de plantes partiellement évolués dans les fossiles pour indiquer qu'une évolution a eu lieu dans le passé, et certainement aucune preuve d'animaux et de plantes partiellement évolués qui existe de nos jours pour indiquer qu'une évolution a lieu à l'heure actuelle. 83
Chester A. Arnold énonce le fait suivant dans son livre mentionné ci-dessus :
Jusqu'à présent nous n'avons pas été capables de tracer l'histoire phylogénétique d'un seul groupe de plantes modernes depuis ses origines jusqu'à aujourd'hui. 84
Dans son livre The Evolution of Flowering Plants, in the Evolution Life, Daniel Axelrod dit:
Le groupe ancestral qui a donné naissance aux angiospermes n'a pas encore été identifié dans les fossiles, et aucune angiosperme vivant ne pointe vers une telle alliance ancestrale. 85
Un article intitulé "Les fossiles d'anciennes algues sont pourtant très complexes" dans le magazine Science News, révéla qu'il n'y a aucune différence entre les exemples de ce que les évolutionnistes appellent des algues modernes, et les algues qui vivaient il y a des milliards d'années.
Des algues bleues vertes et des fossiles de bactéries qui datent de 3,4 milliards d'années ont été trouvés dans des roches en Afrique du Sud. Plus intrigant, l'algue pleurocapsalean apparaît pratiquement identique aux algues pleurocapsalean modernes au niveau de la famille et peut-être au niveau générique. 86
Toutes les déclarations ci-dessus viennent d'experts et portent le même message : il n'y a pas un seul fossile de plante avec des organes ou des systèmes à moitié formés : il n'y a aucune preuve qu'une plante est l'ancêtre d'une autre. Pour cette raison, les arbres généalogiques évolutionnistes sont le fruit de l'imagination et n'ont aucune base scientifique. Si les fossiles que nous possédons sont analysés sans préjugés, la vérité de la création apparaît clairement. Le professeur évolutionniste Dr. Eldred Corner de l'Université de Cambridge admet ainsi cette situation :
Je pense toujours que, pour une personne sans préjugés, les fossiles de plantes penchent en faveur d'une création spéciale. Si, cependant, une autre explication pouvait être trouvée pour cette hiérarchie de classification, cela sonnerait le glas de la théorie de l'évolution. Pouvez-vous imaginer comment une orchidée, un nénuphar et un palmier sont apparus à partir du même ancêtre, et avons-nous la moindre preuve pour cette hypothèse ? Les évolutionnistes doivent préparer une réponse, mais je pense que la plus grande part de celle-ci se brisera avant même d'investiguer. 87
Bien qu'étant un évolutionniste, Eldred Corner ne peut se retenir de faire cet aveu. Bien sûr qu'il est impossible que d'innombrables variétés de plantes apparaissent à partir d'une seule plante. Toutes les plantes possèdent des caractéristiques particulières à leur propre espèce. Leurs couleurs, goûts, formes et leurs méthodes de reproduction sont toutes différentes les unes des autres. En plus de ces différences, les plantes d'une même espèce possèdent les mêmes caractéristiques quelque soit leur implantation dans le monde. Des pastèques sont partout des pastèques, leur couleur, goût et odeur sont tout le temps les mêmes. Les roses, les fraises, les œillets, le tilleul, les bananes, les ananas, les orchidées, en bref toutes les plantes de la même espèce possèdent les mêmes caractéristiques n'importe où dans le monde. Partout, les feuilles possèdent les mécanismes qui permettent d'exécuter la photosynthèse. Il est impossible que ces mécanismes soient apparus par le fait de coïncidences, comme l'affirme les évolutionnistes. Dire que les mêmes coïncidences ont affecté tous les endroits du monde, comme le font les évolutionnistes, n'est pas scientifique.
Tout cela nous amène à une seule conclusion. Les plantes ont été créées, tout comme tous les êtres vivants. Elles ont possédé les mêmes mécanismes complets dès leur apparition. Des termes comme "le développement au cours du temps", "des changements liés aux coïncidences" et "des adaptations survenant à cause des besoins", que les évolutionnistes emploient dans leurs affirmations, servent uniquement à souligner leur défaite et n’ont aucune signification scientifique.
Psilophyton |
Cette plante qui existait il y a 395 à 360 millions d’années avant notre ère n’a pas de feuilles. Comme on peut le voir sur le fossile, c’était une plante vasculaire dont les branches se subdivisaient en dichotomie, mais présentaient également des ramifications latérales. 91 |
Lorsqu'on regarde les fossiles de cette période, on s'aperçoit qu'ils possèdent beaucoup de caractéristiques de plantes de notre époque. Par exemple, les stomates, les cuticules, les rhizomes et les sporanges sont des structures trouvées dans leurs feuilles. 88 Une plante terrestre doit être complètement protégée du danger de l'assèchement si elle doit vivre sur la terre ferme. La cuticule est une structure cireuse qui recouvre les tiges, les branches et les feuilles pour protéger les plantes de l'assèchement. Si une plante ne possède pas de cuticule, elle ne peut attendre qu’une cuticule se développe, comme l'affirment les évolutionnistes. Si une plante possède une couche de cuticule elle vit, sinon elle s'assèche et meurt. La différence est à ce point importante. Toutes les structures qu'une plante possède sont d'une importance vitale, tout comme le cuticule. Pour qu'une plante vive et se reproduise, elle doit posséder des systèmes qui fonctionnent parfaitement, comme aujourd'hui. De ce point de vue, toutes les plantes fossilisées qui ont été retrouvées et toutes celles qu’on trouve aujourd'hui confirment qu'elles possédaient les mêmes structures qui fonctionnent parfaitement depuis leur apparition jusqu'à nos jours.
Lepidodendron |
Le lepidodendron est une plante qui a existé il y a 345 à 270 millions d’années. Ses tiges fossilisées (ci-dessus. montrent qu’elles étaient couvertes de feuilles, en raison des traces laissées sont clairement visibles, même les endroits où les faisceaux vasculaires passaient de la queue vers la tige de la feuille sont visibles au centre des traces en forme de losange. 90 |
La caractéristique la plus importante de la période carbonifère est qu’il y a beaucoup de fossiles qui ont été retrouvés et qui datent de cette époque. Il n'y a aucune différence entre les espèces de plantes de cette période et les plantes qui vivent aujourd'hui. La diversité soudainement révélée dans les fossiles met les évolutionnistes dans une autre position difficile, car, tout d'un coup, des espèces de plantes sont apparues, toutes possédant des systèmes parfaits.
Les évolutionnistes ont trouvé une solution pour sortir de ce dilemme en inventant un terme qui s'accorde avec l'évolution, et c'est l’"explosion évolutionniste". Bien sûr, appeler ce phénomène "l'explosion évolutionniste" ne résout aucun des problèmes des évolutionnistes. Ce phénomène laissa même le fondateur de la théorie, Charles Darwin, abasourdi, et il admit la chose suivante :
Rien n'est plus extraordinaire dans l'histoire du royaume végétal, il me semble, que le développement apparemment très soudain ou abrupte de plantes plus avancées. 89
Senftenbergia |
Fossil remains of the leaves of the family Calamitaceae . The leaves are either oval or lanceshaped. Les restes fossiles des feuilles de la famille des Calamitaceae. Les feuilles sont soit ovales soit en forme de lance. Cette espèce était commune aux Etats-Unis, Canada, en Chine et en Europe pendant le carbonifère. Elle était également répandue en Russie et en Chine durant la période permienne, et en Patagonie durant le paléozoïque supérieur. Le spécimen photographié provient du carbonifère italien. 92 |
Comme on le voit dans tous ces fossiles de plantes, il n'y a aucune différence de forme ou de structure entre les plantes actuelles et celles qui vivaient des centaines de millions d'années auparavant.
Les plantes exécutaient la photosynthèse il y a des milliards d'années de cela, comme elles le font aujourd'hui. Elles possédaient des systèmes hydrauliques assez puissants pour fissurer du béton, des pompes capables de transporter l'eau absorbée du sol à plusieurs mètres de hauteur, et des usines chimiques produisant de la nourriture pour les créatures vivantes. Allah, le Seigneur de tous les mondes, Qui les a créées, et le fait toujours. Même en utilisant les moyens les plus avancés offerts par la technologie moderne, il est impossible pour l'homme, qui essaye de comprendre ces miracles de la création dans les plantes, de créer la moindre espèce de plante à partir de rien.
Allah attire notre attention sur cette vérité dans la sourate an-Naml :
N'est-ce pas Lui Qui a créé les cieux et la terre et qui vous a fait descendre du ciel une eau avec laquelle Nous avons fait pousser des jardins pleins de beauté. Vous n'êtes nullement capables de faire pousser de tels arbres. Y a-t-il donc une autre divinité avec Allah ? Non, mais ce sont des gens qui Lui donnent des égaux. (Sourate an-Naml, 60)
SphenopterisCette plante fossile présentait une structure complexe, notamment au niveau des feuilles qui, de l’extérieur, semblent identiques aux plantes d’aujourd’hui. Le spécimen sur la photo appartient au carbonifère allemand.95 NeuropterisVoici un fossile de feuilles de l’espèce Neuropteris qui était une plante ayant vécu à l’ère carbonifère supérieure (il y a 280 millions d’années. . Elle est très commune dans les strates d’Europe et d’Amérique du Nord. Le spécimen en photo appartient à l’espèce N. gigantea fut découvert dans une couche pennsylvanienne à Mazon Creek, dans l’Illinois.96 AnnulariaLes restes fossiles des feuilles de la famille des Calamitaceae. Les feuilles sont soit ovales soit en forme de lance. Cette espèce était commune aux Etats-Unis, Canada, en Chine et en Europe pendant le carbonifère. Elle était également répandue en Russie et en Chine durant la période permienne, et en Patagonie durant le paléozoïque supérieur. Le spécimen photographié provient du carbonifère italien.92 |
BaragwanathiaLe Baragwanathia est l’une des plus anciennes plantes vasculaires terrestres. Elle avait des pores et des tissus conducteurs. Ces caractéristiques ne les rendent pas différentes des plantes d’aujourd’hui. Ses branches avec des feuilles mesuraient jusqu’à 28 centimètres de long et 1 à 2 centimètres de large. L’axe principal était divisé en deux axes secondaires. Cette plante appartenait à une strate du silurien supérieur (il y a 400 millions d’années. .98 ZamitesCe genre est utilisé pour classer les restes fossiles des frondes de cycadale. Ces feuilles distinctives en forme de plume, sont composées d’un axe central d’où émergent deux rangées de feuilles allongées. On peut voir qu’il n’y a aucune distinction entre les frondes de cycadale d’aujourd’hui et celles, comme sur la photo, qui datent du jurassique inférieur (il y a 190 millions d’années. et découvertes à Osteno en Lombardie (Italie) .99 CalamitesCette espèce est relativement répandue entre la moitié du carbonifère à la période permienne supérieure (il y a 300 à 250 millions d’années. . Elle est estimée avoir poussé jusqu’à vingt mètres de haut.93 |
Auracarian Cone |
Period: Cretaceous |
Fossils of living things that lived millions of years in the past show that living things never evolved and that the theory of evolution is devoid of any supporting evidence and a totally invalid theory. With their complex equipment and characteristics unique to their own species, living things that lived millions of years ago, and those living today, are all miracles created by Allah. |
Sumac Leaf |
Period: Eocene |
Conifer Twig |
Period: Cretaceous |
Poplar Leaf |
Period: Eocene |
Hundreds of plant species appear suddenly in the fossil record, with all their characteristics. And this is a huge problem for evolutionists, one they can never account for. Indeed, this problem baffled Charles Darwin, the founder of the theory of evolution, who admitted: “Nothing is more extraordinary in the history of the Vegetable Kingdom, as it seems to me, than the apparently very sudden or abrupt development of the higher plants.” (Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, 1887, p. 248) |
62. W. R. Bird, The Origin of Species, Revisited, Nashville: Thomas Nelson Co. 1991, pp. 298-299
63. Alexander I. Oparin, Origin Of Life, (1936. New York, Dover Publications, 1953, p. 196
64. Mahlon B. Hoagland, The Roots of Life, Houghton Mifflin Company, 1978, p. 18
65. Prof. Dr. Ali Demirsoy, Kalitim ve Evrim, Ankara, Meteksan Yayinlari, p. 79
66. Prof. Dr. Ilhami Kiziroglu, Genel Biyoloji, Desen Yayinlari, p. 22
67. Robert A. Wallace, Gerald P. Sanders, Robert J. Ferl, Biology : The Science of Life, Harper Collins College Publishers, p. 283
68. Darnell, Implications of RNA-RNA Splicing in Evolution of Eukaryotic Cells, s. 202, Science,1257 (1978.
69. Prof. Dr. Ali Demirsoy, Kalitim ve Evrim, Meteksan Yayinlari, Ankara, p. 79
70. W.R. Bird, The Origin of Species Revisited, Nashville : Thomas Nelson Co. 1991, p. 210
71. Robart A. Wallace, Gerald P. Sanders, Robert J. Ferl, Biology : The Science of Life, Harper Collins College Publishers, p. 94
72. Mahlon B. Hoagland, The Roots of Life, Houghton Mifflin Company, 1978, p. 145
73. Whitfield, Book Review of Symbiosis in Cell Evolution, 18 Biological J. Linnean Soc. 77-79 (1982.
74. Milani, Bradshaw, Biological Science, A molecular Approach, D. C. Heath and Company, Toronto, p. 158
75. David Attenborough, Life on Earth, Princeton University Press, Princeton, New Jersey, 1981, p. 20
76. Prof. Dr. Ali Demirsoy, Kalitim ve Evrim, Ankara, Meteksan Yayinlari, 1984, p. 8
77. Hoimar Von Ditfurth, Im Amfang War Der Wasserstoff, p. 60-61
78. www.faithmc.org.sg/html/creation/htm
79. Hoimar Von Ditfurth, Im Amfang War Der Wasserstoff, p. 199
80. R. Shapiro, Origins: A Skeptic’s Guide to the Creation of Life on Earth, 1986, p. 90-91
81. Daniel Axelrod, Evolution of the Psikophyte Paleoflora, 13 Evolution, 1959, 264-274
82. Chester A. Arnold, An Introduction to Paleobotany, Mc Graw-Hill, 1947, p. 334
83. Ranganathan, B. G. Origins?, Carlisle, PA : The Banner of Truth Trust, 1988. p. 20
84. Chester A. Arnold, An Introduction to Paleobotany, New York : Mc Grow-Hill, 1947, p. 7
85. Daniel Axelrod, The Evolution of Flowering Plants, in The Evolution Life, 1959, pp. 264-274
86. "Ancient Alga Fossil Most Complex Yet", Science News, vol. 108, 20 septembre 1975, p. 181
87. Dr. Eldred Corner, Evolution in Contemporary Botanical Thought, Chicago : Quadrangle Books, 1961, p. 97
88. Malcolm Wilkins, Plantwatching, New York, Facts on File Publications, 1988, pp. 25-26
89. Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, 1887, p. 248
90. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s, Guide to Fossils, New York, 1986, pic. no. 6 ve Malcolm Wilkins, Plantwatching, New York, Facts on File Publications, p. 26
91. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, pic. no. 3
92. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, pic. no. 10
93. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 9
94. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 11
95. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 12
96. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 14
97. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 5
98. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 4
99. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 15
100. Ardvini, Teruzzi, Simon & Schuster’s Guide to Fossils, New York, 1986, image no. 16
101. Dr. Paul D. Taylor, Eyewitness Guides, Fossil, Londres, A Dorling Kindersley Book, 1994, p. 38