La Derniere Pretention de la Theorie de L'evolution sur les Fossiles Appartient Egalement a L'histoire

La théorie de l’évolution a subi de cuisantes défaites en paléontologie et en biochimie sur des sujets comme les gènes, l’ADN et les systèmes cellulaires. Les fossiles ont démontré que les espèces vivantes n’ont pas évolué les unes des autres, mais ont été créées séparément avec leurs caractéristiques individuelles spécifiques.

archæoptéryx

Dans nos autres études sur l’invalidité de la théorie de l’évolution, nous avions expliqué que l’archæoptéryx n’était pas un être vivant à mi-chemin entre les oiseaux et les dinosaures, mais une espèce d’oiseau éteinte qui pouvait voler comme les oiseaux modernes. Malgré cela, certaines publications évolutionnistes continuent toujours à considérer l’archæoptéryx comme étant "l’ancêtre primitif des oiseaux" et entretiennent le mythe que "les dinosaures sont les ancêtres des oiseaux". Ci-dessus sont représentées les couvertures mensongères du New Scientist et du National Geographic à propos de l’archæoptéryx. Cependant, la vérité a été finalement révélée et même les publications évolutionnistes ont dû admettre l’effondrement de la légende de l’archæoptéryx

Selon la théorie de l’évolution, toutes les espèces vivantes ont évolué les unes des autres. Des espèces existantes se seraient transformées en d’autres espèces au cours du temps et toutes les espèces se seraient formées de cette manière. Selon cette théorie, cette transformation s’est poursuivie sur une très longue période de plusieurs centaines de millions d’années et s’est faite de façon graduelle.

Dans ce cas, d’innombrables "espèces intermédiaires" ont dû naître et vivre durant cette longue période de prétendue transformation.

archæoptéryx

La photo d’un archæoptéryx imaginaire

Ainsi, certains mi-poissons/mi-reptiles ont dû vivre dans le passé et ont acquis des traits "reptiliens" en plus des caractéristiques de poisson qu’ils possédaient déjà. Ou alors des reptiles-oiseaux devaient avoir vu le jour avec des traits "reptiliens", puis ils auraient acquis en sus des caractéristiques d’oiseaux. Comme ils se trouvaient dans une période transitoire, ce devait être des créatures vivantes difformes, imparfaites et inachevées. Les évolutionnistes se réfèrent à ces créatures théoriques qui, selon eux, auraient existé dans le passé en tant que "formes transitoires".

Si ce genre d’animaux avaient réellement existé dans le passé, il avait dû en exister des millions et même des milliards en nombre et en variété. Et c’est là que le darwinisme s’effondre car il n’existe pas la moindre trace de ces "formes transitoires intermédiaires" imaginaires.

Cela était connu depuis très longtemps. Cependant, les évolutionnistes ont fait des spéculations à partir de très peu de fossiles en essayant de les faire passer pour des "formes transitoires intermédiaires" et se sont rassurés en affirmant que "très peu de formes intermédiaires ont été trouvées à ce jour, mais à l’avenir elles seront toutes déterrées". Le fossile le plus important, présenté comme une forme intermédiaire, était un fossile d’oiseau âgé de 150 millions d’années, appelé archæoptéryx. Les évolutionnistes prétendent que cet oiseau avait des caractéristiques "reptiliennes". Bien que leurs affirmations aient été réfutées les unes après les autres et qu’il a été démontré que l’archæoptéryx n’était pas une forme transitoire intermédiaire mais une espèce d’oiseau volant, ils se sont désespérément accrochés à ce dernier fossile qui leur restait.

"La découverte d’un fossile menace la théorie de l’évolution des oiseaux"

En fin de compte, un fossile découvert ces dernières années a définitivement "balayé" les affirmations des évolutionnistes. Cité dans les sources évolutionnistes, un fossile a été découvert révélant que le plus ancien ancêtre des oiseaux n’était pas un dinosaure ou une autre créature vivante mais bien un oiseau.

théorie de l’évolution, oiseaux

La preuve que l’ancêtre des oiseaux n’était qu’un oiseau: une information parue dans le New York Times du 23 juin 2000, avait pour titre "La découverte d’un fossile menace la théorie de l’évolution des oiseaux".

La nouvelle de cette découverte est apparue pour la première fois dans les médias du monde entier le 23 juin 2000. Le New York Times titra en une: "La découverte d’un fossile menace la théorie de l’évolution des oiseaux." Cet article parlait d’un oiseau récemment déterré dans le Moyen-Orient. D’importants journaux scientifiques comme Science et Nature ainsi que la chaîne de télévision, célèbre dans le monde entier, la BBC ont ainsi rapporté les plus récents développements: "Il a été découvert que le fossile, déterré dans le Moyen-Orient et qui aurait vécu voilà 220 millions d’années, est recouvert de plumes, possède des ailes comme l’archæoptéryx et comme les oiseaux modernes en ont, et son plumage contient des hampes creuses. CELA INVALIDE LES AFFIRMATIONS QUE L’ARCHAEOPTERYX EST L’ANCETRE DES OISEAUX, car le fossile découvert est plus vieux que l’archæoptéryx de 75 millions d’années. Cela signifie qu’un VERITABLE OISEAU, AVEC TOUTES SES CARACTERISTIQUES, EXISTAIT 75 MILLIONS D’ANNEES AVANT LA CREATURE QUI ETAIT SUPPOSEE ETRE L’ANCETRE DES OISEAUX."

Un événement marquant dans l’histoire de la paléontologie

L’aveu des évolutionnistes que l’archæoptéryx n’est pas une "forme transitoire intermédiaire" qui sert de preuve quant à la théorie de l’évolution est un événement marquant dans l’histoire de la paléontologie. En effet, depuis environ 150 ans, l’archæoptéryx n’a cessé d’être considéré comme le plus important parmi les rares prétendues "formes transitoires intermédiaires" que les évolutionnistes pouvaient mettre en avant. Cependant, cette issue de secours est également close maintenant et le monde de la paléontologie a dû faire face à la stricte réalité: il n’existe pas le moindre fossile en mesure de fournir la preuve de l’évolution.

Les conséquences sont évidentes. Le New York Times a aussi reconnu l’évidence et fait paraître en une: "La découverte d’un fossile menace la théorie de l’évolution des oiseaux." C’est la vérité. Effectivement, l’ancêtre des oiseaux était un oiseau. L’ancêtre du poisson était un poisson, l’ancêtre des chevaux était un cheval, l’ancêtre des kangourous était un kangourou et l’ancêtre de l’homme était un homme. En d’autres termes, toutes les différentes classes d’êtres vivants sont apparues dans les formes parfaites et spécifiques telles que nous les connaissons aujourd’hui. Autrement dit, elles ont été créées par Dieu.

La résistance que montrent les évolutionnistes dans leur conservatisme face à cette évidence est aujourd’hui orpheline de son dernier pilier.

La nouvelle preuve qui démolit la théorie de l'évolution

oiseaux

Le nouveau crâne fossilisé retrouvé au Tchad, un pays d’Afrique centrale, porte un coup important aux affirmations évolutionnistes concernant l’origine de l’homme. Ayant fait la une des journaux et des magazines scientifiques connus mondialement, ce nouveau fossile a brisé l’affirmation que "l’homme a évolué du singe", affirmation maintenue tenacement par les darwinistes depuis les 150 dernières années. Découvert par le scientifique français Michel Brunet, on a appelé le fossile Sahelanthropus tchadensis.

Le fossile a jeté un pavé dans la mare dans le monde du darwinisme. Dans son article relatant de la découverte, le journal mondialement renommé Nature a admis que "le crâne découvert pourrait bousculer nos idées actuelles sur l’évolution de l’homme".29

Daniel Lieberman de l’Université de Harvard a dit que "cette [découverte] aura l’impact d’une petite bombe nucléaire".30

La raison à cela est que, bien que le fossile en question soit âgé de 7 millions d’années, il possède une structure plus "humaine" (selon les critères que les évolutionnistes ont utilisés jusqu’ici) que l’espèce de singe âgé de 5 millions d’années, l’australopithèque, qui est prétendument "l’ancêtre le plus vieux de l’humanité".

Depuis les années 1920, les évolutionnistes ont prétendu que certaines caractéristiques du genre australopithèque ressemblent à celles des êtres humains, et pour cette raison ils ont décrit ces créatures éteintes aujourd’hui comme "les ancêtres de l’homme les plus primitifs". Un grand nombre de preuves réfutant cette thèse sont apparues. Par exemple, des études dans les années 1990 révélèrent que l’australopithèque ne marchait pas en se tenant droit, comme on l’affirmait, mais qu’il marchait d’une manière voûtée comme tous les autres singes. Le nouveau fossile découvert, le Sahelanthropus tchadensis, une autre espèce de singe qui vivait 2 millions d’années avant l’australopithèque, est en fait plus "humain" selon les critères évolutionnistes. En d’autres mots, il démolit le "schéma évolutionniste".

Le cœur du sujet est ceci: il existe un grand nombre d’espèces de singes très différents qui vivaient dans le passé et qui sont éteints aujourd’hui. Les crânes ou les squelettes de certains d’entre eux montrent des ressemblances avec ceux de l’homme. Mais ces ressemblances ne signifient pas que ces créatures sont apparentées à l’homme. Les évolutionnistes placent ces crânes d’espèces éteintes sur une ligne selon une manière requise par leur théorie et essayent d’obtenir une "échelle du singe à l’homme". Pourtant, plus les recherches vont en profondeur, et plus on réalise qu’une telle échelle n’existe pas, que simplement des espèces différentes de singes ont vécu à différentes époques dans le passé.

De plus, il semble que l’homme soit apparu tout d’un coup, sans processus évolutionniste derrière lui: en d’autres mots, qu’il a été créé.

John Whitfield, dans son article "Le plus vieux membre de la famille humaine a été retrouvé" publié dans Nature le 11 juillet 2002, confirme cette vue en citant Bernard Wood, un anthropologiste évolutionniste de l’Université George Washington à Washington:

"Quand j’allais à l’école de médecine en 1963, l’évolution de l’homme ressemblait à une échelle", disait-il [Bernard Wood]. L’échelle grimpait du singe à l’homme via une progression d’intermédiaires, chacun ressemblant de moins en moins au singe. Maintenant l’évolution humaine ressemble à un buisson. Nous avons une ménagerie d’hominidés fossiles... Comment sont-ils apparentés entre eux et qui, s’il y en a parmis eux, sont les ancêtres des humains, ces questions sont toujours débattues.31

Les commentaires d’Henry Gee, le rédacteur en chef de Nature et un paléoanthropologue renommé, à propos du nouveau fossile de singe découvert sont dignes d’attention. Dans un article publié dans The Guardian, Gee mentionne le débat à propos du fossile et écrit:

Quelles que soient les conséquences, le crâne montre, une fois pour toutes, que la vieille idée d’un "lien manquant" n’est que sottise... Il devrait être assez évident maintenant que l’idée même d’un lien manquant, toujours chancelante, est aujourd’hui complètement intenable.32
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En bref, les dessins de "l’échelle de l’évolution qui monte du singe vers l’homme" que nous rencontrons si fréquemment dans les journaux et les magazines n’ont absolument aucune valeur scientifique. Ce n’est que de la propagande venant de certains milieux qui sont dévoués aveuglément à la théorie de l’évolution. En même temps que cette propagande, les preuves qui contredisent la théorie de l’évolution sont maintenues à l’écart. Dans son livre Icons of Evolution: Science or Myth, Why Much of What We Teach About Evolution is Wrong (Les icônes de l’évolution: Science ou mythe, pourquoi la plupart de ce que nous enseignons à propos de l’évolution est faux), qui provoqua un grand remous en Amérique quand il fut publié en 2000, le biologiste américain Jonathan Wells résuma ce mécanisme de propagande en ces termes:

Le public est rarement informé de la grande incertitude concernant les origines de l’homme qui se reflète dans ces déclarations d’experts scientifiques. Au lieu de cela, nous sommes simplement nourris de la dernière version d’une théorie quelconque, sans que l’on nous dise que les paléoanthropologues eux-mêmes ne peuvent se mettre d’accord dessus. Et en général, la théorie est illustrée avec des dessins fantaisistes d’hommes des cavernes, ou d’acteurs humains maquillés.33

Le mythe darwiniste va enfin s’écrouler. La nature erronée du darwinisme, qui n’est elle-même qu’une superstition du 19ème siècle, devient de plus en plus claire au fur et à mesure que la science avance. Le monde de la science arrive à la vérité la plus importante qui soit: c’est Dieu qui créa l’univers dans lequel nous vivons ainsi que tout ce qui se trouve en son sein, chose animée ou inanimée.

Ils dirent: "Gloire Toi ! Nous n'avons de savoir que ce que Tu nous as appris. Certes c'est Toi L'Omniscient, le Sage"
(Sourate 2-El Baqara, verset 32)

NOTES

29 John Whitfield, "Oldest member of human family found", Nature, 11 juillet 2002

30 D. L. Parsell, "Skull Fossil From Chad Forces Rethinking of Human Origins", National Geographic News, 10 juillet 2002

31 John Whitfield, "Oldest member of human family found", Nature, 11 juillet 2002

32 The Guardian, 11 juillet 2002

33 Jonathan Wells, Icons of Evolution: Science or Myth, Why Much of What We Teach About Evolution is Wrong, Washington, DC, Regnery Publishing, 2000, p.225

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