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L'idéologie communiste a produit une société notablement conservatrice, rigide et terne. Pour comprendre cela, il suffit de se rappeler de l'attitude des communistes envers leurs propres citoyens. Comme souligné précédemment, la philosophie matérialiste à la racine communiste, voit l'être humain comme composé uniquement de matière. Elle nie l'existence d'une âme humaine ou de l'esprit affirmant que la conscience humaine n'est rien de plus qu'un produit de la "matière en mouvement". Pour le matérialiste, par conséquent, les êtres humains ne sont que des machines de pointe. Toutes leurs pensées et sentiments sont considérés comme étant les résultats de réactions chimiques qui se passent dans la machine.
En d'autres termes, les matérialistes croient que les cellules et les atomes qui nous composent ont une conscience, la capacité de penser, de voir et d'entendre, de prendre plaisir de la beauté et de sentir la douleur lorsqu'ils sont confrontés à de mauvaises expériences. Si vous demandez à ces personnes si un atome peut penser, ils diraient certainement non, mais elles pensent que la capacité de penser surgit lorsque quelques atomes s'unissent pour former le cerveau.
Par ailleurs, l'idéologie marxiste suppose que toute la culture humaine et la conscience sont fondées matériellement. Selon la pensée communiste, aucune conscience indépendante n'existe en dehors du monde matériel qui nous entoure. Au contraire, la conscience humaine est éprouvée entièrement dans le monde de la matière. Marx a affirmé que "ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur être, mais, au contraire, c'est leur être social qui détermine leur conscience."54 Ludwig Feuerbach, un principal penseur marxiste, a résumé l'absurdité de la logique matérialiste quand il a déclaré, "une personne est ce qu'elle mange".
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Du fait de leurs préjugés matérialistes, les marxistes voient la société humaine en termes de critères matériels. Ils concentrent la majeure partie de leur attention sur l'idée de "classe" en tant que concept matériel. La classe fait référence aux différents niveaux économiques dans une société et pour les marxistes, c'est le seul critère important. D'après les marxistes, par exemple, les travailleurs forment une seule classe appelée le "prolétariat", les capitalistes constituent la classe de la "bourgeoisie". Du fait que tous les travailleurs vivent dans des conditions inadaptées, par conséquent, ils doivent partager la même "conscience prolétarienne". D'après les marxistes, par exemple, les travailleurs forment une seule classe appelée le "prolétariat", les capitalistes constituent la classe de la "bourgeoisie". Du fait que tous les travailleurs vivent dans des conditions inadaptées, par conséquent, ils doivent partager la même "conscience prolétarienne". De la même manière, les capitalistes doivent tous partager la conscience "bourgeoise" parce qu'ils partagent tous la même richesse. Les marxistes n'acceptent pas qu'un travailleur ou un propriétaire d'usine puisse éventuellement avoir une conscience totalement différente qui résulte de son propre caractère indépendant ou de sa vision du monde.55
Une des conséquences naturelles de ce point de vue est la division des personnes en catégories matérielles distinctes et de leur évaluation en conséquence. Pour un marxiste, les seules catégories existantes – telles que la bourgeoisie, la petite bourgeoisie, le prolétariat, les impérialistes et les compradores – sont totalement fondées sur des facteurs matériels. Si une personne travaille dans une usine avec ses propres mains, son existence est déterminée par le travail qu'il fait. Si un villageois travaille dans les champs, sa seule conscience est celle d'un villageois.
Du fait de ce point de vue, les marxistes affirment que le seul déterminant du cours de l'histoire est les "moyens de production". Le célèbre Das Kapital de Marx essaie d'interpréter l'histoire en termes de moyens de production. D'après Marx, la "société primitive" était un groupe de chasseurs-cueilleurs. Avec le passage à l'agriculture, une société de "serfs" est née. Plus tard, la "société féodale" s'est développée avec de nouveaux changements dans le type de production. Quand les machines ont été inventées, un nouveau type de production appelé industrie est apparu. Avec elle est apparue la "société capitaliste". D'après Marx, les concepts tels que la religion, l'État, le droit, la famille et la moralité, tous surgissent et se développent des différences des types de production.
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Les visages froids de Lénine, d'Engels et de Marx ornant les lieux importants de chaque régime communiste. |
La vision étroite du marxisme de l'histoire a été réfutée par les explications de beaucoup de penseurs, sans parler de l'expérience concrète. Par conséquent, il n'y a aucune raison de démontrer cette invalidité ici, mais plutôt concentrons-nous sur la société conservatrice, mate, rigide et sans couleur que produit une entreprise matérialiste.
Contrairement à la croyance marxiste, l'esprit humain ou l'âme n'est pas un produit matériel. Au contraire, ce que nous appelons matière est vue, entendue et ressentie par l'esprit. Par conséquent, il n'est pas possible de définir l'esprit humain en termes de conditions matérielles dans lesquelles il se trouve. Allah a créé l'esprit humain avec différents aspects et tendances, tels que l'intelligence, l'imagination, les sentiments et les désirs. Peu importe dans quelles circonstances une personne se trouve, ces tendances ne changeront pas, elles seront seulement exprimées d'une manière différente.
Allah a créé le premier homme et lui a donné les mêmes qualités et compétences que les humains d'aujourd'hui. C'est pourquoi, notre niveau de conscience ne diffère pas selon le lieu ou le temps dans lequel nous vivons. La volonté, les sentiments, les pensées et l'esprit des tout premiers hommes de l'histoire sont les mêmes que pour toute personne vivant aujourd'hui. La seule différence est les moyens qu'elle utilise pour les exprimer. Le niveau de conscience d'un individu varie en fonction de la façon dont il utilise les capacités mentales qui lui ont été données et les incitations de sa conscience. Les Musulmans qui sont conscients de cela, ne sont pas limités par le temps, l'emplacement, l'environnement ou les idées idéologiques particulières. Comme Allah leur a commandé dans le Coran, ils méditent sur tout ce qui leur arrive, essayant d'y saisir les subtilités et d'y voir la beauté. Dans le Coran (Sourate Al-baqarah, 164), Allah décrit la conscience du croyant:
C'est pourquoi, ceux qui croient en Allah ont un horizon large. Ils pensent toujours librement et sont sans cesse créatifs dans divers domaines de l'art et de l'esthétique.
Incapables de saisir cette vérité, Marx et ses disciples ont tenté de caser la conscience humaine dans un moule extrêmement étroit et fabriqué d'une "classe de conscience". Ils ont forcé tout le monde qu'ils pouvaient influencer, à penser et à vivre en ces termes imaginaires. Dans chaque pays où le marxisme a pris racine, tout comme il a assassiné des dizaines de millions de personnes sans remord, il a aussi gelé l'expression humaine dans l'art, l'esthétique et d'autres expressions de l'esprit humain.
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Une peinture de 1927 de l'artiste russe Alexandre Deyneka intitulée, "La défense de Pétrograd". |
Avec la Révolution bolchevique d'Octobre 1917, la Russie a établi le premier régime marxiste du monde. D'abord avec Lénine, puis sous le poing d'acier de Staline, l'idéologie communiste a remodelé tout le pays. Son influence peut être vue dans les éléments les plus importants de la culture comme dans l'art, l'esthétique et l'architecture.
Immédiatement après la révolution, l'idée de "l'art prolétarien" vint au premier plan. Dans un magazine appelé Iskusstvo Kommuny ("Commune d'Art"), les artistes communistes ont annoncé leur intention de produire des œuvres d'art pour servir la culture prolétarienne. Ils ont exprimé des idées semblables dans une organisation appelée Proletkult ("Culture Prolétarienne").
Ils ont commencé à discuter sur la signification de "l'art prolétarien". Depuis le début des années 1920, des artistes russes bien connus comme Vladimir Ievgrafovitch Tatline et Alexandre Mikhaïlovitch Rodtchenko ont défendu l'idée qu'un artiste doit être un technicien qui donne des solutions pratiques aux problèmes du prolétariat. Lénine a soutenu cette idée et a supprimé de nombreux domaines de l'art considérés comme inutiles du point de vue du prolétariat. Par exemple, Tatline et Rodtchenko ont conclu qu'une représentation artistique ne serait d'aucune utilité pour un travailleur dans sa vie de tous les jours et ont décidé que la peinture était une forme d'art non valable!
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Sous le communisme, l'art a perdu toute sa signification esthétique est a été transformé en un moyen mécanique de propagande. Ces dessins sont censés représenter une personne exemplaire – un travailleur brut, fort, mat ou un paysan qui ne pense à rien d'autre qu'à l'obéissance au système. |
En 1921, cette nouvelle compréhension de l'art appelée "constructivisme" est devenue la politique officielle de l'art de l'Union soviétique. Tatline, à la pointe de ce mode de pensée, a pensé qu'il était nécessaire de faire quelque chose d'"utile" comme concevoir des maisons et des meubles au lieu de peindre des images inutiles. Pour contribuer à la vie du prolétariat, il a conçu des vêtements pour que les travailleurs les portent pendant leurs longues heures de travail, pour leur fournir la plus grande chaleur et souplesse avec le moins de poids et de dépenses de matières premières. Il a également conçu un genre de fourneau qui donnerait une plus grande chaleur avec le moins de combustible.
Tous les artistes ne sont pas devenus des "ingénieurs" comme Tatline mais ils acceptaient l'idée de "l'art prolétarien" et ont utilisé leurs talents au service de l'idéologie communiste. Presque tous les artistes soviétiques du temps ont produit des affiches, des panneaux et des slogans pour les utiliser dans les clubs ouvriers et dans les rassemblements appelés "soviets". Tous ont partagé des images communes: des villageois et des travailleurs soviétiques vigoureux et bien musclés avec un marteau ou une faucille en main, des prolétaires furieux debout et brisant leurs chaînes en morceaux, des soldats armés marchant sous les drapeaux rouges sous la direction de Lénine…
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Des affiches de propagande soviétique des années 1920: "Les dix commandements du prolétariat" et "Le mensonge de l'impérialisme international" |
Dans cette nouvelle compréhension de l'art, le concept de "l'esthétique" était absent et était même considéré comme un attachement bourgeois dangereux. L'idéal esthétique était loin de toutes les images, les statues, les affiches, la décoration intérieure et du design architectural. The Encyclopedia Britannica dit qu'un "anti-esthétisme" a statué l'art communiste qui est devenu caractérisé par une pléthore de caractéristiques rugueuses, mates et brutes.
Au temps de Staline, cette compréhension de l'art est devenue une politique officielle encore plus conservatrice connue sous le nom de "réalisme socialiste" décrite comme le point de vue de l'art dédié à la représentation "réaliste" des principes de la révolution soviétique (qui est l'idéologie communiste) de la vie quotidienne du prolétariat. Selon le réalisme socialiste, les romans devraient dépeindre les militants communistes comme étant décisifs, courageux et plein d'abnégation, décrire leurs luttes prétendument exemplaires et montrer comment les villageois et les travailleurs sont heureux grâce à la révolution.
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Un autre exemple de l'anti-esthétisme du communisme: la représentation du prolétariat par un artiste soviétique de cette époque. |
Les artistes du réalisme socialiste n'avaient aucun scrupule à dépeindre le contraire de la vérité – la vérité étant que la révolution n'a pas apporté le bonheur aux gens mais la faim, l'oppression et la mort. En réalité, le réalisme socialiste n'est pas le réalisme mais une expression d'une imagination romantique. D'après The Encyclopedia Britannica, "le réalisme socialiste revient au romantisme en ce qu'il encourage une certaine idéalisation et une surélévation des héros et des événements pour modeler la conscience des masses".
Le réalisme socialiste défini en 1932 pendant les jours les plus sanglants du régime de Staline, est resté la politique officielle de l'art de l'État de l'Union soviétique jusqu'aux années 1980. Pendant toute cette période, l'atmosphère sombre, froide et stagnante du communisme a dominé l'art soviétique. Afin d'obtenir une reconnaissance internationale, le régime soviétique a encouragé les artistes et a souligné l'importance de la production de nouvelles œuvres d'art. Mais en raison de l'approche dogmatique du réalisme socialiste, ces œuvres sont restées enfoncées dans un moule étroit, triste et laid. À partir de 1949, le réalisme socialiste est passé en Chine où un régime communiste avait pris le pouvoir. La même compréhension mate et brute de l'art y a également régné.
Durant la période avant la révolution, cependant, la société russe avait produit quelques excellentes œuvres d'art et d'architecture magnifique. Le musée de l'Ermitage mondialement connu à Saint-Pétersbourg contenait une collection d'art exceptionnelle, quoiqu'en grande partie produite par les artistes européens. Mais le communisme a gelé l'art russe en 1917 et a même renversé son développement.
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Parce que Lyssenko a rejeté les lois de la génétique pour la théorie de l'évolution, l'agriculture soviétique a été en retard pendant des décennies. |
Le fait que l'art communiste soit terne résulte de la philosophie matérialiste qui détermine la vision du monde communiste. La philosophie matérialiste, la pensée superficielle qui considère un être humain comme seulement un assortiment de matière, essaye de tout réduire à la matière. L'application de la philosophie matérialiste à l'art a été un fiasco comme dans tout autre domaine où elle a été appliquée.
Le véritable art est un plaisir esthétique donné par Allah par lequel les humains peuvent exprimer leur amour de la beauté et d'autres sentiments et émotions. Pour produire des beaux-arts, l'esprit humain doit être capable d'exprimer de la façon la plus libre possible, les tendances innées créées en lui. La dictature communiste, fondée dans l'Union soviétique – plus tard empruntée par les régimes en Chine, dans le Bloc de l'Est, en Indochine et à Cuba - a complètement supprimé cet environnement libre et confortable. Ils ont tué l'art en soumettant leurs peuples à l'oppression constante.
En les éloignant de la religion, par ailleurs, le communisme a donné un autre coup à l'art. De ces sentiments, ce qui inspire l'art avant tout, c'est le plaisir et la ferveur spirituelle provenant de la religion. Tous les plus grands artistes de l'histoire, sculpteurs et architectes ont créé des œuvres basées sur des thèmes religieux et ont puisé la force et l'inspiration de leurs croyances spirituelles. Ils n'ont pas considéré un humain comme une espèce d'animal qui périrait avec la mort mais comme un être qu'Allah a doté d'esprit. Ils aimaient glorifier l'humanité dans leurs œuvres et montrer les manifestations de l'art d'Allah dans la création. Dans les sociétés sans religion, les gens perdent inévitablement cette ferveur et sens du plaisir et deviennent englobés par un manque spirituel de but. Cela a été éprouvé dans chaque régime communiste. En raison de l'irréligion et des idées selon lesquelles l'être humain est une espèce d'animal, la vie humaine n'a aucune valeur et un individu cesse d'exister quand son corps meurt, de telles sociétés sont devenues dominées par le pessimisme, la mélancolie, le manque de but et l'insignifiance.
La Chine rouge de Mao (que nous étudierons plus tard) a montré d'autres exemples frappants du conservatisme communiste et de l'étroitesse d'esprit. Tout le monde a dû porter le même genre de vêtement et pendant la Révolution culturelle, il était interdit de garder des animaux domestiques.
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Alexandre Rodchenko, un leader dans le "réalisme socialiste". |
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Un autre exemple de l'anti-esthétisme du communisme: la représentation du prolétariat par un artiste soviétique de cette époque. | Une affiche de propagande pour la pour la Troisième Internationale communiste, organisée par l'Union soviétique. Le monde froid du communisme se reflète sur le visage du militant portant le drapeau. |
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Parce que Lyssenko a rejeté les lois de la génétique pour la théorie de l'évolution, l'agriculture soviétique a été en retard pendant des décennies. |
La science est un autre domaine qui a reçu un grand coup du communisme. Le régime de Staline, avec l'invention du concept d'"art prolétarien", a également proposé l'idée de "science prolétarienne". Selon cette théorie, il y a la science bourgeoise et la science prolétarienne. Les différences entre les deux vont conduire à des résultats différents. Nous pourrions comparer cela au rejet de l'Allemagne nazie des résultats des scientifiques juifs – Einstein, entre autres.
La science prolétarienne n'est en réalité rien de plus qu'une science corrompue suivant les exigences de la philosophie matérialiste. La démonstration évidente était "l'affaire Lyssenko" qui a mis son cachet sur le régime soviétique de Staline.
Trofim Denissovitch Lyssenko a été éduqué dans diverses écoles agricoles dans l'Union soviétique. Il a attiré l'attention de Staline dans les années 1940 et a assumé la domination totale de la politique soviétique dans l'agriculture et la biologie. Plus important encore, Lyssenko a rejeté les lois de la génétique découvertes par le prêtre-botaniste, l'Autrichien Gregor Mendel à la fin du 19ème siècle et démontrées par des expériences complémentaires au 20ème siècle. Lyssenko a rejeté les lois de Mendel considérées comme une "science bourgeoise" et a soutenu au lieu de cela, la thèse du biologiste évolutionniste français du 18ème siècle Lamarck sur l'"hérédité des caractères acquis".
L'idée de Lyssenko n'était fondée sur aucune preuve scientifique. Mais parce que l'Union soviétique éprouvait une crise agricole importante pendant les années 1930, Lyssenko a commencé à attirer l'attention. Il a promis que le mise en œuvre de sa théorie assurerait une production de céréales beaucoup plus importante et efficace que ce que d'autres biologistes croyaient. Il prétendait, par exemple, que cultivé dans de bonnes conditions, le blé produirait des graines de seigle – et il a fait des préparatifs pour y parvenir. (C'est comme dire que les chiens vivant dans la nature sauvage donneraient par la suite naissance à des renards – une affirmation qui est totalement contraire à la science, dont aucun exemple n'a jamais été observé). En 1940, Staline met Lyssenko à la tête de l'Institut de génétique de l'Académie des Sciences de l'URSS et il a occupé ce siège pendant 25 ans. Lyssenko a également dirigé l'Académie Lénine des Sciences agricoles, l'une des plus importantes institutions de l'Union soviétique.
En 1948, il était interdit de s'instruire ou de faire des recherches dans le domaine de la génétique classique. Ces généticiens qui ont rejeté la thèse évolutionniste de Lyssenko et ont continué à soutenir la découverte génétique de Mendel, ont été secrètement arrêtés et exécutés.
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Lyssenko (en haut à droite) explique à des experts soviétiques le projet agricole fondé sur une "science prolétarienne". |
En attendant, la politique agricole de Lyssenko a créé un manque généralisé de productivité. Par exemple, il a affirmé que mettre des graines dans l'eau froide pendant un certain temps avant d'être semées, leur ferait gagner la résistance aux conditions météorologiques froides. Pour tester cette hypothèse, il a fait immerger des tonnes de graines dans l'eau froide et les a ensuite semées sur les steppes sibériennes. Bien sûr, aucune des graines n'a germé. Des expériences similaires ont tous abouti au désastre, mais on a jamais parlé de ces échecs jusqu'aux années 1960. Finalement, en 1964, il a été officiellement reconnu que la théorie de Lyssenko était erronée. De grands efforts ont été déployés pour enseigner et appliquer de nouveau les découvertes génétiques de Mendel. La Russie s'est orientée vers le type américain de gestion de l'hybridation mixte en utilisant la bouse pour fertiliser les champs. Même si leur thèse portait un grand coup à l'agriculture et à la science soviétique, Lyssenko et ses partisans n'ont pas abandonné leurs idées. En fait, ils ont maintenu leurs positions et leurs titres dans l'établissement scientifique soviétique.
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Ici, les théories absurdes de Lyssenko sont expliquées en détail aux paysans russes qui sont obligés de les mettre en œuvre. Le résultat fut un énorme fiasco. |
Généralement, les évolutionnistes modernes ne font aucune mention de l'affaire Lyssenko qui est une documentation historique des grands dégâts qui peuvent être infligés par un attachement aveugle au matérialisme et à la théorie de l'évolution. Quand ils parlent des idées de Lyssenko, ils les rejettent en tant que forme dogmatique du lamarckisme. Mais lui et ses partisans n'ont pas seulement été lamarckistes, ils étaient aussi des darwinistes considérant Lamarck et Darwin comme deux théoriciens évolutionnistes complémentaires.
Quand la théorie de Lamarck sur l'"hérédité des caractères acquis" a été abandonnée comme étant sans fondement, ils ont réalisé que la théorie de Darwin restait sans fondement. Par conséquent, ils ont continué à soutenir aveuglément Lamarck.
Dans son article "L'évolution darwinienne et l'histoire humaine", le penseur marxiste et darwiniste, Robert M. Young commente:
Plus proche de notre époque, la croyance selon laquelle la société et la nature suivaient des lois qui étaient tant évolutives que communistes, ont conduit à l'un des épisodes les plus désastreux du régime stalinien dans les années 1930 et 1940 – le lyssenkisme. On a dit que les lois de la nature étaient dialectiques et tout biologiste qui a adhéré aux vues non-orthodoxes a perdu son emploi, souvent sa liberté et parfois sa vie. Le lyssenkisme était un évolutionnisme qui ignorait ou s'opposait aux développements intéressants en matière de génétique dans le reste du monde. Mais cela a été fait au nom du darwinisme...56
La résistance aux lois de la génétique que les administrateurs soviétiques du temps de Lyssenko ont montrée est juste un exemple de fanatisme matérialiste. De la même manière que Lyssenko et ses partisans ont refusé d'accepter les lois de la génétique, beaucoup de matérialistes d'aujourd'hui ferment également les yeux aux signes de la création que la science a découverts dans toutes les choses vivantes, en raison seulement de leurs propres préjugés idéologiques. Pour produire une théorie viable adverse, ils ont gaspillé des millions de dollars et de nombreuses années de travail sur la recherche qui n'ont abouti à rien.
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Le communisme est un régime de peur. Les gens sont continuellement intimidés par les fonctionnaires en uniforme au visage sévère regardant de bas en haut. |
Au 20ème siècle, le fanatisme communiste a eu une influence très négative sur la vie sociale dans les pays sous leur régime, imposant aux gens une vie infernale dépourvue de compassion, niant l'existence d'Allah, les éloignant de la religion et avilissant toutes les valeurs morales et spirituelles. Il a gravé dans les sociétés, une mentalité qui considère les êtres humains comme des morceaux de matière qui périront après la mort en établissant l'une des institutions les plus inhumaines de l'histoire. Le système communiste – comme observé dans l'Union soviétique, dans les pays du Bloc de l'Est et dans la Chine rouge – prévoit de créer des sociétés modèles qui considèrent leurs citoyens comme des troupeaux d'animaux, tout comme la théorie darwiniste-matérialiste le prévoyait.
Certains des principes fondamentaux de la société communiste peuvent être énumérés comme suit:
• La théorie de l'évolution de Darwin et la "dialectique naturelle" d'Engel considèrent les êtres humains comme une espèce animale évoluée. Par conséquent, l'idée que la société est un troupeau d'animaux est exprimée à tous les niveaux. Les régimes communistes produisent une personne morne, sans âme, sans vie qui est entre l'humain et la machine.
• Le système communiste n'accorde aucune valeur aux individus. Puisqu'il y en a tellement dans le troupeau, la perte de l'un n'a pas d'importance. Les personnes handicapées ou ceux qui ne peuvent pas travailler sont expulsés du troupeau et laissés à la mort. Ceux qui sont en mauvaise santé sont considérés comme des inconvénients. Parce qu'il n'y a pas de pardon, de miséricorde ou le sens de la loyauté, tout le monde craint la vieillesse et la mort. Les personnes âgées ne reçoivent pas d'attention, de pitié ou de respect dans l'idée qu'ils devraient être comme "les éléphants qui vont au cimetière avant de mourir".
• Comme avec les animaux dans un troupeau, la société est composée d'un seul genre de personne. Les vêtements, les voitures et les maisons sont tous les mêmes. L'ensemble de la société est dominée par une monotonie intense n'ayant aucun sens de l'esthétique. Les athlètes, les artistes, les universitaires et les travailleurs partagent tous le même style de vie. Les maisons sont construites comme des abris pour le bétail et les vêtements sont conçus comme une peau pour se conserver du froid.
• Le système est totalement fondé sur le concept matériel de "travail et production". Ce qui est le plus important, ce ne sont pas les qualités personnelles d'un citoyen mais la contribution qu'il peut apporter à la société. La personne idéale est un ouvrier laborieux ou un villageois qui travaille dur. L'idée directrice est que "la production renforce le troupeau". Aucune attention n'est accordée aux valeurs morales, aux intentions ou à l'état spirituel de l'homme.
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L'Unité spéciale Djzhernsky, utilisée pour réprimer les manifestations publiques dans l'Union soviétique. |
• Voyant la vie comme une lutte de l'existence, cette façon de penser n'a aucun problème avec la suppression du faible. Au contraire, cela est considéré comme nécessaire. Comme il y a une lutte brutale pour la survie chez les animaux, chacun se considère d'abord et ainsi il n'y a aucun avancement. Parce que les êtres humains n'ont pas de compassion, la société ne peut éventuellement pas atteindre la paix et le bien-être. Le manque de compassion et de miséricorde associé à la peur de l'avenir, causent la domination du désespoir et du pessimisme.
• En raison de la "psychologie de troupeau", les gens du plus bas au plus haut vivent dans un état constant de peur et réagissent rapidement à atout avec crainte. Ils craignent l'homme à la porte portant un manteau; ils craignent d'être appelés devant les autorités. Mais la source de leur crainte n'est pas claire et personne ne peut la définir.
• Au lieu de la crainte d'Allah, il y a différents "centres de la peur". Dans l'Union soviétique, par exemple, le KGB (et les services secrets comme la Tchéka et la NKVD avant lui) ont essayé d'instiller une peur mortelle dans toute la société. Des millions de personnes pouvaient être envoyées à la mort sans procès ou défense. La conviction que ces organisations entendent et voient tout, domine les esprits des citoyens. De telles organisations développent un système de nettoyage sélectif, basé sur la loi de la jungle.
• Parce que la crainte d'Allah est systématiquement éradiquée, les individus répriment leurs pulsions profondes dans la mesure où ils craignent le système. Si le système ne détecte pas ou ne peut punir, ils commettent des vols, la corruption, le détournement de fonds et toutes sortes d'actes illégaux.
• L'anxiété, la peur et la panique occasionnées par l'environnement où ils vivent mettent les gens en situation de stress. Ils ne peuvent pas dormir la nuit et le jour, tout les rend anxieux. Ils perdent rapidement la force physique. La pression intense et les conditions de vie difficiles épuisent très tôt les hommes et les femmes et causent parfois leur mort prématurée. À cause du désespoir, ils ne peuvent pas profiter des bonnes choses de la vie mais se tranquillisent avec de l'alcool et vivent leur vie infernale dans un état d'ivresse.
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Le côté est du mur de Berlin avant sa démolition. Avec ses barbelés, les mines et les chars, le mur était un symbole du despotisme communiste. |
• Croyant qu'ils vont périr après la mort, les gens s'accrochent à la vie avec ténacité. Dans leurs luttes pour la vie, ils considèrent tout le monde comme un rival, sinon un ennemi, et rechignent chaque acte comme un affront contre eux. Ils font l'expérience des principes de base du socialisme, tels que l'"aide mutuelle" et le "soutien" seulement dans les slogans. En fait, tout le monde considèrent les autres avec un soupçon qui les condamne à une vie de solitude.
• Parce que l'individu n'a pas de foi en Allah, il ne peut pas s'attacher à n'importe qui dans une relation significative de confiance. Le système darwiniste-communiste écrase toujours les individus qui sont hostiles les uns aux autres car chacun peut à tout moment emporter ce qu'il possède. Dans un État communiste, le seul individu en qui un individu peut avoir confiance, c'est lui-même. Mais parce qu'il sait qu'il est faible, il n'a pas confiance même en lui-même et est dominé par un désespoir intense. Pa conséquent, il se plaint toujours de sa vie mais il ne peut pas essayer de la changer.
• Parce que les gens dans une société communiste ont l'esprit fermé, il y a des défauts dans tous les aspects de leur vie que ce soit à l'école, à la maison ou dans le divertissement. Ils peuvent agir qu'en conformité avec ce qu'ils ont appris et ne peuvent pas venir avec des idées originales pour faire face aux nouveaux enjeux auxquels ils sont confrontés. S'ils le font, en fait, on leur répond avec la violence.
• Les gens irréfléchis ont un esprit inorganisé et ne peuvent utiliser les ressources de manière productive. Ils gaspillent les ressources sur des fantasmes utopiques comme dans le cas de Lyssenko.
• Le communisme détruit les familles, l'unité de base de la société. Il n'y a pas de mariage dans le vrai sens du mot autre que l'accouplement et la propagation. Le mariage n'est pas conclu par souci de moralité; son but est la continuation de l'espèce. Les familles ne s'occupent pas de leurs enfants; l'État ou ceux désignés par lui assurent cette fonction. Un enfant est considéré comme un nouvel ajout au troupeau et est formé à se battre pour lui et à le protéger. Parce que la mère déteste son pays et son environnement, elle passe son âpreté à sa progéniture. Les enfants qui grandissent privés de l'amour familial deviennent pessimistes et agressifs. À la place de l'amour et du respect dans la maison, l'hostilité règne.
• Dans une société sans notion de mariage, de fidélité ou de chasteté mais seulement de mentalité d'accouplement, la prostitution devient très répandue.
• L'oppression d'État policier contrôlant la société communiste ne peut pas prendre la place de la conscience et de la crainte d'Allah. C'est pourquoi, le taux de criminalité monte en flèche; le vol sévit partout. Les gens volent des usines, des fermes et des coopératives, bien entendu, collectivement.
• Cependant, autant l'idéologie communiste peut prétendre le contraire, le racisme est très répandu dans la société communiste. Dans l'Union soviétique, par exemple, il y avait une antipathie envers toute personne qui n'était pas Russe, en particulier envers les Musulmans. Adoptant peu à peu la théorie darwiniste raciste, les Russes ont considéré diverses minorités musulmanes et d'autres minorités comme des "groupes ethniques qui n'ont pas complètement évolué" et les ont soumis à l'abattage de masse, sous le nom de déportation. L'idéologie communiste pense au meurtre comme étant une "dialectique naturelle" – un composant naturel de l'évolution.
• Le communisme voit les êtres humains uniquement comme des animaux productifs. Il réserve une haine particulière et de l'aversion pour les villageois. Marx a appelé les villageois des "sacs de pommes de terre" inférieurs. Comme nous l'avons vu plus tôt, Lénine et Staline ont assassiné des millions de personnes en les laissant délibérément mourir de faim. Pour eux, les villageois étaient seulement des troupeaux d'animaux qui produisaient des céréales et du coton. Confisquer ce qu'ils produisaient (la collectivisation), y compris le miel de leurs ruches, a été considéré comme légitime et raisonnable.
Ces généralisations ne sont qu'une esquisse générale d'une société sans religion. Dans les nations où l'incroyance l'emporte, peu importe comment ils l'appellent, ce mode de vie doit inévitablement prévaloir. Les gens ne sont pas respectés comme des êtres dignes qu'Allah a créés et dotés d'esprit. Avec des personnes qui considèrent les uns les autres comme des animaux évolués qui vont périr avec la mort, une société ne peut pas éprouver le bien-être, la paix, la sécurité, la coopération ou la fraternité. Personne ne considère le confort, la santé ou le bien-être de quelqu'un d'autre. Par ailleurs, dans de telles sociétés éloignées de la religion, il est impossible de trouver des administrateurs justes et des personnes qui travaillent au nom de tous. Tout le monde veille à ses propres intérêts et essaie de tirer profit autant qu'il le peut.
Parce qu'un État darwiniste-communiste considère les êtres humains comme des animaux, il ne les respecte pas et ne se fie pas à eux. En conséquence, il établit un climat de peur, d'oppression, de faux danger et de terreur afin de les contrôler. Il considère tout le monde avec suspicion, les considérant comme de potentiels traîtres et coupables. Dans un tel État, une personne n'a pas besoin de commettre un crime pour être seulement soupçonné afin d'être puni, brutalisé ou tué.
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ILS ont été victimes du KGB |
Le célèbre historien Tzvetan Todorov décrit comment les États se comportent envers leur peuple avec cette philosophie:
L'ennemi est la justification idéale pour la terreur et l'État a besoin d'ennemis pour survivre. S'il en manque, il en invente. Une fois qu'ils ont été identifiés, ils sont traités sans pitié... Être un ennemi est une tache héréditaire qui ne peut pas être enlevée... Le communisme n'est pas différent. Il exige la répression (ou dans des moments de crise, l'élimination) de la bourgeoisie comme classe. L'appartenance à la classe est suffisante: il n'est pas nécessaire d'avoir effectivement fait quoi que ce soit.1
Ces paroles de Lénine sont importantes pour comprendre l'attitude d'un État communiste envers son peuple:
En réalité, l'État n'est rien d'autre qu'une machine pour l'oppression d'une classe par une autre. La dictature est fondée sur des règles directement sur la force et sans restriction par les lois. La dictature révolutionnaire du prolétariat est une règle conquise et maintenue grâce à l'utilisation de la violence par le prolétariat contre la bourgeoisie, règle qui n'est limitée par aucune loi.2
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TACTIQUES KGB héritées du SOVIETS |
Comme Lénine l'a déclaré dans ses propres mots, le régime soviétique darwiniste communiste n'a pas confiance en ses propres citoyens et les considère comme des animaux sans valeur – ainsi, il a causé la mort par la torture ou la famine de dizaines de millions de personnes et a plongé le pays dans des décennies de terreur et d'obscurité. Le peuple russe d'aujourd'hui supporte toujours l'angoisse pour les mêmes raisons parce qu'il y a encore certains responsables au sein du mécanisme de l'État russe qui maintiennent une mentalité communiste considérant une personne comme un animal ou un objet sans valeur.
Un événement qui a eu lieu en l'an 2000 en Russie est une preuve de cela et montre une fois de plus le côté sombre de la mentalité darwiniste-communiste héritée de la période soviétique. Après qu'un sous-marin ait coulé, pendant un long moment, Moscou n'a pas essayé de sauver ceux qui étaient à bord. Pour des raisons soi-disant de "sécurité d'État", peu de temps après le désastre a été annoncé aux nations occidentales que l'aide aurait pu être donnée. La Russie a sciemment abandonné ses marins à la mort, et une mère russe réagissant à cette horreur a reçu une injection sous sédation par les forces de sécurité. Ceci est un exemple frappant qui révèle que le mentalité stalinienne a encore une emprise sur les autorités de l'État russe.
1- Tzvetan Todorov, L'homme dépaysé, Paris, Le Seuil, 1995 p. 33 (emphasis added)
2- Lenin: "The Proletarian revolution & The Renegade Kautsky"; Selected Works in 3 Vols, Moscow; 1964; Vol 3. p.75 (emphasis added
Ils Ont Ete Victimes Du Kgb Les Tactiques Du Kgb Heritees Des Sovietiques
Dans une société où les valeurs morales du Coran sont observées, cependant, tout le monde s'estime comme les seviteurs d'Allah. Personne ne désire aucune récompense pour faire le bien. Au contraire, ils accomplissent de bonnes œuvres en permanence et, dans leurs efforts, essayent de gagner l'agrément d'Allah. Ils espèrent une bonne vie dans l'Au-delà, confiant que "si l'un d'eux ordonne une charité, une bonne action, ou une conciliation entre les gens.... cherchant l'agrément d'Allah" recevra "une récompense énorme" (Sourate An-nisa', 114). Ils le font non pas dans n'importe quelle attente de gagner un profit des autres; mais recherchent leur récompense seulement d'Allah.
Dans le Coran (Sourate Al-insan, 8-10), Allah décrit cet état moral exemplaire:
...offrent la nourriture, malgré son amour, au pauvre, à l'orphelin et au prisonnier, (disant): "C'est pour le visage d'Allah que nous vous nourrissons: nous ne voulons de vous ni récompense ni gratitude. Nous redoutons, de notre Seigneur, un jour terrible et catastrophique". (Sourate An-nisa', 114)
Le conservatisme mental est le principal obstacle au développement des arts et des sciences d'une société. Si une nation particulière est continuellement conditionnée par les voies étroites de la pensée, son art et sa science gèleront. Pour le développement de l'art et de la science, les gens doivent être clairvoyants en regardant le monde avec de nouveaux horizons.
Certains interprètent à tort le conservatisme qui entrave l'art et la science et essaient de l'attribuer à la religion. Mais la vraie religion enseignée dans le Coran est totalement contre ce conservatisme et offre un horizon plus large et plus libre de la pensée. Elle les libère de toute inquiétude autre que la crainte d'Allah. L'art, la science et la pensée se développent à leur plus haut sommet où les gens pensent profondément comme préconisé par le Coran en utilisant leur esprit pour considérer l'univers et ce qu'ils rencontrent dans la nature. Par ailleurs, la religion établit une compréhension du service à Allah qui donne aux gens une grande joie, l'excitation et le désir de produire de l'art, de faire avancer la science et de générer des idées. Pour cette raison, les premiers siècles du monde islamique étaient vraiment un grand âge d'or.
Mais le communisme en établissant un système politique et social totalement rigide, a détruit la foi des gens en Allah détruisant ainsi leur plaisir de vivre ensemble avec une réalité qui donnait un sens à leur vie. L'oppression et les contraintes du marxisme ont extirpé l'art, la science et la pensée et les ont mis en pièces.
Dans les quatre coins de l'Asie, il y a des exemples du communisme qui nous permettent de voir cela d'une manière beaucoup plus frappante.
54. Critique of Political Economy Preface Katki'ya Josef Stalin, Dialectical and Historical Materialism, September 1938, Science and Socialism Publications 9 Print New Left Books, Problems of Leninism, p. 651-684
55.Of course, the current situation is not so Marxists see it as well. For this reason, Marxists themselves "proletarian" workers are not as "false consciousness" duped, that the proletariat revolution trap suggest that it is the capitalists who want to prevent. However, this is a very superficial explanation.
56. Robert M. Young, "Darwinian Evolution and Human History", Open University course on Darwin to Einstein: Historical Studies on Science and Belief, 1980