Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces araignées de la famille des Theridiidae sont des arachnides à longues pattes tissant des toiles dans des espaces vastes de façon irrégulière. La toile d’araignée est une œuvre d’art inexplicable pour les évolutionnistes. Toutes les araignées qui ont existé depuis des millions d’années sont nées avec ce don extraordinaire accordé par Allah. Cette immuabilité à travers le temps démontre que les araignées n’ont jamais subi de processus d’évolution. En témoigne notamment ce fossile d’araignée datant de 50 millions d’années.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces insectes de la famille des elatéridés sont capables de se projeter à 20 voire 30 centimètres de hauteur tout en émettant un son sec. On les trouve généralement dans les prés et les prairies. En cas de dangers, ils font le mort en rétractant leurs pattes et antennes et attendent que la menace se dissipe. Les archives fossiles ont révélé que ces formes de vie sont inchangées depuis des dizaines de millions d’années.
Les évolutionnistes tentent en vain de tromper le public depuis des années en avançant des preuves fausses. La recherche scientifique a, en effet, prouvé que les êtres vivants n’ont jamais subi de processus évolutif.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Chaque nouvelle découverte montre que les êtres vivants ne descendent pas les uns des autres, qu’ils n’ont pas évolué de façon graduée et qu’ils furent créés dans la perfection par Allah.
Cette larve de cigale de 50 millions d’années est identique à celles qui existent aujourd’hui. Elle ne présente aucune altération sur le plan anatomique bien que son existence remonte à des dizaines de millions d’années. Ce genre de fossiles nous rappelle l’invalidité des mythes darwinistes au sujet de l’évolution des insectes et l’évidence de la création.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Les cigales sont pourvues une paire de membranes localisées au dessus des poches à air situées dans leur abdomen, qui leur permettent de produire leur chant si familier. En contractant et en relâchant le muscle auquel elles sont reliées, les membranes émettent un son de caquet. Ce processus de contraction et d’expansion se répètent en moyenne 500 fois par seconde. Le son augmente ou baisse selon l’ouverture ou la fermeture de l’extension sur le côté abdominal du thorax.
Dans la mesure où l’oreille humaine n’est pas capable de détecter les sons individuels émis à une vitesse supérieure à dix fois par seconde, elle n’est pas non plus capable de déterminer les segments individuels de l’appel de la cigale. C’est pourquoi nous le percevons comme un grésillement constant.
D’après les archives fossiles, il apparaît que toutes les cigales ayant jamais existé présentaient cette même spécificité.
En étudiant de près cette cigale sur la phot, on remarque à quel point elle est identique à ses congénères actuelles. Malgré le passage de 50 millions d’années, ni sa tête, ni son squelette, ni ses ailes, ni les plaques qui lui permettent d’émettre des sons, ne portent les traces d’une quelconque évolution.
Age : 128 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Yixian, Shang Yuan, Liaoning, Chine
Les libellules se distinguent par leur incroyable capacité à manœuvre. Quelle que soit leur vitesse ou leur direction, elles peuvent s’arrêter brusquement et repartir dans la direction opposée. Il leur est également possible de faire de surplace, dans l’attente d’une position favorable pour attaquer leur proie. Elles peuvent faire un revirement total et se jeter sur leur proie.
En très peu de temps, la libellule est capable d’atteindre une vitesse de 40km/heure, une vitesse étonnante pour un insecte. (Les sprinters olympiques du 100 mètres atteignent 39km/h.) Quel modèle d’évolution graduée parvient à expliquer l’incroyable agilité de la libellule ? Ses ailes restent un mystère total pour les évolutionnistes.
Les fossiles les plus anciens de libellules ne présentent aucune différence avec les spécimens existant aujourd’hui. Nulle part la trace d’une semi-libellule ou d’une libellule dont les ailes sont en voie de développement n’existe. Comme tous les autres êtres vivants, ces insectes sont apparus de façon soudaine et ont survécu tels quels jusqu’à nos jours, sans avoir connu d’évolution. Ils furent, de toute évidence, créées par Allah.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Bassin Araripe, Brésil
Ce fossile montre qu’il n’y a aucune différence entre les grillons actuels et ceux qui vécurent il y a 125 millions d’années, c’est là la preuve qu’aucun processus évolutionniste n’a jamais eu lieu. Les innombrables fossiles découverts à ce jour prouvent tous l’inexistence de l’évolution.
Les darwinistes sont bel et bien conscients du fait que les archives fossiles ne soutiennent pas leur théorie de l’évolution. C’est pourquoi des centaines de milliers de fossiles sont soigneusement dissimulés aux yeux du public. Or, il est inutile pour eux de continuer cette mascarade. Il n’est plus possible, en effet, de cacher la défaite infligée à la théorie de l’évolution par les archives fossiles et les recherches scientifiques.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Bassin Araripe, Brésil
Certains fossiles de sauterelle remontent au carbonifère (il y a 354 à 290 millions d’années). Or, malgré les centaines de millions d’années écoulées, les sauterelles sont restées des sauterelles et ne se sont pas transformées en une autre forme de vie. Si les théories darwinistes étaient justes, alors les sauterelles auraient du se développer et devenir plus fortes en raison de tous les sauts qu’elles effectuent, voire même devenir une forme d’oiseau. Mais bien sûr, cela n’a jamais eu lieu. Or, l’état de délabrement logique des darwinistes est tel qu’ils sont prêts à croire à de telles sornettes.
La raison, le bon sens et la science ont fini par comprendre que les êtres vivants n’ont pas évolué mais qu’ils furent créés. Chaque nouveau fossile contribue à la révélation de cette vérité.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Bassin Araripe, Brésil
Les blattes font partie de ces être vivants qui remettent en question les principes évolutionnistes. La blatte en photo est fossilisée depuis 125 millions d’années et montre que les insectes de cette espèce n’ont pas subi le moindre changement durant ce laps de temps.
Toutes fouilles entreprises à ce jour n’ont pas permis de mettre la main sur les ancêtres supposés de la blatte. En outre, rien dans les archives fossiles ne permet de déduire les étapes de développement de la blatte avant qu’elle n’aboutisse à la forme que nous lui connaissons aujourd’hui. Quel que soit son âge, chaque fossile déterré est identique à la fois tous les spécimens de son espèce. C’est là la preuve claire que l’évolution n’a jamais eu lieu.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Bassin Araripe, Brésil
Dans la classification des êtres vivants, les arthropodes représentent un sous-phylum au sein du phylum des insectes. Les fossiles d’insectes les plus lointains connus remontent au dévonien (il y a 417 à 354 millions d’années). L’exactitude de la ressemblance entre les espèces ayant existé il y a 400 millions d’années et leurs homologues actuels met les évolutionnistes dans un profond embarras.
Les sauterelles sont, elles aussi, restées inchangées par rapport à leur première apparition dans les archives fossiles. La sauterelle ici représentée confirme la nature immuable de la sauterelle depuis 100 millions d’années et réfute donc l’évolution.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Bassin Araripe, Brésil
Les ailes, les yeux, les pattes, les organes internes, tout ce qui définit le fulgore est inchangé depuis des dizaines de millions d’années. Le fossile datant de 125 millions d’années confirme qu’il n’a jamais existé de fulgore avec des ailes ou des pattes semi-développées, ni avec un seul ou d’autres organes distinctifs non encore formés. En somme, il n’y a aucune trace dans les archives fossiles des étapes intermédiaires revendiquées par les évolutionnistes.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Bassin Araripe, Brésil
“…Les blattes, l’un des plus vénérables groupes d’insectes vivants, sont restées plus ou moins inchangées depuis le permien, pourtant elles ont subi tout autant de mutations que le Drosophile, un insecte du tertiaire.” (Pierre-Paul Grassé, Evolution of living organisms, New York: Academic Press, 1977, p. 87)
Le permien va de –290 à –248 millions d’années. Dans le passage ci-dessus, Paul Grassé affirme d’une part que les mutations, l’un des mécanismes imaginaires d’évolution, n’ont pas les effets voulus par les évolutionnistes. D’autre part, il remarque que les blattes n’ont pas subi la moindre altération au cours de centaines de millions d’années. Elles existaient il y a 290 millions d’années, il y a 100 millions d’années (comme sur la photo) et aujourd’hui encore sous la même forme identique. Face à cette réalité, les évolutionnistes n’ont d’autre choix que de battre en retraite.
Age : 45 millions d’années
Période : Milieu de l’éocène
Localisation : Formation Cache Creek, Canada
Personne n’a encore mis la main sur un fossile de mouche de la Saint-Marc avec des ailes partiellement développées ou des organes manquants, avec un œil ou un appendice nasal sous-développé. Toutes les mouches fossilisées se sont avérées parfaitement formées et identiques à celles que nous connaissons aujourd’hui. Si un insecte actuel présente les mêmes caractéristiques que ses homologues d’il y a 45 millions d’années, et s’il est resté inaltéré pendant tout ce temps, alors il est impossible d’envisager un quelconque processus évolutif. Tout en révélant l’invalidité du darwinisme, la stase confirme en outre l’évidence de la création.
Age : 100 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Chine
Au cours de fouilles, aucun fossile de libellule partiellement développée, avec une moitié d’aile ou des yeux rudimentaires n’a été découverte, afin de confirmer la réalité d’un processus évolutionnaire. Tous les fossiles de libellules, sans exception, mis au jour témoignent de la perfection de l’insecte et de son immuabilité depuis sa première apparition.
Le fossile de libellule datant de 100 millions d’années ici représenté le confirme. Les libellules ayant existé il y a des dizaines de millions d’années présentaient les mêmes caractéristiques que leurs congénères actuelles.
Des preuves scientifiques, et en particulier les fossiles, ont permis de réfuter la théorie de l’évolution. Cela signifie, par ailleurs, que les êtres vivants furent créés par une Intelligence infiniment puissante : Allah, le Créateur de toutes choses.
Ce fossile a laissé des marques en positif et en négatif sur les deux côtés de la roche. |
Age : 150 millions d’années
Période : Jurassique
Localisation : Formation Solnhofen, Allemagne
Les libellules ont inspiré les nouveaux modèles d’hélicoptères Sikorski. La recherche a montré que cet insecte est pourvu d’un système de vol idéal. Cette libellule, dont l’existence remonte à 150 millions d’années, est identique aux libellules parfaites qui vivent aujourd’hui. Aucun fossile disponible à ce jour ne présente de libellule à moitié formée, ni de libellule avec des ailes naissantes. Comme toutes autres espèces du règne animal et végétal, ces insectes sont apparus de façon subite et sont restés tels quels jusqu’à aujourd’hui.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Depuis l’époque de Darwin et jusqu’à aujourd’hui, les géologues et paléontologues évolutionnistes sont à la recherche de fossiles soutenant la théorie de l’évolution. Ils sont à l’affût de la moindre découverte qui montrerait que les êtres vivants changent constamment et qu’ils se transforment en d’autres espèces. Leurs efforts sont vains, car de tous les fossiles déterrés à ce jour, aucun ne laisse entendre que les êtres vivants changent. Au contraire, les archives fossiles indiquent que les espèces sont inchangées depuis des centaines de millions d’années, c’est-à-dire que l’évolution n’a jamais existé.
Le paléontologue David Raup fait référence à l’opposition entre les archives fossiles et les thèses darwinistes :
“Au lieur de trouver le développement graduel de la vie, les géologues de l’époque de Darwin et ceux d’aujourd’hui trouvent, en réalité, des archives très inégales ou saccadées ; c’est-à-dire que les espèces apparaissent dans la série de façon très brusque, présentent peu voire pas de changement au cours de leur existence, puis disparaissent soudainement des archives…” (David M.Raup, “Conflicts between Darwin and paleontology”, Field Museum of Natural History Bulletin, Chicago, vol. 50, janvier 1979, p. 23)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
L’absence de preuves entre ce fossile de blatte datant de 125 millions d’années et les spécimens vivant aujourd’hui souligne très distinctement l’inexactitude de l’hypothèse selon laquelle les espèces descendent progressivement les unes des autres.
Les archives fossiles réfutent le principe d’“évolution graduée”. Un grand nombre de scientifiques, notamment l’historien scientifique Peter Bowler, reconnaissent cette situation :
“Les archives n’ont certainement pas révélé de transformations graduelles de la structure avec le temps. Au contraire, elles montrent que les espèces sont restées généralement constantes à travers leur histoire et ont été remplacées de façon assez brusque par des formes considérablement différentes. De nouveaux types ou de nouvelles classes semblaient apparaître pleinement formées, sans le signe d’aucune tendance évolutionniste à travers laquelle ils auraient pu émerger d’un type antérieur.” (Peter J. Bowler, Evolution: The history of an idea, 1984, p. 187)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Ces grillons de la classe des Saltatoria n’ont pas changé depuis des dizaines de millions d’années. Les grillons ayant existé il y a 125 millions d’années sont identiques à leurs congénères actuels.
Cette nature identique révélée par les archives fossiles a provoqué une profonde déception chez les évolutionnistes. Stephen Jay Gould, l’un des plus éminents évolutionnistes du 20ème siècle, exprimait son sentiment en ces termes :
“En effet, notre principale frustration à propos des archives fossiles provient du fait que nous ne disposons pas de preuves empiriques des tendances soutenues dans l’évolution des adaptations morphologiques des plus complexes.” (Stephen Jay Gould et Niles Eldredge, "Species selection : its range and power", correspondance scientifique dans Nature, vol. 334, 7 juillet 1988, p. 19)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
L’existence des libellules semble remonter à 300 millions d’années. La structure extraordinaire de leurs ailes et la perfection de leur système de vol infligent au darwinisme un sérieux revers. Il y a 300 millions d’années, alors que seules des formes de vie primitive et un environnement primitif étaient censés exister, les libellules possédaient déjà un système de vol parfait encore désormais copié par les hélicoptères les plus sophistiqués. En outre, ces systèmes n’ont pas subi le moindre changement depuis. Les larves de libellules présentent la même anatomie et utilisent les mêmes mécanismes structurels pour attraper leurs proies depuis des centaines de millions d’années. Ces caractéristiques durables ne peuvent en aucun cas s’expliquer en termes d’évolution.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les éphémères sont restés identiques depuis environ 100 millions d’années et en cela, ils remettent en question le concept de l’évolution. Tous les fossiles d’éphémères indiquent que ces insectes ne se sont pas développés par étapes, mais qu’ils sont apparus soudainement avec tous les éléments qui les caractérisent. Par ailleurs, ils ne témoignent d’aucune transformation au cours de leur passage dans les archives fossiles. Cela démontre que, comme tous les êtres vivants, les mouches de mai ne sont pas le fruit de l’évolution mais de la création.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Si tous les êtres vivants avaient acquis les caractéristiques dont ils sont pourvus aujourd’hui de façon graduée, comme l’avancent les évolutionnistes, de nombreux fossiles présentant ces phases devraient exister. On aurait dû ainsi découvrir un grand nombre de fossiles prouvant que les éphémères ont vu leurs ailes apparaître par étapes. Or, ce fossile d’éphémère datant de 125 millions (et tous les autres d’ailleurs) ici représenté témoigne du fait que ces insectes existaient alors tels que nous les connaissons aujourd’hui.
Cette découverte bouleverse les principes de l’évolution, leur faisant perdre tout crédit. De nouvelles données scientifiques révèlent concrètement que l’évolution n’a jamais eu lieu et qu’Allah est le Créateur de tous les êtres.
Age : 150 millions d’années
Période : Jurassique
Localisation : Solnhofen Formation, Allemagne
Qu’ils soient fossilisés ou encore vivants, les insectes de la famille des gerridés détiennent les preuves réfutant le darwinisme. Ce fossile d’araignée d’eau remontant au jurassique (il y a 150 millions d’années) témoigne de l’invalidité du concept de l’évolution et érige en vérité irréfutable la création par Allah. Ces créatures ont survécu jusqu’à aujourd’hui sans avoir subi ni changement, ni évolution.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes prétendent que les atomes de phosphores et de carbone, entre autres, se seraient combinés de façon aléatoire et organisée, suite à des phénomènes naturels tels que les éclairs, les éruptions volcaniques, les rayons ultraviolets et les radiations. Il en aurait résulté la naissance de protéines, de cellules, d’insectes, de poissons, de chats, de lapins, de lions, d’oiseaux, d’êtres humains et toutes les autres formes de vie. Or, ils ne semblent pas prendre en compte le fait que les atomes se limitent à des unités de matière inconsciente et inanimée, dépourvue d’intelligence et de capacités.
Par ailleurs, ils ne disposent pas de la moindre preuve venant soutenir l’occurrence de ce processus imaginaire.
A mesure que les évolutionnistes s’embourbent, de plus en plus de preuves apparaissent démontrant que les êtres vivants n’ont pas évolué mais qu’ils furent créés par Allah Tout-Puissant, comme en témoigne ce fossile datant de 125 millions d’années.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes avancent toutes sortes de théories fantaisistes à propos de l’origine de la vie soulevant des centaines de questions, notamment celle-ci :
- Existe-t-il des formes intermédiaires susceptibles de prouver la théorie de l’évolution ?
Non est la réponse évidente à cette question constamment évitée par les darwinistes fuyant les faits ! Aucun fossile de forme intermédiaire n’a été mis au jour au cours des fouilles conduites depuis les 150 dernières années.
Les archives fossiles regorgent d’exemples d’animaux ou de végétaux qui ont traversé les âges tout en conservant leurs structures, sans subir la moindre altération depuis des centaines de millions d’années. Le Tettigoniidae datant de 125 millions d’années ici présenté est l’un de ces spécimens. En présence de tels spécimens, les darwinistes sont condamnés au silence.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes rattachent l’origine des insectes à une série d’hypothèses dépourvues de sens logique. Quand on leur demande d’apporter des preuves concrètes et scientifiques, ils sombrent dans le silence parce que toutes les études en date et les découvertes de fossiles réfutent catégoriquement ces idées.
Ce fossile de grillon date de 125 millions d’années. Cet insecte fossilisé identique sous tous les angles aux grillons vivant aujourd’hui remet en question l’idée selon laquelle les êtres vivants changent constamment. Les fossiles démontrent que les êtres vivants n’ont ni changé, ni évolue. Ils furent créés.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes sont persuadés que des mécanismes imaginaires transforment constamment les êtres vivants en de nouvelles espèces. Le rêve évolutionniste du perpétuel changement des choses vivantes est démoli par les archives fossiles. Ce spécimen de guêpe fossilisée remontant à 125 millions d’années laisse entendre que les êtres vivants n’ont pas changé, ni évolué.
Le paléontologue David Raup souligne que les éléments géologiques contredisent le darwinisme :
“Il [Darwin] était embarrassé par les archives fossiles car elles ne ressemblaient pas à ce qu’il avait prédit. Aussi consacra-t-il un long chapitre des Origines des espèces à une tentative d’explication et de rationalisation des différences. Il y avait plusieurs problèmes, le principal étant que les données géologiques ne présentaient pas alors et ne présentent toujours de chaîne finement graduée d’une évolution lente et progressive.” (David M. Raupe, “Conflicts between Darwin and paleontology”, Field Museum of Natural History Bulletin, Chicago, vol. 50, janvier 1979, pp. 22-23)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Il existe environ un million d’espèces d’insectes connus vivant encore sur terre et quelques 15.000 espèces fossiles. Chaque année, plusieurs milliers de nouvelles espèces d’insectes sont découverts. Chacune d’entre elles se caractérise par des systèmes, des métabolismes et des habitats totalement différents.
Les évolutionnistes considèrent que toutes ces espèces sont issues graduellement les unes des autres, suite à une série d’infimes changements. En revanche, ils sont incapables de désigner quel est le premier ancêtre présumé des insectes, ni présenter une preuve de ces liens entre les espèces. Ils recherchent désespérément les fossiles qui viendraient appuyer leurs propos. Or, chaque nouveau fossile déterré révèle que les espèces d’insectes sont nées du néant, pourvues de toutes leurs particularités. En d’autres termes, les fossiles sont la manifestation de la création dans la mesure où ils sont identiques depuis des dizaines, voire des centaines de millions d’années et où ils n’ont donc pas connu de processus évolutif.
Ce fulgore fossilisé depuis 125 millions d’années illustre à quel point les fulgores d’aujourd’hui et d’hier sont identiques et réfute ainsi le concept de l’évolution.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Si tous les êtres vivants étaient issus de l’évolution, alors des signes en seraient visibles dans les archives fossiles. On devrait, en effet, pouvoir trouver dans les strates géologiques des traces d’entités en progression constante, pourvues de systèmes et d’organes incomplets, faisant lentement le lien d’une espèce à une autre.
Alors où sont les fossiles de créatures mi-grillons , mi-mouches, ou mi-mouches, mi-papillons, ou de créatures avec un bout d’aile seulement, ou avec un seul œil sur les abdomens, les pattes situées au niveau de la tête et les antennes encore absentes ?
Or, les archives fossiles ne proposent aucun exemple de ce genre de créatures étranges et primitives. Au contraire, les fossiles indiquent plutôt que les êtres vivants sont apparus dotés de tous les membres et de systèmes complets. Il semblerait également qu’aucune espèce n’ait connu de changement durant son existence géologique. D.S. Woodroof de l’Université de Californie dit à ce propos :
“Mais les espèces fossiles restent inchangées au cours de la plus grande partie de leur histoire et les archives ne montrent pas le moindre exemple d’une transition significative.” (D.S. Woodroof, Science, vol. 208, 1980, p. 176)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les “lignées de descendance” des êtres vivants qui apparaissent régulièrement dans les publications évolutionnistes relèvent du domaine imaginaire. Aucun lien évolutionniste concret entre les espèces vivantes n’a été découvert à ce jour.
Les scientifiques considèrent d’ailleurs que les archives fossiles et d’autres éléments n’indiquent en rien cette relation :
“Il est cependant très difficile d’établir des lignées de descendance précises ou phylogénies, pour la plupart des organismes.” (F.J. Ayala et J.W. Valentine, Evolving: the theory and process of organic evolution, 1978, p. 230)
Ce grillon datant de 125 millions d’années n’est pas le fruit de l’évolution d’un présumé ancêtre. Il s’avère totalement inchangé depuis sa première apparition jusqu’à nos jours.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les éphémères passent la plus grande partie de leur vie sous forme de larves ou nymphes. En effet, ils ne restent adultes que quelques heures ou quelques jours. C’est pourquoi on les appelle “éphémères”. Le fossile d’éphémère ici représenté date de 125 millions d’années, mais est identique aux éphémères vivant de nos jours.
Le darwinisme est remis en question par les éphémères, tels que celui-ci, parce que son immuabilité depuis 125 millions d’années ne témoigne pas en faveur du concept évolutif.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
La théorie de l’évolution totalement basée sur des conjectures manque cruellement de fondements scientifiques et de preuves valables. En outre, elle s’élabore sur une thèse illogique et irréaliste qui voudrait que tous les êtes vivants soient le résultat d’une série d’innombrables petites coïncidences, événement totalement impossible ;
La recherche scientifique confirme qu’aucun processus du genre n’a eu lieu. Dans les archives fossiles, on peut voir notamment que les êtres vivants n’ont pas évolué à travers une succession de changements, mais qu’ils firent une apparition soudaine sous la forme que nous leur connaissons encore aujourd’hui. La conclusion déduite est claire : les êtres vivants n’ont pas évolué, ils furent créés.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les fossiles sont la preuve la plus parlante de l’inexistence de l’évolution. L’examen des archives fossiles démontre que toutes les espèces vivantes sont restées identiques depuis des millions d’années, sans avoir subi le moindre changement, en dehors de leur extinction. Joel Cracraft du Museum américain d’histoire naturelle explique qu’il n’y a aucune transition entre les espèces, d’après les fossiles :
“Il ne devrait y avoir rien de surprenant dans le fait qu’il soit extrêmement difficile de trouver des espèces fossiles spécifiques qui soient à la fois intermédiaires sur le plan morphologique entre deux autres taxons et positionnés dans la strate appropriée.” (Joel Cracraft, “Systematics, comparative biology, and the case against creationism”, dans Scientists confront creationism, ed. L.R. Godfrey, New York: W.W. Norton&Co., 1983, p. 180)
Cracraft se limite à reconnaître que la découverte de fossiles de formes intermédiaires est extraordinairement difficile pour ne pas admettre simplement que de tels fossiles n’existent pas. En dépit de sa réticence, les fossiles en question n’ont toujours pas été mis au jour et il semble en outre impossible qu’ils le soient à l’avenir.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Ce fossile de Tettigoniidae de 125 millions d’années fait flancher le darwinisme. La perspective évolutionniste des origines de la vie est remise en question depuis qu’il a été révélé que la théorie de l’évolution fut érigée sur des fossés qui ne peuvent pas être comblés par des éléments scientifiques réalistes.
C. McGowan, expert en paléontologie des vertébrés, fait référence à ces fossés considérables en ces termes :
“… Nous avons tellement de lacunes dans l’histoire évolutionniste de la vie, des lacunes dans des domaines aussi capitaux que l’origine des organismes multicellulaires, l’origine des vertébrés, sans parler des origines de la plupart des groupes invertébrés.” (Christopher McGowan, In the beginning : A scientist shows why the creationists are wrong, New York: Prometheus Books, 1984, p. 95)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Si, comme le prétendent les évolutionnistes, les grillons descendaient d’autres insectes, alors on aurait dû trouver un grand nombre de fossiles de “semi-grillons” en phase finale de développement. Or, à ce jour, tous les fossiles de grillons découverts présentent les mêmes structures complètes et parfaites que celles des grillons que nous connaissons aujourd’hui. La thèse de l’ancêtre commun à tous les êtres vivants relève du domaine imaginaire.
Steven Stanley, professeur de paléontologie, comment cette situation :
“Les espèces qui étaient supposées avoir évolué d’autres espèces se sont retrouvées coexister avec leurs prétendus ascendants. En réalité, les archives fossiles ne documentent pas de façon convaincante la moindre transition d’une espèce à une autre.”(S.M. Stanley, The New evolutionary timetable : fossils, genes and the origin of species, New York : Basic Books, 1981, p. 95)
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les larves comme celles de l’éphémère sont restées identiques tout au long de leur apparition dans les couches géologiques. Cette nymphe d’éphémère datant de 125 millions d’années en est la preuve. Aussi bien les éphémères que leurs larves n’ont jamais évolué malgré le passage de dizaines de millions d’années. Cette vérité ne suscite que le silence chez les évolutionnistes.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Bien que de nombreuses questions restent sans réponses chez les darwinistes, ils continuent à défendre leur théorie bec et ongles. Quel est l’ancêtre présumé du Tettigoniidae ? Quelles sont les étapes de développement des Tettigoniidae depuis leur ancêtre ? Si ces créatures sont nées d’un processus gradué, comment expliquer le fait que les Tettigoniidae d’il y a 125 millions d’années sont identiques à leurs congénères d’aujourd’hui ?
Ce ne sont là que trois de la longue liste d’interrogations face auxquelles les évolutionnistes restent muets. Leur silence donne une idée de l’échelle de l’embarras dans lequel se trouve le darwinisme aujourd’hui.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Il est étonnant de voir l’entêtement de ceux qui parlent au nom de la science à vouloir défendre une théorie aussi démodée que l’évolution, en dépit de toutes les preuves contraires accumulées provenant de la sphère scientifique. D’innombrables fossiles ont, en effet, réfuté le principe de l’évolution. Quel sens y a-t-il à tenter de cacher les faits en les déformant ? Cette araignée fossilisée depuis 125 millions d’années, à l’image des fossiles d’autres spécimens vivants, témoignent ostensiblement en défaveur de l’évolution.
Les scientifiques doivent enfin ouvrir les yeux sur ce que démontrent les preuves scientifiques, c’est-à-dire sur la réalité de la création.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
La nature supérieure du système d’ailes chez la libellule et de son mécanisme de vol sophistiqué n’est pas encore parfaitement dupliquée par les technologies modernes. Or les libellules disposent de ces mêmes systèmes depuis plus de 125 millions d’années. Depuis leur première apparition sur terre, elles jouissent de cette parfaite manœuvrabilité.
Le fossile ici représenté remet en question le darwinisme tout en révélant que les êtres vivants sont l’œuvre d’Allah.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
A. Brouwer, auteur du livre General paleontology résume la défaite essuyée par le darwinisme :
“L’un des résultats négatifs les plus surprenants de la recherche paléontologique au cours du siècle dernier est la rareté inhabituelle des formes transitionnelles. A l’époque de Darwin, cela a pu être imputé à la nature incomplète des archives paléontologiques et au manque de connaissance, mais avec le nombre immense d’espèces fossiles qui ont été découverts depuis, d’autres causes doivent être trouvées à cette quasi-absence de formes transitionnelles.” (A. Brouwer, General paleontology, Edinburgh&London: Oliver&Boyd, 1967, pp. 162-163)
Les évolutionnistes n’ont nul besoin de rechercher de nouvelles excuses, comme l’annonce Brouwer. Il leur suffit d’ouvrir les yeux sur les faits. Un nombre infini de fossiles, tels que ce fossile de guêpe remontant à 125 millions d’années, démontre que l’évolution n’a jamais eu lieu et que tous les êtres vivants furent bel et bien créés.
Age : 125 millions d’années
Période :Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les quelques 2.500 espèces connues d’éphémères appartiennent à la classe des Ephemeroptera. Que ce soit sur le plan de l’apparence, des structures et des systèmes, tous les fossiles d’éphémères sont exactement identiques. En outre, l’absence de différences structurelles entre les éphémères ayant existé au cours de plusieurs ères géologiques (étalées sur des millions d’années) réduit à néant les hypothèses mises en avant par les évolutionnistes. Il est clair désormais que les êtres vivants ne sont pas le résultat de coïncidences successives et qu’ils ne sont pas non plus dans un état de changement perpétuel. C’est à Allah Tout-Puissant que nous devons la création de tous les êtres.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les plus anciens fossiles d’éphémères remontent à 200 millions d’années. Qu’ils aient vécu il y a 200 millions, 125 millions d’années ou aujourd’hui, tous les éphémères sont identiques. Cela suffit à prouver que les éphémères en particulier, et les êtres vivants en général, n’ont jamais évolué.
Age : 125 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les évolutionnistes ne peuvent pas expliquer pourquoi les éphémères sont restés inchangées depuis une centaine de millions d’années. Pour conforter leur théorie de l’évolution des êtres vivants, ils doivent présenter des espèces en changement perpétuel ou alors étayer leur hypothèse par des preuves fossiles. Or, à ce jour ils ne disposent ni de l’un ni de l’autre. Il leur est donc impossible d’expliquer quoi que ce soit en terme évolutionniste. Les structures et les caractéristiques des êtres vivants ainsi que les archives fossiles témoignent de l’inexistence de l’évolution.