Age : 54 à 37 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Montagnes Hart, Wyoming Centre Nord, Etats-Unis
Cet arbre du genre Celtus pousse sous des climats tempérés.
Les graines de micocoulier ici en photo datent d’environ 50 millions d’années. Elles incarnent la preuve que l’évolution n’a jamais eu lieu. Cet arbre a toujours existé en tant que micocoulier et comme toutes les autres espèces végétales, il n’a pas connu d’étapes intermédiaires de développement. Il ne descend d’aucune autre espèce et ne s’est pas non plus transformé en une autre espèce.
Les évolutionnistes sont, en réalité, bien conscients de l’absence de fossiles de formes intermédiaires passibles de prouver l’évolution chez les végétaux. George Gaylord Simpson, l’un des fondateurs du néo-darwinisme, reconnaît cet état de fait :
“Cette absence régulière de formes transitionnelles ne se limite pas aux mammifères, mais constitue un phénomène pratiquement universel, comme l’ont remarqué depuis longtemps les paléontologues. C’est vrai pour presque toutes les classes d’animaux, qu’ils soient vertébrés ou invertébrés… C’est vrai pour les classes, et pour les phyla principaux d’animaux et c’est apparemment vrai pour les catégories analogues de plantes.” (George G. Simpson, Tempo and mode in evolution, New York: Columbia University Press, 1994, pp. 105, 107) (soulignement ajouté)
Age : 144 à 65 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Cannonball, Dakota Nord, Etats-Unis
Les séquoias qui poussent actuellement en Amérique du Nord peuvent atteindre plus de 100 mètres de hauteur. Un nombre incroyable de fossiles montre que le feuillage de ces arbres est resté identique depuis de dizaines de millions d’années. Le fossile en photo date de 140 millions d’années. Ce genre d’exemples condamne à un profond silence les évolutionnistes incapables d’expliquer de façon scientifique l’origine et la variété des végétaux.
D’une part, chaque espèce végétale apparaît de façon soudaine dans les archives fossiles et pourvue de toutes ses caractéristiques propres. D’autre part, ces traits sont immuables depuis des millions d’années. Ces deux éléments mènent directement à la création d’Allah Tout-Puissant.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Wyoming, Etats-Unis
Les contrefaçons, les déformations et les fossiles mis en avant comme preuve de l’évolution par les darwinistes jouent, en fait, contre la théorie. David Berlinski, mathématicien de l’université de Princeton et un opposant de la théorie, explique comment les découvertes fossiles réfutent l’évolution :
“…Il existe des fossés dans le cimetière fossile, là où il devrait y avoir des formes intermédiaires, mais il n’y a rien de tel. Aucun paléontologue… ne nie qu’il en est ainsi. Il s’agit simplement d’un fait. La théorie de Darwin et les archives fossiles se contredisent.” (David Berlinsky, Controversy : denying Darwin, Commentary, Septembre 1996, p. 28)
La feuille de fougère grimpante est l’un de ces fossiles. Elle démontre, en effet, que les fougères grimpantes ayant existé il y a 50 millions d’années sont identiques aux spécimens de fougère grimpante d’aujourd’hui, réfutant ainsi les concepts évolutionnistes.
Age : 54 à 37 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Douglas Pass, Colorado, Etats-Unis
Ces plantes de la famille des polémoniales font partie de ces êtres vivants qui remettent en question la théorie de l’évolution par la nature inchangée de leur structure depuis des millions d’années. Les darwinistes persistent à défendre leur théorie car ils ne tiennent pas compte de l’importance des découvertes fossiles, dont la totalité témoigne de l’inexistence de l’évolution.
Les évolutionnistes n’ont jamais pu intégrer le fait qu’aucun fossile de forme intermédiaire n’a été mis au jour et s’accrochent à leurs mêmes théories dépassées. Cependant, ils ne peuvent plus continuer à raconter des mensonges au public désormais bien informé sur le sujet.
Age : 54 à 37 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Ce fossile prouve que les peupliers ne sont pas les descendants d’une autre espèce végétale et qu’ils ont toujours existé sous l’aspect que nous leur connaissons aujourd’hui. L’exactitude de la ressemblance entre les peupliers ayant existé il y a 50 millions d’années et leurs homologues actuels est une solide preuve de la création. Le concept d’évolution s’avère n’être qu’une invention de l’imagination.
Parc national de Colombie Britannique |
Age : 50 millions d’années
Période :Eocène
Localisation : Formation Cache Creek, Kamloops, Colombie Britannique, Canada
Ce fossile-ci indique que les cèdres, une variété de conifère à feuilles persistantes, n’ont pas changé au cours des 50 derniers millions d’années et souligne l’inexactitude des idées évolutionnistes. Charles Darwin prétendait qu’un processus d’évolution avait permis à toutes les formes de vie de se développer progressivement à partir d’un ancêtre commun unique et ce sans exception. Pourtant, les archives fossiles traduisent tout à fait le contraire. Les restes de formes de vie disparues ou toujours existantes ne présentent aucun lien généalogique entre les espèces comme le stipulait la théorie de Darwin. Chaque fossile connu se caractérise par des traits uniques.
Le milieu naturel est divisé en groupes très différents dont les variations structurelles sont immenses.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Les découvertes fossiles réfutant le plus clairement l’idée de l’évolution des plantes sont celles des plantes florissantes. Ces angiospermes sont divisés en 43 familles distinctes, dont chacune émerge de façon soudaine dans les archives fossiles sans trace antécédente de “forme intermédiaire”.
Depuis le 19ème siècle, cette vérité est connue. D’ailleurs Darwin qualifiait l’origine des angiospermes de “mystère abominable”. Dans son livre Paléobiologie des origines angiospermes (Palaeobiology of angiosperm origins), le paléobotaniste évolutionniste Norman F. Huges fait l’aveu suivant :
“L’échec à trouver une explication satisfaisante a persisté et de nombreux botanistes ont conclu que le problème ne disposait pas de solution, en termes de preuve fossiles.” (N.F. Huges, Palaeobiology of angiosperm origins: problems of mesozoic seed-plant evolution, Cambridge: Cambridge University Press, 1976, pp. 1-2)
Cet aveu considère qu’aucun fossile susceptible de servir de preuve de l’évolution n’a été découvert et ne sera jamais découvert. Comme en témoigne ce fossile de sumac datant de 50 millions d’années, les plantes n’ont pas évolué mais elles furent créées.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Dans son article L’évolution des plantes florissantes (The evolution of flowering plants), le paléobotaniste Daniel Axelrod commente de la sorte l’origine des plantes florissantes :
“Le groupe ancestral qui donne naissance aux angiospermes na pas encore été identifié dans les archives fossiles, et aucun angiosperme vivant ne pointe ver une telle alliance ancestrale.” (D.I. Axelrod, “Theevolution of flowering plants”, dans Evolution after Darwin: vol.1: The evolution of life), éd. S.Tax, Chicago, IL: University of Chicago Press, 1960, pp. 264-274)
Les recherches de fossiles des 150 dernières années n’ont pas permis de mettre la main sur un seul fossile pouvant passer pour l’ancêtre des plantes fleurissantes, ce qui réfute la théorie darwiniste selon laquelle les végétaux descendent les uns des autres à travers d’infimes changements sur de très longues périodes de temps.
Cette feuille d’euphorbe fossilisée depuis 50 millions d’années indique justement que les plantes n’ont jamais subi de transformations malgré les dizaines de millions d’années passées. En somme, elle témoigne de l’inexistence du processus d’évolution.
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation :Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Il y a 150 ans, Darwin décrivait un problème crucial auquel la théorie de l’évolution devait faire face :
“Rien n’est plus extraordinaire dans l’histoire du règne végétal, me semble-t-il, que le développement apparemment très soudain ou abrupt des plantes [de taxonomies] supérieures” (Francis Darwin, The life and letters of Charles Darwin, de Charles Darwin à J.D. Hooker, 6 août 1881, p. 248)
La référence de Darwin au développement soudain des plantes reconnaît que les espèces végétales ne sont pas nées progressivement, suite à une incrémentation de changements. Cela signifie autrement dit qu’il n’y a pas de preuve de leur évolution. Dans la mesure où Darwin lui-même était conscient de l’inadéquation entre les fossiles végétaux et la théorie de l’évolution, pourquoi les évolutionnistes contemporains continuent-ils à insister sur le mythe de “l’évolution des plantes” ?
Green River Formation, Utah, USA |
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
La question de l’évolution de la première cellule végétale mène invariablement les partisans du scénario évolutionniste vers une impasse. Comment le premier élément végétal est-il né d’une cellule unique ? Comment des milliers d’espèces de plantes ont-elles pu naître de ce premier être végétal ? Aucun fossile de forme intermédiaire ne vient documenter un tel processus. Nulle part il n’y a la trace de plantes primitives pourvues d’organes et de systèmes semi-développés. Nulle part il n’y a une preuve laissant croire qu’une espèce végétale ait pu être l’ancêtre d’une autre. Au contraire, les fossiles témoignent de l’apparition soudaine et individuelle des espèces végétales, dans toute leur complexité. Les fossiles sont en cela la preuve que les êtres du règne végétal sont restés inchangés aussi longtemps qu’ils ont survécu.
Ce fossile de feuille de peuplier datant de 50 millions d’années illustre bien nos propos puisqu’il s’avère identique aux feuilles de peuplier d’aujourd’hui.
Formation Green River, Utah, Etats-Unis |
Age : 50 millions d’années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Comme en témoignent les fossiles, les espèces végétales ont été créées dans leurs formes spécifiques et originales, totalement différentes les unes des autres et sans aucun lien évolutionniste entre elles. Le paléontologue évolutionniste E.C. Olson reconnaît d’ailleurs : “De nombreux groupes nouveaux de plantes et d’animaux apparaissent soudainement, et apparemment sans ancêtres proches.” (E.C. Olson, The evolution of life, New York: The New American Library, 1965, p. 94)
La feuille de chêne ici représentée remonte à 50 millions d’années. Ce fossile prouve qu’effectivement les feuilles de chênes ont toujours existé sous la même forme depuis les 50 derniers millions d’années et réfute donc le concept d’évolution.