Age : 95 millions d’années
Période :Crétacé
Localisation :Haqel, Liban
Les yeux, les nageoires, les branchies, les systèmes digestif et reproducteur – en somme tout ce qui caractérise tous les poissons-aiguilles ayant jamais vécu au cours de l’histoire – ont été pleinement formés et idéalement structurés. En outre, les formes actuelles de ces êtres vivants s’avèrent tout à fait identiques à ce qu’ils étaient il y a des dizaines de millions d’années.
Si on appliquait les idées darwinistes, alors ces fossiles devraient présenter une image diamétralement opposée. Les archives fossiles devraient ainsi contenir de nombreux spécimens de "mi-poissons-aiguilles". Dans la mesure où les fossiles ne collent pas avec la thèse darwiniste, voire argumentent le contraire, la théorie de l’évolution, décrédibilisée, se voit remise en question.
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Darwin savait que sa théorie ne pouvait se vérifier qu’avec les archives fossiles, c’est pourquoi il plaça de grands espoirs dans la recherche paléontologique. Dans une partie de son livre, il dit :
Il a dû certainement exister, si ma théorie est fondée, d’innombrables variétés intermédiaires reliant intimement les unes aux autres les espèces d’un même groupe… On ne pourrait trouver la preuve de leur existence passée que dans les restes fossiles… (Charles Darwin, L’origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, p. 231)
Pourtant aucune forme de fossiles intermédiaires n’a été découverte au cours des 150 dernières années. Ses allégations n’ont donc jamais pu être vérifiées ni confirmées. Les fossiles comme celui-ci appartenant à un calmar datant de 95 millions ont enterré la théorie de l’évolution de Darwin, dont l’invalidité est désormais reconnue.
Age : 206 à 144 millions d’années
Période : Jurassique
Localisation : Solnhofen, Bavière, Eichstatt, Allemagne
La crevette ici représentée date d’environ 200 millions d’années. Sa nature inchangée depuis aussi longtemps témoigne de l’inexistence de processus évolutionniste.
Les archives fossiles représentent la remise en question la plus sévère pour la théorie de l’évolution parce que :
1. Les évolutionnistes prétendent que les êtres vivants progressent d’un état primitif vers un état plus complexe en subissant une succession constante de petits changements. Les archives fossiles montrent, cependant, que les êtres vivants n’ont pas subi la moindre transformation au cours de centaines de millions d’années.
2. Les évolutionnistes défendent que tous les êtres vivants descendent d’un ancêtre commun. Or, aucun fossile découvert à ce jour ne peut être considéré comme l’ancêtre d’un autre être vivant.
3. Les évolutionnistes affirment que les formes intermédiaires sont les transitions dans l’évolution d’une espèce vers une autre. Pourtant, malgré 150 années de recherches et des millions de fossiles mis au jour, pas le moindre fossile de forme intermédiaire n’a été découvert.
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Les archives fossiles témoignent de l’absence de changements chez les êtres vivants. Le requin-chat datant de 95 millions d’années ici représenté fait partie de ces formes de vie n’ayant pas été altérée au cours de millions d’années. L’évolution stipule pourtant que les êtres vivants sont dans un état de changement constant afin de pouvoir progresser d’un état primitif vers un état plus développé. Les découvertes de fossiles, les unes après les autres, sont la preuve du contraire et donc de l’invalidité de cette théorie. Les principes évolutionnistes à propos de l’origine de la vie ne reflètent donc pas les faits, comme semblent le souligner trois biologistes évolutionnistes auteurs du livre Integrated principles of zoology :
De nombreuses espèces restent virtuellement inchangées pendant des millions d’années, ensuite elles disparaissent soudainement pour être remplacées par une autre… forme assez différente. De plus, la plupart des grands groupes d’animaux apparaissent abruptement dans les archives fossiles, tout à fait formés et sans fossile découvert formant une transition avec leur groupe parent. (C.P. Hickman [professeur émérite de biologie à l’Université Tech du Texas], L.S. Roberts [professeur émérite de biologie à l’Université Tech du Texas] et F.M. Hickman, Integrated principles of zoology, St Louis: Times Mirror/Moseby College Publishing, 1988, p. 866)
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Le poisson-guitare du sous-ordre des Rhinobatoidei se caractérise par sa forme de guitare. Il vit généralement au fond des mers tropicales à proximité des côtes.
Le fossile ici représenté montre que le poisson-guitare est resté inchangé depuis 95 millions d’années, condamnant ainsi les évolutionnistes au silence profond. Ces créatures identiques depuis des dizaines de millions d’années démontrent que l’évolution n’a jamais eu lieu et qu’elles furent créées par Allah Tout-Puissant.
Age : 150 millions d’années
Période : Jurassique
Localisation : Solnhofen, Bavière, Allemagne
Les évolutionnistes ont tendance à déformer ou à soigneusement dissimuler les fossiles qui constituent une preuve indiscutable de la création. Bien que les archives fossiles indiquent que l’évolution n’a jamais eu lieu, ils sont déterminés à ignorer ce point.
Le paléontologue américain S.M. Stanley reconnaît que les faits issus des archives fossiles sont ignorés par le dogme darwiniste dominant une grande partie du monde scientifique :
Les fossiles connus ne sont pas, et n’ont jamais été, en accord avec le gradualisme. Ce qui est remarquable est que, à travers une variété de circonstances historiques, même l’histoire de l’opposition a été obscurcie… comme l’a récemment écrit l’historien de la biologie William Coleman : “La majorité des paléontologues sentirent que leurs preuves contredisaient simplement l’accent de Darwin sur les changements infimes, lents et cumulatifs menant à la transformation des espèces”… mais leur histoire a été supprimée. (S.M. Stanley, The New Evolutionary Timetable: Fossils, Genes and the Origin of Species, N.Y.: Basic Books Inc., 1981, p. 71)
Ces efforts darwinistes à vouloir réduire la vérité au silence sont désormais inutiles. Il n’est effectivement plus possible de dissimuler plus longtemps le fait de la création révélé par les fossiles et notamment par cette crevette fossilisée depuis quelques 200 millions d’années.
Voici un fossile imprimé sur le côté positif et négatif | |
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Le cœlacanthe est un gros poisson mesurant environ 150 centimètres dont le corps couvert d’épaisses écailles rappelle une armure. Il fait partie de la classe des poissons osseux (ostéichtyens) dont les fossiles les plus anciens furent découverts dans les strates remontant au dévonien (il y a 417 à 354 millions d’années). Pendant des années, les évolutionnistes firent passer les fossiles de ce vertébré pour une forme intermédiaire jusqu’à la capture d’un cœlacanthe réfutant ces hypothèses. La recherche portant sur l’anatomie du poisson infligea une sévère défaite aux darwinistes.
Dans un article du magazine Nature, un paléontologue évolutionniste du nom de Peter Forey dit :
La découverte de Latimeria [cœlacanthe] souleva l’espoir de rassembler des informations directes sur la transition des poissons en amphibiens, car il existait cette vieille croyance selon laquelle les cœlacanthes étaient de proches ancêtres des tétrapodes… Mais l’étude de l’anatomie et de la physiologie de Latimeria a montré que cette théorie de parenté et la réputation du cœlacanthe de chaînon manquant semblaient injustifiées. (P.L. Forey, Nature, vol. 336, p. 727)
Les informations récentes concernant la structure complexe du cœlacanthe continuent à poser des difficultés aux évolutionnistes. Ce problème fut exprimé dans le magazine Focus :
D’après les fossiles, les poissons sont nés il y a environ 470 millions d’années. Le cœlacanthe est né 60 millions d’années après. Il est étonnant que cette créature, chez qui on s’attend à voir des caractéristiques très primitives, présente en fait une structure des plus complexes. (Focus, avril 2003)
L’apparition du cœlacanthe avec sa structure complexe fut une surprise pour les évolutionnistes étant donné qu’ils insistent sur un processus graduel d’évolution. Il n’y a pourtant rien de surprenant. Quiconque de rationnel est capable de comprendre qu’Allah crée tous les êtres vivants en les dotant de structures complexes, sous la forme et au moment de Son choix et en un seul instant. Les entités parfaites créées par Allah sont des moyens d’apprécier Son pouvoir et Sa puissance.
Age : 100 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Hjoula, Byblos, Liban
Les évolutionnistes ne peuvent pas recourir aux fossiles de pastenagues pour étayer leur thèse. Aucune pastenague primitive et aux traits semi-développés appartenant à deux formes de vie différentes n’a été mise au jour. Chaque spécimen découvert était celui d’une créature identique aux pastenagues vivant aujourd’hui dans le sens où leurs caractéristiques sont totalement identiques. Cela démontre l’invalidité de l’idée des espèces descendant les unes des autres et de développement minimes et graduels des formes de vie.
Le fossile de pastenague remontant à 100 millions d’années ici représenté indique une fois de plus que les êtres vivants n’ont pas évolué mais qu’ils furent créés.
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
L’écrevisse ici représentée date de 95 millions d’années. Pourtant elle ne présente aucune différence avec l’écrevisse d’aujourd’hui. Ces invertébrés inchangés depuis 95 millions d’années démontrent que les idées évolutionnistes sont des fantaisies issues de l’imagination et non-étayées par des données scientifiques.
En raison de leur point de vue matérialiste, les darwinistes ont pour habitude d’élaborer toutes sortes d’hypothèses qu’ils ornent de termes latins et scientifiques difficiles d’accès pour le public afin de donner à leurs thèses une tournure scientifique. Or, les preuves invalidant le concept d’évolution sont parfaitement claires. Même un enfant de huit ans peut s’en rendre compte. Les archives fossiles sont l’élément causant le plus de tort à la théorie de l’évolution. L’absence de différences entres les êtres ayant existé il y a des centaines de millions d’années et les spécimens actuels est un sérieux revers pour le concept de l’évolution.
Age : 354 à 290 millions d’années
Période : Carbonifère
Localisation : Formation St Louis, St Louis, Missouri, Etats-Unis
Les oursins sont des invertébrés dont le corps entier est couvert d’épines. Cet oursin d’environ 300 millions d’années défie toutes les hypothèses évolutionnistes à propos des origines de la vie.
Mais les oursins ne sont certainement pas les seuls êtres vivants infirmant la théorie de l’évolution. Les archives fossiles regorgent d’exemples de végétaux et d’animaux n’ayant subi aucune modification. Il n’y a pas la moindre preuve de l’existence de formes semi-développées ou déficientes malgré le passage de périodes géologiques considérables. Les évolutionnistes n’avancent aucune réponse rationnelle et scientifique pouvant expliquer pourquoi et comment les êtres vivants sont restés inchangés depuis si longtemps. Pour les individus qui ne se sont pas laissés duper par les préjugés darwinistes, la réponse est pourtant claire : les êtres vivants n’ont jamais évolué, ils furent créés par notre Seigneur, Allah.
Age : 95 millions d’années
Période :Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
En dépit des découvertes parlantes, les darwinistes refusent d’admettre que le darwinisme a été vaincu par les données scientifiques. Ils persistent à défendre les idées mises en avant au 19ème siècle alors que la science en était à ses balbutiements. Ils tournent le dos aux éléments scientifiques par souci idéologique et à cause des préjugés. Ils recourent à des manipulations, des fabrications et des explications irrationnelles et illogiques.
Toujours est-il que les millions de fossiles mis au jour au cours des 150 dernières années rendent la théorie de l’évolution totalement indéfendable. Tous les fossiles, notamment celui d’une pastenague datant de 95 millions d’années ici représenté, indiquent que les êtres vivants sont restés inchangés depuis des millions d’années. Autrement dit leur origine ne s’explique pas par l’évolution mais par la création.
Age : 37 à 23 millions d’années
Période : Oligocène
Localisation : Montagnes des Carpates, Rowne, Pologne
Ces poissons appartenant à l’ordre des perciformes (proches des perches) sont classés dans la famille des serranidés. Ce bar fossilisé d’environ 30 millions d’années identique dans son apparence et dans ses caractéristiques structurelles aux bars actuels, constitue une preuve infirmant la théorie de l’évolution.
Comme toutes leurs autres thèses, les idées darwinistes concernant l’évolution des poissons se limitent à des contes de fées, sans fondements scientifiques. L’examen de la littérature évolutionniste révèle qu’aucune forme intermédiaire potentielle n’est mise en avant. Les évolutionnistes ne détiennent aucune preuve fossile leur permettant de prouver que les organismes invertébrés se sont transformés en poissons.
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
D’après les archives fossiles, les formes de vie sont nées indépendamment les unes des autres, chacune à un moment donné et sans qu’aucun lien de parenté ne les lie entre elles. Les poissons ne sont donc pas issus des formes de vie invertébrées et ne sont pas devenus des reptiles, contrairement à ce que défendent les évolutionnistes.
Dans son livre datant de 1991 Beyond natural selection, la paléontologue américain R. Wesson s’intéresse au sens des archives fossiles :
Les fossés dans les archives fossiles sont réels cependant. L’absence de trace d’un embranchement évolutionniste important est assez phénoménale. Les espèces sont habituellement statiques, ou presque, pendant de longues périodes… (R. Wesson, Beyond natural selection, Cambridge, MA : MIT Press, 1991, p.45)
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Bien qu’elle ait été scientifiquement discréditée, la théorie de l’évolution reste à l’ordre du jour dans certains cercles. Des articles intitulés “Chaînon manquant découvert” et agrémentés de croquis imaginaires de créatures mi-humaine/mi-singe sans valeur scientifique font les couvertures à chaque découverte de fossile. “Nos ancêtres étaient des microbes”, “Nous ne sommes pas différents des singes”, “Venons-nous de l’espace ?”, “L’évolution dans les tubes à essai” sont quelques gros titres d’articles où l’on fait croire que la théorie de l’évolution dispose de solides preuves pour expliquer les divers aspects de la vie humaine.
Or les fossiles laissent plutôt entendre que ces hypothèses n’ont pas de sens. Ce fossile de poisson des sables datant de 95 millions d’années ainsi que les autres fossiles indiquent que les espèces vivantes n’ont pas changé depuis des millions d’années et donc qu’elles n’ont pas évolué. Face à cette réalité, la propagande évolutionniste s’assimile à une prise de position.
Le fossile ici illustré est visible sur deux plans, positif et négatif, sur les deux côtés de la roche fendue.
Le fossile ici illustré, est positif et négatif, dans la mesure où son empreinte est visible sur les deux surfaces de la roche fendue. | |
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Ces poissons de l’ordre des anguilliformes sont classés sous la famille des congridés. Le fossile en photographie prouve que les anguilles n’ont pas subi la moindre altération en 95 millions d’années. Il ne représente que l’un des millions de spécimens fossiles réfutant le darwinisme. Les fouilles des 150 dernières années n’ont pas permis de mettre la main sur une preuve pour étayer les théories des évolutionnistes. En revanche, d’innombrables fossiles prouvent que les êtres vivants sont apparus soudainement, complets dans leurs caractéristiques et qu’ils n’ont pas changé malgré les millions d’années passées. Ils sont tout simplement la preuve de la création et non de l’évolution.
Age : 95 millions d’années
Période :Crétacé
Localisation :Haqel, Liban
L’expert en fossile évolutionniste David Pilbeam admet que les découvertes fossiles sont contraires à la théorie de l’évolution :
Si vous ameniez un scientifique intelligent d’une autre discipline pour lui montrer les maigres preuves dont nous disposons, il dirait très certainement : “Laissez tomber, cela ne suffit pas pour continuer.” (Richard E. Leakey, The making of mankind, Barcelone: Sphere Books Limited, 1982, p. 43)
Pourquoi les darwinistes refusent-ils de voir que leur théorie ne repose sur rien ? Les découvertes de fossiles ont depuis longtemps démoli la théorie de l’évolution. Le fossile d’Elopidae datant de 95 millions d’années ici représenté contribue à la défaite des évolutionnistes.
Age : 5,3 à 1,8 millions d’années
Période : Pliocène
Localisation : Formation Fleuve Marecchia, Pogio Berni, Rimini, Italie
Le poisson-pipe se caractérise par la forme allongée et tubulaire de sa bouche. Cette caractéristique existe et n’a pas changé depuis des millions d’années chez ces poissons marins de la famille des syngnathidés, ce qui cause la remise en question de la théorie de l’évolution. Même si les darwinistes continuent à tout faire pour déformer les faits, ils ne peuvent plus dissimuler ce que les archives fossiles clament haut et fort : les êtres vivants n’ont pas évolué mais ils furent créés.
Age : 150 millions d’années
Période : Jurassique
Localisation : Formation Solnhofen, Allemagne
En raison de leur immuabilité depuis des millions d’années, les limules de la famille des chélicérés sont assimilés à des “fossiles vivants”, même par les évolutionnistes. Les limules datant du jurassique, soit environ de 150 millions d’années sont identiques aux limules habitant les côtes aujourd’hui. Cette inaltérabilité démolit les thèses évolutionnistes et prouve une fois de plus que le principe d’évolution des êtres vivants est un mythe ridicule.
La science révèle de façon irréfutable que les êtres vivants sont l’œuvre d’Allah Tout-Puissant.
Age : 95 millions d’années
Période : Crétacé
Localisation :Haqel, Liban
En prétendant que toutes les espèces se multiplièrent en évoluant les unes à partir des autres sur de très longues périodes de temps, les darwinistes n’ont jamais considéré l’idée que pratiquement toutes les catégories principales d’espèces connues à ce jour ont émergé soudainement et à la même époque, c’est-à-dire au cambrien, il y a 530 à 520 millions d’années. Ils sont incapables d’ouvrir les yeux sur le message transmis par ces vestiges préservés dans les fossiles sans avoir subi le moindre changement.
Même si les évolutionnistes refusent de réfléchir et de comprendre, les découvertes fossiles telles que ce poisson de sable datant de 95 millions d’années sont là pour témoigner de l’invalidité de l’évolution aux yeux de tous.