Chapitre 13:
Les Revendications Évolutionnistes Face aux Faits

Dans les chapitres précédents, nous avons examiné pourquoi la théorie de l'évolution n'était pas valable, face aux preuves tangibles trouvées dans les fossiles ainsi qu'au niveau de la biologie moléculaire. Dans le présent chapitre, nous nous pencherons sur un certain nombre de phénomènes et concepts biologiques présentés par les évolutionnistes comme des preuves théoriques. Ces questions sont particulièrement importantes, car elles démontrent que la théorie de l'évolution ne se base sur aucun résultat scientifique et révèlent le degré de distorsion et de tromperie auxquelles les évolutionnistes ont recours.

Variations et espèces

La variation ne constitue pas une preuve de l'évolution
köpek, varyasyon

In The Origin of Species, Darwin confused two separate concepts: variations within a species and the emergence of an entirely new one. Darwin observed the variety within the various breeds of dogs, for example, and imagined that some of these variations would one day turn into a different species. Even today evolutionists persist in seeking to portray variations within species as “evolution”.

However, it is a scientific fact that variations within a species are not evolution. For instance, no matter how many breeds of dog there are, these will always remain a single species. No transition from one distinct species to another will ever take place.

La variation est un terme utilisé en génétique. Celui-ci renvoie à un événement génétique qui fait que les individus ou les groupes d'une certaine espèce ont des caractéristiques différentes les uns des autres. Par exemple, toutes les personnes sur terre ont en principe les mêmes informations génétiques. Or, certains ont les yeux bridés, d'autres les cheveux roux, alors que des individus ont des nez longs, certains sont de petites tailles, tout dépend du degré de variation potentielle de cette information génétique.

Les évolutionnistes supposent que les variations au sein d'une espèce sont une preuve qui corrobore la théorie. Ceci dit, la variation ne constitue pas une preuve de l'évolution car les variations ne sont que le résultat de combinaisons de l'information génétique déjà présente et n'ajoutent aucune autre caractéristique à l'information génétique.

La variation s'opère toujours dans les limites de l'information génétique. En génétique, cette limite est appelée "le pool génétique". L'ensemble des caractéristiques présentes dans le pool génétique d'une espèce peut se manifester de manières diverses selon la variation. Par exemple, à cause de la variation, il se peut que dans l'espèce reptilienne des variétés munies de queues plus longues ou des pattes plus courtes apparaissent. Car, les informations des pattes longues et des pattes courtes existent dans le pool génétique des reptiles. Toutefois, les variations ne transforment pas les reptiles en oiseaux en leur ajoutant des ailes ou des plumes ou en introduisant des modifications dans leurs métabolismes. Un tel changement nécessite une augmentation de l'information génétique des vivants, chose entièrement impossible dans les variations.

Darwin n'était pas au courant de ce fait lorsqu'il a formulé sa théorie. Il pensait qu'il n'y avait aucune limite aux variations. Dans un article qu'il a rédigé en 1844, il déclarait: "Qu'il n'y ait pas dans la nature de limite à la variation est une idée sur laquelle s'accorde la majorité des auteurs, même si je suis incapable de découvrir le moindre fait qui justifie cette croyance."150

Dans L'origine des espèces, il cite divers exemples de variations comme la preuve la plus importante de sa théorie.

Par exemple, selon Darwin, les éleveurs d'animaux qui ont accouplé diverses variétés de bétail afin d'avoir de nouvelles variétés pour produire davantage de lait, allaient en fin de compte transformer ces animaux en espèces différentes. La notion darwinienne de "variation illimitée" est très bien reflétée dans cette phrase tirée du livre L'origine des espèces:

Je ne vois pas la moindre difficulté, par le biais d'une sélection naturelle, à rendre de plus en plus aquatiques les habitudes d'une race d'ours, avec des bouches de plus en plus grandes jusqu'à obtenir une créature aussi gigantesque qu'une baleine.151

Est-Ce Que Les Baleines Ont Evolue a Partir Des Ours?
ayı, balina

Dans son ouvrage, L'origine des espèces, Darwin a affirmé que les baleines avaient évolué à partir des ours qui tentaient de nager! Darwin pensait à tort que les possibilités de variations au sein d'une même espèce étaient illimitées. La science du 20ème siècle a réfuté ce scénario invraisemblable.

Si Darwin est parti si loin pour chercher un exemple c'est bien à cause de la compréhension primitive de la science qui prévalait à son époque. Depuis ce temps, et au cours du 20ème siècle la science a énoncé le principe de "stabilité génétique" (homéostasie génétique) basé sur les résultats des expériences conduites sur les vivants. Selon ce principe, toutes les tentatives d'accouplement effectuées dans le but de produire de nouvelles variations étaient vaines et il existe des barrières parmi les diverses espèces vivantes. Cela signifiait qu'il était absolument impossible pour les éleveurs d'animaux de convertir le bétail en différentes espèces en accouplant diverses variations comme Darwin l'avait supposé.
Norman Macbeth, qui s'opposait à Darwin dans son livre Darwin Retried, écrit:

Le cœur du problème est de savoir si vraiment les vivants étaient en mesure de varier à l'infini... Les espèces semblent stables. Nous avons tous entendu parler de ces éleveurs déçus qui avaient effectué plusieurs tentatives pour qu'en fin de compte les animaux et les plantes reviennent à l'état initial. En dépit d'efforts acharnés pendant deux ou trois siècles, il n'a jamais été possible de produire une rose bleue ou une tulipe noire.152

Luther Burbank, considéré comme le plus grand éleveur de tous les temps, a exprimé cette idée lorsqu'il déclara: "Il existe des limites au développement possible et celles-ci suivent une loi."153

Evoquant cette même question, le scientifique danois W. L. Johannsen a fait le commentaire suivant:

Les variations sur lesquelles insistent Darwin et Wallace ne peuvent pas être ramenées sélectivement au-delà d'un certain point, que cette variabilité ne comporte pas le secret du 'départ infini'.154

La résistance antibiotique et l'immunité DDT ne sont pas des preuves de la théorie de l'évolution

bakteri, antibiyotik

La résistance des bactéries aux antibiotiques, que les évolutionnistes tentent de présenter comme preuve de la théorie de l'évolution, n'est qu'une supercherie.

L'un des concepts biologiques que les évolutionnistes tentent de présenter comme preuve de leur théorie est la résistance des bactéries aux antibiotiques. Presque toutes les sources évolutionnistes présentent la résistance antibiotique comme "un exemple du développement des vivants par mutations avantageuses". La même chose est prétendue pour le cas des insectes qui développent une immunité aux insecticides tels que le DDT. Cependant, les évolutionnistes se trompent également à ce sujet.

Les antibiotiques sont des "molécules tueuses" qui sont produites par des micro-organismes pour combattre d'autres micro-organismes. Le premier antibiotique était la pénicilline, découverte par Alexander Fleming en 1928. Fleming s'était rendu compte que la moisissure produisait une molécule capable de tuer la bactérie staphylocoque. Cette découverte a été un événement majeur dans le monde médical. Les antibiotiques issus des micro-organismes étaient utilisés contre les bactéries et les résultats étaient très positifs.

Peu de temps après, une nouvelle découverte était réalisée. Les bactéries développent des immunités contre les antibiotiques avec le temps. Le mécanisme fonctionne de la manière suivante: une grande partie des bactéries qui sont exposées aux antibiotiques meurt, alors que les autres qui ne sont pas affectées par cet antibiotique, se reproduisent rapidement et forment très vite toute une population. Ainsi, toute la population devient immunisée contre les antibiotiques.

Les évolutionnistes tentent de présenter cela comme "l'évolution de la bactérie par l'adaptation aux conditions".

La vérité toutefois est très différente de cette interprétation superficielle. Le biophysicien israélien, Lee Spetner, également connu pour son ouvrage paru en 1997, Not By Chance, a effectué des recherches poussées sur la question. Spetner affirme que l'immunité de la bactérie résulte de deux mécanismes différents, sans qu'aucun d'eux ne constitue pour autant une preuve de la théorie de l'évolution. Ces mécanismes sont:

  1. Le transfert des gènes résistants déjà présents dans les bactéries.
  2. Le développement de résistance par les bactéries suite à la perte de données génétiques à cause de la mutation.

Dans un article paru en 2001, Spetner explique le premier mécanisme:

Certains micro-organismes possèdent des gènes qui fournissent une résistance à ces antibiotiques. Celle-ci peut prendre la forme d'une dégradation de la molécule antibiotique ou son éjection en dehors de la cellule... Les organismes qui sont dotés de ces gènes peuvent les transférer aux autres bactéries, rendant celles-ci résistantes également. Même si les mécanismes de résistance sont spécifiques à un antibiotique particulier, la majorité des bactéries pathogènes a... réussi à accumuler plusieurs ensembles de gènes qui lui offrent une résistance à une variété d'antiobiotiques..155

Spetner enchaîne et affirme que cela "ne prouve pas l'évolution":

Le développement de la résistance antibiotique de cette manière... n'est pas du genre qui peut servir de prototype aux mutations nécessaires pour expliquer l'évolution. Les changements génétiques qui peuvent illustrer la théorie doivent ajouter des informations non seulement au génome des bactéries, mais également à l'ordre biologique. Le transfert horizontal des gènes ne s'opère que sur les gènes qui existent déjà dans certaines espèces.156

Par conséquent, nous ne pouvons pas parler d'évolution dans ce cas. Car, il n'y a pas production de nouvelles informations génétiques: l'information génétique déjà existante est tout simplement transférée entre les bactéries.
La deuxième sorte d'immunité, celle qui résulte d'une mutation, n'est pas un exemple de l'évolution non plus. Spetner écrit à ce propos:

Un microorganisme peut parfois développer une résistance à un antibiotique à travers une substitution aléatoire d'un seul nucléotide... Streptomycine, qui fut découverte par Selman Waksman et Albert Schatz et présentée pour la première fois en 1944, est un antibiotique contre lequel la bactérie peut développer une résistance de cette manière. Cependant, même si la mutation qu'ils subissent au cours du processus est bénéfique aux micro-organismes en la présence de la streptomycine, elle ne peut pas servir de prototype pour le genre de mutations nécessaires à la théorie néo-darwinienne. Le genre de mutation qui offre la résistance à la streptomycine est manifeste dans le ribosome et entraîne des dégâts dans son harmonie moléculaire avec la molécule antibiotique. Ce changement au niveau de la surface du ribosome du micro-organisme empêche la molécule streptomycine d'adhérer et remplir sa fonction antibiotique. Il apparaît que cette dégradation est une perte de spécificité et par conséquent une perte d'informations..157

Pour résumer, une mutation qui affecte le ribosome de la bactérie rend celle-ci résistante à la streptomycine. La raison en est la "décomposition" du ribosome par mutation. Aucune information génétique n'est ajoutée à la bactérie. Au contraire, la structure du ribosome est décomposée; la bactérie est "désactivée". (De plus, il a été prouvé que le ribosome de la bactérie qui a subi la mutation est moins fonctionnel que celui d'une bactérie normale.) Puisque cet "handicap" empêche l'antibiotique conçu pour adhérer au ribosome, "la résistance antibiotique" se développe.
Enfin, il n'existe aucun exemple de mutation qui "développe l'information génétique".

Une situation similaire s'applique à l'immunité que les insectes développent à la DDT et aux insecticides similaires. Dans la majorité des cas, les gènes de l'immunité, qui existent déjà sont utilisés. Le biologiste évolutionniste, Fransisco Ayala, reconnaît ce fait lorsqu'il déclare que "les variantes génétiques nécessaires à la résistance à la majorité des pesticides étaient apparemment présentes dans chaque population exposée à ces composants fabriqués par l'homme".158 D'autres exemples expliqués par la mutation, à l'instar de la mutation du ribosome mentionnée précédemment, sont des phénomènes qui causent "un déficit dans l'information génétique" chez les insectes.

Dans ce cas, on ne peut pas prétendre que les mécanismes de l'immunité chez les bactéries et les insectes constituent une preuve justifiant la théorie de l'évolution. Car la théorie de l'évolution est basée sur l'affirmation que les vivants se développent à travers les mutations. Toutefois, Spetner explique que ni l'immunité antibiotique ni un quelconque phénomène biologique ne peuvent servir d'exemple à la mutation:

Les mutations nécessaires à la macro-évolution n'ont jamais été observées. Aucune mutation aléatoire, observée au niveau moléculaire, susceptible de représenter les mutations exigées par la théorie néo-darwinienne n'a jamais ajouté la moindre information. La question que je pose alors est la suivante: est-ce que les mutations qui ont été observées sont du genre que la théorie exige? Il semble que la réponse est NON!159

L'illusion des organes atrophiés

körelmiş organlar, göz

1. Eyelid
2. Pupil

3. Sclera
4. iris

Tous les exemples d'organes atrophiés ont été désapprouvés à travers le temps. Par exemple, le pli semi-circulaire de l'oeil, qui fut mentionné dans L'origine des espèces, en tant que structure atrophiée, a été prouvé totalement fonctionnelle de nos jours, même si cette fonction était inconnue à l'époque de Darwin. Cet organe lubrifie le globe oculaire.

Pendant longtemps, le concept "d'organes atrophiés" n'a cessé d'être présenté souvent dans les ouvrages des évolutionnistes sous l'apparence de "preuve" justifiant l'évolution. Plus tard, lorsqu'on a prouvé que ce concept était faux, il a été mis à l'écart. Ceci dit, certains évolutionnistes y croient toujours et de temps à autre quelqu'un parmi eux tente d'avancer ce concept comme une preuve importante.

La notion "d'organes atrophiés" a été introduite il y a environ un siècle. Comme le prétendaient les évolutionnistes, il existait dans le corps certains organes qui ne fonctionnaient pas. Ces organes étaient hérités des ancêtres et sont devenus progressivement atrophiés à force de ne pas être utilisés.

Cette hypothèse dans sa globalité n'est pas scientifique et est entièrement basée sur un manque de connaissance. Ces "organes atrophiés" étaient en réalité des organes "dont la fonction n'avait toujours pas été identifiée". La preuve en est la longue liste qui diminuait progressivement et que les évolutionnistes avaient établie de ces organes. S. R. Scadding, lui-même un évolutionniste, établissait ce fait dans son article "Est-ce que les organes atrophiés peuvent constituer une preuve pour l'évolution?" publié dans la revue Evolutionary Theory:

Puisqu'il est impossible d'identifier sans ambiguïté les structures inutiles et puisque la structure de l'argumentation utilisée n'est pas valide scientifiquement, j'en conclus que "les organes atrophiés" ne constituent pas une preuve pour la théorie de l'évolution.160

La liste de ces organes établie par l'anatomiste allemand R. Wiedersheim en 1895 comportait approximativement 100 organes y compris l'appendice et le coccyx. Grâce au progrès de la science, on a découvert que tous les organes inclus dans cette liste avaient d'importantes fonctions. Par exemple, on a découvert que l'appendice, qui était supposé être un organe atrophié, était en réalité un organe lymphoïde qui combattait les infections au sein du corps. Ce fait a été mis en évidence en 1997 :

D'autres organes et tissus du corps – le thymus, le foie, la bile, l'appendice, la moelle et la petite quantité de tissus lymphatiques comme les amygdales font partie du système lymphatique également. Ils aident également le corps à combattre les infections.161

On a également découvert que les amygdales, considérées également parmi les organes atrophiés, jouaient un rôle important dans la protection de la gorge contre les infections, en particulier jusqu'à l'adolescence. De plus, on a découvert que le coccyx soutient les os autour du pelvis et constitue le point de convergence de certains petits muscles. Quelques années par la suite, il a été prouvé que le thymus aide le système immunitaire dans le corps humain en activant les cellules T, que l'épiphyse est responsable de la sécrétion de certaines hormones très importantes, que la thyroïde contribue à la croissance constante des enfants et des nourrissons et que l'hypophyse contrôle le bon fonctionnement de plusieurs glandes hormonales. Tous ces organes étaient pendant un certain temps considérés "atrophiés". Le repli semi-lunaire dans l'œil que Darwin considérait comme un organe atrophié est responsable en réalité du nettoyage et de la lubrification de l'œil.

Il y avait une erreur de logique manifeste dans les propos des évolutionnistes au sujet des organes atrophiés. Comme nous venons de l'expliquer, les évolutionnistes prétendaient que les organes atrophiés étaient hérités des ancêtres. Toutefois, certains de ces organes n'ont pas été trouvés chez les prétendus ancêtres des êtres humains. Par exemple, l'appendice n'existe pas chez certaines espèces de singes qui sont considérées comme des ancêtres de l'homme. Le célèbre biologiste H. Enoch, qui contestait la théorie des organes atrophiés écrit à ce propos:

Les singes possèdent un appendice, alors que leurs parents immédiats, les singes inférieurs n'en ont pas. Mais cet organe réapparaît encore chez certains mammifères comme l'opossum. Comment les évolutionnistes peuvent-ils expliquer cela?162

Autrement dit, le scénario des organes atrophiés présenté par les évolutionnistes comporte un certain nombre de failles et il a été prouvé qu'il est scientifiquement faux. Il n'existe pas dans le corps d'organes atrophiés hérités d'autres ancêtres puisque les êtres humains n'ont pas évolué à partir d'autres êtres sous l'effet du hasard mais ils ont été créés dans leur forme actuelle, complète et parfaite.

Le mythe de l'homologie

Les similitudes structurelles qui existent entre les différentes espèces sont appelées "homologie" en biologie. Les évolutionnistes tentent de présenter ces similitudes comme preuves de l'évolution.

Darwin pensait que les créatures avec des organes similaires (homologues) partageaient une relation évolutive les unes avec les autres et que ces organes avaient sûrement été hérités d'un ancêtre commun. Selon son hypothèse, les pigeons et les aigles avaient des ailes. Donc, les pigeons, les aigles et tous les autres oiseaux munis d'ailes étaient supposés avoir évolué à partir d'un seul ancêtre commun.

kartal, kanatyarasa, kanatsinek, kanat

Hormis les oiseaux, nous trouvons des ailes chez les chauves-souris, qui sont des mammifères, chez les insectes. Les évolutionnistes n'énoncent pas la moindre relation ou lien de parenté entre ces catégories animales.

L'homologie est un argument trompeur avancé sur la base d'une preuve unique, en l'occurrence la ressemblance physique. Cet argument n'a jamais été vérifié par la moindre découverte concrète depuis l'époque de Darwin. Personne n'a jamais découvert dans une couche terrestre un fossile de cet ancêtre commun imaginaire des créatures dont les structures sont homologues. En outre, les questions suivantes nous démontrent clairement que l'homologie ne fournit pas la moindre preuve que l'évolution a réellement eu lieu.
1- La découverte d'organes homologues chez des créatures appartenant à des espèces complètement différentes, parmi lesquelles les évolutionnistes n'ont jamais réussi à établir la moindre relation évolutive;
2- Les codes génétiques de certaines créatures qui partagent des organes homologues sont complètement différents les uns des autres.
3- Le développement embryonnaire des organes homologues chez des créatures différentes est complètement différent.
Ces points méritent qu'on s'y attarde un instant.

Des organes similaires chez des espèces totalement différentes

Il existe un grand nombre d'organes homologues que partagent des espèces différentes et parmi lesquelles les évolutionnistes n'arrivent pas à établir une relation évolutive. Par exemple, les ailes; hormis les oiseaux, nous trouvons des ailes chez les chauves-souris, qui sont des mammifères, chez les insectes voire chez certains dinosaures, qui sont des reptiles éteints depuis longtemps. Les évolutionnistes n'énoncent pas la moindre relation ou lien de parenté entre ces quatre catégories animales.

De plus, il est étonnant de constater la ressemblance et la similitude structurelle observées dans les yeux des diverses créatures. Par exemple, la pieuvre et l'homme sont deux espèces extrêmement différentes et il est invraisemblable de parler d'une relation évolutive entre les deux. Ceci dit, les yeux sont similaires chez les deux espèces sur le plan de la structure et de la fonction. Les évolutionnistes ne prétendent pas pour autant que l'homme et la pieuvre descendent du même ancêtre alors qu'ils ont des yeux similaires. Plusieurs autres exemples confirment que l'hypothèse proposée par les évolutionnistes, en l'occurrence que les "organes homologues prouvent que les espèces vivantes ont évolué à partir d'un même ancêtre", n'a aucune base scientifique.

Mammal Twins That Defy Homology
Two Unrelated Extinct Mammals With Giant Teeth

Another example of extraordinary resemblance between placental and marsupial mammal "twins," is that between the extinct mammals Smilodon (1) and Thylacosmilus (2), both predators with enormous front teeth. The great degree of resemblance between the skull and teeth structures of these two mammals, between which no evolutionary relationship can be established, overturns the homological view that similar structures are evidence in favour of evolution.

smilodon, thylacosmilus
Tasmanian Wolf and Its North American Counterpart

The presence of "twin" species between marsupial and placental mammals deals a serious blow to the claim of homology. For example, the marsupial Tasmanian wolf and the placental wolf found in North America resemble each other to an extraordinary degree. On the Right can be seen the skulls of these two highly similar animals. Such a close resemblance between the two, which cannot be suggested to have any "evolutionary relationship", completely invalidates the claim of homology

tazmanya kurdu

1. North American wolf skull
2. Tasmanian wolf skull

kuzey amerikakurdu, tazmanya kurdu

A vrai dire, les organes homologues doivent davantage poser un problème pour les évolutionnistes. Les confessions de Frank Salisbury, le célèbre évolutionniste, ont révélé à quel point le fait que des espèces totalement différentes arrivent à avoir des yeux similaires constitue une impasse au concept de l'homologie.

Même quelque chose aussi complexe que l'œil est apparue à plusieurs reprises; par exemple chez les calamars, les vertébrés et les arthropodes. Il est assez problématique de justifier l'apparition de tels organes une fois, mais rien que de penser que cette hypothèse est reprise plusieurs fois selon la théorie synthétique me donne le vertige."

Even something as complex as the eye has appeared several times; for example, in the squid, the vertebrates, and the arthropods. It's bad enough accounting for the origin of such things once, but the thought of producing them several times according to the modern synthetic theory makes my head swim.163

insan gözü, renkli gözahtapot gözü, deniz canlıları

La pieuvre et l'homme sont deux espèces extrêmement différentes et il est invraisemblable de parler d'une relation évolutive entre les deux. Ceci dit, les yeux sont similaires chez les deux espèces sur le plan de la structure et de la fonction.

Il existe plusieurs créatures qui, malgré leur apparence similaire, ne peuvent prouver l'existence de relations évolutives. Deux taxa mammifères, placentaires et marsupiaux, en sont un exemple. Les évolutionnistes reconnaissent que ces groupes de mammifères se sont séparés lors de la période initiale et se sont par la suite développés indépendamment l'un de l'autre. Toutefois, il existe plusieurs créatures dont l'apparence est similaire à ces deux taxa, qui sont considérés totalement distincts. Les biologistes américains, Dean Kenyon et Percival Davis écrivent:

Selon la théorie de Darwin, le modèle des loups, des chats, des écureuils, des cochons, des taupes et des rats ont tous évolué à deux reprises: une fois chez les mammifères placentaires puis de manière indépendante chez les marsupiaux. Cela nous entraîne à dire que le processus aléatoire et incontrôlé de mutation et de sélection naturelle tombe sur des caractéristiques identiques plusieurs fois chez des organismes très éloignés les uns des autres.164

De telles similitudes extraordinaires, que les biologistes évolutionnistes n'arrivent pas à accepter comme des exemples "d'homologie", démontrent que des organes similaires ne constituent pas une preuve corroborant la thèse de l'ancêtre commun.

L'impasse embryonnaire et génétique de l'homologie

körelmiş organlar, göz

Le professeur Michael Denton: "L'évolution est une théorie en crise."

Pour que l'on puisse prendre au sérieux cette hypothèse évolutionniste de "l'homologie", des organes similaires (homologues) chez différentes créatures doivent également être codifiés avec des codes ADN similaires (homologues). Cependant, ce n'est pas le cas. Dans la majorité des cas, le code génétique est différent. De plus, les codes génétiques similaires de l'ADN chez des créatures différentes sont souvent associés à des organes complètement différents.
Dans son livre Evolution: A Theory in Crisis, Michael Denton, un professeur australien de biologie, décrit l'impasse génétique de l'interprétation que font les évolutionnistes de l'homologie:

Les structures homologues sont souvent spécifiées par des systèmes génétiques non-homologues et le concept d'homologie peut rarement être retracé en embryologie.165

Un célèbre exemple en est "l'homologie des cinq doigts" qu'on trouve presque dans tous les ouvrages évolutionnistes. Les tétrapodes, c'est-à-dire les vertébrés, ont cinq doigts et cinq orteils dans leurs pattes antérieures et postérieures. Même si des membres ne ressemblent pas toujours aux doigts et aux orteils tels qu'on les connaît, il n'en demeure pas moins qu'ils sont considérés pentadactyles à cause de leur structure osseuse. Les pattes antérieures et postérieures d'une grenouille, d'un lézard, d'un écureuil ou d'un singe sont ainsi. Les structures squelettiques des oiseaux et des chauves-souris sont conçues également de cette manière.

Les évolutionnistes ont prétendu que toutes ces créatures descendent du même ancêtre et cette idée a été rapportée par tous les ouvrages élémentaires de la biologie à travers le 20ème siècle comme étant une preuve irréfutable de l'évolution. Les découvertes génétiques durant les années 1980 ont réfuté cette hypothèse. En effet, il a été découvert que les modèles des membres pentadactyles des diverses créatures sont contrôlés par des gènes très différents. Le biologiste évolutionniste William Fix décrit l'effondrement de cette thèse évolutionniste en ces termes:

Les anciens ouvrages qui traitent de l'évolution évoquent souvent l'idée d'homologie, indiquant ainsi la ressemblance évidente entre les squelettes des membres des divers animaux. Ainsi, on trouve le modèle des membres "pentadactyles" dans les mains de l'homme, l'aile de l'oiseau, la nageoire d'une baleine, ce qui est revendiqué pour prouver l'origine commune de ces espèces. Alors, si ces diverses structures étaient transmises par le même ensemble de gènes, varié de temps à autre par un processus de mutation et subissant une sélection naturelle, la théorie serait alors logique. Malheureusement, c'est loin d'être le cas. Il n'a pas été démontré que les organes homologues sont produits par des ensembles génétiques différents chez différentes espèces. Le concept d'homologie en terme de gènes similaires transmis par un ancêtre commun s'est totalement effondré...166

De plus, afin que l'homologie évolutive puisse être considérée valable, le développement embryonnaire (les étapes de développement dans l'œuf ou dans l'utérus maternel) des espèces dont les organes sont homologues doit se ressembler. En réalité, le développement embryonnaire de tels organes est totalement différent chez chaque espèce vivante.

Pour conclure, il y a lieu de préciser que les recherches embryologiques et génétiques ont prouvé que le concept d'homologie défini par Darwin comme "preuve de l'évolution des vivants à partir d'un ancêtre commun" ne peut en aucun cas être considéré comme une preuve. Aussi, la science a-t-elle, à maintes reprises, prouvé que la thèse de Darwin était complètement fausse.

Parler d'homologie moléculaire n'est pas valable

L'hypothèse de l'homologie avancée par les évolutionnistes comme preuve de l'évolution n'est pas valable non seulement sur le plan des organes mais également sur le plan moléculaire. Les évolutionnistes prétendent que les codes ADN ou les structures protéines des diverses espèces sont similaires et que cette similitude prouve que ces espèces vivantes ont évolué à partir d'ancêtres communs ou les unes à partir des autres.

En réalité, toutefois, les résultats obtenus à la suite de comparaisons moléculaires ne corroborent absolument pas la théorie de l'évolution. Il existe d'énormes différences moléculaires entre des créatures qui en apparence sont très similaires et apparentées. Par exemple, la structure du cytochrome-C, l'une des protéines vitales à la respiration, est très différente chez les espèces vivantes de la même classe. Selon les recherches effectuées sur cette question, la différence entre deux espèces différentes de reptiles est plus grande que celle qui existe entre un oiseau et un poisson ou un poisson et un mammifère. Une autre étude a démontré que les différences moléculaires entre certains oiseaux étaient plus grandes que celles entre ces oiseaux et les mammifères. On a également découvert que la différence moléculaire entre les bactéries qui semblent être semblables est plus grande que la différence entre les mammifères et les amphibiens ou les insectes.167 Des comparaisons similaires avec les mêmes résultats ont été effectuées sur l'hémoglobine, la myoglobine et les gènes.168

Voici le commentaire du Dr Michael Denton concernant ces découvertes ainsi que d'autres en rapport avec celles-ci:

Au niveau moléculaire, chaque catégorie est unique, isolée et non liée par des intermédiaires. Tout comme les fossiles, les molécules n'ont pas réussi à fournir les intermédiaires manquants si longtemps recherchés par la biologie évolutionniste... Au niveau moléculaire, aucun organisme n'est considéré "ancestral", "primitif" ou "avancé" en comparaison avec d'autres organismes de la même espèce... Il n'y a presque pas de doute que si cette preuve moléculaire avait été disponible il y a un siècle... l'idée de l'évolution organique n'aurait peut-être jamais été acceptée.169

"L'effondrement de "l'arbre de la vie"

Dans les années 90, les avancées de la recherche sur le code génétique des êtres humains ont encore mis la théorie de l'évolution dans l'embarras. Lors de ces expériences, au lieu de comparer les séquences de protéines comme cela a été fait auparavant, on a comparé les séquences de l'ARN ribosomal (ARNr) et, en dernier lieu, on a essayé d'établir l'"arbre de l'évolution".

Cependant, les évolutionnistes ont été déçus par leurs découvertes. Selon les biologistes français, Hervé Philippe et Patrick Forterre, "avec un nombre croissant de séquences disponibles, la plupart des phylogénies protéiques se contredisent entre elles et contredisent l'arbre de l'évolution".170

Les comparaisons d'ARNr ont été complétées par des comparaisons de codes ADN d'êtres vivants, mais les résultats ont contredit l'"arbre de vie" établi par les évolutionnistes. James Lake, Ravi Jain et Maria Rivera, trois biologistes moléculaires, ont traité ce sujet dans un article publié en 1999:

Les scientifiques ont commencé à analyser une variété de gènes de différents organismes et ont conclu que les relations entre ceux-ci réfutaient l'arbre de vie obtenu uniquement grâce à l'analyse d'ARNr.171

Aucune comparaison de protéines, d'ARNr ni comparaison génétique ne confirme les hypothèses de la théorie de l'évolution. Carl Woese, un biologiste réputé de l'Université de l'Illinois, déclare ce qui suit:

Aucune phylogénie cohérente n'a été obtenue à partir des nombreuses phylogénies protéiques indépendantes produites à ce jour. Les incongruités phylogénétiques peuvent être observées partout dans l'arbre universel, des racines aux branches principales, au sein et parmi les divers (groupes) en allant même jusqu'à la formation des groupements primaires.172

Le fait que les résultats des comparaisons moléculaires ne soient pas favorables, mais plutôt contraires à la théorie de l'évolution est aussi admis dans l'article intitulé "Is it Time to Uproot the Tree of Life?" publié dans le magazine Science en 1999. Dans cet article, Elizabet Pennisi établit que les analyses génétiques et les comparaisons menées par les biologistes darwinistes afin d'éclaircir l'"arbre de vie" ont donné lieu à des résultats complètement opposés et affirme que "des nouvelles données brouillent le paysage évolutionniste":

Il y a un an, des biologistes qui étudiaient les génomes récemment séquencés de plus d'une douzaine de micro-organismes ont pensé que ces données pouvaient contribuer à corroborer les thèses de l'histoire ancienne de la vie. Cependant leurs découvertes les ont troublés. Les comparaisons des génomes disponibles non seulement n'éclaircissaient pas la manière dont s'était effectuée l'évolution des principaux groupements de la vie, mais brouillaient davantage les pistes. Actuellement, en disposant de huit séquences microbiennes additionnelles, la situation est devenue encore plus confuse. Un grand nombre de biologistes évolutionnistes ont pensé qu'ils commençaient à apercevoir le tout début des royaumes de l'arbre de vie... Lorsque les séquences complètes d'ADN ont permis de comparer d'autres sortes de gènes, les chercheurs se sont attendus tout simplement à ajouter des détails à cet arbre. Mais "jamais la vérité ne semblait si éloignée" déclare Claire Fraser, directeur de The Institute for Genomic Research (TIGR) situé à Rockville dans l'état de Maryland aux Etats-Unis. Au contraire, les comparaisons ont apporté de nombreuses versions de l'arbre de vie qui diffèrent de l'arbre d'ARNr et qui se contredisent entre elles également..173

A mesure qu'on avance dans la recherche, le concept d'homologie perd sa place. Les comparaisons de protéines, d'ARNr et de gènes révèlent que des créatures présumées être des parents proches selon la théorie de l'évolution sont en fait complètement différentes les unes des autres. Une étude de 1996 employant 88 séquences de protéines a mis ensemble les lapins avec les primates au lieu de les classer avec les rongeurs. En 1998, l'analyse de 13 gènes chez 19 espèces d'animaux a classé les oursins de mer parmi les cordés; une autre étude de 1998 basée sur 12 protéines établissait que les vaches étaient plus proches des baleines que des chevaux. Le biologiste moléculaire, Jonathan Wells résume la situation ainsi:

Les incohérences des arbres basés sur les différentes molécules et les étranges arbres obtenus en réalisant certaines analyses moléculaires, ont conduit la phylogénie moléculaire à une crise.174

Le mythe de la récapitulation embryologique

körelmiş organlar, göz

Haeckel était un évolutionniste encore plus fervent que Darwin sous plusieurs aspects. C'est pour cette raison qu'il n'a pas hésité à falsifier les données scientifiques et à établir de nombreuses contrefaçons.

Depuis longtemps on a cessé de parler de la "théorie de la récapitulation" dans les ouvrages scientifiques, mais cette théorie est toujours présentée comme une réalité scientifique par certaines publications évolutionnistes. Le terme "récapitulation" est un condensé de l'affirmation l'"ontogénie récapitule la phylogénie" mise en avant par le biologiste évolutionniste, Ernst Haecker à la fin du 19ème siècle.

La théorie énoncée par Haeckel prône que les embryons vivants traversent le même processus évolutif que leurs pseudo-ancêtres. Il a déclaré que pendant le développement dans l'utérus de la mère, l'embryon humain a d'abord eu les caractéristiques d'un poisson, puis d'un reptile, et finalement celles d'un humain.

Depuis, cette théorie s'est avérée complètement fausse. Il est actuellement connu que les "branchies" qui sont supposées apparaître pendant les premières étapes de l'embryon humain sont en fait les phases initiales du développement du canal de l'oreille moyenne, des glandes parathyroïdes et du thymus. La partie de l'embryon similaire à la "poche du jaune d'œuf" est en fait une poche qui produit le sang pour le nourrisson. La partie identifiée comme une "queue" par Haeckel et ses acolytes est l'épine dorsale, qui ressemble à une queue du fait qu'elle prend forme avant les jambes.

Les Embryons Humains N'ont Pas De Fente Auditive
embryo_drawing

Définis auparavant comme un héritage ancestral, les plis dans les embryons humains sont de nos jours redéfinis. Il a été prouvé que les embryons ne récapitulent pas l'histoire évolutionniste de l'homme.

fake_embryo_drawings

A. Adulterated drawing
B. Accurate drawing

1. Bag

2. eye
3. teeth
4. heart
5. arm

6. spine
7. yolk sac
8. leg
9. umbilical cord

Les faits énoncés sont tous reconnus dans l'univers scientifique et acceptés même par les scientifiques évolutionnistes. George Gaylord Simpson, l'un des fondateurs du néo-darwinisme, écrit:

Haeckel a mal énoncé le principe évolutif concerné. L'ontogénie ne se répète pas dans la phylogénie..175

Dans un article publié dans American Scientist, nous pouvons lire:

Sans doute la loi biogénétique est totalement désuète. Elle a fini par être éliminée des livres de biologie dans les années cinquante. En tant que sujet sérieux de recherche scientifique, elle a été dépassée dans les années vingt...176

Ernst Haeckel lui-même constitue un autre aspect intéressant de la récapitulation, un charlatan qui a falsifié ses dessins pour soutenir la théorie qu'il revendiquait. Les inventions de Haeckel ont prétendument démontré la ressemblance entre les poissons et les embryons humains. Lorsqu'il a été démasqué, sa seule défense a consisté à maintenir que d'autres évolutionnistes avaient fait la même chose auparavant:

Suite à cette confession compromettante de "falsification", je serais obligé de me considérer comme condamné et annihilé si je n'avais pas la consolation de voir au rang des prisonniers des centaines de confrères parmi lesquels figurent les observateurs les plus fiables et les biologistes les plus réputés. La plupart des diagrammes des meilleurs ouvrages, traités et périodiques de biologie pourraient être accusés à ce titre de "falsification", car ils sont tous inexacts et ont été plus ou moins fabriqués, schématisés et élaborés.177

Il y a, en fait, des "centaines de confrères parmi lesquels figurent les observateurs les plus fiables et les biologistes les plus réputés" dont les études sont pleines de préjudices, de distorsions et même d'inventions. Cela est dû au fait qu'ils se sont tous conditionnés pour faire prédominer la théorie de l'évolution, même si aucune preuve scientifique ne corrobore cette théorie.

 

References

150. Loren C. Eiseley, The Immense Journey, Vintage Books, 1958, p. 186.

151. Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 184.

152. Norman Macbeth, Darwin Retried: An Appeal to Reason, Harvard Common Press, New York: 1971, p. 33.

153. Ibid, p. 36.

154. Loren Eiseley, The Immense Journey, Vintage Books, 1958. p. 227.

155. Dr. Lee Spetner, "Lee Spetner/Edward Max Dialogue: Continuing an exchange with Dr. Edward E. Max", 2001,

. http://www.trueorigin.org/spetner2.asp

156. Ibid.

157. Ibid.

158. Francisco J. Ayala, "The Mechanisms of Evolution", Scientific American, vol. 239, septembre 1978, p. 64.

159. Dr. Lee Spetner, "Lee Spetner/Edward Max Dialogue: Continuing an exchange with Dr. Edward E. Max", 2001, http://www.trueorigin.org/spetner2.asp

160. S. R. Scadding, "Do 'Vestigial Organs' Provide Evidence for Evolution?", Evolutionary Theory, vol. 5, mai 1981, p. 173.

161. The Merck Manual of Medical Information, Home edition, New Jersey: Merck & Co., Inc. The Merck Publishing Group, Rahway, 1997.

162. H. Enoch, Creation and Evolution, New York: 1966, pp. 18-19.

163. Frank Salisbury, "Doubts About the Modern Synthetic Theory of Evolution", American Biology Teacher, septembre 1971, p. 338.

164. Dean Kenyon & Percival Davis, Of Pandas and People: The Central Question of Biological Origins (Dallas: Haughton Publishing, 1993), p. 33.

165. Michael Denton, Evolution: A Theory in Crisis, London, Burnett Books, 1985, p. 145.

166. Fix, William, The Bone Peddlers: Selling Evolution (New York: Macmillan Publishing Co., 1984), p. 189.

167. W. R. Bird, The Origin of Species Revisited, Thomas Nelson Co., Nashville: 1991, pp. 98-99; Percival Davis, Dean Kenyon, Of Pandas and People, Haughton Publishing Co., 1990, pp. 35-38.

168. W. R. Bird, The Origin of Species Revisited, pp. 98-99, 199-202.

169. Michael Denton, Evolution: A Theory in Crisis, London: Burnett Books, 1985, pp. 290-91.

170. Hervé Philippe and Patrick Forterre, "The Rooting of the Universal Tree of Life is Not Reliable", Journal of Molecular Evolution, vol. 49, 1999, p. 510.

171. James Lake, Ravi Jain ve Maria Rivera, "Mix and Match in the Tree of Life", Science, vol. 283, 1999, p. 2027.

172. Carl Woese, "The Universel Ancestor", Proceedings of the National Academy of Sciences, USA, 95, (1998) p. 6854.

173. Ibid.

174. Jonathan Wells, Icons of Evolution, Regnery Publishing, 2000, p. 51.

175. G. G. Simpson, W. Beck, An Introduction to Biology, New York, Harcourt Brace and World, 1965, p. 241.

176. Keith S. Thompson, "Ontogeny and Phylogeny Recapitulated", American Scientist, vol. 76, mai-juin 1988, p. 273.

177. Francis Hitching, The Neck of the Giraffe: Where Darwin Went Wrong, New York: Ticknor and Fields 1982, p. 204.

 

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