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FAUX |
NEBRASKA MAN Les darwinistes sont allés encore plus loin en dépeignant l'entité fictive qu'ils ont nommé l'homme de Nebraska, sur la base d'une seule dent de porc, accompagné de sa famille. |
Le sujet de l'évolution humaine est d'une importance vitale pour les darwinistes. L'idée avec laquelle ils ont essayé d'endoctriner les gens pendant des années est le mensonge que l'homme est un soi-disant animal évolué. Ils s'efforcent de tout leur pouvoir de maintenir ce mensonge, et tentent d'inculquer l'idée que les êtres humains ont des soi-disant ancêtres animaux, même dans les sujets sans rapport. Les tromperies auxquelles ils recourent à ce sujet sont à couper le souffle. Même les fossiles qui n'ont aucun rapport sont présentés de telle manière à suggérer que ce sont des êtres humains. A tel point que les darwinistes ont produit l'homme de Nebraska à partir d'un seul fossile de dent, qui plus tard s'est révélé appartenir à un cochon sauvage, et ils n'ont pas hésité à dépeindre toute la vie sociale de cette entité ensemble avec sa famille et sa communauté. L'un des exemples les plus significatifs de ces étonnants efforts est leur affirmation de longue date que l'australopithèque est le soi-disant ancêtre simiesque de l'homme.
L'australopithèque est une espèce de singe éteinte. Le nom signifie "singe du sud", et les darwinistes cherchent à le dépeindre comme le premier ancêtre simiesque de l'homme. Comme avec tous les autres exemples, puisque cette espèce de singe est éteinte, les évolutionnistes l'ont utilisé comme outil de spéculation. Mais comme avec tous les autres exemples, les scénarios que les darwinistes produisent concernant l'australopithèque sont encore basés sur la tromperie.
On pense que l'australopithèque est tout d'abord apparu en Afrique quatre millions d'années auparavant et a survécu jusqu'à un million d'années. Le fait qu'il faut absolument préciser ici, c'est que tous les australopithécinés sont des singes disparus qui ressemblent à leurs homologues modernes. Ils ont tous le même ou un plus petit volume de cerveau que celui des chimpanzés d'aujourd'hui. Ils marchaient à quatre pattes. Comme les singes d'aujourd'hui qui avaient des saillies osseuses qui les ont aidés à grimper aux arbres, et leurs pieds étaient préhensiles pour leur permettre de s'accrocher à des branches. Ils étaient de petite taille (maximum 130 cm) et, tout comme les grands singes d'aujourd'hui, les australopithèques mâles étaient beaucoup plus grands que la femelle. Des centaines de détails dans leurs crânes, et les caractéristiques telles que leurs yeux rapprochés, leurs molaires pointues, la structure de leur mâchoire, leurs longs bras et leurs jambes courtes sont autant de preuves montrant qu'ils n'étaient pas différents des singes d'aujourd'hui.
L'australopithèque – la ressemblance à un chimpanzé | |
1. Chimpanzés | 2. Australopithèques |
La similitude entre les australopithèques et les crânes de chimpanzés indique que l'australopithèque est une espèce de véritables singes, plutôt qu'ancêtre de l'homme. |
Bien que les australopithécinés fussent évidemment tous des espèces de grands singes, les darwinistes les décrivent comme des formes de vie qui ont réussi à marcher sur deux jambes. Il s'agit d'une tromperie flagrante, parce que pas un seul des fossiles d'australopithèques découverts à ce jour ne confirme ce scénario. Le scénario de l'évolution de ces entités n'est donc basé sur aucune preuve scientifique.
D'après les darwinistes, bien qu'il y ait diverses espèces de la famille des australopithèques, seul l'Australopithecus afarensis (les espèces représentées par "Lucy", qui a été dépeinte dans le monde entier comme une preuve de la soi-disant évolution humaine lorsqu'elle a été découverte en 1974) est considéré comme un ancêtre direct de l'homme. Cependant, même les darwinistes ont admis que la créature en question ne pouvait pas être avancée comme l'ancêtre des humains. La revue française darwiniste Science et Vie a utilisé le sujet comme couverture dans son numéro de mai 1999. Sous la rubrique "Adieu Lucy", le magazine a discuté de Lucy, considérée comme le plus important spécimen fossile de l'espèce d'Australopithecus afarensis, et ils ont dit que les singes australopithèques n'étaient pas les précurseurs des êtres humains et qu'ils devaient être retirés de l'arbre généalogique.67
Le magazine darwiniste Science et Vie a utilisé le titre "Adieu Lucy" dans un aveu sur le fait que les australopithécinés ne pouvaient pas être les ancêtres de l'homme. |
Le célèbre paléontologue Richard Leakey affirme aussi que Lucy n'a aucune validité évolutive: il est extrêmement probable que Lucy (l'Australophitecus afarensis) n'ait été rien de plus qu'une variété de chimpanzé pygmée. La preuve de la prétendue transformation du singe à l'homme est extrêmement convaincante.68
En outre, à la suite de ses recherches sur les australopithécinés, l'évolutionniste Lord Zuckerman a également conclu qu'il s'agissait d'une espèce de singe ordinaire et qu'il ne marchait très certainement pas debout.69
Charles E. Oxnard, autre évolutionniste et anatomiste bien connu pour ses recherches sur le sujet, a déclaré que la structure squelettique des australopithécinés ressemblait à celle des orang-outans d'aujourd'hui.70
Bu konudaki araştırmalarıyla ünlü diğer evrimci anatomist Charles E. Oxnard da Australopithecusların iskelet yapılarının günümüz orangutanlarınınkine benzediği açıklamasını yapmıştır.
En 1994, Fred Spoor et son équipe de l'Université de Liverpool en Grande-Bretagne ont mené une étude approfondie pour en arriver à une conclusion définitive concernant le squelette de l'australopithèque. Un organe du squelette appelé "cochlée", qui détermine la position du corps par rapport au sol, a été étudié. La conclusion de Spoor était que l'australopithèque ne marchait pas d'une manière bipédale semblable à celle des êtres humains.71
Une autre étude réalisée en 2000 par les scientifiques B.G Richmond et D.S Strait, publiée dans le magazine Nature, a examiné les avant-bras de l'australopithèque. Leur recherche comparative anatomique a montré que l'espèce avait la même structure des avant-bras que celle des singes actuels qui marchent sur quatre pattes.72
Toutes ces preuves révèlent que les australopithécinés n'étaient rien de plus que des espèces de singes. En effet, les anthropologues évolutionnistes qui ont découvert Lucy, Donald Johanson et T. D. White, ont publié la déclaration suivante dans la revue Science:
Les fossiles de l'australopithecus ont été étudiés en détail et avec soin: leur façon de marcher, la structure de l'oreille, l'exemple de développement des dents, leurs longs et puissants avant-bras, leurs courtes pattes arrière, la structure de leurs pieds, leurs petits cerveaux, et les crânes, mâchoires et visages très simiesques. Ceux-ci prouvent que l'australopithèque était un singe et qu'il n'a aucun rapport avec l'homme. Donald Johanson lui-même, le découvreur de Lucy, a conclu plus tard que l'Australophitecus africanus (Lucy) n'avait pas du tout de rapport avec les hommes.73
En résumé, la recherche scientifique a réfuté toutes les affirmations suggérant que les australopithécinés étaient les précurseurs des êtres humains. C'étaient tous des espèces de singes, et les assimiler à des êtres humains est un scenario utilisé par les darwinistes dans l'intérêt de leurs théories fictives et fausses.
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Pendant des années, les Néandertaliens ont été présentés dans de fausses illustrations comme des soi-disant hommes-singes primitifs. Mais la science a montré que les Néandertaliens sont une race d'homme éteinte, et essentiellement non différente des personnes vivant aujourd'hui. |
Comme ils l'avaient fait pour l'australopithèque, les darwinistes ont employé la même technique pour les Néandertaliens, une race humaine disparue.
L'homme de Neandertal est entré dans la littérature scientifique par la découverte de fossiles dans la vallée de Neander près de la ville allemande de Düsseldorf en 1856. Les courbures dans son crâne et dans les os ont été considérées par les évolutionnistes comme une soi-disant espèce primitive.
En 1908, un squelette presque entier décrit comme appartenant à l'homme de Neandertal a été trouvé dans la région française de La Chapelle-aux-Saints. Les ossements ont été réassemblés par le célèbre paléontologue et géologue de l'époque, Marcellin Boule.
L'homme de Neandertal issu de ce nouveau réassemblage avait une posture voûtée et un crâne protubérant. Ses jambes étaient également bloquées au niveau des articulations, ce qui signifie qu'il n'avait pas de posture parfaitement verticale.
Par cette apparence, on a donné l'impression aux gens que l'homme de Neandertal était un être primitif. Les Néandertaliens ont également été décrits comme des hommes-singes dans les illustrations fictives.
Cette fausse impression de l'homme de Neandertal a duré 100 ans. Mais l'analyse du squelette de La Chapelle dans les années 1950 a déterminé que l'homme de Neandertal à qui il a appartenu, avait une sorte d'infection de l'articulation. Les personnes en bonne santé étaient en effet capables de marcher comme des êtres humains.
En 1985, le même squelette a été examiné par l'anthropologue Erik Trinkhaus. Cet examen a confirmé que les Néandertaliens marchaient debout et a révélé un autre fait qui était jusqu'alors resté caché: Marcellin Boule avait délibérément dépeint Neandertal comme étant courbé.74 Le trouble de l'articulation identifié dans les années 1950 n'était pas un obstacle à la marche individuelle debout. Il semble que le darwiniste Boule ne voulait pas admettre que l'homme de Neandertal marchait comme un être humain normal…
E. Trinkaus et W. W. Howells ont fait cette déclaration suivante dans le magazine Scientific American:
Aujourd'hui, la plupart des scientifiques s'accordent sur le fait que l'homme de Neandertal se tenait parfaitement debout et qu'en l'absence de maladie, ses caractéristiques ne sont pas différentes de celles des hommes modernes.75
Pendant ce temps, la taille du crâne du Neandertal a également forcé les évolutionnistes dans la contradiction. La raison en est que les Néandertaliens avaient un volume de crâne d'environ 1700 cm3, ce qui est 200 cm3 de plus que le volume de celui des êtres humains d'aujourd'hui. Le fait que les Néandertaliens, une espèce soi-disant "primitive" a eu un plus grand volume de cerveau que l'Homo sapiens a représenté une énorme contradiction de la théorie de l'évolution.
L'expert en l'homme de Neandertal, Erik Trinkhaus admet:
Les comparaisons détaillées des restes de squelettes de Neandertal avec ceux des humains modernes, ont montré qu'il n'y a rien dans l'anatomie du Neandertal qui indique de façon concluante des capacités locomotrices, manipulatrices, intellectuelles ou linguistiques inférieures à celles de l'homme moderne.76
Les Néandertaliens: Des crânes humains trapus | |
1. L'Homo Sapiens Neanderthalensis, Crâne Amud 1
| 2. Restes Néandertaliens |
Ci-dessus, le crâne Amud 1 du Homo sapiens neanderthalensis découvert en Israël. On estime qu'il avait 1,80 m de taille. La capacité crânienne est la plus importante découverte à ce jour: 1740ccs. Ce fossile réfute donc explicitement les affirmations à l'effet que les hommes de Néandertal étaient une espèce primitive. Le fossile de Kébara 2 (Moshe) sur le côté sont les restes néandertaliens les mieux conservés à ce jour. Il est impossible de distinguer la structure du squelette de ce fossile de 1,70 m de hauteur de celle de l'homme moderne. Il ressort des restes d'outils découverts en même temps que le fossile, que la société à laquelle appartenait cet individu, partageait la même culture que les communautés Homo sapiens modernes. | |
1. Aiguille à Coudre | 2. Sifflet |
Pendant des années, les darwinistes ont dépeint les Néandertaliens comme les ancêtres singes de l'homme. Pourtant, ces outils de l'époque montrent que les Néandertaliens avaient la même conception de l'art et de la beauté que l'homme moderne. Les Néandertaliens sont tout simplement une race éteinte d'êtres humains. La seule raison de ces efforts pour les utiliser comme preuve est le fait qu'ils sont éteints. |
Il ne fait aucun doute que les Néandertaliens étaient une race humaine qui possédait les mêmes caractéristiques que les races de nos jours. L'homme de Neandertal était un fabricant d'outils talentueux et un chasseur habile. Il s'est même engagé dans la musique et l'art. Ils avaient une structure culturelle et sociale, tout comme les sociétés d'aujourd'hui, et avaient des croyances religieuses.77 La civilisation créée par l'homme de Neandertal n'était donc pas différente des civilisations d'aujourd'hui.
Autre question concernant les Néandertaliens qui représente un dilemme insurmontable pour les darwinistes est le problème de datation. Les fossiles découverts montrent que les Néandertaliens vivaient à la même époque que l'homme moderne et que, dans certaines circonstances, ils ont vécu même plus tard. Le biologiste évolutionniste Francisco J. Ayala de l'Université de Californie admet:
Il y a quelques années, on pensait qu'ils [les Néandertaliens] étaient anatomiquement ancestraux aux êtres humains modernes, mais maintenant nous savons que l'homme moderne est apparu il y a au moins 100.000 ans, bien avant la disparition de l'homme de Neandertal. En outre, dans les grottes du Moyen-Orient, les fossiles d'hommes modernes ont été trouvés datant de 120.000 – 100.000 ans, ainsi que des Néandertaliens datant de 60.000 et 70.000 années, suivis encore d'hommes modernes datés de 40.000 ans. On ne sait pas si les deux formes ont plusieurs fois remplacé l'un l'autre par la migration d'autres régions, ou si elles ont coexisté dans certaines régions.78
Les Néandertaliens, proposés comme soi-disant ancêtres simiesques de l'homme, sont donc en réalité, une race humaine disparue. De la même manière que les humains modernes possèdent des caractéristiques différentes propres à leurs propres races, ainsi les Néandertaliens avaient aussi leurs propres caractéristiques. Par conséquent, c'est une tromperie importante de les utiliser comme preuve de l'évolution. En effet, les fossiles de Neandertal ont été retirés de la littérature scientifique en 1978. Mais les Néandertaliens apparaissent toujours dans les références darwinistes comme s'ils représentaient une importante preuve de l'évolution.
L'objectif derrière les spéculations sur l'homme de Neandertal qui se poursuivent toujours dans certaines publications évolutionnistes, est d'influencer et de tromper les gens qui ne connaissent pas la vérité sur l'homme de Neandertal, et qui ne savent pas qu'il s'agit de "formes de transition" qui ont été scientifiquement discréditées. Il est donc de la plus haute importance de mettre en évidence les faits réels sur les australopithèqueset les Néandertaliens, et de mettre un terme à cette tromperie darwiniste.
En 1912, Charles Dawson, un médecin connu et aussi paléontologue amateur, a prétendu avoir trouvé un os de mâchoire et un fragment de crâne dans une fosse près de Piltdown, en Angleterre. Bien que l'os de la mâchoire ressemblât à une mâchoire de singe, les dents et le crâne ressemblaient à ceux d'un être humain. Les fossiles ont reçu le nom d'"homme de Piltdown", daté de 500.000 ans, et exposé au British Museum comme la preuve la plus significative de la soi-disant évolution humaine. Un grand nombre d'articles scientifiques, d'analyses et d'illustrations ont été réalisés au cours des 40 années suivantes. Quelque 500 chercheurs de différentes universités ont écrit des thèses de doctorat sur l'homme de Piltdown.79
1. Le faux crâne de l'homme de Piltdown |
L'homme de Piltdown est un célèbre canular, assemblé par l'ajout d'un crâne humain à la mâchoire d'un orang-outan, récemment décédé. Ce faux fossile a été exposé pendant 40 ans dans le British Museum, comme preuve supposée de l'évolution de l'homme. Lorsque la fraude a été exposée, en 1949, il fut rapidement retiré du musée et de la littérature scientifique. Cependant, ce fossile a été immortalisé dans les livres d'histoire en tant que source de honte énorme pour les darwinistes. |
Lors d'une visite au British Museum en 1935, le célèbre paléoanthropologue américain H. F. Osborn a dit: "… La nature est pleine de paradoxes… une découverte d'une importance transcendante à la préhistoire de l'homme".80
Mais l'homme de Piltdown était une énorme fraude, une supercherie délibérément fabriquée.
En 1949, Kenneth Oakley du Département de Paléontologie du British Museum a demandé l'autorisation d'utiliser le "test du fluorure" nouvellement mis au point sur un certain nombre d'anciens fossiles. Le fossile de l'homme de Piltdown a été dûment testé en utilisant la technique. Le test a révélé qu'il n'y avait pas de fluorure dans l'os de la mâchoire de l'homme de Piltdown. Cela signifiait que l'os de la mâchoire n'était pas resté pas plus de quelques années sous terre. Le crâne lui-même contenait une petite quantité de fluorure et devait être de quelques milliers d'années.
Les recherches subséquentes chronologiques basées sur la technique du fluorure ont révélé que le crâne n'avait pas plus de quelques milliers d'années. Il a également été constaté que les dents de la mâchoire avaient été artificiellement usées et que les outils primitifs trouvés à côté des fossiles étaient des copies taillées à l'aide d'un équipement en acier.81 Les analyses détaillées de Joseph Weiner, professeur d'anthropologie physique d'Oxford, ont confirmé cette fraude en 1953. Le crâne était humain et d'environ 500 ans, tandis que l'os de la mâchoire appartenait à un orang-outan mort récemment! Les dents ont été ajoutées et ensuite ajustées pour donner l'impression d'un être humain, et les points d'insertion ont été rabotés. Tous les fragments ont ensuite été tachés avec du bichromate de potassium pour donner un aspect vieilli. Ces taches ont disparu quand les os ont été placés dans de l'acide. Le Gros Clark, de l'équipe qui a exposé l'imposture, n'a pu cacher son étonnement et a dit: "Les preuves de l'abrasion artificielle sautaient en fait immédiatement aux yeux, aussi qu'il semble bien qu'on peut se demander – comment se fait-il qu'elles ont échappé à notre attention auparavant?"82
L'écrivain de science Hank Hanegraaff a fait mention de cette situation étonnante comme suit: "… comme Marvin Lubenov l'explique, 'les marques de lime sur les dents de la mâchoire inférieure de l'orang-outan étaient clairement visibles. Les molaires étaient mal alignées et déposées sous deux angles différents. La canine avait été placée si bas que la cavité pulpaire avait été exposée et ensuite bouchée'".83
Le biologiste évolutionniste Keith Steward Thomson a fait ce commentaire à propos du mensonge de l'homme de Piltdown: "La falsification de l'homme de Piltdown de 1912 était l'une des fraudes scientifiques les plus réussies et les plus mauvaises".84
Suite à cette étonnante et, pour les darwinistes, embarrassante découverte, l'homme de Piltdown a été rapidement retiré du British Museum où il avait été exposé pendant 40 ans. La tromperie darwiniste était si énorme qu'un fossile fabriqué à la main avait dupé tout le monde scientifique et toute l'humanité pendant 40 ans. Cela aurait inévitablement valu comme l'une des marques les plus sombres de l'histoire de l'évolution. Le professeur d'anthropologie Pat Shipman a décrit l'impact de cette fraude: "les fossiles de Piltdown, dont la découverte a été d'abord été annoncée la première fois en 1912, a dupé la plupart des grands cerveaux de la paléoanthropologie jusqu'en 1953, quand les restes se sont révélés être plantés, modifiés – une falsification".85
Le journaliste, écrivain et philosophe, Malcolm Muggeridge, a décrit la situation dans laquelle le darwinisme, soutenu par des impostures comme l'homme de Piltdown, avait placé toute l'humanité de la manière suivante: "Je suis moi-même convaincu que la théorie de l'évolution, en particulier dans la mesure où elle a été appliquée, sera l'une des plus grandes blagues dans les livres d'histoire à l'avenir. La postérité s'étonnera tellement qu'une hypothèse très faible et douteuse ait pu être acceptée avec la crédulité incroyable qu'elle a eu".86
L'imposture de Piltdown commise, au moins aux yeux des auteurs, pour éliminer la foi en la création et convaincre les gens du mensonge que les êtres humains sont apparus spontanément et sans responsabilités, est en fait un stratagème de la franc-maçonnerie athée, qui est le système de l'Antéchrist. Mais la création glorieuse d'Allah et les œuvres incomparables sont tellement apparentes et manifestes qu'avec la science d'aujourd'hui, qu'il n'y a pas d'endroit où ils ne peuvent pas être vus. Ces vaines tentatives dans le monde entier de la part de l'Antéchrist humilient seulement, lui et ses disciples, et révèlent clairement l'échec du mensonge du darwinisme. Allah, notre Seigneur Tout-Puissant, nous a dit dans de nombreux versets du Coran, comment Il a créé les êtres humains, et que chaque élément de preuve dans l'univers révèle clairement cette sublime création:
Qui a bien fait tout ce qu'Il a créé. Et Il a commencé la création de l'homme à partir de l'argile, puis Il tira sa descendance d'une goutte d'eau vile [le sperme]; puis Il lui donna sa forme parfaite et lui insuffla de Son Esprit. Et Il vous a assigné l'ouïe, les yeux et le cœur. Que vous êtes peu reconnaissants ! (Sourate as-Sajda, 7-9)
En 1922, Henry Fairfield Osborn, le directeur du Musée américain d'histoire naturelle, a annoncé qu'il avait découvert un fossile de dent molaire du pliocène près de Snake Valley, dans l'ouest du Nebraska. On a affirmé que cette dent portait des caractéristiques communes aux singes et aux hommes. Peu de temps après, un profond débat scientifique avait commencé sur le sujet. Certains ont interprété cette dent comme venant de Pithecanthropus erectus tandis que d'autres ont dit qu'elle n'était pas d'un humain. Ce fossile qui a créé de grands débats a reçu le nom d'"homme de Nebraska". Un nom "scientifique" s'ensuivit immédiatement après: Hesperopithecus haroldcooki.
Les reconstitutions du crâne et du corps de l'homme de Nebraska ont été produites sur la base de cette seule dent. Les choses sont allées encore plus loin lorsque les images montrant la famille de l'homme de Nebraska dans leur habitat naturel ont été publiées. Tous ces scénarios ont été produits à partir d'une seule dent. Les cercles évolutionnistes ont adopté cet "homme fantôme" si fortement que lorsqu'un chercheur du nom de William Bryan s'est opposé à de telles prises de position définitives étant faites sur la base d'une seule molaire, il a attiré une grande fureur.
En 1927, cependant, les autres parties du squelette ont été trouvées. Celles-ci ont montré que la dent n'appartenait ni à un être humain ni à un homme. On s'est rendu compte que la dent apparentait à une espèce disparue de porc sauvage américain appelé Prosthennops. William Gregory a intitulé un article dans la revue Science dans lequel il a annoncé ceci "L'Hesperopithecus: Apparemment pas un singe ou un homme".87
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Les darwinistes ont réalisé de fausses images de l'homme de Nebraska avec sa famille, le tout sur la base d'une seule dent de porc, et ont publié ces derniers dans les livres. Pendant de nombreuses années, ils n'ont eu aucun scrupule à tromper les étudiants et d'autres personnes. |
L'écrivain de Science Hank Hanegraaff explique les développements comme suit:
En 1922, UNE DENT A ETE DECOUVERTE A NEBRASKA. Avec un peu d'imagination, la dent à été reliée à une mâchoire mythologique, la mâchoire a été reliée à un crâne, le crâne à été relié à un squelette, et on a donné au squelette un visage, des caractéristiques et une fourrure. Lorsque l'histoire a frappé un journal de Londres, non seulement il y a eut une image de l'"homme de Nebraska" mais il y a aussi eu une image de "Maman Nebraska". Tout cela à partir d'une seule dent solitaire. Imaginez ce qui serait arrivé si un squelette avait été découvert. Peut-être qu'ils auraient publié un annuaire!
Peu de temps après la découverte initiale, une dent identique a été trouvée par le géologue Harold Cook. Cette fois, la dent a été attachée à un crâne réel, et le crâne réel a été lié au squelette d'un cochon sauvage. Ainsi, l'homme de Nebraska, connu sous la désignation "scientifique" de Hesperopithecus haroldcooki, a été démasqué comme mythe plutôt que comme homme en devenir.88
En conséquence, toutes les images du Hesperopithecus haroldcooki et de sa "famille" ont été hâtivement retirées de la littérature. L'homme de Nebraska est une indication importante de la façon dont les darwinistes peuvent produire un scénario de l'évolution tout à fait fantastique sur la base d'une seule dent. Bien que la dent ne fournisse aucune information sur l'anatomie générale d'un être vivant, la façon dont les dessins de l'homme de Nebraska et sa famille ont été produits sur la base de la dent de cochon, et le fait que cela a été décrit comme scientifique jusqu'à ce que la vérité ait été révélée, est une déficience logique énorme et une humiliation totale pour le darwinisme. Mais les darwinistes ont refusé d'abandonner les fraudes et poursuivent consciemment leurs tromperies darwinistes.
L'écorce des arbres dans le milieu du 19ème siècle, au début de la révolution industrielle en Grande-Bretagne, était de couleur claire. C'est pourquoi, des variantes de couleur foncée des espèces de mites (papillons mélaniques) Biston betularia pouvaient être facilement vues et attrapées par les oiseaux. Cinquante ans plus tard, les lichens, une sorte d'algues, avait disparus autour des arbres en raison de la pollution industrielle, et les arbres étaient devenus de couleur plus foncée. A cette époque, c'étaient les mites de couleur claire qui étaient plus visibles sur les arbres et qui étaient le plus souvent attrapées par les oiseaux. En conséquence, le nombre de mites claires a diminué, tandis que les mites mélaniques plus foncées ont augmenté en nombre, puisque celles-ci étaient plus difficiles à attraper.
Les évolutionnistes saisirent avec empressement cette situation comme preuve importante pour leurs affirmations d'évolution par la sélection naturelle. En utilisant les mêmes techniques trompeuses, comme toujours, ils ont ensuite consacré leurs efforts à tromper les gens en leur faisant croire que les mites de couleur claire avaient évolué pour devenir plus foncées. Cette affirmation a été annoncée avec la soi-disant expression d'"évolution en action". Mais les faits étaient très différents, puisque ces mites, en fait, n'avaient pas du tout subi de changement évolutif, la seule chose qu'il y avait était une énorme tromperie darwiniste.
En 1953, H.B.D. Kettlewell, un docteur en médicine darwiniste et aussi biologiste amateur, a décidé de réaliser une expérience pour observer le phénomène. Il a effectué des expériences et des observations dans les régions rurales de l'Angleterre où ces mites vivaient. A la suite de ses expériences, Kettlewell a déterminé que les mites foncées sur les lichens clairs étaient attrapées en grand nombre. Il a ensuite annoncé cela dans un article intitulé "Darwin’s Missing Evidence" (Les preuves manquantes de Darwin) dans la revue Scientific American, comme s'il s'agissait d'une découverte géante au nom du darwinisme. En 1960, l'explication de Kettlewell a pris sa place dans tous les manuels scolaires.
In 1985, certaines particularités ont commencé à être remarquées. Un jeune professeur de biologie américain du nom de Craig Holdrege est tombé sur une déclaration intéressante dans les notes de Sir Cyril Clarke, un ami proche de Kettlewell qui prenait part à ses expériences. Clarke a dit:
Tout ce que nous avons observé est là où les mites ne passent pas la journée. En 25 ans, nous avons seulement trouvé deux betularia sur les troncs d'arbre ou des murs à côté de nos pièges…89
a id="90" name="90">Holdrege avait depuis longtemps montré à ses élèves des photos de mites placées sur des troncs d'arbre et décrivant comment les oiseaux localisaient et attrapaient les plus visibles. Mais maintenant, quelqu'un qui a fait des recherches sur ces mites pendant 25 ans dit qu'il a seulement vu deux fois ces mites sur les troncs d'arbre. Un vif débat a immédiatement éclaté. Le débat a conduit aux conclusions suivantes: de nombreuses études effectuées après les expériences de Kettlewell ont montré que les mites se posaient sur un seul type de tronc d'arbre, préférant le dessous des branches horizontales de tous les autres types d'arbre. Depuis les années 1980, tout le monde a été d'accord sur le fait que les mites se posent que très, très rarement sur les troncs d'arbres. De nombreux scientifiques comme Cyril Clarke et Rory Howlett, qui ont mené une étude de 25 ans sur le sujet, ainsi que Michael Majerus, Tony Liebert et Paul Brakefield ont déclaré que "Kettlewell a obligé les mites à se comporter de manière non naturelle dans ses expériences, raison pour laquelle les résultats des expériences sont scientifiquement inacceptables".
Les chercheurs qui étudient l'expérience de Kettlewell sont tombés sur une conclusion encore plus étonnante ; alors qu'il aurait dû y avoir plus de mites claires dans les régions non polluées d'Angleterre, il y avait en fait quatre fois plus de mites foncées. En d'autres termes, contrairement à ce que Kettlewell affirmait, et à ce qui a été répété dans tous les livres de référence évolutionnistes, il n'y avait aucune corrélation entre l'écorce des arbres et les ratios de la population des phalènes.
Le lépidoptériste américain (expert engagé dans l'étude scientifique des papillons et des mites) Ted Sargent et d'autres chercheurs, ont noté que les mites en question ne se posaient pas sur les troncs d'arbres, mais se cachaient sous les branches supérieures. En outre, les mites dormaient le jour et volaient la nuit, en d'autres termes, lorsque les oiseaux dormaient!90
Plus l'affaire a été étudiée, plus l'ampleur du scandale fut grande: les "mites sur l'écorce des arbres" photographiées par Kettlewell étaient en fait mortes. Etant donné que les mites se posaient sous les côtés des branches plutôt que sur le tronc d'arbre, il n'y avait effectivement pas moyen d'obtenir une telle image. C'est la raison pour laquelle Kettlewell avait collé ces animaux morts sur les arbres avec de la colle, puis les avait photographiés.91
Le New York Times a fait ce commentaire quand il a réalisé que les mites dépeintes haut et fort par les darwinistes comme des preuves scientifiques pendant environ un siècle étaient en fait frauduleuses: "L'exemple le plus célèbre de l'évolution en action doit maintenant devenir le plus infâme".92
Lorsque le biologiste évolutionniste de l'Université de Chicago a appris cette fraude en 1998, il a écrit sa "honte" due à l'imposture des mites de la révolution industrielle qu'il avait enseignée à ses élèves, et a comparé sa réaction à "la consternation à ma découverte, à l'âge de 6 ans, que c'était mon père et non Santa qui apportait les cadeaux le soir de Noël".93
Avec la révélation de tous ces faits, les gens ont réalisé que l'histoire des mites de la révolution industrielle, représentées comme "les preuves manquantes de Darwin" était en fait une très grande tromperie. Pendant des décennies, ces centaines de millions de personnes ont été trompées par des photographies de quelques mites mortes collées sur un arbre et par un vieux conte à leur sujet. La vérité sur la question est la suivante: les preuves que Darwin a besoin n'existent pas et il est impossible d'en trouver. Parce que les êtres vivants n'ont pas évolué.
En raison de la pollution industrielle, les lichens, une sorte de mousse couvrant les troncs d'arbres meurent et le tronc devient noir. Puisque les mites de couleur claire sont plus visibles sur les troncs, elles sont plus souvent mangées par les oiseaux. Par conséquent, le nombre de mites de couleur claire diminue, le nombre de mites de couleur foncée augmente, puisqu'elles sont mangées moins souvent. Mais qu'il y ait un grand nombre d'un type de mite n'est très certainement pas une évolution, mais les darwinistes utilisent ce fait pour tromper les gens et essayer de dépeindre cela comme une preuve supposée de l'évolution. |
Ce qui est intéressant, c'est que les mites de la révolution industrielle sont toujours présentées dans certains livres comme preuve de l'évolution. De cette façon, les darwinistes visent à induire en erreur les jeunes esprits impressionnables qui ne connaissent pas cette fraude. Dépeindre une fraude comme preuve réelle, même si cette fraude a déjà été exposée, est en effet une preuve de désespoir, de l'absence de preuve et de la nature purement idéologique du darwinisme. Le fait de la Création est évident. Les darwinistes qui essaient d'éviter cette situation claire, s'imaginent qu'ils peuvent trouver une solution en recourant à des mensonges et à des supercheries. Mais Allah fera certainement disparaître la ruse et le mensonge, et les religions superstitieuses.
Et dis : "La vérité (l'Islam) est venue et l'erreur a disparu. Car l'erreur est destinée à disparaître". (Sourate al-Isra, 81)
Ernst Haeckel et ses faux dessins d'embryons. |
Dans son livre Natürliche Schöpfungsgeschichte (L'histoire de la création naturelle) de 1868, Ernst Haeckel a suggéré qu'il avait fait des comparaisons variées en utilisant les embryons humains, de singes et de chiens. Les dessins qu'il a produits consistaient en des embryons presque identiques. En se basant sur ces dessins, Haeckel a alors suggéré que les formes de vie impliquées avaient des origines communes.
Mais la réalité des choses était bien différente. Haeckel a produit un dessin à partir d'un seul embryon, puis a produit des embryons humains, de singes et de chiens de cela, en faisant de petites modifications. En d'autres termes, il s'agissait d'une imposture.
C'était le soi-disant "travail scientifique" (!) que Darwin a cité comme référence dans son livre La descendance de l'homme. En fait, certains gens ont réalisé que les illustrations d'Haeckel étaient une distorsion même avant que Darwin ait écrit son livre. Suite à l'exposition de la fraude, Haeckel lui-même a admis l'énorme fraude scientifique qu'il avait commise:
Après cette confession compromettante de "falsification", je devrais être obligé de me considérer comme condamné et anéanti si je n'avais pas la consolation de voir à côté de moi, des centaines de camarades au banc des accusés – coupables, dont parmi eux beaucoup sont les observateurs les plus dignes de confiance et les biologistes les plus estimés. La grande majorité de tous les diagrammes dans les meilleurs manuels biologiques, traités et revues subiraient le même degré d'accusation de "falsification", car ils sont tous inexacts et sont plus ou moins altérés, schématisés et constuits.94
Mais d'après les darwinistes, pour maintenir étayé le dogme du darwinisme, il était nécessaire de déclarer que l'un des faux éléments de preuve en leur possession était en fait une "preuve de l'évolution". La fraude perpétrée, ou les autres darwinistes conscients de cela, n'avaient aucune importance pour eux, ce qui importait à leurs yeux, c'était qu'elle soit annoncée comme preuve de l'évolution, même si elle était frauduleuse.
C'est la raison pour laquelle, en dépit de l'exposition de la fraude, Darwin et les biologistes ont continué à considérer les dessins d'Haeckel comme une source de référence. Et cela a davantage encouragé Haeckel. Dans les années qui suivirent, il a produit une autre série d'illustrations d'embryons comparatifs. Il a préparé des diagrammes montrant des embryons de poissons, de salamandres, de tortues, de poulets, de lapins et d'humains côte à côte. L'aspect remarquable de ces derniers était la façon dont les embryons de ces différentes formes de vie se ressemblaient initialement de très près et divergeaient progressivement au cours de leur développement. La similarité entre les embryons humains et ceux des poissons, en particulier, était en effet très frappante. Si bien que les "branchies" fictives pouvaient être vues dans les dessins d'embryon humain, tout comme dans ceux des poissons. Sous l'apparence scientifique qu'il a donnée à ces illustrations, Haeckel a lancé sa "théorie de la récapitulation": l'ontologie répète la phylogénie. La signification du slogan était ceci ; d'après Haeckel, durant le processus de développement qu'il a subi dans l'ovule ou dans l'utérus de la mère chaque être vivant répète la prétendue "histoire évolutionnaire" de son espèce, depuis le début. Selon cette fausse théorie, l'embryon humain dans l'utérus de la mère ressemble d'abord à un poisson, puis dans les semaines suivantes, à une salamandre, à un reptile et à un mammifère, et "évolue" finalement en un être humain.
Mais ceci était une énorme fraude.
1.Poisson | 4. Poule |
A. Ci-dessus, les faux dessins d'Haeckel | B. Ci-dessous, la manière dont les dessins auraient dû être réalisés |
Dans les années 1990, l'embryologiste britannique Michael Richardson a examiné les embryons vertébrés au microscope et n'a déterminé aucune ressemblance avec les dessins de Haeckel. Suite à leur étude, Richardson et son équipe ont publié de véritables photographies d'embryons en août 1997 dans la revue Anatomy and Embryology. Il est apparu que Haeckel avait pris divers modèles de dessins et qu'il les avait modifiés de diverses manières pour que les embryons se ressemblent. Il a ajouté des organes imaginaires aux embryons, en a enlevé à d'autres et a représenté les embryons en différentes tailles comme s'ils étaient identiques en mesure. Les fentes qu'Haeckel a dépeintes comme étant des "branchies" dans l'embryon humain n'avaient en fait rien à voir avec des branchies. Celles-ci étaient en fait la caisse du tympan, et les débuts de la parathyroïde et des thymus. En fait, les embryons ne se ressemblaient pas du tout. Haeckel avait fait d'innombrables distorsions dans ses illustrations.
Un article sur les dessins de Haeckel, longtemps maintenus à l'ordre du jour comme fausse preuve de l'évolution, a paru dans la revue Science du 5 septembre 1997, intitulé "Les embryons d'Haeckel: la fraude redécouverte", suivant lequel tout le monde scientifique avait convenu qu'il y avait eu une fraude perpétrée. L'article contenait les lignes suivantes:
Haeckel ne s'est pas limité à ajouter ou à enlever des organes, il a aussi joué sur la taille des embryons pour exagérer les similarités entre les espèces même lorsqu'il y avait 10 fois des différences dans la taille. De plus Haeckel, pour dissimuler les différences, n'a pas nommé les espèces dans la plupart des cas, comme si un seul représentatif était exemplaire pour un groupe entier d'animal. Selon Richardson et ses collègues, en réalité, même chez les embryons très étroitement apparentés les uns aux autres, comme ceux des poissons, il existe de très grandes disparités de morphologie et de développement. "On dirait qu'ils (les dessins de Haeckel) sont en passe de devenir l'une des plus célèbres falsifications en biologie".95
En mars 2000, l'évolutionniste et le paléontologue de l'Université de Harvard Stephen Jay Gould a dit qu'il était au courant de cette fraude depuis longtemps, mais qu'il avait préféré garder le silence, comme l'exige le système du Dajjal.96 Une fois que le public a appris que les dessins étaient frauduleux, Gould a déclaré que c'était un meurtre académique de les utiliser encore et a dit: "Je pense que nous avons le droit d'être à la fois étonnés et honteux par le siècle de recyclage insensé qui a conduit à la persistance de ces dessins dans un grand nombre, sinon la majorité, des manuels scolaires modernes".97
La fraude de Haeckel était tellement flagrante et grande qu'il a été accusé de fraude par cinq professeurs différents et à été déclaré coupable par la cour de l'Université de Jena.98
Sir Gavin de Beer, du Musée d'histoire naturelle de la Grande-Bretagne, a décrit cette terrible disgrâce comme suit:
Rarement une assertion comme celle de la théorie de la récapitulation d'Haeckel, facile, arrangée et plausible, largement acceptée sans examen critique, a fait tant de mal à la science".99
Le livre de biologie d'aujourd'hui à gauche participe à la fausse propagande évolutionniste en utilisant les faux dessins d'Haeckel. Ceci est une preuve importante de la façon générale et sans vergogne la tromperie darwiniste est perpétrée. |
Ces fausses illustrations d'Haeckel ont en fait atteint leur but au nom des darwinistes. Bien qu'elles aient été déclarées fausses, elles ont toujours un impact négatif puisque beaucoup de gens imaginent encore qu'elles sont authentiques, et malgré leur invalidité scientifique, elles continuent à changer négativement les idées générales des personnes concernant les êtres vivants, qui étudient encore dans les écoles. Henry M. Morris, le fondateur de Creation Research Society and the Institute of Creation Research a analysé la situation en ces termes:
Depuis Darwin – et surtout depuis Freud – les psychologues ont supposé que l'homme n'était qu'un animal évolué et ont évalué ses problèmes de comportement sur une base animale. Des expériences sur des singes ou sur d'autres animaux (même avec des insectes) sont utilisées pour obtenir un guidage dans le traitement des problèmes humains…
Le fruit amer de la théorie de la récapitulation (depuis longtemps discréditée scientifiquement) a continué à croître dans de nombreux domaines de la société...100
Etonnamment, les illustrations frauduleuses d'Haeckel, décrites comme une honte scientifique et traitées avec stupéfaction même par certains évolutionnistes lorsqu'elles ont été mises en avant comme preuve, maintiennent toujours leur place dans différents manuels. Cette situation étonnante montre l'ampleur exacte de la tromperie darwiniste. Le biologiste moléculaire de L'Université de Californie Jonathan Wells décrit la situation ainsi:
Beaucoup de manuels scolaires utilisent des versions légèrement redessinées des embryons d'Haeckel. Un exemple en est l'édition de 1999 de Biology de Peter Raven et de George Johnson…
D'autres exemples sont compris dans l'édition de 1998 de Biology: the Unity and Diversity of Life de Cecie Starr et de Ralph Taggart, …la dernière édition de Biological Science de James Gould et de William Keeton, qui rapporte: "Un fait de l'embryologie qui a poussé Darwin vers l'idée de l'évolution est que les embryons de la plupart des vertébrés se ressemblent beaucoup" ; et le manuel de Biology de Burton Guttman de 1999, qui accompagne sa version redessinée des embryons de Haeckel par ce qui suit: "le développement embryonnaire d'un animal contient des indices sur les formes de ses ancêtres". 101
Le fait que les fausses illustrations d'Haeckel soient encore utilisées dans les manuels scolaires de biologie, comme si elles représentaient une preuve de l'évolution, n'est sans doute pas une simple erreur. Bien qu'elles soient fausses, ces illustrations sont délibérément incluses dans les manuels scolaires. La principale raison de cela, sans doute, est le fait qu'elles représentent une fausse preuve significative pour le point clé du darwinisme, le mensonge que l'homme est un animal irresponsable. Jonathan Wells fait ce commentaire sur ce mensonge délibérément maintenu par les scientifiques darwinistes:
Les embryons d'Haeckel semblent fournir une preuve puissante pour la théorie de l'évolution dont certaines versions peuvent être trouvées dans presque tous les ouvrages traitant de l'évolution moderne. Pourtant les biologistes savent depuis plus d'un siècle qu'Haeckel a truqué ses dessins ; les embryons de vertébrés n'ont jamais été autant similaires que ceux qu'il avait dessinés. En plus, l'étape qu'Haeckel a définie comme "première" est en fait au milieu du développement, les similitudes qu'il a exagérées sont précédées par des différences frappantes dans les stades de développement antérieurs. Bien que vous ne puissiez jamais le savoir en lisant les manuels de biologie, "la classe des plus puissants faits" de Darwin est un exemple classique de la manière dont une preuve peut être altérée pour l'adapter à une théorie.102
Bien que les darwinistes aient été ravis à court terme du fait qu'un mensonge planifié par le Dajjal ait été avancé comme fausse preuve pour une théorie héréditaire et a eu un impact, il a en fait annoncé une terrible déception pour eux. A travers les dessins d'Haeckel, les gens ont vu l'ampleur de la tromperie à laquelle un scientifique chevronné a eu recours au nom du darwinisme. Il a ainsi été prouvé une fois encore à quel point le darwinisme était en constant besoin d'un "mensonge". Les gens ont clairement vu comment les évolutionnistes pouvaient fermer les yeux sur la fraude. La fraude d'Haeckel était un autre élément de preuve significatif de la destruction de la théorie de l'évolution et du système du Dajjal. Cette fraude peut avoir été accueillie par un silence au 20ème, mais le 21ème siècle a vu cette dernière ainsi que des fraudes similaires exposées, et la vraie preuve scientifique affichée. Plus ces fraudes ont été exposées, et plus de réelles preuves scientifiques ont été fournies, plus l'effondrement du darwinisme est devenu de plus en plus apparent.
En 1879, deux célèbres évolutionnistes de l'époque sont allés encore plus loin dans leurs activités visant à constituer une preuve du scénario fictif de l'évolution du cheval et ont mis en place la série du cheval que les darwinistes allaient maintenir à l'ordre du jour pendant de nombreuses années. Les chercheurs de fossiles américains Othniel Charles Marsh et Thomas Huxley (appelé le "bouledogue de Darwin") ont établi une soi-disant série évolutive équine en définissant divers fossiles à sabots sur la base du nombre d'ongles sur les pattes avant et arrière et sur la structure de leurs dents. Un fossile de petit mammifère anciennement dénommé Hyracotherium par Sir Richard Owen en 1841, a été renommé de telle manière à faire écho à l'évolution, en recevant le nom de Eohippus, qui signifie "cheval de l'aube". Les deux chercheurs ont publié leurs affirmations et leurs diagrammes dans American Journal of Science, jetant ainsi les bases de la série évolutive des chevaux disposés des Eohippus jusqu'à nos jours, dans les musées et les livres comme preuve supposée de l'évolution. Les principales étapes de cette série fictive étaient Eohippus, Orohippus, Miohippus, Hipparion et Equus d'aujourd'hui.
Cette série fictive a été dépeinte comme la plus grande preuve supposée de l'évolution du cheval pendant le siècle qui suivant. La diminution du nombre d'orteils et l'augmentation régulière de la taille, du plus petit au plus grand, a suffi à convaincre les évolutionnistes.
Peu de temps après, les incohérences au sein de la série évolutive ont commencé à se manifester. De nouveaux fossiles ont été découverts, et les tentatives de les insérer dans la fausse série posaient des problèmes. Le problème était que les caractéristiques telles que l'emplacement des fossiles, l'âge et le nombre d'orteils ont formé des incohérences et ont porté atteinte à la série, qui s'est transformée en une masse incohérente et absurde de fossiles face à ces nouveaux spécimens.
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De nombreux darwinistes ont été progressivement contraints d'admettre que le scenario de la série du cheval évolutive n'était pas fondé sur de vraies preuves. En novembre 1980, une conférence de 4 jours a eu lieu au Musée d'histoire naturelle de Chicago, qui a réuni 150 évolutionnistes, et a examiné les problèmes de la théorie de l'évolution. Boyce Rensberger, qui a parlé lors de la conférence, a décrit le fait que la série du cheval n'avait aucun fondement dans les archives fossiles et qu'aucun processus graduel comme l'évolution du cheval ne s'était passé:
On sait depuis longtemps que l'exemple de l'évolution du cheval couramment cité, suggérant une séquence graduelle de changements à partir des créatures à quatre orteils et de la taille d'un renard qui vivaient il y a près de 50 millions d'années jusqu'aux chevaux d'aujourd'hui, plus grands et avec un seul orteil, est faux. Au lieu de changement graduel, les fossiles de chaque espèce intermédiaire apparaissent totalement distincts, persistent sans changement, puis s'éteignent. Les formes de transition sont inconnues.103
Un autre problème de l'évolution fictive du cheval est celle de la datation. Le docteur Nicholas Comninellis commente:
Un défi supplémentaire à la proposition de l'évolution du cheval est que le timing est inconsistant. La théorie de l'évolution est basée sur l'idée qu'une espèce est sujette à évoluer vers une autre parce qu'elle est mieux adaptée à la survie. Cela conduit à l'extinction de la première espèce. Dans le cas des chevaux, les espèces à trois orteils ne devraient pas être aussi fortes que celles à un orteil. L'évolution demande des millions d'années pour que la transition se produise entre les espèces vivantes – assez de temps pour que la première espèce disparaisse.
Cependant, nous savons aujourd'hui que les chevaux à trois orteils et à unique orteil ont vécu ensemble en Amérique du Nord. Le fait que les variétés de chevaux ont coexisté est totalement incompatible avec l'explication de l'évolution. S'ajoute à cela le fait que les chaînons manquants entre les Hyracotherium, Miohippus, et Equus n'ont jamais été identifiés. Plutôt que d'appuyer l'évolution, l'histoire du cheval est plus compatible avec la création spéciale – des êtres entièrement formés et créés simultanément.104
Bien que l'invalidité de l'évolution du cheval a été ouvertement mise en évidence et que les darwinistes ont reconnu cette situation, cette série mythique est toujours utilisée, comme d'autres fraudes darwinistes, dans les publications darwinistes et les manuels scolaires. La série évolutive est dépeinte comme un fait concret et est exposée dans des musées d'histoire naturelle organisés par des paléontologues et scientifiques de renommée mondiale. Dr. Niles Eldredge, un paléontologue évolutionniste et directeur du Musée américain d'histoire naturelle, a reconnu il y a 20 ans que les affirmations évolutionnistes concernant la série du cheval exposée dans son propre musée était uniquement fondé sur leur pouvoir d'imagination. Eldredge a aussi critiqué la façon dont cette série spéculative a été représentée comme un fait scientifique au point de trouver sa place dans les manuels scolaires:
J'avoue qu'un très grand nombre de ces [récits imaginaires] ont pris place dans les manuels comme si c'était vrai. Par exemple, l'exemple le plus célèbre est sur l'évolution du cheval préparé il y a peut-être une cinquante d'années. Cela a été présenté comme une vérité littérale dans les manuels scolaires. Maintenant, je pense que c'est lamentable, en particulier parce que les gens qui proposent ce genre d'histoires peuvent elles-mêmes savoir la nature spéculative de certaines choses. Mais lorsque nous l'infiltrons dans les manuels scolaires, nous acceptons la science comme vérité et nous avons un problème.105
L'analyse du darwiniste Eldredge est très précise. Puisque les déformations délibérées représentent l'essence même du système de l'Antéchrist, ceux qui épousent ce système recourent aussi à des tromperies. Tous les exemples de tromperie darwiniste énumérés ci-dessus ont été exposés, et leur caractère mensonger a même été admis par les scientifiques darwinistes. Ces exemples suffisent à montrer le vrai visage du système de l'Antéchrist. Mais il sera toujours utile de faire le rappel suivant: la théorie de l'évolution, l'idéologie darwiniste en d'autres termes, est établie sur un mensonge destiné à nier l'existence d'Allah. Par conséquent, toutes les affirmations, les suggestions et les preuves produites par le darwinisme sont faux. Toutes les déclarations du genre "des éléments de preuve ont été découverts", "les êtres vivants ont évolué", ou "les êtres humains et les chimpanzés sont les descendants d'un même ancêtre" sont des mensonges. Les darwinistes épousent un mensonge. Leur obéissance et dévotion illogique au système du Dajjal est une dévotion aveugle à la religion du darwinisme, dans le seul but est de pouvoir s'opposer à la croyance en Allah.
Le fait est qu'ils épousent une superstition, une terrible erreur. Allah Tout-Puissant, le Seigneur et Créateur de Tout, dit dans Ses versets:
Et quiconque désire une religion autre que l'Islam, ne sera point agrée, et il sera, dans l'au-delà, parmi les perdants. (Sourate al-Imran, 85)
Que ce qu'ils disent ne t'afflige pas. La puissance toute entière appartient à Allah. C'est Lui qui est l'Audient, l'Omniscient. (Sourate Yunus, 66)
67. Isabelle Bourdial, "Adieu Lucy", Science et Vie, Mayıs 1999, no. 980, s. 52-62
68. Richard Leakey, "Lucy - Evolution's Solitary Claim For an Ape/Man: Her Position is Splitting Away" Creation Research Society Quarterly, vol. 22, no. 3, Aralık 1985, s. 144-145 - Nicholas Comninellis, Creative Defense, Evidence Against Evolution, Master Books, 2001, s. 188
69. Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, s. 75-94
70. Charles E. Oxnard, "The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt", Nature, cilt 258, s. 389
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76. Erik Trinkaus, "Hard Times Among the Neanderthals", Natural History, cilt 87, Aralık 1978, s. 10.
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81. Kenneth Oakley, William Le Gros Clark & J. S, "Piltdown", Meydan Larousse, cilt 10, s. 133.
82. Stephen Jay Gould, "Smith Woodward's Folly", New Scientist, April 5, 1979, s. 44
83. Hank Hanegraaff, Fatal Flaws "What Evolutionists Don't Want You To Know", W Publishing Group, 2003 s. 34
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93.http://www.arn.org/docs/richards/jr_sciedreport.htm - Jonathan Wells, Evrimin İkonları, Gelenek yayınları, Ocak 2003, s. 150
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