La tendance des médias à représenter le darwinisme comme un fait scientifique ""indiscutable"" est, en réalité, le résultat d"une lutte idéologique. Le darwinisme est reconnu comme une théorie démodée qui s"oppose de plus en plus aux découvertes scientifiques. Les fossiles font partie de ces découvertes. Les évolutionnistes défendent que les êtres humains et les singes descendent d"un ancêtre commun, mais sont incapables d"expliquer l"absence du moindre changement dans la structure du crâne, de la tête ou du squelette chez les êtres vivants au cours des dizaines de millions d"années écoulées. Ils ne peuvent pas non plus répondre à la question de savoir pourquoi les singes seraient un jour devenus des hommes alors qu"aucune transformation analogue n"eut lieu dans l"anatomie d"autres espèces. Les évolutionnistes ne disposent pas de réponses rationnelles quand il s"agit de savoir pourquoi les singes et les ours n"ont pas commencé à parler, à composer, à produire des images et des statues, à ériger des bâtiments impressionnants, à écrire des romans, des poèmes, des pièces de théâtre ou des scénarios, à faire de découvertes technologiques et à explorer l"espace. Aucun ours n"a décidé un jour d"améliorer ses caractéristiques et de se transformer en une autre forme de vie. De la même manière, les singes ne sont pas devenus des êtres humains. Les ours ont toujours existé en tant qu"ours, les singes en tant que singes, et les êtres humains en tant qu"êtres humains. Le fossile appartenant à un ours de 80 millions ici représenté, ne diffère nullement des spécimens vivant aujourd"hui, mettant ainsi ce fait au grand jour.